Posts Tagged ‘Amédée Ducos du Hauron

Et découvrir enfin le moment, au mois de mars 1898, de la naissance, à Orléansville, de la fille aînée, Eveline, d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse, depuis le 10 juin 1896, à Orléansville, Marie-Louise Rey : le petite Marie-Aimée-Eveline Ducos…

21fév

Découvrir enfin le moment,

au mois de mars 1898, entre le 24 et le 30 mars _ manque encore la précision du jour précis de cette naissance ! _,

de la naissance, à Orléansville, de la fille aînée, Eveline, d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse _ depuis le 10 juin 1896, à Orléansville ; cf l’avis de « Mariage » du numéro du samedi 13 juin 1896 du Progrès d’Orléansville : « Mercredi dernier _ 10 juin _, a été célébré au milieu d’une affluence considérable d’amis, le mariage de Melle Marie-Louise Rey avec M. Ducos du Hauron rédacteur à la Sous-Préfecture » ; un peu plus précis que le strict avis d’état-civil de la commune d’Orléansville paru le jeudi dans Le Progrès d’Orléansville du samedi 6 juin de la semaine précédente : « Publications : M. Ducos du Hauron, Amédée-Louis, rédacteur à la Sous-Préfecture d’Orléansville, et Delle Rey Marie-Louise, s. p., demeurant à Orléansville « , ce ban de publication de mariages à venir prochainement à Orléansville, dont a fait état Jean-François Rat, et qui m’a tout dernièrement mis sur cette piste (cf mon article du 18 février dernier : « « …)... _ Marie-Louise Rey :

la petite Marie-Aimée-Eveline Ducos ;

ainsi qu’en un bref avis _ très succinct, minimal même… _ de l’état-civil de la commune d’Orléansville _ et pas un vrai faire-part de naissance émis par la famille… _, l’informe le numéro du 31 mars 1898 du Progrès d’Orléansville :

« Naissances :

_ Européens : Fages Marie ; Ducos Marie Aimée Eveline ; Verrier Charles Fernand Gaston

Israélites : 2 jumelles

Indigènes : 3″ _ sans commentaire… _,

telle est l’avancée de l’enquête de ce mercredi 21 février 2024…

Et cela à partir de mon intuition que c’était vers cette année 1898 qu’avait très probablement dû naître, et à Orléansville, la fille aînée d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey, Amédée occupant alors le poste de rédacteur à la Sous-Préfecture d’Orléansville ;

et c’est en épluchant minutieusement chaque numéro, hebdomadaire, du journal local, Le Progrès d’Orléansville _ toujours accessible, lui, alors qu’ont tous disparu les actes d’état-civil de la commune d’Orléansville… _ que j’ai fini par découvrir, dénicher même, l’information…

À propos de cette Eveline Ducos du Hauron, donc, qui décèdera, à l’âge de 40 ans, à Alger, un des derniers jours de décembre de l’année 1938,

comme nous l’a appris _ cf la succession des articles commentant en détails ce faire-part de décès d’Eveline, que j’ai rédigés au mois de janvier 2021, à partir, par exemple, de celui, éminemment crucial, du 13 janvier « «  ; et en allant, ensuite, de celui du 17 janvier « «  à celui du 31 janvier suivant « « … _ l’avis du décès d’Eveline Ducos du Hauron, épouse Ducros, paru dans L’Écho d’Alger en date du 2 janvier 1939,

dont je m’empresse de redonner ici le détail :

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée

Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 »

Ce mercredi 21 février 2024, une certaine boucle de ma recherche débutée, il ya plus de 3 ans, le 6 décembre 2020, par mon article principiel « « ,

vient donc ainsi de trouver _ ou presque ! _ son achèvement :

celle concernant cette évanescente Eveline Ducos du Hauron...

