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La perpétuation du prénom « Jenny » dans la généalogie des Revillon d’Apreval à partir du couple d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 1828 – Orléansville, 1893) et Jenny-Caroline Morisset (Paris, 1835 – Paris, 1905), suite : cette fois la branche issue de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger, 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – après 1935)…

14mar

Dans la continuité de mes articles à propos de la descendance du couple Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, après 1888) -Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904),

du 3 mars 2024 « « ,

du 4 mars 2024 « « ,

et du 6 mars 2024 « « ,

et immédiatement à la suite de mon article d’avant-hier lundi 11 mars « « ,

je m’intéresse aujourdhui à la perpétuation de ce prénom « Jenny » dans la généalogie des Revillon d’Apreval à partir du couple d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval (Nîmes, 1828 – Orléansville, 1893) et Jenny-Caroline Morisset (Paris, 1835 – Paris, 1905) _ et c’est bien de cette Jenny-ci, Jenny-Caroline Morisset (Paris, 29 septembre 1835 – Paris, 9 novembre 1905), que provient la perpétuation de ce prénom de Jenny au sein de la descendance Revillon d’Apreval de celle-ci _,

mais cette fois dans la branche issue de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger, 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – après 1935)

Le couple formé de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 27 décembre 1856 – Alger 1946) et sa seconde épouse Angèle Morand de la Genevraye (Orléansville, 1870 – après 1935),

mariés à Orléansville _ entre le décès d’Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, à Orléansville le 8 février 1895, et la naissance de leur premier né, René-Paul d’Apreval, né à Orléanville le 9 octobre 1896 _,

comportera trois enfants :

1) René-Paul d’Apreval, né à Orléanville le 9 octobre 1896 et qui décèdera _ cf son livret militaire classe 1916 qui fournit cette ultime date de 1962 _ après 1962,

et qui épousera à Alger, le 20 avril 1922, Lucienne-Jeanne Chesneau, institutrice de profession ; le couple aura trois enfants :

_ d’abord Jenny d’Apreval, née à Alger le 15 février 1920, et qui décèderaà Beauchamp (Val d’Oise) le 22 novembre 1999 ; celle-ci épousera Jean-Albert-Maurice Cuignache (Ablon-Sur-Seine, 11 décembre 1923 – L’Isle-Adam, 4 juin 2015) ; lesquels ont eu trois enfants :

     _ Marie-Françoise-Lucienne-Jeanne-Micheline Cuignache (Saint-Mandé, 20 mai 1953 – Vélizy-Villacoublais, 18 mai 2007), qui épousera Jean-Louis Profit ; lesquels auront quatre enfants Profit : Charlotte Profit, Olivia Profit, Nicolas Profit, ainsi que Caroline-Tamara-Gabrielle-Jenny Profit (née à Paris 14e le 9 novembre 1986 et décédée à Paris 15e le 6 mars 1987) ;

     _ Philippe-Lucien-Georges Cuignache (né à Saint-Mandé le 22 avril 1955), époux d’Edith-Marie-Marguerite-Tamara Gallois (née à Paris 14e le 9 janvier 1959) ; qui ont trois enfants Cuignache : Alexandre Cuignache (né à Paris 14e le 11 août 1984), époux de Christine Le Tual Laheudrie (née à Paris 16e le 4 mai 1983), et parents à leur tour de trois enfants Cuignache : Charles Cuignache, Mathilde Cuignache et Tatiana Cuignache ; puis Clémence-Anastasia-Marguerite-Marie Cuignache, née à Paris 14e, épouse, à Urrugne, le 28 juin 2013, de Vsevolod Aleksandrovitch Ioffé-Houdiakov ; puis Claire-Ludmilla-Jenny-Henriette Cuignache, née à Paris 14e le 3 janvier 1988, épouse le 16 juin 2023 de Jean de Bagneux ;

     _ et enfin Sophie Cuignache.

_ puis Micheline d’Apreval ;

_ et enfin Alain d’Apreval, né en 1937, et qui décèdera à Nice le 24 juillet 2017 ; qui épousera une prénommée Mireille ;

avec laquelle il aura une fille Amandine d’Apreval,

mère à son tour d’un garçon prénommé Antoine _ sans davantage de précisions jusqu’ici…

2) Marcel Ale d’Apreval (Alger 8 novembre 1898 – 21 avril 1902) _ cf les mentions de son livret militaire.

3) Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (Alger 28 novembre 1899 – ?, ? _ cf ici son livret militaire _), qui épousera à Paris le 28 octobre 1927 Amélie-Louise Legeard (née à Rennes le 26 septembre 1902 et décédée à Agen le 28 décembre 1975) ;

avec laquelle celui-cil aura trois enfants Revillon d’Apreval :

     _ d’abord, l’aîné de Lucien-Georges-Omar :

 _ Georges-Louis Revillon d’Apreval (Affreville, 26 février 1928 – Fréjus, 26 avril 2023) qui épouser Liliane-Amélie-Marie Lacombe (née à          Affreville le 21 novembre 1929), avec laquelle il aura quatre enfants :

          _ d’abord Nicole-Geneviève-Amélie Revillon d’Apreval (née à Affreville au mois de novembre 1952) ;

          _ puis Pierre-Eugène-Lucien Revillon d’Apreval (né à Affreville le 20 juin 1954), qui a épousé à Saint-Nicolas-de-la-Balerme, Lot et Garonne) le 26 août 1978 Marie-Christine Rande (née en 1963) ;

          _ puis Hélène-Lucienne-Marie Revillon d’Apreval (née à Affreville le 13 mars 1958) ;

          _ et enfin Jacques-Daniel-Louis Revillon d’Apreval (Agen, 22 août 1959 – Puget-sur-Argens, 19 septembre 2011), époux, à Agen, le 2 juin 1979, de Véronique-Anne Barriant (née à Périgueux le 19 janvier 1962), dont il divorcera à Draguignan le 5 octobre 1990.

À la génération suivante, celle des petits-enfants de Georges-Louis Revillon d’Apreval (1928 – 2023) et son épouse Liliane-Amélie-Marie Lacombe (1930),

sont présents deux petits-enfants Revillon d’Apreval identifiés jusqu’ici ;

     _ Fabien-Paul-Georges Revillon d’Apreval (Agen, 22 juillet 1979 – Roquebrune-sur-Argens, 6 février 2019)

_ et Lauriane-Océane Revillon d’Apreval (née au mois de décembre 1991) _ et

 

 

;

mais encore trois autres enfants que je n’ai pas réussi à identifier jusqu’ici…

Et à la génération suivante encore,

existe aussi une petite Zoé Revillon d’Apreval (née au mois de juin 2018) ;

sans que je sois ce jour en mesure d’indiquer si ces divers enfants qui portent le patronyme de Revillon d’Apreval, Fabien et Lauriane, et petits-enfants, Zoé, sont des descendants ou bien de Pierre-Eugène-Lucien Revillon d’Apreval (1954), ou bien de son frère Jacques Revillon d’Apreval (1959 – 2011)…

Et enfin, la cadette de Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval (1899 – ?) et son épouse Amélie-Louise Legeard (1902 – 1975) :

_ Jeanine-Paule Revillon d’Apreval (Affreville, 4 juin 1929 – Jacou, Hérault, 22 février 2023).

Et encore un troisième enfant Revillon d’Apreval…

À suivre et à améliorer…

Ce jeudi 14 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Qui sont les ascendants de Georges-Auguste Revillon d’Apreval (Saint-Prix, 1856 – Alger 1946) ?

06mar

Ce mercredi 6 mars,

en continuation des recherches ayant donné lieu à mon article «  » du lundi 4 mars dernier,

je me suis attaché à rechercher des précisions concernant l’époux successif des deux sœurs Augustine-Marguerite (1867 – Orléansville, 8 février 1895) et Angèle (1870 – au moins après octobre 1935) Morand de la Genevraye, Georges-Auguste Revilllon d’Apreval,

né à Saint-Prix (Seine et Oise) le 27 décembre 1856, et qui décèdera à Alger, à l’âge de 90 ans, en 1946…

Celui-ci, Georges-Auguste Revillon d’Apreval, est le fils d’Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval, né à Nîmes le 30 mai 1828 et décédé à Orléansville le 13 janvier 1898 _ cf la reconnnaissance de paternité de son père Marie-Lambert Revillon d’Apreval, alors âgé de 28 ans (et artiste dramatique), réalisée à Nîmes le 13 février 1828 ; sa mère étant Rose-Adélaïde Mériel, alors âgée de 32 ans _, et son épouse Jenny-Caroline Morisset, née à Paris le 21 septembre 1835, et décédée à Paris le 9 ou le 10 novembre 1905 (elle a été inhumée au Père Lachaise le 11 novembre 1905).

un frère de Georges-Auguste, Edouard-Arthur Dapreval, né à Saint-Prix le 3 janvier 1858, décèdera au domicile de ses parents, à Paris rue du Faubourg-Saint-Denis, le 5 octobre 1864, à l’âge de six ans et demi…

