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Quelques précisions-ajouts concernant la descendance de l’oloronais Mathieu-César (dit Jules) Noblet (1839 – 1910) : poursuite d’exploration des cousinages oloronais des Bioy…

28mar

Ce mardi 28 mars 2023,

je désire apporter de notables précisions-ajouts à mon article du 7 novembre 2022 « « .

Que revoici, ainsi complété ici de ces présents ajouts :

Confirmation d’identité : le nom officiel de naissance de l’oloronais Jules Noblet, domicilié à Oloron 9 Place Saint-Pierre, est bien Mathieu-César Noblet !

— Ecrit le lundi 7 novembre 2022 dans la rubriqueHistoire”.

En poursuivant mes recherches sur les noms de Jules Noblet et Mathieu-César Noblet _ et l’intuition de leur totale identification ! (cf mon article du 3 novembre dernier « « ) _,

voici, ce lundi 22 novembre 2022, qu’un registre d’actes notariés passés à Oloron en 1891 en l’étude de Maître Darré, mentionnant un acte conclu par l’oloronais Mathieu-César Noblet avec un nommé Pierre Dastugue,

vient confirmer noir sur blanc on ne peut plus explicitement mon intuition initiale qu’il s’agit bien ici de celui que ses concitoyens oloronais ont la coutume de nommer « Jules Noblet » :

« Noblet Mathieu César dit Jules » ;

et qui est domicilié à Oloron 9 Place Saint-Pierre…

Cf ainsi la mention faite du « sentencieux Jules Noblet (…) qui avait hérité d’une propension à tous les arts« , en un article de Pierre Dyssord intitulé « La Place Saint-Pierre à Oloron« , dans le numéro du 8 mai 1926 du journal « Pau-Pyrénées«  :

« On rencontrait aussi, le lundi, dans l’aimable peit salon de la Place Saint-Pierre, où un panneau représentait la Samaritaine au puits de Janob, le sentencieux Jules Noblet qui avait hérité de Michel Morin une égale propension à tous les arts. Il maniait également la lancette, les ciseaux et la plume du comptable » _ lui qui, après avoir été coiffeur (ou maître-perruquier), était devenu caissier à la Caisse d’Epargne d’Oloron ; un poste dont, à l’âge de 65 ans passés, il démissionna au mois d’octobre 1904, ainsi que nous l’apprend en 5 lignes, à l’occasion de la nomination de son remplaçant, M. M. Joanicot, L’Indépendant des Pyrénées du 20 octobre 1904

Pour rappel

_ et en me référant aussi à la bien précieuse généalogie familiale réalisée par le cousin Bruno Lucbéreilh _,

le Mathieu-César Noblet (Oloron, 11 mars 1839 – Oloron, après le 20 octobre 1904) que les chroniques oloronaises appellent Jules Noblet, et qui est l’époux de Marie Casenave (Oloron, 12 septembre 1837 – Oloron, 28 septembre 1887),

 

est donc bien fils de François Noblet (Oloron, 28 juillet 1785 – Oloron, 5 janvier 1864) et sa seconde épouse Marie Lasclottes (Eysus, 18 avril 1794 – ?, ?),

neveu de Pierre-Joseph Noblet (Oloron, 25 novembre 1873 – Oloron, 10 février 1837),

 

et petit-fils de Jacques-Guillaume Noblet (Saint-Geniez-d’Olt, 28 janvier 1742 – Oloron, 3 mai 1786) et son épouse Geneviève Bioy (Bidos, 3 janvier 1746 – Oloron, 9 mai 1838) _Geneviève Bioy est la fille de Jean Bioi (Bidos, 22 avril 1699 – ?20 septembre 1771) et son épouse, en 1730, Marie Casenave (?, 1699 –?, 8 février 1766) ;

Jean Bioi et Marie Casenave étant les ancêtres communs des Noblet (et Bourdeu) et des Bioy de notre commun arbre généalogique… _ ;

ainsi que cousin germain de Félix Noblet (Oloron, 29 juillet 1805 – Oloron, 24 juillet 1884), l’époux de Marie-Anne-Damasie Etcheveste (Chéraute, 1826 – ?, ?) ;

et père de :