Mais demeurent bien sûr encore quelques autres points aveugles au sein de mon entreprise d’identification, notamment de certains des membres des familles Wachter et Gentet,

ainsi que Confex et Bonopéra,

indirectement alliées _ via les Gentet-Rey d’Orléansville : Adélaïde Gentet et Anatole Rey, les parents de Marie-Louise ; puis l’épouse de Louis Gentet, le tuteur (orléansvillais) de Marie-Louise Rey après les décès successifs, en 1886 et 1890, à Oran, des deux parents de Marie-Louise… _ à la famille Ducos du Hauron d’Algérie,

via, j’y insiste, Orléansville,

qui continuent de me tarauder plus ou moins sourdement :

ainsi laquelle des demoiselles Wachter d’Orléansville est cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » ?

et laquelle des demoiselles Confex, d’Orléansville aussi, est cette « Mme Vve Paul Bonopéra, née Confex » ?..

À suivre..,

et cette recherche _ de réalité historique bien effective ! _ est plus passionnante qu’un roman de fiction !..

Ce mercredi 21 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point d’étape sur de nouvelles avancées de mes recherches sur la branche algérienne-algéroise-orléansvillaise des Ducos du Hauron, à partir d’Amédée et son épouse Marie-Louise Rey…

20fév

Un courriel à quelques amis fait un point un peu utile sur quelques récentes avancées de cette recherche qui me tient très à cœur à propos de la branche algérienne-algéroise-orléansvillaise des Ducos du Hauron,

celle née d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1867 – Alger, 1935) et son épouse (à Orléansville le 10 juin 1896) l’orléansvillaise Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933) ;

Amédée,

le second des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon 1837 – Agen, 1920),

le génial inventeur, à Lectoure en 1868, de la « photographie de couleurs« …

Voici ce point un peu utile :

Chers amis,

 
Suite à deux passionnants coups de fil de membres de la famille Bonopéra d’Orléansville jeudi 12 février dernier, Georges Bonopéra (né à Orléansville le 9 mars 1950) et son fils Matthias (né à Paris 11e le 17 mai 1977),
qui, ayant découvert mon blog sur le web, sont curieux d’en apprendre un peu davantage sur l’histoire de leur famille Bonopéra,
j’ai repris mes recherches sur la généalogie d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey.
 
Toujours en quête de découvrir, en particulier, qui étaient
et Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter,
et sa tante maternelle, Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex…
 
C’est en effet par ce lien aux Gentet (dont Adrienne Gentet, la mère de Marie-Louise Rey ; et Louis Gentet, l’oncle et tuteur de Marie-Louise et sa sœur Aimée-Laurence, qui épousera Victor Gadel à Orléansville le 11 mars 1905…),
que ces noms de Bonopéra et Wachter, ainsi que Ferrand, apparaissent dans certains avis (de naissance, de mariage, et de décès) de la famille Ducos du Hauron,
et que, réciproquement, le nom de Ducos du Hauron apparaît lui aussi dans certains avis (de naissance, de mariage, et de décès) de ces familles qui leur étaient alliées, en Algérie
 
 
Voici donc, ce jour, quelques unes des avancées de la reprise de ma recherche, forcément provisoires,
que viennent préciser
 
 
 
 
En ce moment, je m’interroge sur les allers-retours entre Alger – Paris – Alger (et Orléansville) – Paris, 
de Gaston Ducos du Hauron,
probablement liés à son frère et sa famille, demeurant alors à Orléansville,
où Amédée, entamant sa carrière administrative en Algérie, était alors en poste de rédacteur à la sous-préfecture d’Orléansville :
 
entre
_ le départ d’Algérie de ses parents (ainsi que l’oncle Louis) en novembre 1896, d’abord pour Paris,
_ sa présence à Orléansville attestée le 21 janvier 1897 (notée sur son livret militaire) _ pour quelles raisons ? liées à son frère Amédée ? voire à l’éventuelle naissance, à Orléansville, d’Eveline ?.. Non : celle-ci naîtra l’année suivante seulement : à la fin du mois de mars 1898… _,
_ son mariage avec Edmée de Lamarque à Saint-Mandé le 8 janvier 1898,
_ sa résidence à Alger, 1 rue de l’échelle, attestée à la date du 7 mars 1898 (notée sur son livret militaire) _ une date très proche, en revanche, de la future naissance à Orléansille de sa nièce Eveline, à la fin de ce mois de mars là, entre le 24 et le 30… _,
_ la naissance à Saint-Mandé de sa fille aînée Etiennette (mais Gaston y était- il présent ? ou bien se trouvait-il encore alors en Algérie ?) le 26 novembre 1898
sait-on précisément de quand date le retour définitif en France de Gaston ?
_ sa résidence à Charenton, 31 rue de Saint-Mandé, attestée à la date du 24 avril 1899 (inscrite sur son livret militaire)…
 