Et Georges-Auguste Revillon d’Apreval est le petit-fils de Marie-Lambert Revillon d’Apreval, né à Paris le 9 novembre 1799, et décédé à Rochefort le 16 novembre 1871. et de la première compagne de celui-ci, Rose-Adélaïde Mériel, née à Orglandes (Manche) le 19 novembre 1797, et décédée le 31 juillet 1845 ; Marie-Lambert Revillon-Dapreval (sic) et Adélaïde Mériel se sont mariés à Genève le 11 mars 1832., ainsi qu’en témoigne une annonce de mariage du Journal de Genève _ outre leur fils Auguste-Alphonse-Virgile-Henri Revillon d’Apreval, le couple formé de Marie-Lambert Revillon d’Apreval et sa compagne Rose-Adélaïde Mériel, aura eu aussi une fille, Mélanie-Hyacinthe Hortense Revillon d’Apreval, née à Gaud (Marne), décédée à l’âge de 41 ans à Paris le 11 juillet 1870, que viendra déclarer à la mairie du 17e arrondissement de Paris son frère Henri-Virgile-Auguste-Alphonse Revillon d’Apreval, âgé de 42 ans…

Après le décès de sa première épouse Rose-Adélaïde Mériel, Marie-Lambert Revillon d’Apreval s’est remarié à Rochefort le 6 octobre 1866 avec Élisabeth Bertin, née à Rochefort le 5 mai 1827,

dont il a eu deux enfants : un fils, Gustave-Alphonse Revillon d’Apreval, né à Paris 4e le 1er novembre 1851 et qui décèdera le 22 février 1915 _ qui deviendra un peintre et entomologiste connu _, et une fille, Mélanie-Hyacinthe Revillon d’Apreval, née à Gaud (Marne), et décédée à Paris 17e le 11 juillet 1870.

Je relève aussi que le 9 novembre 1872, le journal Les Tablettes des Deux Charentes fait état d’une vente par autorité de justice le 21 novembre 1872, par Me Brouillet, notaire à Rochefort, sur poursuites en liquidation et partage, dirigées par M. Henri-Virgile Revillon d’Apreval _ le père de notre Georges-Auguste, né à Saint-Prix le 27 décembre 1856… _, négociant en tissus à Paris, et Mme Hortense Revillon d’Apreval, épouse de M. Pierre-Louis-Eugène Pouillet, contre Mme Élisabeth Bertin, veuve de M. Marie-Lambert Revillon d’Apreval, à Rochefort, et M. Gustave-Alphonse Revillon d’Apreval, fils, à Rochefort lui aussi _ celui-ci, demi-frère de Henri-Virgile (qui a 45 ans), a alors tout juste 21 ans ; quant à Georges-Auguste, à cette date de novembre 1872, il va avoir 12 ans le 27 décembre… 

Ainsi avançons-nous pas à pas dans les dédales de ces généalogies orléansvillaises…

Ce mercredi 6 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

En préambule à la poursuite de ma recherche généalogique des descendants des deux soeurs Augustine-Marie et Angèle Morand de la Genevraye, épouses successives (vers 1886 et l’année 1895) de Georges-Auguste Revillon d’Apreval : lecture-déchiffrage d’une notification d’hypothèque légales, parue dans Le Progrès d’Orléansville le 16 janvier 1908…

04mar

Dés ce lundi matin de bonne heure,

je poursuis mon début de « point généalogique » entrepris hier dimanche en mon article « « ,

en commençant, en ouverture de cet article, par me pencher sur une notification de déclaration d’hypothèques légales, en novembre 1907 – janvier 1908, à effectuer par qui de droit « pour qu’ils aient à prendre telle inscription d’hypothèques légales qu’ils aviseraient dans le délai de deux mois, et que, faute par eux de se mettre en règle dans ce délai, les immeubles dont il s’agit seraient et demeureraient définitivement purgés et libérés, entre les mains du requérant, de toutes hypothèques de cette nature » adressée ainsi aux deux enfants encore mineurs, Auguste-Georges (âgé alors de 20 ans ; celui-ci est en effet né à Orléansville le 15 septembre 1887) et sa sœur Jenny d’Apreval (âgée alors de 19 ans ; celle-ci est née à Orléansville le 15 août 1888), de l’avoué Georges-Auguste d’Apreval et sa première (et défunte, : celle-ci est en effet décédée à Orléansville le 8 février 1895) épouse née (en 1867) Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, ainsi qu’à l’oncle et « subrogé tuteur«  de ces deux enfants encore mineurs, l’oncle maternel Jules-Charles Morand de la Genevraye (maintenant âgé de 26 ans, en janvier 1908 ; celui-ci est en effet né à Orléansville le 17 juin 1881), frère de la défunte Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye,

concernant un lot d’immeubles vendus « moyennant un prix de vingt-trois mille francs » le 22 novembre 1907, en l’étude de Me Charles Bonnet, notaire à Ténès, par le père de ces deux enfants, l’avoué Georges-Auguste d’Apreval (âgé de tout juste 50 ans, ce mois de janvier 1908 ; celui-ci est en effet né à Saint-Prix, département de Seine et Oise, le 27 décembre 1858 ; et il est désormais « avoué près le Tribunal Civil de première instance de Blida« …), et sa seconde épouse née Angèle Morand de la Genevraye, elle-même tante maternelle des deux enfants, parce que sœur tant de la défunte Augustine-Marie Morand de la Genevraye que de leur oncle « subrogé tuteur » Jules-Charles Morand de la Genevraye,

telle que cette situation juridique est apparue en un encart détaillé _ à lire ici _ de l’étude de ce notaire Charles Bonnet de Ténès, sous le titre « Purge d’hypothèques légales« , dans le numéro du 16 janvier 1908 du journal Le Progrès d’Orléansville, à propos des conséquences légales à respecter concernant les suites de cette vente effectuée le 22 novembre 1907 par M. Georges d’Apreval et son épouse Angèle Morand de la Genevraye, en l’étude de Maître Charles Bonnet, de divers immeubles situés sur le territoire de Trois-Palmiers, commune mixte de Ténès…

Au-delà des simples procédures légales à obligatoirement respecter en pareille situation de vente de propriétés, il se pourrait que la publication d’un tel encart dans Le Progrès d’Orléansville, puisse aussi signifier quelque éventuelle difficulté de relations (ou simplement de communication) entre, d’une part, le père et la tante, Georges-Auguste d’Apreval et sa seconde épouse Angèle, née Morand de la Genevraye, de ces deux enfants (père et tante qui sont aussi le beau-frère et la sœur de leur « subrogé tuteur« ) et, d’autre part, ces deux enfants, Auguste-Charles et Jenny d’Apreval, et leur oncle « subrogé tuteur« , Jules-Charles Morand de la Genevraye ;

mais sans doute, ignare que je suis en matière de Droit, suis-je ici en train de me figurer complètement à tort des conflits familiaux qui n’ont pas du tout existé…

Serons-nous en mesure d’en apprendre davantage sur les relations entre le père _ Georges-Auguste _ et la tante _ Angèle _ d’Auguste-Georges et Jenny d’Apreval, avec leur fils et neveu _ Auguste-Georges _ et fille et nièce _ Jenny-Marguerite _ ?.. Ainsi qu’avec leur beau-frère et frère _ Jules-Charles _ ?

D’ores-et-déjà je puis cependant affirmer que Georges-Auguste d’Apreval, le père, sera bien présent, trois années plus tard, le 19 avril 1011, au mariage de sa fille Jenny-Marguerite d’Apreval, à Blida _ où celle-ci est explicitement déclarée résider dans l’acte de mariage ; et cela est on ne peut plus significatif des liens de celle-ci avec son père et sa tante, l’épouse de celui-ci… _, avec Hugo-Alphonse Maréchal : consulter ici l’acte d’état-civil de ce mariage à Blida : « la comparante procédant avec l’assistance de son père, ici présent et expressément consentant« , est-il ainsi, et comme c’est la loi, très explicitement mentionné…

Pour ce qui concerne, cette fois, le mariage d’Auguste-Georges d’Apreval, avec Vincente Hermence Rodrigues _ fille de Mme Marie Rodriguès, d’après le faire-part de décès du petit Georges-Lucien d’Apreval, élève au collège de Bône, décédé accidentellement à l’âge de 16 ans, paru dans L’Écho d’Alger du 16 juin 1925… _, faute d’avoir pu prendre connaissance de l’acte d’état-civil de ce mariage, j’en ignore pour le moment et le lieu _ peut-être Alger, où Auguste-Georges, qui deviendra de profession « hôtelier« , dirigea un certain temps l’Hôtel Oriental, avant de prendre en charge la rénovation et la direction du Grand Hôtel et Hôtel d’Orient, à Bône.; cf aussi cette mention du statut d’« hôtelier« , remplaçant, rajoutée au crayon, celle d‘ »étudiant » inscrite à l’ncre au moment du conseil de révision, en 1907, sur le livret militaire d’Auguste-Georges d’Apreval… _ et la date ; ainsi que la présence ou pas de son père Georges-Auguste et sa tante Angèle à ce mariage avec la demoiselle Rodriguès.

