Archives du mois de décembre 2018

Un pianiste très éminent, à suivre : Francesco Piemontesi, en un concert Liszt, à Lugano

26déc

Parmi les interprètes

à suivre de près,

le passionnant Francesco Piemontesi,

ici en un récital live du label Orfeo,

à Lugano, en janvier 2017 :

Liszt Années de pèlerinage

Première année – Suisse ;

à la fois un CD et un DVD :

Orfeo C 944 182 1.


Ce mercredi 26 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

Telemann et sa passion des timbres des instruments les plus variés : ici les vents…

25déc

Georg Philipp Telemann

(1681 – 1767)

est un compositeur merveilleusement sympathique,

ouvert, curieux,

extrêmement entreprenant,

en sa longue et très féconde vie de compositeur polyglotte

de par l’Europe entière.

A preuve

le très intéressant et riche CD

d’Eolus

et Jean-François Madeuf

intitulé

Georg Philipp Telemann Per tromba & Corno di caccia :

le. CD Ricercar RIC 397.

Ici,

c’est sa passion pour les timbres des instruments à vent,

trompettes, cors, hautbois, bassons,

qui s’y déploie superbement

pour notre pleine réjouissance.

Ce mardi 25 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ecouter le détail de ce chef d’oeuvre qu’est le Nisi Dominus de Vivaldi

24déc

La Tribune des Critiques de Disques de France-Musique

d’hier dimanche 23 décembre

a procédé à une écoute comparée

de six versions de ce chef d’œuvre

qu’est le Nisi Dominus

d’Antonio Vivaldi,

pour l’Ospedale della Pietà, à Venise,

en 1717.

Amateur passionné de l’œuvre de Vivaldi,

je viens d’écouter ce jour

cette très intéressante _ et très éclairante à l’écoute  _ émission

à écouter _ ou ré-écouter _ ici.


De fait,

je partage pleinement le choix au final des critiques,

Emmanuelle Giulani, Piotr Kaminski et Sophie Bourdais :

celui du CD Naïve (de 2003) 

par la merveilleusement lumineuse et rayonnante Sara Mingardo

et le Concerto Italiano

dirigé par Rinaldo Alessandrini.


C’est une fête  !!!

Ce lundi 24 décembre 2018, Titus Curiosus – Titus Curiosus

Ecouter Sandor Vegh en son Quatuor : la musicalité même

23déc

En fouillant dans les bacs,

la très heureuse pêche d’un double CD du Quatuor Vegh :

l’album (hongrois) BMC Records BMC CD 261,

comportant

le quatuor à cordes n°4 de Beethoven, opus 18 n°4,

le quatuor à cordes n°2 d’Ernest Bloch,

le quatuor à cordes opus 11 de Samuel Barber,

pour le premier CD :

et le quatuor à cordes n°2, H 103 _ assez peu courru des interprètes _, d’Arthur Honegger,

le quatuor à cordes n°2, opus 13, de Hanns Jelinek _ inconnu jusqu’ici de moi _

et la Suite lyrique d’Alban Berg,

pour le second CD.

Rien que du très haut de gamme.

Et la musicalité même de l’interprétation.

Ce dimanche 23 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’éblouissement immédiatement irradiant des sublimes Carnets de Goliarda Sapienza

22déc

L’ami René de Ceccatty

vient de me faire adresser

par les Éditions du Tripode

les Carnets

de Sapienza Goliarda,

à paraître le mois prochain

_ le 3  janvier _,

et qu’a traduits en français l’amie de si longtemps

_ de leurs années de lycée à Montpellier _ et toujours, de René,

Eilathan,

Nathalie Castagné.

Dès la lecture

de la présentation liminaire de l’éditeur lui-même,

Frédéric Martin

_ cf le podcast de mon entretien avec lui le 25 novembre 2015 pour son édition du sublime Vie ou Théâtre ? de Charlotte Salomon : Frédéric Martin, Vie ? ou Théâtre ? de Charlotte Salomon (61’) le 25-11-2015 ;

ainsi que mon article du 29 novembre 2015 :   _,

aux pages 5 à 10 de ces Carnets,

puis le résumé très éclairant des péripéties complexes, et très souvent tragiques, de la vie (Catane, 19 mai 1924 – Gaeta, 30 août 1996) de Goliarda Sapienza

_ l’écriture lui sera donc aussi, du moins parfois, secours !

sinon la publication même,

et encore moins le baume éventuel de la reconnaissance du succès _,

aux pages 466 à 475 de ces Carnets

et surtout, forcément,

les premières pages _ sublimes !!! _ de ces Carnets

à l’écriture stupéfiante et renversante de justesse,

de force

et de beauté,

on reste confondu de bonheur

de pareille stupéfiante illuminante _ de la vie, de toute vie _ lecture !

Car Goliarda

entame en 1976 la rédaction de ces Carnets

afin d’essayer de survivre à la cessation de l’écriture de son grand œuvre désormais achevé,

L’Art de la joie

On comprend que cette force-là

de l’écriture

ait pu faire peur

aux éventuels éditeurs,

et en Italie d’abord…

puisque L’Art de la joie, terminé en 1976, n’aura pas connu la publication

du vivant de son auteur,

décédée en 1996…

Ce sera en effet l’obstination fidèle d’Angelo Pellegrino,

le compagnon puis mari très aimant de Goliarda ;

puis le succès en France de l’œuvre traduite par Nathalie Castagné,

et publiée, en 2005, aux Éditions Viviane Hamy,

qui fera reconnaître universellement

la grandeur magnifique de l’écriture

et de la personne

de Goliarda Sapienza !

Ce samedi 22 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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