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Nouvelle relecture (très féconde) de l’article du 16 décembre 2020 « Essayer de réduire la tache aveugle du devenir des petits-neveux et arrière-petits neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron, nés en Algérie après le retour en France, en 1896, d’Alcide et Louis Ducos du Hauron »

07nov

Ce dimanche 7 novembre 2021,

je poursuis mes exercices de re-lecture-révisions _ avec corrections, précisions et ajouts en rouge et en gras _,

cette fois de mon article du 16 décembre 2020 « « …

Voici donc ce que cela donne :

Ce jour _ il s’agissait là du mercredi 16 décembre 2020 _, j’ai commencé par relire et reprendre, pour en corriger pas mal d’imprécisions, voire erreurs, ma synthèse de la veille :  ; ce qui m’a pris pas mal de temps, et sera encore à reprendre, afin de gagner encore en clarté et fluidité…

Ce jour, donc,

je désire éclaircir ce que je qualifierai de la « généalogie algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ l’ainé des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron : Amédée, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ et de sa descendance…

Et je suis encore _ et demeure toujours, à cette nouvelle date du 7 novembre 2021 ! _ très insatisfait de ce que j’ai pu découvrir jusqu’ici à propos des enfants d’Amédée et de Marie-Louise Rey,

qui sont peut-être au nombre de 5 _ mais je ne suis pas encore parvenu à tous les identifier ! Et toujours pas ce 7 novembre 2021… _,

si je m’en rapporte au très intéressant article de l’Écho d’Alger du 4 mars 1927, alors qu’Amédée Ducos du Hauron est, en 1927, à l’âge de 60 ans _ Marie-Louis- Amédée Ducos du Hauron, en effet, est né le 24 mars 1867 ; et non pas le 9 février 1866 (qui est la date de naissance de son frère aîné Henri-Amédée-Lionel, né, lui aussi à Agen, le 9 février 1866 ; et prématurément décédé à l’âge de 5 mois et un jour, à Agen, le 11 juillet 1866… La similitude du prénom Amédée, commun aux deux frères, m’avait alors égaré ; je n’avais pas été aller chercher plus loin dans les archives d’Etat-Civil d’Agen… _, désormais retraité de sa carrière administrative ;

une carrière qui s’est entièrement déroulée, semble-t-il, en Algérie _ cf mon indispensable (et magnifiquement précis) article à venir, le 5 janvier 2021 : … Un article riche de très nombreuses ressources pour la recherche, et sur lequel il me faudra, bien évidemment, revenir travailler en profondeur…

Même si un moment,

et forcément avant, novembre 1896, le retour en France de ses parents, de son frère et de son oncle,

Amédée a travaillé un peu

_ semble-t-il, du moins au regard de l’article rétrospectif re-publié dans ce numéro de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, un article précédemment paru dans un journal parisien, dont le nom n’était pas cité… ; et je reprends ici la citation de ce bien intéressant article de L’Écho d’Alger :  » Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants. Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire. Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans _ et Amédée, né le 24 mars 1867, atteindra l’âge de 28 ans le 24 mars 1894… ; peut-on tirer certaines conclusions, déjà, de ces dates?.. _, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle«  _

aux côtés de son oncle Louis, à seconder _ voilà ! _ les recherches photographiques de celui-ci _ et il y a bien là toute une recherche à mener… _, lui aussi ; comme son frère Gaston, et, bientôt, en France (et région parisienne) son cousin Raymond de Bercegol…

Tous ont attrapé le virus, apparemment très contagieux, de la recherche,

auprès du génialissime oncle Louis _ voilà la recherche qu’il faudrait engager et mener systématiquement de manière méthodique…

De la modeste _ oui … _ carrière administrative d’Amédée Ducos du Hauron,

je tâcherai de repérer le mieux possible les assez humbles _ il faut bien le reconnaître _ étapes,

dans diverses petites villes, voire villages, d’Algérie _ dans lesquels Amédée a exercé les fonctions d’administrateur-adjoint _, entre janvier 1901 et le 25 juin 1914,

du moins pour les 12 références (en 1901, 1904, 1909, 1913 et 1914) que je suis parvenu jusqu’ici à recueillir sur le web ; demeurent donc encore pas mal de trous dans ma raquette _ comme il se dit ces temps-ci… _ : 