Il va simplement me falloir poursuivre plus avant mes recherches à ce sujet, qui hier n’avaient pas avancé au moins sur ce point-là…

Et pour en revenir à la mention de l’oncle maternel Jules-Charles Morand de la Genevraye comme « subrogé tuteur » de ses neveu et nièce Auguste-Georges et Jenny-Marguerite d’Apreval, je m’étonne simplement de la présence de ce statut légal de « subrogé tuteur » de cet oncle,  alors que Auguste-Georges et Jenny-Marguerite d’Apreval ne sont pas orphelins de leur père, George-Auguste Revillon d’Apreval…

Ici encore, mes connaissance en matière de Droit sont défaillantes…

Mais il me semble que la nomination légale d’un « subrogé tuteur« , et n’appartenant pas à la branche du parent survivant, mais à celle du parent décédé, ne peut avoir lieu que lors de soupçons suffisamment justifiés d’une insuffisance de garanties de sauvegarde des droits légitimes du mineur de la part des actions éventuelles du tuteur légal ; ce qu’est un père légitime lors du décès de la mère de l’enfant mineur…

Alors, il est possible que certains membres de la famille des Morand de la Genevraye n’avaient pas une confiance absolue envers les menées éventuelles de Georges-Auguste Revillon d’Apreval envers les enfants de sa défunte épouse Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye; enfants mineurs dont il s’agissait alors, en 1895, de surveiller la sauvegarde des droits patrimoniaux…

À suivre…

Ce lundi 4 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Commencer par faire un point sur l’arbre généalogique des deux filles aînées, Augustine-Marguerite et Angèle, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra, épouses successives, vers 1886 et l’année 1895, de Georges-Auguste Revillon d’Apreval…

03mar

Toujours dans l’esprit de rechercher des réponses les plus précises possibles aux 3 questions « Qui ?« , « Quand ? » et « Où ? » de mon enquête sur les familles d’Orléansville apparentées, directement ou indirectement, à Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), mariés à Orléansville, le 10 juin 1896,

voici un tout premier effort de tracer un tableau de la  descendance des deux premiers enfants, Augustine-Marguerite, née en 1866, et sa sœur cadette Angèle, née en 1870, d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, ?) _ leur relation ne fut officialisée par le mariage, qu’au mois de juin 1875 , à Orléansville, après les naisssances d’au moins les trois premiers de leurs sept enfants : Augustine-Marie (en 1867), Angèle (en 1870) et Alphonse-Jean (né à Orléansville le 7 juin 1872, merci à son livret militaire qui nous en livre la date !) _ y compris donc la naissance, à Orléansville le, de leur frère Alphonse-Jean Morand de la Genevray…

En l’absence, bien fâcheuse pour la recherche, de toutes les archives d’état-civil d’Orléansville et sa région, détruites lors des terribles séismes de 1954 et 1980,

la très précieuse, mais toujours trop partielle, ressource qui nous demeure est celle la presse locale, dont L’Écho d’Alger et Le Progrès d’Orléansville, comportant en particulier les avis de décès rassemblant les membres des familles faisant-part de leur deuil partagé,

mais le plus souvent sans les prénoms des dames et demoiselles, celles-ci n’y figurant que par leur lien de parenté avec le défunt _ ou avec les hommes qui sont apparentés à celui-ci…

Voici donc des liens utiles à quatre de ces précieux faire-part de décès familiaux permettant un regard un peu panoramique sur ces liens de parenté entre les membres des familles un moment orléansvillaises Morand de la Genevraye et Revillon d’Apreval, en particulier :

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 23 mars 1922, du décès, à Orléansville, le 19 mars 1922, d’Alphonse-Jean Morand de la Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872.

celui, paru dans Le Progrès d’Orléansville du 21 septembre 1922, du décès, à Affrevile, le 16 septembre 1922, de Julie-Pulchérie Morand de la Genevraye. Veuve Michel Reder, la plus âgée de la fratrie née en Algérie d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; Julie-Pulchérie est née à Aïn Tedeles le 22 juillet 1849.

celui, paru dans L’Écho d’Alger du 21 juin 1925, du décès, à Bône, le 16 juin 1925, du petit Georges-Lucien d’Apreval, né à Bône le 22 septembre 1909.

