Sur la difficulté d’approcher la connaissance des plus récentes générations de descendants de la famille Bonopéra : par exemple, les branches Défillon, Louyot et Jouvence…
Ainsi persistent pas mal de taches aveugles
dans mes efforts d’approcher et reconstituer un arbre généalogique le plus exhaustif possible
de cette famille Bonopéra présente à Alger dès les années 1830, venue de Tarragone et de l’île de Minorque…
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Par exemple,
c’est en reprenant mes notes des mois de janvier et février dernier, que j’ai pu me pencher davantage et bien plus précisément
sur les branches Louyot, Défillon et Jouvence de cette famille Bonopéra,
dont j’avais un peu perdu le souvenir d’unions avec des filles de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné…
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Et cela m’a même permis de situer l’épouse _ au prénom demeuré encore inconnu _ d’Aimé Jouvence _ tirailleur algérien (ou marocain), occasionnellement présent à Tlemcen, Fès et Taza ; mais fréquemment de retour alors à Oued Fodda _,
et mère du petit Claude Jouvence,
au sein de la fratrie des 6 enfants
_ les 5 autres étant Georges-Paul (époux de Clémentine Petit), Joséphine (épouse de Kléber Défillon), Aimée (épouse de Dominique Villanova, puis de André-Klébert Riquier), Jeanne (épouse de Marcel-Auguste Louyot) et en fin Claude… _
de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné…
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Quant aux branches Villanova et Riquier
des deux époux successifs d’Aimée Bonopéra,
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j’ai plutôt l’impression qu’elles sont, elles, demeurées sans descendance aucune ;
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mais je peux bien sûr me tromper…
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Ce mercredi 17 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa