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Relecture et corrections de l’article « Agen : un pôle névralgique du parcours de Louis Ducos du Hauron ; mais aussi de certains de ses petits-neveux et nièces Lamarque… » du 21 décembre 2020

08nov

Je poursuis donc mes relectures et corrections rétrospectives de ma série _ inaugurale de ma recherche de connaissance-exploration de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), un aspect jusqu’ici assez peu fréquenté par les chercheurs _ d’articles du mois de décembre 2020.

Ce lundi 8 novembre 2020, je relis donc l’article du 21 décembre 2020 :

Voici ce que cela donne :

La ville d’Agen a accueilli à plusieurs reprises plusieurs stations ou étapes du parcours d’existence de Louis Ducos du Hauron,

eu égard, tout d’abord, à la série des divers postes, au Trésor, occupés par son père Amédée-Jérôme Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), puis, après le décès de son père à Auch au mois d’octobre 1863, à la série des divers postes de magistrat occupés par son frère aîné, Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) _ sans ressources personnelles, Louis était entièrement pris en charge, d’abord par son père, puis par son frère aîné _,

jusqu’au retour final à Agen l’année même, 1920 _ et au mois de mars _, de son décès qui surviendra le 31 août 1920, dans la maison du 58 de la rue Lamouroux ;

et sans oublier le caveau familial du cimetière de Gaillard,

dans lequel son frère Alcide avait décidé d’être inhumé

_ et j’ignore où est inhumé Amédée-Jérôme Ducos du Hauron, le père, décédé, lui, à Auch, le 14 octobre 1863 ; et dont le corps a été transporté à Agen (l’autorisation de ce transport du corps date du lendemain, 15 octobre 1863. Mais on ignore pour le moment où le corps a été inhumé ; la concession des Ducos du Hauron au cimetière de Gaillard, achetée par Alcide, étant bien plus tardive...

Mais Agen a continué de constituer un pôle névralgique d’au moins une branche des neveux et nièces, puis petits-neveux et petites-nièces de Louis Ducos du Hauron, à partir de ce mois d’août 1914 où la veuve d’Alcide, Cézarine-Marie de Fourcauld, après avoir quitté, avec ses deux filles, Marguerite et Alice, Savigny-sur-Orge pour le hâvre familial des de Fourcauld au Temple-sur-Lot _ sous la menace de l’avancée des troupes allemandes sur la Marne et vers Paris, cet été 14 _, a, en 1920 _ suite à un décès familial des de Fourcauld : un point qui mériterait d’être éclairé… _, rejoint Agen avec ses deux filles Marguerite et Alice Ducos du Hauron, et ses deux petites-filles Étiennette et Simone Ducos du Hauron, accompagnées par son beau-frère (et oncle, et grand-oncle) Louis Ducos du Hauron.

C’est donc à Agen qu’Étiennette Ducos du Hauron a épousé, à l’église des Jacobins d’Agen, son cousin _ côté Lamarque, celui de sa mère Edmée Lamarque _ Alfred Lamarque _ qui occupait alors un poste d’administration à la gare d’Agen _, le 20 juillet 1920 ;

comme c’est à Agen, qu’à peine un mois et onze jours plus tard, Louis décédait, le 31 août 1920 ;

et c’est encore à Agen, que décéderait au mois le 19 mai 1923 la veuve d’Alcide (et belle-sœur de Louis), CéZarine-Marie de Fourcauld.

De même, aussi, que sont nées à Agen au moins les deux premières filles d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque :

Jacqueline, en 1921 ou 22 ;

et Geneviève, le 24 juillet 1923 ;

et encore leur frère Yves, le 19 janvier 1925.

Les enfants suivants de la fratrie des dix enfants Lamarque, naissant au fil des mutations _ ferroviaires _ successives d’Alfred Lamarque…

Et ce tropisme agenais a été si puissant pour les Lamarque que c’est au cimetière de Bon-Encontre qu’ont décidé _ bien plus tard, à ce que je suppose _ d’être inhumés Alfred Lamarque et son épouse Étiennette :

ce qui advint au mois de décembre 1976, pour Alfred, et au mois de décembre 1996, pour Étiennette.

Agen fut pris très tôt en photographie couleur _ depuis le côteau, en 1877 _ par Louis Ducos du Hauron

Agen : à la rencontre de l’inventeur de la photographie en couleurs

Ce lundi 21 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà.

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Relecture avec ajouts et corrections d’un article avec apports décisifs en date du 20 décembre 2020, suite à un échange téléphonique très conséquent avec Claude Lamarque : l’article « Ce que vient de m’apprendre de la constellation familiale des Ducos du Hauron la conversation d’hier avec un des petit-fils, né en 1941, de Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912), neveu de Louis »…

07nov

Et maintenant,

voici la relecture, avec corrections, précisions et ajouts, de l’article, avec des apports décisifs à la recherche :

« « 

que j’avais rédigé le dimanche 20 décembre 2020,

suite à une conversation téléphonique développée avec Claude Lamarque (né en 1941).

Claude Lamarque est le plus jeune des 10 enfants d’Étiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996) et son époux Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976) ;

il est petit-fils de Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) ;

arrière-petit-fils d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, 19 mai 1923) ;

et arrière-petit-neveu de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920).

Voici donc cet article relu et corrigé :

Une heure de dynamique conversation avec un des petits-fils _ né en 1941 _

de Gaston du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), le troisième des 3 neveux _ après son frère Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935) et son cousin Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949-1950…)du génial inventeur qu’a été Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

vient,

par le recours à sa mémoire personnelle de Claude Lamarque, très attaché à tout ce qui concerne son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron,

de m’apprendre pas mal de données de la généalogie et histoire familiale des Ducos du Hauron ;

à même de réduire ainsi quelques unes, au moins, des « taches aveugles » _ en cette reconstitution de généalogie _ qui continuent de résister à mon enquête ;

et cela, en un appel téléphonique de son initiative,

et au moment même où je confectionnais une liste un peu synthétique de questions simples à lui faire parvenir par courriel…

Voilà.

Le premier point commencé à être éclairci en cette conversation

concerne la sœur _ jusqu’ici non identifiée ! _ d’Étiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 26 décembre 1996) ; et donc la tante maternelle de mon correspondant :

cette sœur d’Étiennette Ducos du Hauron est Marie-Madeleine-Adrienne (dite Simone) Ducos du Hauron,

née le 20 mai 1900 à Saint-Maurice (Seine) _ non pas, comme sa sœur Étiennette, née en 1898, au domicile de ses parents, à Saint-Mandé, 2 Avenue Herbillon, mais bien à celui de son grand-père maternel, Henry de Lamarque (Clermont-Ferrand, 4 janvier 1832 – Paris, 14 octobre 1916), rue Gabrielle à Saint-Maurice… _ et décédée le 22 novembre 1955, en son domicile, 60 rue Saint-Loup, à Bayeux (Calvados) _ depuis 1944, Simone était atteinte d’une schlérose en plaques ; et recevait les soins très attentionnés de sa tante Marguerite Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) _ ;

Simone Ducos du Hauron,

seconde épouse (à Paris 7e, le 27 janvier 1932) de Jacques-Antoine Engelhard (Gonneville, 31 juillet 1896 – 1979 ; déjà père de deux fils nés de son premier mariage _ avec Marie-Madeleine Grandjean, à Chatou, le 9 septembre 1920 _ : Alain Engelhard _ Le Vésinet, 8 juillet 1921 – Toulon, 23 janvier 2011 _ et Claude Engelhard _ Paris 5e, 13 novembre 1924 – Porto-Vecchio, 21 mars 2014 _),

est mère de deux enfants :

Philippe-Adrien Engelhard (22 février 1942)

et Marie-Bernadette-Gemma-Etiennette-Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019).

Philippe-Adrien Engelhard étant lui-même père de Stéphane-Frantz-Emmanuel Engelhard _ présentement vice-président de la chambre de commerce France-Brésil.

Ensuite, nous avons abordé la descendance _ de 10 enfants, dont deux décédés précocément : Marie-Madeleine (la 4e de la fratrie) et Marie-Marguerite (la 9e de la fratrie) ; 28 petits-enfants ; et 43 arrière-petits-enfants… _ d’Étiennette Ducos du Hauron et son époux Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976),

les parents _ inhumés tous deux au cimetière de Bon-Encontre, tout à côté d’Agen _ de mon correspondant _ né, lui, en 1941.

J’ai découvert aussi, un peu plus tard, qu’Alfred _ fils d’Auguste-René Lamarque (Gençay, 31 juillet 1859 – Le Buisson-de-Cadouin, 29 juillet 1817) _ et Étiennette _ fille d’Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) _ avaient un même grand-père Henry de Lamarque (né à Clermont-Ferrand, le 4 janvier 1832 et décédé à Paris, le 14 octobre 1916),

étant issus des deux mariages successifs de celui-ci :

Alfred, est issu _via son père Auguste-René Lamarque (né à Gençay, le 31 juillet 1859, et décédé au Buisson-de Cadouin, le 29 juillet 1917) _ du premier mariage, à Gençay, le 23 mars 1857, de son grand-père paternel Henry, avec Marie-Radegonde Barot (18 janvier 1836 – Niort, 4 novembre 1871) ;

et Étiennette, est issue _ via sa mère Edmée de Lamarque (née à Poitiers, 8 janvier 1879 et décédée à Saint-Mandé le 22 février 1902) _ du second mariage, à Angoulême, le 31 juillet 1873, de son grand-père maternel Henry, avec Fanny de Coquet de Laroche-Mombrun (Seclin, 3 septembre 1847 – Bourg-la-Reine, 24 mars 1937). Alfred et Étiennette sont donc cousins germains.

Et je remarque aussi que, pour la déclaration _ à la mairie de Saint-Maurice, le 22 mai 1900 _ de la naissance, le 20 mai, 1900, de la petite Simone Ducos du Hauron, la sœur cadette d’Étiennette,

les deux personnes venues accomplir cette déclaration à la mairie de Saint-Maurice, étaient Louis Ducos du Hauron, « ingénieur scientifique, domicilié à Paris rue des Batignolles n°27« , âgé de 62 ans : oncle paternel du père _ Gaston Ducos du Hauron  _ de l’enfant ; et Henry de Lamarque, « inspecteur des chemins de fer d’Orléans en retraite, demeurant à Saint-Maurice rue Gabrielle n° 26« , âgé de 68 ans : père de la mère _ Edmée de Lamarque _ de l’enfant.

L’aînée de la fratrie des 10 enfants _ tous ceux qui sont (ou ont) été mariés ont eu des enfants… _ d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque,

Jacqueline Lamarque _ née à Fontainebleau le 5 juin 1921 (précision donnée par son fils Louis Allard le 21 février 2034) _a épousé Jean Allard, et est décédée à Paris le 14 février 2018, en sa 97e année ; Jacqueline était née à Fontainebleau _ sa sœur Geneviève est née, elle, le 24 juillet 1923 _, où résidaient alors ses parents pour des raisons professionnelles ; et le couple de Jacqueline et Jean Allard a eu 3 enfants :

Anne-Elisabeth Allard, épouse de Bernard Pouy ;

François Allard, époux d’Isabelle ;

et Louis Allard _ celui-là même qui, vivant dans le Sud-Ouest, a accepté de venir représenter son oncle aux cérémonies de commémoration, le 31 août dernier (2020) à Agen, du centenaire du décès, à Agen même, au 58 de la rue Lamouroux, de Louis Ducos du Hauron.

Marie-Odile Lamarque (la 7e de la fratrie) est religieuse dominicaine, sous le nom de Mère Marie de Sienne.

Et Anne-Marie Lamarque (la 8e de la fratrie) a deux fils, Eric et  Xavier Haudiquet-Lamarque _ qui est psychothérapeute dans l’Hérault _ de son mari Haudiquet dont elle est divorcée, ainsi qu’une fille, Florence…

Et les garçons Lamarque : Yves (le n°3 _ né, lui aussi  à Agen : le 19 janvier 1925 _),

Jean (le n°5),

et Xavier (le n°6) _ qui est peintre, et vit à Savignt-sur-Orge _, ont donc aussi des enfants…

Ensuite, j’ai demandé à mon correspondant si il connaissait les dates et lieux des décès de Raymond de Bercegol (né à Lamothe-Landerron le 4 février 1869) et de sa mère Berthe Ducos (née à Libourne le 23 janvier 1842) :

non, il ne les connaît pas ;

mais il se souvient que durant de longues années _ de 1917 à 1944 _, Raymond de Bercegol _ nommé parfois Comte Raymond de Bercegol du Moulin _ a dirigé l’Office central du Carmel de Lisieux ;

et il pense que celui-ci serait décédé en son domicile parisien de la rue Michel-Ange (Paris 16e), vers les années 1949-1950 :

ce fut même, m’a-t-il confié, le premier deuil au sein de sa famille qui a marqué l’esprit de mon correspondant ;

qui se souvient bien aussi de la tante Yvonne, née Marinier _ qui a survécu à son mari Raymond de Bercegol _.

En revanche, il n’a nul souvenir d’éventuels cousins de Bercegol qui descendraient de ce couple…

Puis, je pose une question sur la branche des Ducos du Hauron d’Algérie,

en commençant par Roger Ducos du Hauron,

dont je ne connaissais jusqu’ici ni les dates et lieux de naissance, de mariage et de décès, mais seulement l’existence par le faire-part publié dans L’Écho d’Alger en date du 2 janvier 1939, pour le décès d’Eveline Ducos du Hauron, épouse d’Henri Ducros : Eveline, la probable _ et vraiment ! elles née à Orléansville au mois de mars 1898, je l’ai découvert le 20 février 2024… _ sœur aînée de Gérard et Roger Ducos du Hauron _ dont les parents, Amédée Ducos du Hauron, et son épouse Marie-Louise Rey, étaient préalablement décédés en 1935 et 1933 : Amédée, à Alger, le 14 juillet 1935, et son épouse Marie-Louise, à Agen, le 20 septembre 1933.