_ Oued Sahel

_ l’Ouarsenis

_ Cassaigne _ aujourd’hui Sidi Ali…

_ le Cheliff

_ Lamartine _ aujourd’hui El Karimia : c’est là qu’est née, le 8 juillet 1904, la petite Edmée Ducos du Hauron…

_ Berrouaghia _ c’est là qu’est né, le 30 août 1909, le petit Gérard Ducos du Hauron

_ Sidi Aïssa

_ Mizrana

_ Rébeval _ aujourd’hui Baghlia ; là vivait la famille d’Amédée Ducos du Hauron, en 1927…

_ Tablat

_ L’Arba

Et c’est à Alger, au mois de juillet 1935 _ ses obsèques ont eu lieu le 15 juillet _, qu’est décédé, à l’âge de 68 ans, Amédée Ducos du Hauron.

Ce mercredi 16 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les questions que je me pose concernent les raisons, peut-être, voire probablement, multiples,

de la cruciale décision d’Amédée Ducos du Hauron de ne pas accompagner ses parents Alcide et Cézarine-Marie, son oncle Louis, son frère Gaston et ses deux sœurs Marguerite et Alice, qui retournent en France _ non pas à Agen, mais à Paris _,

mais de demeurer, lui, et seul de sa famille, en Algérie _ où réside-t-il alors ? à Alger ? à Orléansville ? _, ce mois de novembre 1896…

Ces raisons de demeurer en Algérie sont-elles, de la part d’Amédée, uniquement professionnelles ?

Au mois de novembre 1896, Amédée a atteint, depuis le 24 mars, l’âge de 29 ans _ cf mon article du 5 janvier 2021 : 

Ou bien, entre-t-il aussi, dans cette cruciale décision de novembre 1896, voire en priorité, des raisons beaucoup plus personnelles et sentimentales, telle que sa rencontre, puis son mariage _ probablement à Orléansville où demeure, auprès de son tuteur (et oncle maternel) Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), Marie-Louise Rey, née en 1879 à Orléansville ; mais j’ignore encore à quelle date ce mariage a eu lieu… ;

pour le moment je ne sais toujours rien de plus précis sur la date ni le lieu de naissance de Marie-Louise Rey (très probablement à Orléansville, donc, où résidaient encore, en 1879, ses parents, Jean-Anatole Rey et son épouse orléansvillaise Adélaïde Gentet, avant de s’installer à Oran, le 29 novembre 1883 (cf mon article du 31 mars 2021 : ) ;

Oran, où décèderont Adélaïde Gentet (née à Orléansville en 1855) le 21 juillet 1886, et Jean-Anatole Rey (né au Grand-Serre, le 10 juin 1845), le 28 janvier 1890 ;

janvier 1890, le moment où, faisant fonction de tuteur de ses nièces Marie-Louise et sa sœur Aimée-Laurence Rey, Louis Gentet, avec son épouse (née Wachter), accueillera  les deux orphelines Rey en leur foyer, à Orléansville

(cf cet article, lui aussi décisif, en date du 2 janvier 2021 : ) ;

Orléansville constituant ainsi, dès lors, un lieu doublement crucial, tant affectif que professionnel, pour la destinée définitivement « algérienne«  de l’agenais de naissance Amédée Ducos du Hauron ! _

avec celle qui deviendra, mais à quelle date au juste, son épouse, l’orléansvillaise née en 1879 Marie-Louise Rey ?

En ce mois de novembre 1896, Marie-Louise Rey, qui vit à Orléansville, a 17 ans ;

et Amédée Ducos du Hauron, lui, a 29 ans…

Ce sont assurément là d’importantes questions dont les réponses me font toujours défaut, dans mon effort continué de mieux connaître et comprendre le passionnant parcours d’existence d’Amédée Ducos du Hauron en Algérie ;

ainsi que le devenir, en Algérie aussi, de ses enfants et petits-enfants… 

La recherche se poursuit donc !