_ celui, paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, du décès, à Orléansville, le 7 octobre 1935, de son plus jeune frère Georges Morand de la Genevray, né à Orléansville le 21 février 1888.

Je dois dire aussi que la très peu fréquente apparition, dans les avis familiaux d’état-civil parus dans les journaux, du nom d' »Angèle » Morand de la Genevraye, la seconde épouse de Georges-Auguste Revillon d’Apreval, en « succession maritale » de sa sœur aînée « Augustine-Marguerie » ; et d’abord le fait principiel que pour les femmes n’existaient pas bien sûr de livrets militaires donnant leurs lieu et date de naissance, ainsi que les commodes aussi, pour la recherche, mentions des noms et prénoms de leurs deux parents, compliquait la quête d’obtenir de telles données en l’absence de documents d’état-civil demeurés accessibles pour la ville d’Orléansville et sa région, à la différence des identités des citoyens masculins _ tels, par exemple, les renseignements fournis par les livrets militaires de chacun des hommes de la famille Morand de la Genevraye : Alphonse-Jean (classe 1892), Jules-Charles (classe 1901), Georges (classe 1908) ; ou bien de la famille Revillon d’Apreval : Auguste-Georges (classe 1907), René-Paul (classe 1916), Marcel-Ale, Lucien-Georges-Omar (classe 1919)

Et c’est l’acte de mariage réalisé à Blida le 19 avril 1911 pour l’union de Jenny-Marguerite d’Apreval (Orléansville, 15 août 188 – Tlemcen,  11 juillet 1912 _ cf cet avis de décès de Madame Maréchal née Jenny d’Apreval, paru dans le jounal Le Tell en date du 13 juillet 1912 _) avec Hugo-Alphonse Maréchal (Sidi Bel-Abbés, 13 mars 1881 – Alger, 9 avril 1949), qui allait me fournir le lieu et la date de décès de la mère de Jenny-Marguerite, en l’occurrence de cette Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye, qui m’échappaient jusque là : Augustine-Marguerite Morand de la Genevraye _ née en 1867 hors mariage de l’union de Marguerite Bonopéra et Auguste-Frédéric-Marie Morand de la Genevraye ; et officiellement reconnue par son père le 28 juin 1871, à l’âge de 4 ans… ; ses parents officialisant leur propre mariage à Orléansville un peu plus tard encore : au mois de juin 1875… _ était décédée à Orléansville le 8 février 1895

Et Augustine-Marguerite, née donc en 1867, avait donné naissance à au moins deux enfants de son union avec Georges-Auguste Revillon  d’Apreval _ le père de cette Jenny-Marguerite mariée à Blida le 19 avril 1911, présent et consentant à ce mariage de sa fille avec Hugo-Alphonse Maréchal _ :

_ Auguste-Georges d’Apreval, né à Orléansville le 15 septembre 1887 ;

_ Jenny-Marguerite d’Apreval, née à Orléansville le 15 août 1888 _ celle-ci décédera précocément à Tlemcen, au mois de juillet 1912, peu après avoir donné le jour, à Tlemcen, le 25 juin 1912, à une petite Jenny-Odette-Paule Maréchal…

Quant à la sœur cadette de cette Augustine-Marguerite _ née en 1867 et décédée à Orléansville le 8 février 1895 _Angèle Morand de la Genevraye, née à Orléansville en 1870,

elle n’allait pas tarder à devenir très peu après le décès de sa sœur aînée la seconde épouse de son beau-frère Georges-Auguste Revillon d’Apreval, né à Saint-Prix (Seine et Oise) le 27 décembre 1856, et devenu donc veuf ce 8 février 1895 _ celui-ci décèdera à Alger en 1946, en sa quatre-vingt-dixième année… _ ; et Angèle allait lui donner bientôt (en 1896, 1898 et 1899) trois nouveaux enfants :

René-Paul d’Apreval, né à Orléansville le 9 octobre 1896 ;

Marcel-Ale Révillon d’Apreval, né à Alger le 8 novembre 1898, mais précocément décédé le 21 avril 1902 ;

Lucien-Georges-Omar Revillon d’Apreval, né à Alger le 28 novembre 1899.