Victor-Clément Noblet (Oloron, 16 novembre 1865 – ?, 3 septembre 1908),

Ernest-François Noblet (Oloron, 2 septembre 1868 – Oloron18 juillet 1933), époux d’Anne-Marie-Claire « Anna » Bioy (Oloron, 11 août 1877 – Biscarrosse, 11 avril 1962),

Charles-François Noblet (Oloron, 4 novembre 1872 – Buenos-Aires, 10 mars 1932),

et Justine Noblet (Oloron, 6 mars 1876 – Oloron, 20 septembre 1963), épouse _ à Oloron le 1er août 1895 _ d’Étienne-Gabriel Bourdeu (Paris, 21 juin 1868 – Oloron, 17 juillet 1951)…

Et ici je me permets de remarquer la durable proximité de relation suivie des deux belles-sœurs Justine Noblet-Bourdeu (Oloron, 1876 – Oloron, 1963) et Anna Bioy-Noblet (Oloron, 1877 – Biscarrosse, 1962),

qui ont été, chacune, marraine d’un neveu ou une nièce Noblet-Bioy ou Bourdeu-Noblet, liant ansi plus encore leurs deux familles…

Anna Bioy (Anne-Marie-Claire, Oloron, 11 août 1877 – Biscarrosse, 11 avril 1962)

_ fille de Xavier-Pierre-François Bioy (Oloron, 3 décembre 1842 – ?, 1931) et son épouse Marie-Antoinette-Engrâce Mondine (Bedous, 29 avril 1848 – Oloron, 17 janvier 1921) _

étant la sœur des frères Célestin-Antoine Bioy (Oloron, 30 juillet 1875 – Hasparren, 2 novembre 1946) et Jean-Baptiste-Paul Bioy (Oloron, 12 août 183, devant Arras, 16 juin 1915), dont sont issus les Bioy d’Hasparren…

Ce lundi 7 novembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et il me faut ajouter maintenant que

Justine Noblet (1876 – 1963) et son époux Étienne-Gabriel Bourdeu (1868 – 1938)

ont eu deux enfants :

_ Amélie-Louise-Elisabeth Bourdeu (Oloron, 30 mai 1896 – Oloron, 25 novembre 1998), épouse de Louis Malric (?, 1889 – ?, 1971) ;

le couple n’aura pas d’enfant.

_ Jules-Etienne Bourdeu (Oloron, 31 octobre 1898 – Oloron, 17 juillet 1951), époux de Marie Bergerot (Asasp, 1er Juillet 1909 – Oloron, 29 novembre 2003) ;

ils auront 5 enfants :

_ Marie-Françoise Bourdeu (née à Oloron le 19 mai 1942)

_ Maurice-Jean Bourdeu (Oloron, 16 juin 1944 – Breuillet, 7 novembre 1983)

_ Geneviève-Louise-Etiennette Bourdeu (née à Oloron le 26 décembre 1946)

_ Pierre-Louis Bourdeu (Oloron, 25 août 1949 – Oloron, 12 décembre 1969)

_ Michel-Xavier Bourdeu (né à Oloron le 9 janvier 1951)

Voilà pour le moment…

Ce mardi 28 mars 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un bilan prospectif afin de progresser dans la recherche des cousinages luziens (et cibouriens) de Maurice Ravel, à partir de la descendance de Gratien Delouart (1748 – 1798)

07oct

Mon déplacement, hier mercredi 6 octobre, à Saint-Jean-de-Luz,

m’a fait ragaillardir mon désir d’approfondir ma recherche des cousinages basques de Maurice Ravel,

tant à Saint-Jean-de-Luz qu’à Ciboure,

à partir de la descendance multiple de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) et son épouse Catherine Laxague (Ciboure, 24 novembre 1752 – Ciboure, 27 février 1845).