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…

31oct

Voici quelques précisions complémentaires
à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés, des neveux de Louis Ducos du Hauron,
et plus spécialement en Algérie…

C’est surtout la descendance de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?) et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), mariés à Mustapha le 26 mai 1857,
qui m’intéresse :
plus précisément pour la relation de parenté d’une de leur fille _ née Wachter, donc, mais dont je n’ai pas encore découvert le prénom ; ni donc l’identité précise… _,
avec l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935), née Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).
Car cette future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », dont j’ignore aussi les dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que la date et le lieu _ probablement à Orléansville _ de son mariage avec Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)
n’est autre,
du fait de son mariage avec Louis Gentet, oncle et tuteur des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, devenues orphelines de leurs deux parents, Jean-Anatole Rey (décédé à Oran le 28 janvier 1890) et son épouse Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 25 juillet 1886),
que la tante par alliance de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
le neveu demeuré en Algérie, de Louis Ducos du Hauron. 
 
 
Des 5 (ou 6) enfants du couple Jean-Baptiste-Antoine Wachter – Elisabeth Confex (qui se sont mariés à Mustapha le 26 mai 1857)
à défaut d’en connaître assez au sujet de la future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », 
j’ai identifié, mais avec des données encore un peu trop partielles, les 5 enfants suivants :  
_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter : Medea, 9-mars 1858 – ?
_ Aimée-Marie Wachter : Mustapha, 2 septembre 1859 – ?
_ Louis-Jules Wachter : Orléansville, 29 juillet 1866 – ? : il épousera à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883)
_ Émile Wachter : Mustapha, 15 mai 1869 – ? : il épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet
_ Marie Émélie Wachter : ?, 1874 ou 75 : elle épousera son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand (né en 1869, dont la mère, mariée à Alger le 18 juin 1868, à Philippe Ferrand (Fleury-lès-Lavancourt, 7 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889), était une Confex : Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 février 1839, sœur cadette d’Elisabeth Confex).
L’époux de cette Marie-Emélie Wachter, Albert Ferrand, décèdera à Alger le 18 décembre 1927 ;
et sur le faire-part du décès que publiera sa veuve « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » _ cf mon article du 3à janvier 2021 : _,
sont présents, et dans cet ordre :
… 
_ « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter, et ses enfants : Yvonne et Simone » _ les deux filles du couple du défunt et de sa veuve _,
« M. Henri Ferrand _ le fils aîné du couple _ et Mme » _ née Raphaëlle Apostolico _,
« Mme Vve Bonopera » _ tante, née Confex, de la veuve d’Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter… ; et d’elle aussi j’ignore toujours le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Paul Bonopéra, probablement à Orléansville… _,
« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ très probablement sœur de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » ; d’elle aussi j’ignore le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Louis Gentet, probablement à Orléansville, elle aussi… _
« Mme et M. Emile Wachter, et leurs enfants » _ le frère (né à Mustapha, le 15 mai 1869) et la belle-sœur (née Hélène-Etiennette-Sophie Janet) de la veuve Ferrand, et leurs enfants, neveux et nièces de la veuve Ferrand née Wachter, soient Henri Wachter, Emile-Antoine Wachter, Albert Wachter, Mireille Wachter et Suzanne-Hélène-Emilie… ; cf mes articles du 2 février 2021 :  ; et du 29 mars 2021 : ... _,
« Mme Vve Louis Wachter et sa fille » _ la belle-sœur de la veuve Ferrand, et veuve elle-même de Louis Wachter, frère (né à Orléansville le 29 juillet 1866) de la veuve Ferrand ; ainsi que leur fille Paula Wachter _,
« Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants » _ Mme Malinconi est née Joséphine-Aimée-Constance Confex, à Alger le 31 octobre 1877 ; et elle est la fille de Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841) et son épouse Marie-Augustine Cremonini ; et par conséquent, elle est nièce de la veuve Ferrand, née Aimée-Justine-Marie Confex, sœur de son père, Marius-Ernest-Jules Confex _,
« M. A. Gastaud » _ le fiancé d’Yvonne Ferrand : ils se marieront à Alger le 4 février 1928 _,
« les familles Ferrand, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ».
Voilà.
J’espère ne pas trop noyer mon lecteur dans la forêt des si nombreux détails de ces divers articles ;
mais rechercher le moindre indice est tout à fait passionnant !
C’est tout un passé qui, peu à peu, bribe d’indice par bribe d’indice à explorer, émerge et réapparaît…
...
Ce dimanche 31 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques précisions sur un des objets de ma recherche, à Orléansville, dans les années 20 et 30 : mieux approcher, peut-être enfin, l’identité de « Madame Veuve Paul Bonopéra mère », née Confex…