À comparer avec ce qu’indiquait l’article de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, qui évoquait l’existence, à cette date de 1927, de cinq enfants à la charge du foyer d’Amédée Ducos Hauron, désormais retraité de l’administration, à l’âge de 60 ans, et domicilié alors à Rébeval…

Si j’ai connaissance de la naissance, le 8 juillet 1904, à Lamartine, au foyer d’Amédée Ducos du Hauros, administrateur-adjoint de cette commune à cette date, d’une petite Edmée Ducos du Hauron _ soit le prénom même de l’épouse de son frère Gaston (née Edmée de Lamarque), décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902 : deux ans auparavant… _,

je n’ai trouvé nulle autre mention par la suite de cette petite Edmée Ducos du Hauron _ Edmée Ducos du Hauron est décédée à La Redoute, Birmandreis, le 19 novembre 1920, à l’âge de 16 ans (ajout du 20 février 2024) _ ;

à moins que celle-ci ne soit _ Non ! _ la « Mme Vve Gadel« , présente, dans l’avis de décès, juste après la « Mme Jacquet » (la probable compagne, celle-là, que Gérard Ducos du Hauron, le frère aîné de Roger, épousera bientôt, à Alger, au prochain mois de novembre de cette même année 1939…

Mais Gérard _ né à Berrouaghia le 30 août 1909 _ + Roger _ né à Alger le 23 juillet 1918 (ajout du 20 février 2024) _ + Edmée _ non, Edmée est décédée à Birmandreis le 19 novembre 1920 (ajout du 20 février 2024)…  _ + Eveline, cela ne fait que 4 _ même pas : seulement 3 ! _ enfants : qui était donc le _ 4ème et le _ 5ème enfant de cette fratrie algérienne des enfants d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey, présents à Rébeval en 1927 ? Je l’ignore encore pour le moment _ et toujours ce 7 novembre 2021 (et ce 20 février 2024)…

Mais mon correspondant, Claude Lamarque,

alors qu’il me dit n’avoir souvenir d’aucun lien avec le frère aîné de Roger, Gérard Ducos du Hauron (Berrouaghia, 30 août 1909 – Avignon, 27 janvier 2000),

me déclare que ce Roger Ducos du Hauron était un « cousin bien aimé » de lui ;

et qu’il se souvient fort bien de son arrivée en France, au moment du grand rapatriement des pieds-noirs d’Algérie, en 1962 ;

ainsi que de son installation, avec ses 4 enfants et son épouse Sylvia

 

 

, à Savigny-sur-Orge

_ mais pas dans la maison qui avait été, rue des Rossays, le domicile d’Alcide, Cézarine-Marie, Louis, ainsi que Gaston et ses filles Étiennette et Simone, ainsi que Marguerite et Alice Ducos du Hauron ; maison sur laquelle, le 28 janvier 1951, a été apposée la plaque honorant le séjour, en ce domicile où avait vécu, de 1902 à août 1914, Louis Ducos du Hauron.

Roger Ducos du Hauron et son épouse Sylvia, eux, ont eu 4 enfants, qui tous ont été mariés :

_ Marie-José Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 26 décembre 2009), mariée, puis divorcée.

_ Jean-Louis Ducos du Hauron _ né en 1953, et vivant actuellement en Espagne _ ; il a 2 fils, dont l’un est prénommé Cédric et l’autre Aurélien.

_ Danièle Ducos du Hauron, épouse Thion

_ Denise Ducos du Hauron.

Autant de précieuses données sur la présente descendance des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron,

qu’il faudra chercher à compléter…

Voilà pour la fructueuse moisson de cette sympathique conversation téléphonique d’une heure,

hier samedi 19 décembre.

Ce dimanche 20 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Avec quelques menus progrès de la recherche

 

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis reprise de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron (suite) » du samedi 12 décembre 2020

06nov

En poursuivant mes relectures (avec éventuelles retouches) de mes articles de décembre 2020,

je passe à l’article suivant,

celui du 12 décembre : « « ,

que re-voici _ avec mes retouches en rouge _ :

Au final de mon article d’hier (),

j’annonçais avoir avancé dans l’identification des enfants, au nombre de 10, de la petite-nièce aînée

_ fille aînée du second fils, Étienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), du frère aîné, Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) _

de Louis Ducos du Hauron :

Étiennette-Marie-Augustine-Isaure Ducos du Hauron (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898, et décédée à Paris 6e, le 20 décembre 1996)

et de son mari _ leur mariage a eu lieu à Agen le 20 juillet 1920 : Louis Ducos du Hauron était présent ; il mourra, à Agen, au 56 de la rue Lamouroux, un mois et 11 jours plus tard, le 31 août suivant… _ Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976).

Et cela, grâce à ma découverte d’une précieuse généalogie familiale mise au point par un des petits-fils de ce couple d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque,

Benoît Viennot, né en 1963 _ sans plus de précision _le fils aîné _ d’une fratrie de 5 _ d’une des filles _ la seconde de la fratrie des 10 _, d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse _ le mariage a eu lieu le 3 octobre 1953 à Reilly-Sur-Seine _ de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecorbon, 24 août 2016)…

A moins que l’auteur de cette très riche généalogie familiale ne soit, plutôt, l’épouse _ le couple s’est marié à Rueil-Malmaison _ de Benoît Viennot : Anne-Catherine Goulletquer _ qui vit, semble-t-il, dans la Mayenne, à Assé-le-Bérenger, et aime beaucoup l’île de Groix….

Ces 10 enfants _ nés au fil des postes successifs de leur père, qui gravira les plus hauts échelons de la carrière ferroviaire en France... _ d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, sont :

_ Jacqueline Lamarque _ née à Agen en 1921 ou 1922 ; épouse de Jean Allard, elle décèdera à Paris le 15 février 2018  _

_ Geneviève Lamarque _ née à Agen le 24 juillet 1923 ; épouse, à Neuilly-sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot, elle décèdera à Rueil-Malmaison le 25 octobre 1998 _

_ Yves Lamarque _ né à Agen le 19 janvier 1925 _

_ Marie-Madeleine Lamarque _ décédée jeune _

_ Jean Lamarque

_ Xavier Lamarque

_ Marie-Odile Lamarque _ Mère Marie de Sienne, en religion _

_ Anne-Marie Lamarque _ épouse, puis divorcée, d’un M. Haudiquet _

_ Marguerite-Marie Lamarque

_ et Claude Lamarque, le dixième _ né en 1941…

Et il semble _ mais c’est plutôt mon ignorance qui pourrait bien s’égarer ici (oui !), faute d’appuis et de témoignages _ que, de ces 10 enfants Lamarque, seule Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque (née à Agen, le 24 juillet 1923 et décédée à Rueil-Malmaison, le 25 octobre 1998) ait eu une descendance,

via les 5 enfants, issus de son mariage, le 3 octobre 1953, à Neuilly-sur-Seine, avec Bernard Viennot (né à Paris 9e, le 7 juin 1923 et décédé à Rochecorbon, le 24 août 2016) :

_ Benoît Viennot

_ Emmanuel Viennot

_ Hubert Viennot

_ Anaïs Viennot

_ et Dominique Viennot, le cinquième et dernier.