Et sait-on où et quand, à quelle occasion, Gaston avait fait la connaissance de sa future épouse Edmée ?
En France métropolitaine, assez probablement
… 
Et bien sûr,
je continue de rechercher
de la naissance (et du décès) de quels enfants a été marquée la vie familiale d’Amédée et son épouse Marie Louise,
depuis leur mariage à Orléansville le mercredi 10 juin 1896 
_  le 4 mars 1927, un très intéressant article de L’Écho d’Alger, à l’occasion d’une grande exposition des Anaglyphes de son oncle Louis Ducos du Hauron au casino d’Alger, indique que, à cette date, en 1927, donc, Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise avaient encore 5 enfants à charge : qui étaient-ils donc, ces 5 enfants ? Eveline, Gérard et Roger, oui ; mais qui sont les deux autres ? Yvonne, née à Orléansville entre le 20 août et le 4 septembre, est décédée à l’âge de 10 mois, à Paris 17e, au domicile de sa tante Alice Ducos du Hauron, le 20 juin 1902 ; et Edmée, née à Lamartine le 8 septembre 1904, est décédée à l’âge de 16 ans, à La Redoute, Birmandreis, le 19 novembre 1920… _ :
 
_ Eveline, dont j’ignore le lieu et la date de naissance  _ Orléansville, au mois de mars 1898 ! une découverte mienne le soir même de ce 20 février 2024 ! _ est décédée à Alger fin décembre 1938, très peu de temps avant le 1er janvier 1939, date de son inhumation, à Alger ;
_ Yvonne -Adélaïde-Madeleine-Alice-Marie, née à Orléansville entre le 20 août et le 4 septembre 1901 ; et décédée à Paris 17e le 20 juin 1902 ;
_ Edmée -Marie-Lyonelle, née à Orléansville le 8 septembre 1904 ; et décédée à La Redoute, Birmandreis le 19 novembre 1920 ;
_ Gérard -Yves-Alcide, né à Berrouaghia le 30 août 1909 ; et décédé à Avignon le 27 janvier 2000 ;
_ Roger -Louis, né à Alger le 13 juillet 1918 ; j’ignore le lieu la date de son décès (à son arrivée d’Algérie, il a résidé, à son tour, à Savigny-sur-Orge) ;
je sais seulement que Roger a épousé à Alger le 5 octobre 1940 Sylvia -Adrienne Schiano-Lomoriello (qui décèdera à Rennes le 13 novembre 2002 ;
et qu’ils auront 4 enfants :
_ Marie-José -Sylvia (Alger, 4 avril 1944 – Langrolaye-sur-Rance, 26 décembre 2009)
_ Jean-Louis (né en 1953)
_ Danielle
_ Denise…
 
Au décès d’Eveline,
son avis de décès paru le 2 janvier 1939 dans L’Echo d’Alger,
témoigne que la défunte n’avait plus alors que 2 frères en vie : Gérard (né en 1909) et Roger (né en 1918)…
 
Voilà où j’en suis.
 