Voici donc 2 courriels que je viens d’adresser à un correspondant luzien,

passionné d’histoire,

et membre de la très remarquable Association Jakintza,

dont le siège se trouve à Ciboure, dans la maison natale de Maurice Ravel, Quai Maurice Ravel…

Le premier :
Voici quelques liens commodes à certains de mes articles de recherche des cousinages méconnus de Maurice Ravel (Ciboure, 1875, Paris 1937),
via la descendance du cibourien Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798), l’arrière-grand-père maternel de la mère de Maurice Ravel, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917) :
Marie Delouart étant la fille de Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874), fille aînée de Marie-Baptiste Delouart (Ciboure, 29 juin 1882 – Ciboure, 28 août 1855), elle-même fille aînée de Gratien Delouart et Sabine Laxague.
 
D’une part, 5 articles précisant un peu le détail de ces recherches,
en date des
Je peux aussi y adjoindre cet article précisant l’historique de mon goût personnel pour les correspondances privées,
et l’exceptionnelle richesse d’informations que recèlent les détails des récits de la vie quotidienne pour qui apprend à les lire, les remarquer, les connecter entre eux, par sérendipité,
et en tirer d’irremplaçables données factuelles, inaperçues des chercheurs jusque là,
faute de cette attention chercheuse hyper-curieuse et un peu savante-là :
… 
et d’autre part, 2 articles de récapitulation commodes,
en date des
_ 2 septembre 2020 :
 
La pandémie du Covid ne m’a hélas pas permis de continuer à explorer méthodiquement les registres des archives municipales de Ciboure, consultables dans la toute petite pièce attenante à l’Accueil de la Mairie de Ciboure.
Et c’est là un travail qui demande une attention très précise et très assidue.
À poursuivre plus tard, par conséquent.
Et c’est passionnant d’avancer, pas à pas…

Puis le second :
Voici aussi quelques précisions sur la descendance de Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, 1745 – Ciboure, 1845),
ancêtres maternels cibouriens de Maurice Ravel :
 
d’une part à Ciboure pour 
 
1) Marie-Baptiste Delouart n° 1 (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 28 août 1855),
épouse, à Ciboure le 14 septembre 1814, du cibourien Jacques Billac (Ciboure, 1772 ou 1774 – Ciboure, 11 mars 1839)
_ mariage dont est issue Gachucha Billac (Ciboure, 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 1902), la grand-tante et marraine de Maurice Ravel,
domestique-gouvernante des 7 enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz ;
Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874),
la mère célibataire de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), et grand-mère de Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937), et sœur aînée de Gachucha Billac,
étant née le 11 mars 1809, à Ciboure, de père inconnu… _ ;
3) Marie Delouart (Ciboure, 14 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872)
épouse, à Ciboure le 28 février 1821, du cibourien Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849) ;
 
et 4) Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 23 septembre 1872),
époux, à Ciboure le 30 avril 1823, de la cibourienne Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844) ;
 
 
et d’autre part à Saint-Jean-de-Luz pour
 
2) Marie-Baptiste Delouart n° 2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842),
épouse, à Saint-Jean-de-Luz le 17 août 1814, du cibourien Jean Etcheverry _ né Curutchet _ (Ciboure, 15 septembre 1777 – en mer, 15 novembre 1841).
 
Voici, génération après génération, la descendance luzienne de ce couple Delouart – Etcheverry,
jusqu’à Charles-Paul Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1938 – Saint-Jean-de-Luz, 2006), époux de Francine Menjot (1941)
et sa sœur Maylen Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1942), épouse de Michel Lenoir (1935 – 2006), 
dont j’établis, pour la première fois, le très effectif lien de parenté, ignoré, et même nié, jusque là _ et il y a là un mystère qui mériterait assurément d’être élucidé… _, avec Maurice Ravel.
 