21avr

Suite à notre échange téléphonique _ avec Madame Aline Bonopéra _,

je vous confirme la recherche que je mène à propos de la veuve de Paul Bonopéra
(né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916, Paul Bonopéra – père fut conseiller municipal d’Orléansville de 1908 à son décès, en 1916),
qui fut donc la veuve de l’arrière-grand-père de Jean-Pierre Bonopéra, fils de Marcel et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville…
 
« Mme Vve Paul Bonopéra mère » est présente dans divers faire-part de mariage ou de décès,
notamment de divers membres de la famille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey ; famille à laquelle je m’intéresse,
à partir de l’inventeur de la « photographie de couleurs », Louis Ducos du Hauron…
 
 
Au décès de Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935
(celui-ci étant le troisième des fils d’Auguste Morand de la Genevray _ qui fut maire d’Orléansville _ et de son épouse Marguerite Bonopéra, la sœur aînée de Paul Bonopéra),
« Madamme Veuve Paul Bonopéra mère » figure sur le faire-part de décès de son neveu Georges : elle vit donc toujours en 1935…
Marie-Louise Rey et sa jeune sœur Aimée-Laurence, elles, étaient filles d’Anatole Rey (1845 – 1890), qui fut lui aussi maire d’Orléansville, en 1880-1881, et de son épouse Adélaïde Gentet (1855 – 1886),
membre d’une famille Gentet présente à Orléansville depuis 1852 _ Tocqueville raconte avoir rencontré Laurent Gentet en 1837, du côté de Constantine…
 

Suite aux décès successifs de leurs parents Anatole Rey et Adélaïde Gentet en 1886 et 1890,
Marie-Louise Rey et sa sœur Aimée-Laurence ont été recueillies par leur oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 1906 ; qui fut lui aussi conseiller municipal d’Orléansville),
et son épouse, née Wachter (j’ignore encore son prénom) : celle-ci étant une des filles de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 1836 – Alger, 1925).
 
Or cette dame « Veuve Louis Gentet, née Wachter » avait pour tante maternelle « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère », née Confex :
au décès d’Elisabeth Confex, veuve Wachter, à Alger, le 30 mars 1925, « Madame Veuve Paul Bonopéra » est en effet qualifiée de « sœur de la défunte » ! 
 
De « Madame Veuve Paul Bonopéra », veuve donc de Paul, l’arrière-grand-père de J.-P. Bonopéra _ lequel, né à Orléansville le 2 novembre 1934, est fils de Marcel (1907 – 1992) et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville (1878 – 1930) _,
j’ignore aussi, à ce jour, le prénom, la date et le lieu de naissance, ainsi que la date et le lieu de décès : après 1935, donc…
 
Peut-être M. Bonopéra peut-il m’aider en cette recherche d’identification de la veuve de son arrière-grand-père paternel…
 
 
Cette dame « Veuve Paul Bonopéra » n’était pas la mère des 6 fils de Paul Bonopéra (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges)
_ laquelle, mère effective, était Joséphine Girot (ou Giraud), née à Ténès en 1856 et décédée à Orléansville le 11 juillet 1892 ;
Mais, même si j’ignore encore à ce jour la date de son mariage avec Paul Bonopéra, cette dame, née Confex, fut bien sa veuve…
De même qu’après le décès de Georges Bonopéra, le 9 mars 1918, à Arbouans, près de Montbéliard, celle-ci est qualifiée _ improprement _ de « mère » du défunt ; du moins n’est-elle pas, en effet, sa mère biologique…
Car Georges Bonopéra, né à Rabelais le 21 février 1892, avait perdu très tôt sa mère Joséphine Girot : le 11 juillet 1892 ;
 
Voilà un résumé déjà un peu compliqué de l’objet de mon appel à M. Jean-Pierrre Bonopéra : m’éclairer peut-être sur sa mémoire familiale des Bonopéra d’Orléansville…
Et essayer d’identifier peut-être enfin
et  « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex »,
et sa nièce « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter »…
 
Ma recherche avait pour objet, à son départ, au mois de décembre 2020, d’apprendre à connaître et comprendre l’environnement familial _ très aidant et réellement coopératif _ de l’inventeur, en 1868, à Lectoure, de la « photographie de couleurs », l’agenais Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) ;
mais peu à peu je me suis plongé avec un très vif plaisir dans le labyrinthe de la vie, en Algérie, de son neveu Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937),
et plus précisément, en même temps qu’un peu plus largement, dans le microcosme chaleureux de la vie à Orléansville, la ville des Rey et des Gentet, entre 1870 et 1940,
moi qui ne suis jamais allé en Algérie.