Et j’apprends beaucoup sur la vie quotidienne des familles en Algérie à ces époques d’avant 1940…
 
Bien à vous,
 
Francis, à Bordeaux
Ce mardi 20 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Suite des précisions à éclaircir à propos des croisements de quelques familles orléansvillaises et puis alliées, à la fin du XIXe siècle et au début du suivant, jusqu’en les années 40, en commençant par les Gentet ; ou un pan de micro-histoire de l’Algérie méconnue…

09fév

Dans la continuité de mon article d’avant-hier 7 février « « ,

je me penche ce jour sur les venues à Orléansville, fondée en 1843 par le général Bugeaud, des familles qui s’y sont ensuite alliées entre elles,

en commençant par la famille des Gentet _ originaires de Satolas, tout au nord de la Drome, et dont la présence à Orléansville même est attestée dès 1848 ; cf le détail des précisions en mon article «  » en date du 1er janvier 2021… _ avec des Rey, puis avec un Ducos du Hauron (Amédée) et des Gadel (Victor-Nicolas-Benjamin, mais avant lui déjà son père Victor-Alexandre-Philémon Gadel) _ ces Rey dont sont en effet issus les Gentet-Rey-Ducos du Hauron, via le mariage (probablement en janvier 1897 à Orléansville) entre Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) et Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935), ainsi que les Gentet-Rey-Gadel, via le mariage, le 11 mars 1905 à Orléansville, entre Aimée-Laurence Rey (probablement née à Orléansville, et probablement décédée à Alger…) et Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), lui-même fils de Marie-Eugénie-Hortense Rey (Le Grand-Serre, 21 mars 1848 – Le Grand-Serre, 9 septembre 1880) et Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1836 – Marseille, 27 septembre 1927) ; cf mes articles « «  en date du 1er décembre 2021, et « « , en date du 6 mars 2021, dans lequel est présenté la sororité de Marie-Eugénie-Hortense Rey, née au Grand-Serre le 21 mars 1848, avec son frère aîné Jean-Anatole-Firmin Rey, né au Grand-Serre le 11 janvier 1845 : le marié Victor Gadel est ainsi, par sa mère née Rey, le cousin germain de la mariée Aimée-Laurence Rey (cf mon article « «  en date du 1er décembre 2021)… _,

 

mais aussi les Gentet et les Wachter, ainsi que les Morand de La Genevray et les Bonopéra,

et pas mal d’autres encore, tels les Ferrand, les Bure, les Ducros,

aux alliances desquels, avec notamment, et surtout, des Wachter _ issus du mariage, à Mustapha, le 26 mai 1857, entre Élisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – probablement Orléansville, à une date encore inconnue de moi) ; ce couple Wachter dont une des filles deviendra, le 2 août 1906, à Orléansville, la veuve de Louis Gentet ; et dont une des sœurs Confex (d’Élisabeth) deviendra, le 18 janvier 1916, la veuve de Paul Bonopéra-père (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), cette veuve Paul Bonopéra là (née Confex), survivant à sa sœur Élisabeth Confex, veuve Wachter, décédée à Alger le 30 mars 1925, ainsi que le remarque bien la nécrologie de cette dernière, parue dans Le Progrès d’Orléansville du 2 avril 1925 _, ainsi qu’entre ceux-ci, à Orléansville ou dans ses alentours, je me suis forcément intéressé…

Et cela afin de mettre bien en lumière le lien d’apparentement _ par la dame Wachter (et nièce d’Élisabeth Confex), veuve de Louis Gentet, le tuteur de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron et mère de ses enfants, ainsi que d’Aimée-Laurence Rey, l’épouse de Victor Gadel et mère de ses enfants ; dame Wachter veuve Gentet qui se trouve être aussi la nièce de la veuve de Paul Bonpéra-père : ce qui justifie la présence de ce nom de Bonopéra dans les avis des décès ayant affecté la famille Ducos du Hauron et la famille Gadel… _ entre la famille orléansvillaise des Bonopéra avec la branche algérienne-algéroise de la famille Ducos du Hauron _ mon focus originaire de recherche _,

comme il vient de m’avoir été très aimablement demandé de préciser par Matthias Bonopéra…

 

Bien sûr, et forcément, à suivre : c’est passionnant,

en particulier par ce que cela apprend _ en forme de micro-histoire… _, de la vie d’intimité chaleureuse et partagée de ces communautés villageoises de la période coloniale de l’Algérie, entre 1830 et 1940…

Ce vendredi 9 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un premier point sur les croisements de quelques destinées à Orléansville, au cours de la seconde moitié du XIXe sièle : les Gentet, les Rey, les Morand de La Genevray, les Bonopéra, les Wachter …et Amédée Ducos du Hauron…

