Et enfin un regard sur le final (pages 129 à 165) du « Pain perdu » d’Edith Bruck : de 1952 à 1966, au moins…
Bien sûr, il me faut aussi me pencher sur ce que, très volontairement, Edith Bruck avait choisi de taire en son « Qui t’aime ainsi » de 1959 :
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soit ce qui de 1952 à 1959 venait de succéder en son parcours de vie et survie à ses séjours et passages, depuis sa Hongrie natale, en 1931 : Allemagne (et quelques divers lager sur son territoire) – Pologne (Auschwitz, Christianstadt), Tchécoslovaquie (Kosice, Prague, Podmokly, Prague, Podmokly), Hongrie, Tchécoslovaquie, Hongrie à nouveau, Allemagne, France (Marseille), Israël, Grèce (Athènes), Turquie (Istanbul), Suisse (Zurich) et Italie (d’abord Naples, puis, et définivement Rome) ;
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et qu’elle évoque dans « Le pain perdu » de 2021…
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Ce mercredi 9 février 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa