Un petit éclairage sur les incroyables avancées de mon enquête ravelienne

— Ecrit le jeudi 30 mai 2019 dans la rubriqueHistoire, Musiques”.

A titre d’éclairage en passant

sur les avancées de mon enquête ravelienne,

ce petit courriel, ce soir, à une amie :



Chère N.,

en ce moment, j’avance incroyablement _ j’en suis le premier subjugué ! _ en mon enquête sur les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel !!!

Au point qu’un livre, qui en fasse l’historique détaillé, peut même s’envisager !
Ne serait-ce que pour Les Amis de Maurice Ravel
Alors que bien sûr je ne cherche en rien cela ; et même le fuis comme la peste !
À preuve ce courriel-ci que j’ai adressé hier à quelques amis
pour les tenir au courant _ à charge pour eux de lire ces 3 articles cités,
voire, aussi, la synthèse de mon article d’hier 29 mai :
Même si non directement musicales,
mes recherches
_ suite à la parution récente de la Correspondance de Maurice Ravel par les soins de Manuel Cornejo _,

peuvent intéresser la curiosité
à propos de l’histoire personnelle d’un compositeur aussi discret sur lui-même que Maurice Ravel.
Voici aussi, très indicativement, le message de réception
de mon amie Georgie Durosoir, professeur émérite de musicologie à la Sorbonne.
Incroyable recherche, impressionnant bilan !
Cher Francis, vous êtes époustouflant et je me sens privilégiée d’être tenue au courant de l’avancée de vos investigations et trouvailles.
Bon courage pour la suite. N’oubliez pas que Bélus vous attend pour un moment d’amitié, quand vous le voudrez !
Georgie
Ce soir, je viens d’intégrer à mon article d’avant hier 28 mai 
la découverte, cet après-midi même (30 mai), d’un important document,
que voici :
Et en relisant mes articles précédents, ainsi que la documentation afférente,
je découvre ceci,
concernant le mariage à Ciboure, le 20 août 1890, de Pierre-Paul-Bernard Goyenague avec sa cousine _ fille de son frère Jacques _ Nicolasse Goyenague,
que figure parmi les quatre témoins de ce mariage,
le cousin luzien Dominique Hiriart :
« Dominique Hiriart, commerçant il n’est plus dit « menuisier « , et pas encore « directeur de la succursale de Saint-Jean-de-Luz de la Caisse d’Epargne de Bayonne «  _, âgé de 41 ansil est né en effet le 28 janvier 1849 à Saint-Jean-de-Luz _, domicilié à Saint-Jean-de-Luz « .
Ce document
qui m’était totalement passé inaperçu à la première lecture,
tout simplement parce que le nom de Dominique Hiriart ne me disait alors rien _ toute intelligence d’un texte (ou d’un réel) est nécessairement contextuelle : sans référence aucune, certains noms (ou certaines formes) ne nous parlent pas… _,
vient tout simplement donner maintenant une magnifique confirmation à mon intuition (et piste de recherche) de départ de toute mon enquête généalogique : l’importance des cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel !!!
Oui, ces cousinages existaient,
et nul ne s’y intéressait…
Voici aussi le message reçu hier
de l’arrière-petite-fille de ce Dominique Hiriart, 
qui est le chaînon manquant de toute cette configuration ravelienne de 1748 à aujourd’hui :
« Cher Monsieur,
Merci de votre mail que j’ai lu avec beaucoup d’attention et de plaisir.
Vous m’apprenez beaucoup de choses sur ma famille,
j’ignorais absolument ces liens familiaux avec Maurice Ravel et j’en suis d’ailleurs très étonnée.
En effet mon père nous avait toujours dit qu’il appelait ma grand-mère « cousine » parce qu’il l’aimait bien !! C’était une forme amicale …
Je serai ravie de vous rencontrer lors d’un de vos prochains voyages à Saint Jean de Luz, je suis très curieuse de savoir comment vous avez pu trouver toutes ces informations.
Encore merci,
Recevez, cher Monsieur mes meilleures salutations ».
Cette dame a aussi pu mettre enfin un nom sur celle qui était nommée dans sa famille la «tante Clotilde» : 
soit Marie-Clotide Dargaignaratz-Zozaya, la cousine germaine de ce Dominique Hiriart,
lui-même père de la grand-mère Magdeleine de cette dame luzienne…
Cf aussi ma découverte _ vendredi 24 mai dernier _ du faire-part de décès de Marianne Imatz, la veuve de ce Dominique Hiriart,
en date du 9 juillet 1932 ;
soit le pivot de mon article du 26 mai :
Madame Veuve GAUDIN, née Hiriart ;
Mademoiselle Marie HIRIART ;
Monsieur Edmond GAUDIN ;
Madame Veuve ZOZAYA, née Dargaignaratz ;
Les parents et alliés
Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de
Mme Dominique HIRIART
née Marianne IMATZ
Leur mère, grand-mère et cousine, décédée, munie des sacrements de l’Eglise, le 9 juillet 1932, dans sa 88éme année, en son domicile, 30 rue Gambetta, à Saint-Jean-de-Luz.
En vous priant de bien vouloir leur faire l’honneur d’assister aux Obsèques qui auront lieu le Lundi 11 courant, à 10 heures très précises, à l’église de Saint-Jean-de-Luz.
On se réunira à la maison mortuaire à 9 heures trois-quart.
Il faut beaucoup chercher
et beaucoup relier _ avec constance et patience ; et passion.
Et un minimum de chance aussi.
Et j’aime ça !
Bonne soirée,
Ce jeudi 30 mai 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
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