07fév

Les passionnantes questions que m’ont posées au téléphone jeudi 1er février dernier deux des membres de la famille Bonopéra,

m’ont conduit à reprendre pour les préciser quelques points demeurés jusqu’ici aveugles de mes recherches précédentes, entreprises en 2020-21 principalement, à partir de mon désir de mieux comprendre le parcours en Algérie _ dont Orléansville, où très probablement il s’est marié, avec l’orléansvillaise Marie-Louise Rey… _ du neveu, Amédée Ducos du Hauron (Agen 1867 – Alger, 1935), du génial inventeur de la « photographie de couleurs » _ à Lectoure en 1869 _, Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

ainsi qu’en témoigne mon article «  » du 4 février dernier…

Pas mal de difficultés de la recherche _ et de points demeuré aveugles _ venant de la totale destruction-disparition des états-civils _ naissances, mariages, décès _ d’Orléansville _ fondée par le général Bugeaud le 16 mai 1843 _ et sa région lors des terribles séismes de 1954, puis 1980…

Il me faut donc tâcher de revenir davantage bien plus précisément sur ces croisées de destins, à Orléansville même, de divers membres des familles Gentet, Rey, Morand de La Genevraye, Bonopéra, Wachter, ainsi que le jeune Amédée Ducos du Hauron, qui allait épouser _ possiblement en 1897, comme pourraient l’indiquer quelques mentions des livrets militaires d’Amédée, mais aussi de son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912)… _ à Orléansville, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 1933), fille d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 1886) et Anatole Rey (Le Grand-Serre, 1845  – Oran, 1890 _ qui a été maire d’Orléanville en 1880-1882… _),

la pupille _ devenue doublement orpheline, donc, le 28 janvier 1890 à la mort de son père _ de son oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) et son épouse, née Wachter _ mais dont j’ignore encore à ce jour  le prénom, ainsi que la date de décès, probablement à Orléansville _, nièce d’Élisabeth Confex (Marseille, 26 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), épouse puis veuve Wachter (de Jean-Baptiste-Antoine Wachter : Rougemont, 5 février 1827  – Orléansville, ?)…

Et Élisabeth Confex étant sœur de celle, née donc elle aussi Confex _ mais dont j’ignore encore à ce jour aussi le prénom, ainsi que la date de décès, probablement à Orléansville _, qui deviendra en 1916 la veuve de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), elle-même tante maternelle de sa nièce Wachter, épouse _ j’ignore à quelle date _ puis veuve _ le 2 août 1906  _ Gentet… ;

Et Paul Bonopéra étant le frère de Marguerite Bonopéra (Miliana, 1849 – Orléansville, ?), épouse d’Auguste Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), qui était maire d’Orléanville au moment de son décès le 25 mai 1904 _ Marguerite était décédée quelques années plus tôt : entre 1892 et 1901 ; cf surtout mon article « «  du 23 février 2021. La destruction des archives d’état-civil d’Orléansville et toute sa région lors des terribles séismes de 1954 et 1980 pénalise énormément les efforts de recherche…

Il est donc intéressant de mener une recherche un peu approfondie sur les installations successives à Orléansville de ces diverses familles : les Gentet, les Rey, les Morand de La Genevray, les Bonopéra, les Wachter, ainsi que l’arrivée à Orléansville d’Amédée Ducos du Hauron, au poste de rédacteur à la sous-préfecture d’Orléansville, et avant d’entamer une carrière itinérante, au mois de janvier 1901, d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes de par toute l’Algérie (cf mon article « « , en date du 5 janvier 2021) ;