 

Ce mercredi 21 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

D’autres données des livrets militaires des plus proches parents d’Amédée Ducos du Hauron : son frère Gaston, son beau-père Anatole Rey, l’oncle de son épouse Marie-Louise Rey, Louis Gentet (ainsi que les frères de celui-ci : Frédéric et Laurent-Jacques Gentet, ainsi que son neveu : Eugène-Laurent Gentet), et son gendre Henri Ducros (ainsi que les frères de celui-ci : Edmond et Alphonse-Léon Ducros)…

31mar

Poursuivant mon exploration des livrets militaires d’Algérie sous la IIIe République, juqu’en 1918,

je vais détailler ici quelques apports de connaissance, d’après leurs livrets militaires, concernant les plus proches parents _ masculins, forcément ! _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, juillet 1935) ayant passé leur conseil de révision en Algérie :

son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) ;

son beau-père Anatole Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890) _ époux et veuf d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) _ ;

l’oncle (et tuteur) de son épouse Marie Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ ainsi que ses frères Frédéric Gentet (Blida, 28 avril 1846 – ?,?), Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?,?) ; et son neveu Eugène-Laurent Gentet (Alger, 20 septembre 1882 – ?,?) _ ;

son gendre _ époux de sa fille aînée Éveline Ducos du Hauron (?, ? – Alger, décembre 1938) _ Henri Ducros (Alger, 25 juin 1887 – ?,?) _ ainsi que ses frères Edmond Ducros (Alger, 29 octobre 1889 – ?,?) et Alphonse-Léon Ducros (Azazga, 8 juillet 1896 – ?,?).

Du livret militaire d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet d’Amédée,

je retiens surtout que le départ d’Algérie et retour en France de Gaston s’est produit entre les dates du 7 mars 1898, quand Gaston était alors domicilié à Alger, rue de l’Échelle _ qui reliait deux portions de la rue Rovigo ; rue Rovigo, où résidaient ses parents, au n° 68… _, et du 24 avril 1899, où Gaston était maintenant domicilié à Charenton, 31 rue de Saint-Mandé…

Mais aussi qu’à la date du 21 janvier 1897 Gaston est mentionné avoir été domicilié à Orléansville : pour quel événement familial ?  La célébration du mariage de son frère aîné Amédée avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ? Peut-être : c’est tout à fait possible…

Ou bien encore la naissance ou le baptême, à Orléansville, d’un enfant de son frère : par exemple la fille de celui-ci et son épouse Marie-Louise, Éveline, dont on ignore tout jusqu’ici de ses date et lieu de naissance : assez probablement Orléansville… 

Du livret militaire de Jean-Anatole Rey, feu le beau-père d’Amédée,

je retiens la mention de la date de son déplacement d’Orléansville, où il avait été maire, à Oran, où il fut adjoint au maire : le changement de domiciliation a eu lieu le 29 novembre 1883… 

Des livrets militaires des trois frères Gentet : Frédéric Gentet, Louis Gentet et Laurent-Jacques Gentet ; ainsi que du fils de ce dernier, Eugène-Laurent Gentet,

je n’osais pas, bien sûr, attendre y découvrir enfin l’identité précise de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter« , qui me permettrait de relier la famille Gentet, via les Wachter et les Confex aux Bonopéra qui aussi m’intéressent, dans le microcosme attachant d’Orléansville entre 1850 et 1940 :

les livrets militaires étant assez étrangement muets sur les mariages contractés, ainsi que les naissances d’enfants, de ceux dont ils s’efforcent pourtant de scrupuleusement mentionner les domiciles successifs : afin d’être à même de les convoquer avec efficacité en cas de mobilisation des réservistes…