En effet, les seules recherches vraiment sérieuses jusqu’ici concernant les ascendances basquaises, via Marie Delouart, de Maurice Ravel,
mais pas orientées vers la descendance de Gratien Delouart, ni les cousinages basques de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel, à partir, en amont, du décès de Gratien Delouart en 1798,
sont, mais, demeurées bien trop confidentielles, l’œuvre très remarquable de l’enseignant luzien Jean-Noël Darrobers (Bayonne, 25 décembre 1910 – Saint-Jean-de-Luz, 23 mai 2004) ;
dont le décès brutal de la fille, Martine Darrobers (Saint-Jean-de-Luz, 4 octobre 1946 – Saint-Jean-de-Luz, 23 mai 2005 : un an jour pour jour après son père) _ Martine Darrobers était archiviste aux Archives Nationales et éminente spécialiste reconnue de la documentation _, n’a hélas pas permis jusqu’ici une exploration scientifique…
 
 
Voici donc, et jusqu’à aujourd’hui, ce que j’ai pu établir de cette descendance luzienne _ méconnue _ de Gratien Delouart (1748 – 1798),
l’arrière grand-père maternel de Marie Delouart (1840 – 1917), la mère de Maurice Ravel (1875 – 1937),
au fur et à mesure des générations successives :
 
_ Marie-Baptiste Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842),
épouse à Saint-Jean-de-Luz le 17 août 1814, du cibourien Jean Etcheverry _ né Curutchet _ (Ciboure, 15 septembre 1777 – en mer, 15 novembre 1841) ;
_  Marie Etcheverry (Saint-Jean-de-Luz, 21 juin 1817 – Saint-Jean-de-Luz, 27 décembre 1850),
épouse, à Saint-Jean-de-Luz, le 10 novembre 1846, du luzien Jean-Baptiste Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 10 avril 1816 – Saint-Jean-de-Luz, 24 septembre 1859) ;
_ Dominique Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 28 janvier 1849 – Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre 1926),
époux, à Saint-Jean-de-Luz le 3 juin 1874, de la luzienne Marie Dimatz (Saint-Jean-de-Luz, 28 octobre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 9 juillet 1932) ;
_ Magdeleine Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 19 juin 1968),
épouse, à Saint-Jean-de-Luz le 28 septembre 1901, du luzien Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 19 novembre 1875 – noyé dans le fleuve Oubangui, 13 septembre 1910)
_ Charles Gaudin est le fils aîné de Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920), époux à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875, de la luzienne Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 28 avril 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 21 novembre 1936), qui était la sœur du peintre luzien Pascal Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 12 juin 1847 – Bilbao (?), avant 1900), et la tante du fils aîné de Pascal Bibal et son épouse, de Zarauz, Dorotea Iburuzqueta, le peintre luzien François-Ignace Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 17 septembre 1878 – Saint-Jean-de-Luz, 26 mai 1944) ;    
c’est chez les Gaudin, rue Gambetta, puis rue du Midi, à Saint-Jean-de-Luz, que Maurice Ravel a résidé à de multiples reprises lors de plusieurs séjours à Saint-Jean-de-Luz ; 
chez les Gaudin, employeurs de sa grand-tante et marraine Gachucha Billac, gouvernante des enfants Gaudin… ;
et toute sa vie Maurice Ravel a été lié d’une profonde amitié avec Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 3 mars 1879 – Saint-Jean-de-Luz, 8 décembre 1976) _ ;
_ Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1988),
époux, à Saint-Jean-de-Luz en 1935, de Angela Rossi (Trevia, 12 septembre 1905 – Saint-Jean-de-Luz, 14 décembre 1999) ;
Puis, à la génération suivante,
d’une part,
_ Charles-Paul Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 15 janvier 1938 – Saint-Jean-de-Luz, 25 mai 2006),
époux de Francine Menjot (1941) ;
          _ Jean-Bernard Gaudin (Saint-Jean-de-Luz),
          époux de Valérie Watine ;
                    _ Baptiste Gaudin (2004) ;
 
et d’autre part ,
_ Maylen Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1942) _ avec laquelle je corresponds, à Saint-Jean-de-Luz _
épouse de Michel Lenoir (1935 – 2012) ;
          _ Jean-Christophe Lenoir (7 février 1965) ;
                    _ Alexandre Lenoir ;
                    _ Guillaume Lenoir ;
          _ Marianne Lenoir (1966) ;
                    _ Thibaud Lenoir (Saint-Jean-de-Luz, 13 février 1989) ;
          _ Marie-Béatrice Lenoir ;
                    _ Grégoire Colas ;
                    _ Tiphaine Colas ;
                    _ Louis Colas ;
          _ Marie-Christine Lenoir (1971) ;
                       _ Edgar Jacob ;
                   _ Hugo Jacob .     
 