à Orléansville, donc, où Amédée Ducos du Hauron devait épouser Marie-Louise Rey, possiblement en janvier 1897, si l’on s’appuie sur la liste des mentions de quelques localités où ont résidé _ où pouvoir les joindre au plus vite en cas de mobilisation générale… _, d’une part Marie-Louis-Amédée, et d’autre part son frère Gaston Ducos du Hauron, en leurs registres-matricules militaires respectifs : Amédée, le 18 avril 1895, et Gaston, le 21 janvier 1897, se trouvent donc résider alors à Orléansville :

je suppose ainsi ici que Gaston se serait déplacé, de son domicile-résidence d’Alger, à Orléansville, afin d’assister assez probablement au mariage de son frère aîné Amédée avec l’orléansvillaise Marie -Louise Rey, née en 1879 _ en janvier 1897, Marie-Louise a donc 17 ou 18 ans ; et Amédée, né à Agen  le 24 mars 1867, bientôt 30 ans ;

Marie-Louise Rey, orpheline de ses deux parents (sa mère, Adélaïde Gentet, est décédée à Oran le 5 juillet 1886 ; et son père, Anatole Rey, est décédé à Oran le 28 janvier 1890), vit ainsi à Orléansville au domicile de son oncle maternel  et tuteur, voilà !, Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) et son épouse née Wachter, qui est une nièce de la future veuve Bonopéra, née Confex (cf mon article « «  en date du 1er décembre 2021) ;

cf aussi mon article « «  en date du 4 janvier 2021, à propos des dates de naissance des divers enfants du couple d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey _ une tâche toujours inachevée de ma part à ce jour… _,

Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey dont les trois premières nées sont les petites

Eveline _ date et lieu de naissance encore inconnus à ce jour : Eveline, qui décèdera à Alger à la toute fin du mois de décembre 1938 (cf ici mon article « « , en date du 18 janvier 2021), est probablement née à Orléansville, entre 1896 et 1901 _,

Yvonne-Marie-Aimée (née à Orléansville au mois d’aût 1901, décédée à Paris 17e, au domicile de sa tante Marie-Alice Ducos du Hauron _ Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971 _, 27 rue des Batignolles, à l’âge de 10 mois, le 19 juin 1902 (cf mes articles «  » du 19 juillet 2023, surtout, mais aussi «  « , du 5 novembre 2021),

et Edmée (née à Lamartine le 9 juillet 1904 (selon une rubrique « Naissances » du Progrès d’Orléansville, en date du 8 septembre 1904) _ mais, du fait de la disparition des archives d’état-civil d’Orléansville et sa région, j’ignore encore le lieu (possiblement Orléansville, ou sa région) et la date du décès de celle-ci…

Viendront plus tard deux garçons

Gérard-Yves-Alcide, né à Berrouaghia le 30 août 1909, et qui décédera à Avignon le 27 janvier 2000,

et Louis-Roger Ducos du Hauron : j’ignore encore le lieu et la date de sa naissance, de même que le lieu et la date de son décès ;

mais tous deux, Gérard _ alors âgé de 30 ans _ et Roger _ plus jeune _, figurent dans le très précieux _ pour notre recherche _ faire-part du décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, leur sœur aînée, paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, à la page 6 _ cf de nouveau mon article «  » du 17 janvier 2021 _ :

« M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ; MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger _ les deux frères de la défunte _ ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité, le 1er janvier 1939.«

À cette date du 2 janvier 1939, au lendemain du décès de leur sœur Eveline, de cette fratrie d’au moins 5 enfants d’Amédée Ducos du Hauron (décédé à Alger le 15 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (décédée à Agen le 20 septembre 1933), ne demeurent ainsi plus en vie que Gérard et Roger… 

Bien sûr à suivre…

Ce mercredi 7 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un bref rappel rétrospectif : les tous premiers encouragements de Joël Petitjean à mon travail de recherche, absolument original, à propos de la descendance des trois neveux (Amédée, Gaston et Raymond) de Louis Ducos du Hauron, en date des 24 et 25 septembre 2021…

22juil

En matière de bref recul rétrospectif sur mon patient et suivi travail de recherche _ débuté très précisément le dimanche 6 décembre 2020, avec mon article « «  ; cf mon tout premier article consacré à ma découverte de Louis Ducos du Hauron (dont j’ignorais jusque là jusquà l’existence !!!), en date du jeudi 2 décembre 2020 : « «  _ sur la descendance des trois neveux, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et Raymond de Bercegol, de Louis Ducos du Hauron,

voici,

en forme de témoignage de l’amorce de notre amicale et féconde correspondance,

ces deux courriels reçus de Joël Petitjean en date des 24 et 25 septembre 2021 :