Et pour ce qui concerne le livret militaire de Henri-Bavolet Ducrosl’époux d’Eveline Ducos du Hauron et gendre d’Amédée et Marie Louise,

d’abord je découvre ici son second prénom, Bavolet ;

ainsi que ses lieu et date de naissance : le 25 juin 1887, à Alger ;

et surtout je peux confronter ce qui apparaît ici de son parcours professionnel comme administrateur-adjoint de communes mixtes d’Algérie _ le même emploi dans l’administration que celui de son beau-père Amédée ; auquel, d’ailleurs, pour son tout premier poste, en la commune-mixte de Sidi-Aïssa, Henri Ducros prit la succession, le 6 janvier 1913, de son beau-père Amédée Ducos du Hauron _ avec ce que j’avais pu en établir en mon article du mercredi 6 janvier dernier :  

Et j’ai aussi confirmation,

par les livrets militaires d’Edmond Ducros et Alphonse-Léon Ducros,

de la parenté effective de ces trois frères Ducros _ ainsi que de leur sœur Marthe Ducros _,

dont les parents Henri-Joseph Ducros et Philomène Roussel étaient domiciliés à Azazga (commune mixte du Haut-Sebaou)…

Voilà donc pour ce jour…

Ce mercredi 31 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une question : l’énigme des raisons de l’association des familles Gentet, Sanchez et Sautier, à l’hommage à « la mémoire de M. Ferrandez », par M. Rencurel, le maire d’Orléansville, le 15 juillet 1939…

22mar

En poursuivant _ cf mon article d’hier : _ mes recherches sur les ascendances _ de qui Charles Zanot est-il le fils, le petit-fils, l’arrière-petit-fils ?du Dr Charles Zanot,

le mari de Paulette-Charlotte Bonopéra _ leur mariage a eu lieu à Orléansville fin janvier ou tout début 1938 _,

je suis tombé sur une nouvelle _ publiée le jour même, soit le 15 juillet 1939, et mieux encore ! au sein du même article (intitulé « Conseil Municipal« ) consacré à la réunion du conseil municipal d’Orléansville, de l’annonce, par le même journal, Le Progrès d’Orléansville, de la naissance d’un fils au foyer du docteur Charles Zanot et son épouse, née Paulette Bonopéra : en l’occurrence le petit Christian Zanot, né, en effet, le 21 juin 1939 : le prénom de l’enfant, Christian, n’y était pas indiqué ; je l’ai trouvé ailleurs : Christian Zanot, né à Orléansville le 21 juin 1939, décèdera à Saint-Paul-de-Fenouillet (Pyrénées-Orientales) le 1er janvier 2005… Le maire d’Orléansville, M. Auguste Rencurel, « adressa les vœux du conseil municipal à Mme (Lucie) et à M. (Julien) Bonopéra, conseiller municipal, et à Mme (Paulette) et à M. (Charles) Zanot, à l’occasion de la naissance de leur petit-fils et fils (Christian Zanot)« … _,

d’un hommage, par M. Auguste Rencurel, le maire d’Orléansville, en son conseil municipal,

_ né le 4 septembre 1896, à Oued Fodda et décédé le 19 janvier 1983 à Toulon, Auguste Rencurel (qui est un homme politique important dans l’histoire d’Orléansville ainsi que de l’Algérie, notamment au moment de la Libération de l’Algérie, en 1943),

époux de Léontine Bure, la fille aînée de Jean-Baptiste Bure et son épouse Agathe Seprey, est un des gendres de M. Jean-Baptiste Bure (Souma, 24 février 1868 – Alger 31 octobre 1934) ; et par là il est aussi le beau-frère de Robert-Victor-Eugène Gadel, époux, lui, d’Irène Bure ; lequel, lui, fils de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et son épouse Aimée-Laurence Rey, se trouve être aussi le neveu de Marie-Louise Rey et de son époux Amédée Ducos du Hauron, à la famille desquels nous nous intéressons… Cf mon article du mercredi 27 janvier 2021 :

J’y donne in extenso le décisif faire-part de décès de M. Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, l’époux d’Aimée-Laurence Rey, tel qu’il a été publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 : 

« Mme Vve Victor Gadel ; M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ; M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ; Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet ; les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami, survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans, et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robbe.P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71«

Un document majeur, comme on peut le constater une fois encore, pour notre recherche présente à propos de l’environnement familial de l’inventeur de la « photographie de couleurs« , en 1868, à Lectoure (Gers), Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920)… _,