Je poursuivrai demain lundi cette amorce de généalogie de membres de la famille _ d’abord orléansvillaise : Georges-Auguste exerçait à Orléansville la profession d’avoué… _ Revillon d’Apreval,

issue des deux sœurs Augustine-Marguerite (1867 – 1895) et Angèle (1870 – au moins après 1935) Morand de la Genevraye…

Mais, dans les divers actes état civils familiaus accessibles dans la presse, Le Progrès d’Orléansville ou L’Écho d’Alger principalement,

Angèle n’apparaît jamais sous son prénom de naissance « Angèle« , mais seulement en sa qualité d’épouse de son mari : « Madame Revillon d’Apreval« …

Or celle-ci va vivre durablement, au moins après le décès de son frère Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935 ;  et peut-être même _ il me faudra poursuivre mes recherches… _ survivre à son mari Georges-Auguste, qui décèdera en 1946…

Or, après 1940, la presse est bien moins accessible ;

et les faire-part familiaux de décès, beaucoup moins riches…

À suivre donc, dès demain…

Ce dimanche 3 mars 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ce que nous apprend, à propos de Joséphine Girot, la mère des six fils de Paul Bonopéra, l’arbre généalogique réalisé par son petit-fils, Marcel Bonopéra…

07mar

Et voici que ce dimanche matin,

je reçois un courriel de la petite-fille de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),

qui, très aimablement, m’adresse une copie d’un arbre généalogique de ses ancêtres Bonopéra, réalisé par son grand-père Marcel.

C’est un très précieux _ et très émouvant _ document.

Que voici :

Généalogie des Bonopéra

 

1ère génération : 1a Nicolas Louis Bonopéra

                                    1a1 Jacinta Minguella

 

2e génération :      2a : Juan Dionis Francisco Bonopéea

                                    né en 1814 à Tarragone (Catalogne), décédé 

                                    à Pontéba (près d’Orléansville) en 1876, époux de

                                    2a1 : Marguerite Saura, dcédée à Pontéba en 1876

 

3e génération :      3a : Marguerite Bonopéra

                                     3b : Paul Bonopéra, né à Miliana le 10-1-1856

                                     décédé à Orléansville le 18-1-1916

                                     3c : Jean Bonopéra,, décédé à Alger

 

4e génération :      3b : Paul Bonopéra, époux de

                                    3b1 : Joséphine Giraud, née à Ténès, décédée à

                                        Orléansville le 11-7-1892 ; ont eu six enfants :

                                    4a : Jean ; 4b : Paul ; 4c : Alphonse ; 4d : Auguste ;

                                    4e : Julien ; 4 f : Georges.

 

5e génération :      4b : Paul Bonopéra, né à Pontéba le 13-9-1878,

                                     décédé à Orléansville le 2-11-1930 et

                                    4b1 : Marie, Marguerite, Léonie Cathébras, née 

                                       le 12-1-1881 à Saint Sauveur de Ginestoux (Lozère) ;

                                        ont eu deux enfants :

                                     5a : Pauline Bonopéra, née à Rabelais (Alger)

                                      le 5-6-1905, décédée à Nice le 8-2-1974.

                                      5b : Marcel Bonopéra, né à Renault (Oran) le 10-1-1907.

 

6e génération :        6a : Paul Jean Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5-5-1933

                                       6b : Jean Pierre Bonopéra, né à Orléansville

                                       le 2-11-1934

                                       sont les enfants de Marcel Bonopéra et de Odette

                                       Sanchez, née à Orléansville le 23-12-1911, et décédée à Nice                                     

Ce sont principalement les données qui concernent Joséphine Girot, la première épouse de Paul Bonopéra, qui attirent, bien sûr, pour commencer, ma première attention.

Car dorénavant je connais, sinon la date exacte de la naissance _ je savais que c’était durant l’année 1856 _ de Joséphine Girot (orthographiée ici Giraud), du moins le lieu de la naissance de celle-ci : Ténès _ mais Rabelais faisait aussi partie, administrativement, de la commune mixte de Ténès…

Ce qui cadre _ même si rien n’y fait ici explicitement référence _ avec mon hypothèse de la très probable filiation de Joséphine Girot avec la famille _ alsacienne _ de Jean-Claude-Girot et son épouse, Marie-Catherine Herbelin, famille venue de Menoncourt, un village alsacien, situé alors dans le département du Haut-Rhin (et qui fera partie, après 1970, du nouveau département, créé tout spécialement alors, du Territoire de Belfort).