Toutefois, il ne semble pas _ mais je peux bien sûr faire erreur ! _ que l’arrière petit-neveu qui s’est rendu dernièrement, le 31 août 2020, à Agen pour les cérémonies du centenaire du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, décédé à Agen le 31 août 1920,

et qui se nomme Louis Allard,

soit issu de cette branche Lamarque-là des petits-neveux de l’inventeur _ mais si ! je fais ici erreur !! Louis Allard étant un des 3 enfants, avec Anne-Elisabeth Allard et François Allard, de Jean Allard et son épouse Jacqueline Lamarque, laquelle est l’aînée de la fratrie des 10 enfants d’Étiennette Ducos du Hauron et son époux Alfred Lamarque… _ ;

si, comme je le suppose _ mais peut-être tout à fait à tort ! À tort : très effectivement !!! _ aucun des 9 frères et sœurs de Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque, n’a eu d’enfant _ au contraire, Claude Lamarque m’a confié en une très riche communication téléphonique, le 19 décembre 2020, avoir un nombre important de neveux et nièces : 27 neveux et nièces et 43 petits-neveux et petites-nièces, précisément… _ ;

je vois donc mal comment Louis Allard pourrait être un descendant d’un des enfants Lamarque…

Peut-être Louis Allard est-il issu de la descendance de la sœur cadette d’Étiennette, dont j’ignore toujours à ce jour le prénom _ Simone _,  ainsi que le lieu et la date de naissance :  probablement pas à Saint-Mandé _ mais à Saint-Maurice-sur Seine _,  et entre 1899 _ sa sœur aînée Etiennette est née à Saint-Mandé le 28 décembre 1898 _ et 1902 _ leur mère, Edmée de Lamarque, est décédée, à Saint-Mandé, le 22 février 1902. Simone Ducos du Hauron est née à Saint-Maurice-sur-Seine le 20 mai 1900.

De même que j’ignore toujours le nom de son mari _ Jacques Engelhard _ainsi que de leurs deux filles _ non, une fille et un fils : Nadine Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) et Philippe Engelhard (né le 24 février 1942, et toujours de ce monde, m’a confiée dernièrement Annie Boulanger (« Bonjour, Amie de Philippe ENGELHARD, je suis très intéressée par cette généalogie familiale dont il m’a beaucoup parlé. Philippe ENGELHARD, fils de Marie Madeleine (Simone), est en fait né le 24 février 1942 et est toujours bien vivant ! Je vais lui transmettre votre blog dont je ne crois pas qu’il ait eu connaissance. Cordiaux remerciements. Annie« )… 

Tout ce que je sais, à ce jour _ du 12 décembre 2020 _, concernant la sœur cadette _ Simone _ d’Étiennette Ducos du Hauron,

je l’ai appris de la lettre de Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) du 6 août 1948 à Monsieur Lacroix (cf le post-scriptum de mon article du 6 décembre dernier : …) :

« elle _ Simone Ducos du Hauron, épouse Engelhard _ est depuis 4 ans _ soit 1944 _ paralysée à l’âge de 48 ans _ ce qui ferait remonter l’année de sa naissance à 1900 ! Et elle est effectivement née le 20 mai 1900 _, et ma sœur _ Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) : la tante et la nièce ayant un écart d’âge d’à peu près 21 ans… _ ne la quitte jamais.« 

Ce pourrait alors être d’elle _ non _ (et de son mariage avec un Monsieur Allard) qu’est né l’arrière petit-neveu Louis Allard

venu à Agen le 31 août dernier pour les commémorations du centième anniversaire, jour pour jour, du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920…

Sur la photo ci-dessous,

Charles Sarion, le président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , assiste au dévoilement de la plaque de la rue Ducos du Hauron (à l’angle du Boulevard Carnot), par le maire d’Agen, Jean Dionis du Séjour, et son adjointe à la Culture, Marie Claude Iachemet, ce 31 août 2020.

Dévoilement de la plaque Louis Ducos du Hauron, inventeur de la photo couleur.

On peut aussi, via un article de Sud-Ouest du 2 novembre dernier, intitulé « Culture : Ducos du Hauron mis en vedette par France 3« ,

regarder le riche et très intéressant extrait (entre 12′ 25 et 19′ 27) du film du reportage réalisé à Agen par Éric Perrin pour France 3,

nous présentant, avec Charles Sarion, l’actif et efficace président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , à la fois les sites agenais photographiés par Louis Ducos du Hauron _ en 1877 est ainsi réalisée, à Agen, la toute première photographie au monde de paysage en couleurs ! _et les très précieuses acquisitions par le Musée d’Agen d’œuvres (photos, pellicules originales, mais aussi divers appareils photographiques…) de Louis Ducos du Hauron ;

le Musée d’Agen qui consacre désormais deux salles aux extraordinaires réalisations de cet inventeur de génie et illustre _ méconnu jusqu’ici… _ agenais…

Ce samedi 12 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour cette reprise _ avec correctifs, précisions et ajouts a posteriori _ de l’article du 12 décembre 2020…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Suite (4) de l’exposé de mes avancées de la recherche des liens puissants des Ducos du Hauron avec les Gentet et les Gadel, via les Rey : suite de la lecture du faire-part de décès de Victor Gadel, paru le 31 mars 1930…

22jan

En une quatrième suite,

je poursuis ici ce vendredi 22 janvier ma lecture attentive et la plus exhaustive possible du _ décidément très riche _ faire-part de décès de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur (…) survenu à Alger le 30 mars 1930, à l’âge de 57 ans«  _ le défunt était né au Grand Serre (département de la Drôme) le 10 juillet 1872 _, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930.

Un très riche faire-part pour mieux pénétrer les filiations internes à la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, ainsi que leurs apparentements aux familles Gentet, Gadel, Ducros, et d’autres…

J’avais d’abord commencé par m’attacher le mardi 19 janvier _   _ aux identités et situations de « Mme Vve Victor Gadel  » et de « M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude » :

c’est-à-dire la veuve, née Aimée-Laurence Rey _ leur mariage avait eu lieu le 11 mars 1905 à Orléansville _, du défunt Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930) ;

puis le fils aîné (Robert-Victor-Eugène Gadel), ainsi que son épouse (née Irène Bure) et les petit-fils, Jean-Claude _ seul né à la date du décès de son grand-père Victor, ce 30 mars 1930 _, Jacques, Jean et Robert Gadel, les quatre enfants de Robert Gadel et son épouse née Irène Bure.

Et puis avant-hier mercredi 20 janvier _  _, j’ai poursuivi ma lecture-analyse de ce faire-part de décès de Victor Gadel, en m’attachant aux premiers suivants de la liste des faisant-part :

« M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris« .

Et hier jeudi 21 janvier _  _, j’ai continué cette lecture-analyse de ce faire-part de décès de Victor Gadel, en m’attachant aux suivants de la liste des faisant-part : « Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants« .

Je vais donc continuer ce jour cette lecture-analyse de ce faire-part, et toujours dans l’ordre suivi par ce faire-part :

« Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet« ,

avant de m’attacher ensuite, et plus rapidement, aux familles « Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra » qui sont indiquées au final de ce faire-part en date du 31 mars 1930…

Et voici, en un commode récapitulatif reprenant tout depuis le début de ces lectures-analyses, ce que cela donne :

Le 15 décembre dernier, je relevais aussi, en mon dossier de recherche,

le _ très décisif, on va le voir, pour ma recherche des filiations au sein de la famille Ducos du Hauron et leurs apparentements à d’autres familles en Algérie _ faire-part du décès de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur« , « survenu à Alger le 30 mars 1930, à l’âge de 57 ans« …

Le voici donc in extenso, ce faire-part _ y compris, en rouge, les éléments disparus suite à une bien malencontreuse déchirure, et au pire endroit, qui a affecté ce faire-part de décès, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 : je rétablis en rouge les éléments devenus illisibles... _ ; et on sait bien que c’est dans les moindres détails que se cache le diable ! :

« Mme Vve Victor Gadel ; M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ; M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ; Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet ; les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robbe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

« Mme Vve Victor Gadel » est bien sûr la veuve de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel,

qui était né au Grand Serre (département de la Drôme) le 8 juillet 1872, fils du provençal Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 octobre 1927) et de la dauphinoise Marie-Eugénie-Hortense Rey (Le Grand Serre, 21 mars 1848 – j’ignore la date (après 1877 et avant 1892) et le lieu de son décès) ;

le mariage de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey a eu lieu à Orléansville le 11 mars 1905 (cf Le Progrès d’Orléansville du 9 mars 1905) ;

et dans le Journal officiel du 9 octobre 1931 on peut lire la déclaration de pension civile d’Aimée-Laurence Rey, veuve Gadel ; « le mari payeur-adjoint de trésorerie : Services militaires : 19 ans, 4 mois, 5 jours ; services civils : 19 ans, 7 mois, 25 jours. Campagnes : 12 ans. Pension avec jouissance du 31 mars 1930 : 8 534 francs. Avec une pension temporaire« .

Ce n’est pas immédiatement que j’ai pris conscience de la parenté qui existait entre Aimée-Laurence Rey et son époux, Victor Gadel ; puisque Victor-Nicolas-Benjamin Gadel est le fils de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (1835 – 1927) et de Marie-Eugénie-Hortense Rey (1848 – ?), et Aimée-Laurence Rey est la fille de Jean-Anatole-Firmin Rey (1845 – 1890), le frère aîné de Marie-Eugénie-Hortense Rey, et d’Adélaïde Gentet (1855 – 1886) : ils sont cousins germains.

Et il y a aussi le moment où j’ai pris conscience _ et ce fut loin d’être immédiatement _ que « Mme Vve Gadel » et « Mme Amédée Ducos du Hauron« , c’est-à-dire Aimée-Laurence Rey et Marie-Louise Rey, toutes deux filles d’Anatole Rey et Adélaïde Gentet, sont sœurs !

Et c’est bien sûr de cette sonorité _ jamais directement apparente _ que procède la présence conjointe sur les divers faire-part d’événements familiaux des Ducos du Hauron et des Gadel (ainsi, aussi, que de quelques apparentés, tels les Ducros, ou les Bure), des mentions presque toujours conjointes des Ducos du Hauron d’Algérie avec les Gadel et les Gentet (et leurs apparentés) ; et cela sans jamais la présence de la mention de membres de la famille Rey…

« M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie« , lui, est le fils aîné du défunt Victor Gadel ; né en 1906,  Robert-Victor-Eugène Gadel obtiendra son diplôme de pharmacien à la Faculté d’Alger au mois de juillet 1930 (cf L’Écho d’Alger du 11 juillet 1930) ;

« Mme, née Irène Bure« , son épouse, est la troisième enfant _ après Léontine, née en 1891, et Marcel, né en 1897 ; et avant Gilberte, née en 1902, et Albert, né en 1903 _ de Mme Agathe Bure, née Seprey, et M. Jean-Baptiste Bure, propriétaire à Vauban ; et c’est depuis le 22 décembre 1927, à Alger, que Irène Bure est l’épouse de Robert Gadel (cf Le Progrès d’Orléansville du 29 décembre 1927) ;

quant à « leur fils Jean-Claude« , celui-ci est, au mois d’avril 1929 (cf L’Écho d’Alger du 29 avril 1929)  le premier né de ce couple _ il décèdera en bas âge, le 9 janvier 1932 (cf L’Écho d’Alger du 10 janvier 1932 et Le Progrès d’Orléansville du 14 janvier suivant).

Mais d’autres enfants leur naîtront : Jacques Gadel, au mois d’août 1931 (cf Le Progrès d’Orléansville du 13 août 1931) ; Jean Gadel, déjà né au mois de décembre 1932 (cf le faire-départ du décès d’Albert Bure, dans le numéro de L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932) ; Robert Gadel, en décembre 1938 (cf L’Écho d’Alger du 25 décembre 1938)…

On peut suivre aussi la carrière professionnelle de Robert Gadel, une fois réussis « ses examens définitifs de pharmacie » « devant la Faculté d’Alger » (cf Le Progrès d’Orléansville du 7 octobre 1930) :

en 1931 _ au moment de la naissance, au mois d’août, de son fils Jacques _ et 1932 _ au moment du décès, le 9 janvier, de son fils Jean-Claude _, Robert Gadel est pharmacien à Alger ;

mais, suite au décès le 10 décembre 1932 de son beau-frère _ également pharmacien _ Albert Bure (cf L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932), et alors qu’Albert Bure s’était rendu acquéreur en novembre 1930 de la pharmacie Rigal, à Orléanville ( cf Le Progrès d’Orléansville du 20 novembre 1930), début janvier 1933, Robert Gadel devient pharmacien à Orléansville (cf Le Progrès d’Orléansville du 5 janvier 1933).

Puis, Robert Gadel, désormais pharmacien à Orléansville, prendra aussi la suite, à Vauban, de son beau-père Jean-Baptiste Bure, décédé à Alger le 31 octobre 1934 (cf le faire-part de décès de celui-ci dans le numéro de L’Écho d’Alger du 1er novembre 1934) :

aux élections municipales du 16 mai 1935, Robert Gadel devient en effet l’adjoint spécial de Vauban, en la municipalité d’Oued Fodda ;

et L’Écho d’Alger du 25 mai 1935 nous apprend aussi que ce même 16 mai 1935, « vers 15 heures, M. Gadel le nouvel adjoint spécial de Vauban, qui avait convié la nouvelle municipalité et de nombreux invités à Orléansville, pour vider une coupe de champagne, recevait en son domicile de nombreux invités « …

Et en 1937, L’Écho d’Alger du 25 janvier 1937 nous apprend que « Monsieur Robert Gadel, le sympathique pharmacien de notre ville _ Orléansville _ vient d’être nommé pharmacien-chef de l’hôpital mixte, à la suite d’un concours sur titre« .

Soit une assez belle réussite professionnelle pour ce cousin germain d’Eveline Ducos du Hauron et ses frères Gérard et Roger…

« M. Georges Gadel«  est, lui le second fils du défunt Victor Gadel et son épouse née Aimée-Laurence Rey.

En 1924-25, Georges Gadel est élève au lycée d’Alger ; et en 1933 et 1935, étudiant en droit à la Faculté d’Alger, il fait partie du Bureau directeur de l’Association des Étudiants d’Alger : il en est trésorier adjoint en décembre 1933, puis trésorier général en décembre 1935.

Le 26 novembre 1936, Georges Gadel fait partie des vingt jeunes avocats qui prêtent leur serment professionnel, à la Faculté  d’Alger.

Et le 8 juillet 1938, les noms de Georges Gadel, avocat à la cour, et Andrée Gaillard, sont présents sur la liste  des publications des prochains mariages, du journal L’Écho d’Alger…

Enfin, L’Écho d’Alger du 12 juillet 1942, publie le faire-part de décès suivant :

« Alger – Bordj-Bou – Arreridj.

M. Georges Gadel, avocat, Mme née Gaillard, leur fille Colette et leur famille, vous font part du décès de leur cher petit Jean-Louis GADEL survenu à Alger le 10 juillet 1942, à l’âge de 10 mois. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité » :

et je remarque ici le caractère plutôt succinct caractérisant ce « leur famille« , avec, en particulier, l’absence des noms de la grand-mère « Mme Vve Gadel » _ vivait-elle encore à cette date ? _ et de l’oncle « Robert Gadel« ….

« Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris«  :

Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel Gadel, fils de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 septembre 1927) et Marie-Eugènie-Hortense Rey (Le Grand Serre, 21 mars 1848 – ?), est né au Grand-Serre (Drôme) le 24 décembre 1874. Il est le le frère cadet du défunt.

Il s’est marié à Montpellier le 4 octobre 1910, avec Melle Jeanne-Thérèse-Marie-Antoinette-Joséphine Escudié (cf La Vie montpelliéraine du 9 octobre 1910).

Et le couple a eu un ou deux enfants, dont Raymond-Pierre-Victor Gadel, né à Montpellier au mois de mai 1918 (cf La Vie montpélliéraine du 28 mai 1918) _ le faire-part de décès de Melle Jeanne Gadel (la sœur de Victor et Eugène, née au Grand Serre le 27 mai 1877), publié par le Petit Marseillais du 13 octobre 1923, mentionne parmi les personnes affectées par ce deuil de leur parente, « Mme et M. Eugène Gadel, chevalier de la Légion d’honneur, et leur fils (de Paris)«  : le terme de fils se trouve ici au singulier ; alors que le faire-part de décès de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (le grand-père d’Eugène et de Victor), publié quatre ans plus tard par Le Petit Marseillais du 27 septembre 1927, mentionne « M. et Mme Eugène Gadel et leurs enfants« , au pluriel… Un second fils leur était donc né entre 1923 et 1927, après leur premier né de 1918…

Le Journal officiel du 10 juillet 1912 déclare que « M. Gadel Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel, adjudant au 122e régiment d’infanterie, a été nommé expéditionnaire de  8e classe à la mairie du 15e arrondissement (de Paris). Par arrêté du Préfet de la Seine en date du 8 juillet 1912 » : c’est à partir de là que Eugène Gadel et les siens seront désormais les « Gadel de Paris« … Puis, en date du 1er janvier 1922, la Préfecture de la Seine annonce que « M. Gadel (Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel), commis, maintenu provisoirement à la mairie du 15e arrondissement, est affecté à la Direction du Contrôle Central et des Contributions, en remplacement de M. Pellentz, retraité« .

Enfin, j’ai noté aussi que le 28 juillet 2012, à Montpellier, est décédée une « Mme Vve Raymond Gadel, née Paulette Mauron, 91 ans » : peut-être la veuve de Raymond-Pierre-Victor Gadel, qui est né en 1918 ; alors que celle qui pourrait être sa veuve, est née en 1921…

Voilà donc maintenant pour les divers Gadel de ce faire-part.

J’en viens maintenant aux mentions suivantes de ce faire-part de décès de « Monsieur Victor GADEL« , en date du 31 mars 1930,

concernant « Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants« .

« Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants » sont la belle-sœur et le beau-frère, ainsi que certains _ compte tenu du cas à part de l’aînée d’entre eux, Eveline, épouse de Henri Ducros _ des neveux et nièces du défunt, M. Victor Gadel :

« Mme Ducos du Hauron« , née Marie-Louise Rey _ née probablement à Orléansville, et en 1879 (je déduis cette année de naissance de l’âge de 57 ans que Marie-Louise aura atteint à l’heure de son décès, à Agen le 20 septembre 1933 _, étant la sœur de la veuve, née Aimée-Laurence Rey _ née peut-être à Oran, et peut-être au mois de juillet 1886 : sa mère, née Adélaïde Gentet, native d’Orléansville en 1855, est décédée à Oran le 5 juillet 1886 ; mais Aimée-Laurence peut aussi bien être née plus tôt, et peut-être, elle aussi, à Orléansville, où résidèrent, avant Oran, ses parents Anatole et Adélaïde… _, se trouve être la belle-sœur du défunt Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ;

ce qui permet de comprendre la place (la 5e) que « Mme Ducos du Hauron » vient occuper en ce faire-part de décès, après la veuve (en tête de la liste), les deux enfants, Robert (à la 2e place) et Georges Gadel (à la 3e place), et le frère Eugène Gadel (à la 4e place), du défunt.

« M. Ducos du Hauron » est Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’époux de Marie-Louise, née Rey : en tant qu’époux de la sœur de la veuve, il est donc le beau-frère de la veuve, née Aimée-Laurence Rey, ainsi que de son mari, le défunt Victor Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930).

Il est bien dommage que ne soient pas précisés sur ce faire-part publié le 31 mars 1930 les prénoms, ni même le nombre, de ces « enfants de Mme et M. Ducos du Hauron« , associés à ce deuil de leur oncle _ ce qui nous aurait renseignés sur les enfants Ducos du Hauron encore vivants, et ceux déjà décédés à cette date : qu’en est-il, par exemple d’Edmée, née à Lamartine le 8 juillet 1904 ?.. _ :

dans l’article (d’un journal parisien non spécifié) rapporté par L’Écho d’Alger du 4 mars 1927  _ cf mon article du 15 décembre dernier : _, rédigé à l’occasion d’une exposition au Casino d’Alger des Anaglyphes de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) :

« Le seul homme _ Amédée ! _ qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.

Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle« ) ;
dans cet article, donc, le retraité de la fonction publique qu’était Amédée Ducos du Hauron était dit _ un peu élliptiquement _ avoir la charge d' »une famille de cinq enfants« …
Mais ni le faire-part de décès de « Madame Amédée Ducos du Hauron, née Marie-Louise Rey« , paru dans L’Écho d’Alger du 13 octobre 1933 _ seules y sont mentionnées « les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel et Gentet » ; nul nom d’aucun des enfants n’y paraît… _,
ni le faire-part de décès de « M. Amédée Ducos du Hauron, rédacteur principal de préfecture, en retraite« , paru dans L’Écho d’Alger du 13 octobre 1933 _ seules y sont mentionnées « les familles Ducos du Hauron, Ducros et Gadel » ; nul nom d’aucun des enfants, non plus, n’y paraît… _
n’indiquent ni le nombre, ni les prénoms, des enfants Ducos du Hauron encore vivants à ces deux dates…
De ces enfants nés à M. Amédée Ducos du Hauron, durablement administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie, et son épouse Marie-Louise, j’ai, jusqu’ici, pu découvrir les avis de naissance
de la petite Edmée, née à Lamartine le 8 juillet 1904 (en une information donnée par Le Progrès d’Orléansville du 8 septembre 1904) ;
et du petit Gérard, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (en une information donnée par L’Afrique du Nord illustrée du 18 septembre 1909).
Et  c’est seulement du faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron, publié dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, que j’ai pu induire la sororité d’Eveline Ducos du Hauron avec ses frères Gérard et Roger Ducos du Hauron _ qui vont, tous les deux, très durablement lui survivre… _ ; Eveline Ducos du Hauron figurant là comme l’épouse de « M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix » ; lequel y déclarait avec « ses enfants » _ au pluriel, eux aussi _ ce décès de son épouse _ ces enfants Ducros étant très probablement le petit Yves-Henri Ducros, fils aussi d’Eveline, né à Port-Gueydon quand M. Henri Ducros s’y trouvait administrateur-adjoint ; ainsi que, mais né d’un précédent mariage de M. Henri Ducros _ avec une dame Gibal _, le jeune Paul-Henri Ducros, né le 21 septembre 1921 à Aumale, où Henri Ducros se trouvait en poste d’administrateur-adjoint (cf L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921). Là-dessus, se reporter à mes précédents articles du 12 janvier dernier : … ; et d’abord, bien sûr, mon article du 16 janvier : .

A propos de la petite Edmée Ducos du Hauron _ née à Lamartine le 8 juillet 1904 _,

qui porte le prénom de sa tante Edmée récemment décédée à Saint-Mandé le 22 février 1902, et née _ à Poitiers le 8 janvier 1876 _ Edmée de Lamarque, qui était l’épouse de son oncle Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet de son père Amédée,

je renvoie à un détail intéressant donné en mon article du 11 janvier dernier  : une brève mention, dans L’Écho d’Alger du 19 novembre 1919, de l’attribution d’une bourse (de 200 francs) à Edmée Ducos du Hauron, à l’École Primaire Supérieures de filles d’Alger ; la petite Edmée était alors âgée de 15 ans.

Pour ce qui concerne Gérard Ducos du Hauron, ce que j’ai pu découvrir, outre le fait de sa naissance à Berrouaghia le 30 août 1909, a trait à son mariage, à Alger, le 25 novembre 1939, avec « Mme Jacquet », née Célestine-Léontine Noiraux ; puis son décès à Avignon le 27 janvier 2000 _ cf le passage de mon article du 11 janvier dernier  qui le concerne, lui : « Gérard Ducos du Hauron, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (où son père, Amédée, était administrateur-adjoint), et décédé à Avignon le 27 janvier 2000. Gérard Ducos du Hauron a épousé à Alger, le 25 novembre 1939, Mme Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 novembre 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972) ; et il ne semble pas avoir eu de descendance« ...

Quant à son frère Roger Ducos du Hauron, je ne peux, pour le moment et pour l’essentiel, que reprendre ce que je disais à son propos dans ce même article du 11 janvier dernier  :

« Roger Ducos du Hauron _ dont j’ignore toujours le lieu et la date de naissance, ainsi que le lieu (en France : il est venu vivre à Savigny-sur-Orge au moment de son rapatriement en France, vers 1962 (mais pas dans la maison du 14 de la rue des Rossays, où avaient vécu ses grands-parents, Alcide et Césarine-Marie, ainsi que son grand-oncle Louis, et son oncle Gaston : cette maison sur laquelle a été apposée, en 1951, une plaque commémorant le séjour, là, de l’inventeur Louis Ducos du Hauron…) et la date de son décès _ et son épouse Sylvia _ j’ignore son nom de jeune fille… _ ont eu 4 enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 28 décembre 2009) ; Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ probablement lui aussi à Alger… _ et qui vit aujourd’hui en Espagne… ; il a deux fils, Cédric et Aurélien) ; Danièle Ducos du Hauron ; Denise Ducos du Hauron« …

 

Et je continuerai demain cet exposé de ma lecture-analyse de ce faire-part du décès de M. Victor Gadel, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930,

en revenant sur la personne d’Eveline Ducos du Hauron, « Mme Henri Ducros« .

C’est donc ici, au niveau de ce « Mme et M. Henri Ducros » du faire-part, que ce vendredi 22 janvier 2021, je continue ma lecture-analyse du faire-part de décès de M. Victor-Nicolas-Benjamen Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930.

« Mme Henri Ducros » est Eveline Ducos du Hauron, la fille aînée des enfants _ au nombre au moins de cinq _ issus du mariage _ j’en ignore encore et le lieu (à Orléansville ?) et la date (plus ou moins autour de l’année 1896 : quand Amédée décide de demeurer en Algérie plutôt que de rentrer en France avec le reste de sa famille)… _ d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey ;

et l’épouse _ j’ignore aussi et le lieu et la date de leur mariage : entre 1927 et 1929 _ de M. Henri Ducros, administrateur-adjoint _ de même que son beau-père Amédée Ducos du Hauron l’était lui aussi, de diverses communes mixtes de l’Algérie coloniale d’alors ; _ de la commune d’Azzefoun, au moment de leur mariage, ainsi que des naissances _ en 1930, 1931 et 1932 ou 33 _ de leurs enfants : Yves-Henri, Raymond, Raymonde _ certains d’entre eux nés à Port-Gueydon même, le centre principal de cette commune mixte _ le séjour à Port-Gueydon de l’administrateur-adjoint qu’était Henri Ducros s’est déroulé _ alors que son affectation de départ, en date du 3 février 1923, était qualifiée de « provisoire«  ! (cf L’Écho d’Alger du 7 février 1923) _ de février 1923 (son poste précédent était celui de la commune mixte de Djebel Nador dont le centre principal est Trézel _ à  janvier 1937 (le poste suivant celui de la commune mixte d’Azzefoun _ en résidence à Port-Gueydon _, étant celui de la commune-mixte de Cherchell, en résidence à Dupleix) _ avec, toutefois, et il me faut le noter ici au passage, une petite anomalie pour la prétention à la justesse de ma chronologie de ces postes successifs d’administrateur-adjoint de Henri Ducros : dans le faire-part du décès de sa belle-sœur, Mme Alphonse Ducros, née Gilberte Bure, publié par Le Progrès d’Orléansville le 19 septembre 1929, « Mme et M. Henri Ducros«  sont bien présents (et sans enfants pour le moment : le petit Yves-Henri ne naîtra, en effet, à Port-Gueydon que le 31 mai 1930 suivant, mais le poste d’administrateur-adjoint de Henri Ducros est indiqué situé alors à « Azazga«  (Azazga, où Henri Ducros avait déjà occupé le poste d’administrateur-adjoint du 13 décembre 1915  au 12 novembre 1919, et où résidait aussi une partie de sa famille : son frère Edmond Ducros, et sa mère Mme Vve Ducros, née Philomène Roussel)… Sur la carrière d’administrateur-adjoint de M. Henri Ducros, lire l’essai de  recension de mon article du 14 janvier dernier :