 

un hommage rendu à « la mémoire de M. Ferrandez« ,

associé _ pour des raisons que je ne suis pas parvenu à élucider : d’apparentements de leurs familles, probablement… _ à des condoléances (de l’assemblée communale) « aux familles Gentet, Sanchez et Sautier« …

Bien sûr, ce nom de « Gentet« , et tout particulièrement à cette date de juillet 1939

_ cet Eugène Gentet, dont j’ai pu suivre quelques moments ou étapes de son parcours existentiel, ainsi que professionnel, ne résidant plus alors à Orléansville, mais à Alger, depuis le mois de mai 1939 _,

est venu solliciter ma mémoire de chercheur…

Cf mon article du samedi 23 janvier 2021,  :

« Petit-fils de Laurent Gentet (Satolas, Isère, 2 avril 1821 – ?, avant 1878) et son épouse Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean-Rohrbach, Moselle, 1822 – Orléansville, 27 décembre 1904),

fils de Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?avant juin 1906) et son épouse Marie-Emilie Brenner (Alger, 16 juin 1861 – ?avant juin 1906),

Eugène-Laurent Gentet, né à Alger le 20 septembre 1882, a épousé à Orléansville le 10 mai 1905 Henriette Rita Jeanne Lopès _ j’ignore si ils ont eu ou pas une descendance…

Eugène-Laurent Gentet a fait carrière au greffe d’Orléansville, en cette ville où, à la suite de ses parents Laurent-Jacques Gentet et Marie-Emilie Brenner, et ses grands-parents Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz, il était « propriétaire » ;

de même qu’il était aussi « propriétaire » à Malakoff, où il avait hérité de la ferme et de plusieurs terrains qui avaient appartenus à ses grands-parents Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz, puis à ses parents Laurent-Jacques Gentet et Marie-Emilie Brenner ;

une ferme (dite « Ferme Saint-Laurent« ) et diverses propriétés qu’il vendit le 18 février 1906 à M. Léon Dillenseger, qui avait été de 1878 à 1885 le gérant de cette ferme située à Malakoff, associé à la propriétaire, « Madame Veuve Gentet » (cf Le progrès d’Orléansville du 28 juin 1906) : des données qui nous apprennent qu’en 1878 Anne-Marie Schwartz était déjà veuve de Laurent Gentet.

Puis, L’Écho d’Alger du 12 mai 1939 signale le « départ d’Orléansville de M. Gentet, secrétaire au parquet d’Orléansville, conseiller municipal, nommé secrétaire général au parquet général d’Alger«  » :

ce qui nous révèle qu’à cette date du 15 juillet 1939 de l’hommage du conseil municipal d’Orléansville à M. Ferrandez _ sans davantage de précisions sur son identité et ses liens familiaux _associé aux condoléances aux « familles Gentet, Sanchez et Sautier« ,

Eugène-Laurent Gentet avait cessé d’être orléansvillois pour devenir algérois : il venait d’être nommé « secrétaire général au parquet général d’Alger« …

De cette « famille Gentet » _ installée à Orléansville dès le tout début des années 1850 : 1852… _

sont issues, par leur mère, née Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886),

Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), l’épouse _ j’en ignore la date _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935),

et sa sœur Aimée-Laurence Rey (Orléansville, ??, ?), l’épouse _ à Orléansville, le 11 mars 1905 _, puis veuve, de son cousin _ la mére de Victor, Hortense Rey, étant, en effet, la sœur du père d’Aimée-Laurence, Anatole Rey _ Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930).

Et de cette « famille Sanchez« ,

est issue Odette Sanchez (Orléansville, 23 novembre 1911 – Nice, ?), fille d’Antoine Sanchez et son épouse Marie-Françoise Gays ;

laquelle Odette Sanchez est l’épouse _ à Orléansville, le 6 juillet 1932 _ de Marcel Bonopéra (Renault, 10 janvier 1907 – Nice, 1er décembre 1992), le fils de Paul Bonopéra (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et son épouse Marie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, 12 janvier 1881 – ? – ?) ;

ainsi qu’elle est la mère de Paul et Jean-Pierre Bonopéra, nés à Orléansville les 5 mai 1933 et 2 novembre 1934…

Enquête à suivre,

en remerciant les surprises des connexions bienvenues de la sérendipité…

Ce lundi 22 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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