Et mieux encore, Joséphine Girot semble bien être la fille _ née, donc, à Ténès, en 1856 _ de Jean-Pierre Girot _ le second fils de Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin _, qui, alors qu’il était dit (dans l’acte de son mariage) être domicilié, en 1854, à Orléansville, a épousé à Ténès le 1er août 1854 la demoiselle _ orpheline de mère (sa mère, Claire-Marguerite-Pascale Hermite, était, en effet, décédée à Ténès le 24 janvier 1846), et déclarée « née de père inconnu«  _ Marie-Magdelaine-Augustine Hermite (née à Alger, le 18 février 1838). 

Et je découvre aussi le lieu : Orléansville ; ainsi que la date : le 11 juillet 1892, du décès de Joséphine Girot_ soit assez peu de temps après la naissance (moins de six mois), à Rabelais (centre qui faisait partie de la commune de Ténès), de son sixième et dernier fils, Georges Bonopéra : il était né, à Rabelais, le 21 février 1892.

Au passage, j’apprends aussi le lieu : Pontéba ; et la date des décès des parents de Paul Bonopéra _ né à Miliana le 1er octobre 1856 _ et de sa sœur Marguerite _ née à Miliana le 22 janvier 1849 _,

soient Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814), et son épouse Marguerite Saura (née à Santa-Maria-de-Mahon, dans l’île de Minorque, le 21 mars 1820) :

durant l’année 1876.

Paul Bonopéra, devenu donc veuf ce 11 juillet 1892, s’est ensuite remarié, une première fois, à Rabelais, avec Marie-Jeanne-Virginie Claudet ;

dont il a eu un fils, Marie-André, né à Rabelais le 5 juin 1897, et décédé vingt jours plus tard, le 25 juin, toujours à Rabelais, au domicile de son grand-père César-Florentin-Armand Claudet-Fricand _ né le 27 août 1844 à Bannans (département du Doubs) ; et qui décèdera en 1913. Son épouse était Marie-Séraphine-Julie Laignier, née le 7 mai 1873, elle aussi à Bannans ; et décédée avant 1882.

De cette seconde épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet,

Paul Bonopéra a très vite _ un mois tout juste après le décès de leur fils, le petit Marie-André Bonopéraobtenu le divorce, « aux torts exclusifs de son épouse« , par un jugement du tribunal de première instance d’Orléansville, en date du 25 juillet 1897 _ aidé en cela par les services de l’avoué, résidant à Orléansville, Georges d’Apreval, neveu par alliance de Paul Bonopéra (car Georges d’Apreval a été l’époux, successivement, des deux filles de Marguerite Bonopéra, sa sœur, et de son mari Auguste Morand de la Genevraye, son beau-frère : Augustine, puis Angèle Morand de la Genevraye)…

Puis, après ce divorce de 1897, Paul Bonopéra s’est à nouveau remarié _ j’ignore à quelle date _ :

avec cette future « Madame Veuve Paul Bonopéra » (« née Confex« ) qui m’intéresse _ cf mon article d’hier : _,

parce qu’elle est apparentée, via le mariage d’une de ses parentes _ côté Confex… _, née demoiselle Wachter _ fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (natif de Rougemont : tout près de Menoncourt…) et de son épouse Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (native de Marseille) _, avec Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ dont, devenue veuve de son époux Louis Gentet, cette ancienne demoiselle Wachter est devenue « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« .

Or ce Louis Gentet n’est autre que l’oncle maternel _ puis tuteur, à Orléansville à partir des décès successifs, à Oran, de leurs parents, la sœur de Louis Gentet, Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son beau-frère Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845, Oran, 28 janvier 1890) ; Anatole Rey, pharmacien, avait été maire d’Orléansville en 1880-1881, puis, au moment de son décès, il était un très remarqué adjoint au maire d’Oran… _ des petites Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey :

Marie-Louise, l’épouse (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) ainsi que Aimée-Laurence, la belle-sœur _ future « Mme Vve Gadel » à la date du 30 mars 1930, la date du décès de son mari (et cousin germain) Victor Gadel, à Alger _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), ce génial inventeur de « la photographie de couleurs« , qui a suscité mon enquête sur l’importance _ affective, intellectuelle et matérielle _ de son entourage familial…

Je poursuivrai demain l’inventaire des apports à ma recherche de ce très précieux document généalogique,

œuvre de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),

instituteur de son métier ;

fils de Paul, le boulanger d’Orléansville _ rue d’Isly _ (Pontéba, 19 décembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930)

et de son épouse Marie-Marguerite-Léonie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, Lozère, 12 janvier 1881 – j’ignore le lieu et la date de son décès ) ;

 

et petit-fils de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916)

et son épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892)…

À suivre…

Ce dimanche 7 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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