Ce que ce faire-part du décès de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, en date du 31 mars 1930, permet d’affirmer à propos du couple formé par « Mme et M. Henri Ducros« ,

c’est, d’une part, que, à cette date du 31 mars 1930, Henri Ducros et Eveline Ducos du Hauron étaient déja mariés,

et que, d’autre part, le couple n’avait pas encore d’enfant : leur premier né sera, deux mois plus tard, le petit Yves-Henri Ducros, dont la naissance sera indiquée dans la rubrique « Port-Gueydon » de L’Écho d’Alger du 8 juin 1930 :

« Nous apprenons avec plaisir la naissance de Yves-Henri Ducros, fils de Mme et M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Port-Gueydon. Nous présentons au bébé et aux parents nos meilleurs souhaits de bonheur« .

Un peu plus d’un an plus tard, en la rubrique des « Naissances des 25 et 26 mai 1931 » de l' »État-civil« , L’Écho d’Alger du 28 mai 1931 annoncera la naissance de « Ducros Raymond« .

Et le 24 juillet suivant, toujours en 1931, paraîtra, toujours dans L’Écho d’Alger, le faire-part du décès, survenu le 19 juillet 1931, à Azazga, de la mère de Henri Ducros :

« Avis de décès. Azazga – Port-Gueydon. Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri _ le fils d’un précédent mariage (avec une dame Gibal) de Henri Ducros, né à Aumale au mois de septembre 1921 (Cf L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921) ; et mon article du 12 janvier dernier : _, et leurs familles, ont la douleur de vous faire part du décès de leur mère, grand-mère et parente  Madame Veuve Henri DUCROS, née ROUSSEL Philomène, décédée à Azazga, à l’âge de 71 ans.« 

L’année suivante, dans L’Écho d’Alger du 13 octobre 1932, paraît cette annonce-ci :

« Port-Gueydon – Alger. Décès de Raymond-Amédée Ducros _ le second prénom de l’enfant était le prénom usuel de son grand-père maternel _, survenu à Port-Gueydon le 12 octobre 1932. Obsèques jeudi 13 octobre à 16 heures« .

Et, encore un an plus tard, le 23 octobre 1933, dans l’Écho d’Alger paraissent, d’une part, une annonce :

« Port-Gueydon. Nécrologie. Nous apprenons avec peine le décès à Alger de la petite Raymonde, fille de Mme et M. Ducros du Hauron (sic), administrateur-adjoint de la communauté mixte _ d’Azzefroun. Aux sympathiques parents et à leurs familles, nous offrons nos bien sincères condoléances. » ;

et, d’autre part, un faire-part de décès :

« M. Ducros Henri, administrateur-adjoint à Port-Gueydon, et Mme, née Ducos du Hauron, et leur fils Yves ; les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel, Gentet et leurs parents, font part du décès de leur chère petite Raymonde DUCROS. Ses obsèques auront lieu aujourd’hui à 14 heures. Réunion 54 chemin Yusuf. P. Funèbres de la ville d’Alger. Un seul bureau, mairie. Tél. 86-07 » _ cette adresse, 54 chemin Yusuf à Alger, est désormais celle d’Amédée Ducos du Hauron, récemment veuf alors de son épouse Marie-Louise, décédée, à Agen, un mois plus tôt que la petite Raymonde, le 20 septembre 1933.

J’ignore pour quelles raisons Marie-Louise avait fait ce voyage à Agen ; et qui elle était allée y rencontrer : les cousins Lamarque y étaient-ils encore présents ? Souvenons-nous que l’épouse d’Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976) était Etiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996), fille de Gaston (le frère d’Amédée et beau-frère de Marie-Louise) et de son épouse, née Edmée de Lamarque. Les liens de parenté des Ducos du Hauron demeuraient puissants… A moins que ne vivaient encore là, à Agen, en 1933, les deux sœurs d’Alcide et Louis Ducos du Hauron, et tantes d’Amédée : Marguerite (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) et Louise (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1871) Ducos du Hauron… Cf mon article du mardi 15 décembre 2020 : . La comparaison avec cet article du 15 décembre permet de mesurer certains progrès accomplis par ma recherche de ce précieux entourage familial de Louis Ducos du Hauron…

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet.

La suite, est à venir demain.

Ce vendredi 22 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Objectif à suivre : en apprendre davantage sur la branche « algéroise » des Ducos du Hauron, issue des 5 enfants, nés en Algérie, d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935)

22déc

Suite à une très féconde conversation téléphonique, samedi dernier, avec le très aimable Claude Lamarque,
le dernier né (en 1941) des 10 enfants d’Etiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996) et de son mari _ et aussi cousin _ Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976)
_ Etiennette étant elle-même l’aînée des deux filles de Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) et de son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) _ ;
et après quelques recherches complémentaires à partir des indices que celui-ci m’a très gentiment fournis,
voici surtout les deux articles suivants :
 

Probablement serait-il judicieux d’établir maintenant un contact avec Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ il a été scolarisé à Savigny-sur-Orge au moins à partir de 1966 et jusqu’en 1970 : après l’arrivée en France (et à Savigny-sur-Orge) de ses parents, Roger et Sylvia _  et qui vit aujourd’hui en Espagne) et son fils Cédric (qui travaille et réside, lui, en région parisienne), 
qui ont, à l’occasion, manifesté, me semble-t-il, quelque intérêt pour certains des hommages rendus à leur génial arrière-grand-oncle.
Eux qui descendent de Roger Ducos du Hauron (fils d’Amédée) et son épouse Sylvia,
ils pourraient être à même d’apporter quelques précisions sur cette branche « algérienne » des Ducos du Hauron, 
soient les 5 enfants d’Amédée (1866 – 1935) _ dont Roger… _ et leur descendance,
qui résiste jusqu’ici à mes efforts d’élucidation…
C’est, bien sûr, pas à pas, contact après contact, que la recherche progresse ;
et souvent grâce à la rencontre de témoins de choix…
Ce mardi 22 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa
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