Posts Tagged ‘Antoine Bioy

La co-présence à la Estacion Erize, au cours des deux premières décennies du XXe siècle des frères Antoine, Paul et Xavier Bioy, et leurs cousins Erize…

24oct

Ma confrontation hier dimanche 23 octobre _ cf mon article « «  _ des livrets militaires, créés en 1892, 1898 et 1901, des 3 frères Bioy : Antoine (Oloron, 9 juin 1872 – Buenos Aires, 31 août 1950), Paul (Oloron, 25 avril 1878 – 6 décembre 1954) et Xavier (Oloron, 20 août 1881 – Hérrère, 10 septembre 1950),

avec les mentions de diverses domiciliations _ en France et en Argentine _ des intéressés,

m’a permis de constater leur co-présence, en certaines des années d’entre 1900 et 1914, de ces 3 frères Bioy, en ce même lieu (de la province de Buenos Aires) où certains de leurs cousins Erize s’étaient précédemment créé de vastes propriétés, et avaient même fondé la désormais dénommée « Estacion Erize« ..

 

Ce lundi 24 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’intéressant apport des livrets militaires aux recherches généalogiques : l’exemple des Bioy d’Oloron, entre 1892 et 1903…

23oct

Une des ressources fécondes à la connaissance des parcours et domiciliations des personnes ayant eu un livret militaire jusqu’en 1921,

réside dans les diverses informations disponibles inscrites dans les livrets militaires ouverts lors des conseils de révision de la 20e année des personnes concernées…

J’en prends ici des exemples au sein de ma famille maternelle,

la famille Bioy, d’Oloron – Sainte-Marie.

Soient,

autour de mon grand-père maternel

Paul Bioy (Oloron, 25 avril 1878 – Bordeaux, 6 décembre 1954),

classe 1898, matricule n° 1626 ;

d’abord ses trois frères :

Antoine Bioy (Oloron, 29 juillet 172 – Buenos-Aires, 31 août 1859),

classe 1892, matricule n° 1518 ;

Pierre Bioy (Oloron, 25 juillet 1874 – Oloron, 13 janvier 1953),

classe 1894, matricule n° 1361 ;

et Xavier Bioy (Oloron, 20 août 1881 – Herrère, 10 septembre 1950),

classe 1901, matricule n° 2119 ;

et ses deux cousins germains :

Célestin Bioy (Oloron, 30 juillet 1875 – Hasparren, 2 novembre 1946),

classe 1895, matricule n° 1008 ;

et son frère Jean-Baptiste Bioy (Oloron, 12 août 1883 – devant Arras, 16 juin 1915),

classe 1903, matricule n° 1755.

Un détail utile à relever et souligner :

ni épouse(s), ni enfant(s) ne sont _ hélas _ jamais mentionnés sur ces livrets militaires pourtant assez bien détaillés,

à la différence, forcément, du parcours dans la hiérarchie militaire,

et de diverses domiciliations, bien sûr,

utiles et même nécessaires en cas de mobilisation du réserviste, avant sa libération définitive des services…

Ce dimanche 23 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ce qui m’intéresse le plus en Adolfo Bioy Casares : les détails (et petits secrets) de la vie quotidienne d’humain d’Adolfito…

23juil

Ma curiosité envers Adolfo Bioy Casares _ sa personne, essentiellement _,

ne vient pas seulement de raisons familiales :

mon grand-père Paul Bioy (Oloron, 26 avril 1878 – Bordeaux, 6 décembre 1954) était en effet un des cousins germains béarnais (d’Oloron) d’Adolfo Bioy Domecq (Pardo, 27 juillet 1882 – Buenos Aires, 26 août 1962), le père d’Adolfito (Buenos Aires, 15 septembre 1914 – Buenos Aires, 8 mars 1999).

Elle vient surtout des mystères dont Adolfito Bioy n’a cessé de développer, toute sa vie durant, sur les liens qui ont pu l’unir à diverses femmes, dans l’ombre…

Et c’est cela qui m’a poussé à aller jeter un œil _ curieux _ sur les extraits _ seulement, hélas ; même s’ils sont très copieux… _ de son passionnant extraordinaire Journal,

dont la parution a été posthume ;

et surtout centrée _ par l’éditeur _ sur les entrées qui comportaient, toutes, le nom de son ami Borges :

de cet extraordinaire et merveilleux journal intime,

sont, d’ailleurs parues _ et seulement en espagnol _ deux versions, l’une plus généreuse que l’autre ;

la seconde ayant été un peu réduite, pour des raisons le plus probablement commerciales _ le lectorat est réputé se lasser assez vite…


J’avais même fait le voyage de Saint-Sébastien – Donostia, rien que pour m’en procurer la plus longue version ;

et je n’avais réussi à mettre la main que sur la seconde, la moins complète...

Ce que j’y recherchais

ne concernait pas les échanges _ presque exclusivement littéraires _ que Bioy avait pu avoir _ et scrupuleusement notés _ avec Borgès _ pour l’œuvre cérébrale duquel je dois avouer mon défaut d’appétence… _,

mais les plus petits détails _ et les petits secrets habilement cachés : Adolfito avait la politesse délicate (et somptueuse) du plus raffiné des gentlemen… _ de la vie quotidienne d’Adolfito lui-même,

par exemple lors de ses divers voyages en Europe _ en France, et en Béarn, tout spécialement _ ;

 

ainsi ses visites, à Pau, au fils d’Antoine Bioy (Oloron, 9 juin 1872 – Buenos Aires, 31 août 1950) _ Antoine Bioy était le frère aîné de mon grand-père Paul Bioy (Oloron, 26 avril 1878 – Bordeaux, 6 décembre 1954) _,

le Dr Edouard Bioy (Buenos Aires, 18 mai 1908 – Pau, 23 novembre 1999) _ qui continuait d’avoir aussi des attaches à Buenos Aires et sa province.

À suivre…

Ce vendredi 23 juillet 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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