Voilà.
Mes recherches ont aussi, bien sûr, porté sur les cousinages cibouriens de Marie Delouart et Maurice Ravel,
à travers les familles Billac, Casabon, Goyenague, Etchepare, Cerciat, Passicot, Sagarzazu, Larrarte Lecuona, Zozaya, etc.
 
À suivre…

Ce jeudi 7 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ainsi que des nouveautés (encore partielles) sur l’ascendance Langlois de Pauline et Théotime Langlois de Swarte…

09juin

Et voilà qu’en ma recherche concernant la descendance de Pierre Sartre

ainsi que celle _ en partie commune : pour Sylvain, Alexis et Camille Sartre _ de son épouse Bertille de Swarte,

je viens de découvrir un embryon d’arbre généalogique me permettant de situer le second compagnon, après Pierre Sartre, de Bertille _ Marie-Thérèse-Françoise _ de Swarte : Hervé Langlois _ ou Hervé-Alexandre-Yves Langlois, pour être complet _,

à la fois

eu égard à l’ascendance de celui-ci par rapport à ses grands-parents paternels _ Langlois : il s’agit de Robert Langlois et son épouse Denise Dubourg ; mais je n’en sais guère davantage, sinon que Robert Langlois a eu un frère prénommé Paul, et une sœur prénommée Yvonne... J’ignore le prénom du père d’Hervé Langlois, ainsi que le nom de sa mère ; mais j’ai appris de cet embryon d’arbre généalogique comportant si peu de noms donnés en clair, que Hervé Langlois était le quatrième d’une fratrie de quatre ; et en cliquant sur la case xx représentant la seconde épouse de Hervé Langlois, si je n’ai pas obtenu le nom de celle-ci, j’ai obtenu le nom de Sartre (avec une erreur de prénom : Marc, au lieu de Pierre) comme étant le père de Sylvain Sartre, ainsi que d’« une fille Sartre » et « un garçon Sartre«  _ ;

et par rapport, aussi, à sa descendance _ Langlois, puis Langlois de Swarte… _,

constituée d’abord d’un premier enfant Langlois, né d’une première union _ le nom de cette première épouse n’est pas donné ; pas plus que le prénom ni même le sexe de l’enfant… _ ;

puis de Pauline-Marie-Béatrice Langlois de Swarte _ pour une obtention des prénoms complets des membres de la famille Rendu et leurs apparentés (notamment les de Swarte issus du mariage entre Geneviève-Marie-Elisabeth Rendu et son époux Alain-Yves-Marie-Joseph de Swarte), consulter cette généalogie-ci, la plus détaillée sur l’onomastique des prénoms… _ et de son frère cadet Théotime Langlois de Swarte,

issus, eux de la seconde union de Hervé Langlois, celle avec Bertille de Swarte…

Pauline et Théotime Langlois de Swarte ont ainsi trois frères et sœurs Sartre _ Sylvain, Alexis et Camille Sartre_,

ainsi qu’un frère ou une sœur Langlois _ dont j’ignore pour l’heure tant le sexe que le prénom…

Alors que Sylvain, Alexis et Camille Sartre ont deux frères Sartre _ Adrien et Clément Sartre _,

ainsi qu’un frère et une sœur Langlois de Swarte _ Pauline et Théotime Langlois de Swarte…

À suivre :

rechercher demande pas mal de patience _ et de capacité mémorielle (ainsi qu’imaginative) de connexions _ dans l’effort…

Ce mercredi 9 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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