_ d’abord, celui-ci, en date du 24 septembre 2021, à 19h 58 :

« Cher Monsieur,

 
Il y a quelques mois _ décembre 2020… _, Claude Lamarque, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message, et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail _ et je retiens, bien sûr, cette extraordinaire expression ! _ (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) _ Wow !!! et c’est bien sûr moi qui mets cela en rouge _ ; je suis donc un de vos lecteurs assidus _ re-wow !
 
Vous m’avez beaucoup appris _ voilà qui grandement m’honore !
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean« …

Avec ma réponse du lendemain, le 25 septembre, à 11h  02 :

« Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé, et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, 
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie _ Alger, Orléansville, etc. _ d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient de près, puis de plus loin, apparentées,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, collaboré _ Amédée lui aussi ! pas seulement Gaston et Raymond ; et il faudra assurément revenir le creuser !.. _ à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses _ me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages _ tout particulièrement en Algérie, et notamment à Orléansville et sa région…
Je me suis pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance _ glanées via le web… _, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (1914 – 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Étrangers (G. T. E.) ; puis à Toulouse et à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (1914 – 1999) _ ma mère (1918 – 2008) est née Marie-France Bioy : elle était LA mémoire de la famille… 

Puis, sur la généalogie basquaise de la mère _ Marie Delouart (1840 – 1917) _ de Maurice Ravel (1875 – 1937) : 
j’ai ainsi appris à une luzienne _ Maylen Lenoir, née Gaudin _ le cousinage effectif _ ignoré et même nié jusque là !!! _ de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (1824 – 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (1809 – 1874),
était la gouvernante des enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (1875 – 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres de 1910  et 1914, à l’occasion des décès de Charles Gaudin, puis de ses frères Pierre (1878 – 1914) et Pascal (1883 – 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
 
Je suis bien sûr en lien constant avec le Président des Amis de Maurice Ravel, Manuel Cornejo, l’éditeur de la Correspondance de Maurice Ravel,
de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique _ni recherche originale de leur part ! _, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo en tiendra compte lors de la réédition à venir de cette très précieuse Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père de Jean-Paul Sartre était originaire de Thiviers, en Dordogne.
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
 
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué…
 
Voici mon numéro de téléphone : …
Et mon adresse : Francis Lippa …
 
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
 
Francis« …

Suivi de la réponse immédiate de Joël Petitjean, en date de ce même 25 septembre 2021, à 12h 48,

qui a constitué pour moi un encouragement magnifique, ainsi que le début d’une amitié de chercheurs curieux, honnêtes et généreux dans le partage de leurs découvertes… :

« Cher Monsieur,

Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron _ Wow !!!
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son œuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours _ telle était en effet l’intuition originaire qui m’a animé dès le départ….
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?) _ Claude Lamarque va bien, m’a répondu à Lectoure samedi dernier 15 juillet son neveu Louis Allard, auprès duquel je m’enquérais de nouvelles de son oncle Claude…
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives que j’ai retrouvées, je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre en place _ voilà ce qui est nécessaire à de telles entreprises ! _ à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ du 27 novembre 2021 _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles _ Sarion _ et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur« …

Voilà.

Le fait d’une pareille reconnaissance, précoce, de mon travail de recherche absolument original, et publié sur mon blog « En cherchant bien » dès le 6 décembre 2020, à propos des trois neveux de Louis Ducos du Hauron, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et leur cousin Raymond de Bercegol, ainsi que de la descendance de chacun d’eux trois, est on ne peut plus précieux pour moi, tout particulièrement de la part d’un chercheur aussi compétent et admirable que Joël Petitjean…

D’autant que Joël Petitjean m’a confirmé, samedi dernier, à Lectoure, qu’il continuait de suivre régulièrement la publication de mes articles sur mon blog…

À suivre…

Ce samedi 22 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

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