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De « Une Passion franco-allemande _ Souvenirs du Goethe-Institut de Bordeaux » à « Le Goethe-Institut de Bordeaux _ Une si riche passion intellectuelle franco allemande » : les souvenirs d’une passion (et d’une carrière professionnelle) de Jutta Bechstein-Mainhagu…

14fév

De « Une Passion franco-allemande _ Souvenirs du Goethe-Institut de Bordeaux » _ imprimé au mois de septembre 2022 _ à « Le Goethe-Institut de Bordeaux _ Une si riche passion intellectuelle franco allemande » _ imprimé au mois de février 2023 _,

soient le récit des souvenirs d’une passion (et d’une carrière professionnelle _ dans laquelle a pu se réaliser et s’épanouir cette passion « franco-allemande«  pas seulement « intellectuelle«  !.. _) de Jutta Bechstein-Mainhagu ;

ou ce qui se perd un peu d’une édition libre _ à compte d’auteur _ à une édition dans laquelle le choix du titre revient in fine à l’éditeur…

En lecteur attentif de ces deux ouvrages, bien peu différents, certes,

je regrette personnellement en effet ce qui se perd en lumière de vérité de ce passionnant et passionné récit de celle qui, de lectrice passionnée de littérature, est devenue une  passeuse passionnée et éminemment experte de la culture allemande, à Bordeaux, et très vite en France, puis en Europe, et enfin, avec Internet, dans le monde entier, auprès de lecteurs tant soit peu curieux de l’actualité la plus riche, quasi au jour le jour, de la culture allemande _ ayant à se remettre, difficilement, du poids des gravissimes crimes de l’hitlérisme, puis de celui de ses durables très pesants remords consécutifs : comment donc s’en remettre ?..

Car ce n’est pas à un compte-rendu historique de ce Goethe-Institut de Bordeaux _ qui, d’ailleurs, n’a pas eu souci de se doter d’archives de ses propres activités…que nous avons affaire ici, mais bien aux souvenirs très investis et passés au tamis de sa vive sensibilité, de celle qui dès sa nomination comme bibliothécaire, et son entrée dans les lieux _ alors au 16-ter de la rue Boudet (entre Cours de Verdun et Esplanade des Quinconces) _, le 13 juillet 1972, en fut tout aussitôt une très active et féconde cheville ouvrière,

devenant aussi, tout en fin de carrière _ en « 2012-2013« , est-il indiqué à la page 22 ; alors que Jutta prend sa retraite au mois de janvier 2013 ; et que c’est le 14 décembre 2012 qu’elle a fêté son 65e anniversaire… _, le neuvième directeur-directrice de ce Goethe Institut de Bordeaux,

après Fred Mensdorf (1971 – 1977), Gerhard Trapp (1977 – 1983), Gerhard Koebe (1983 – 1988), Wolfgang Ebert (1988 – 1991), Gisela Kadar (1991 – 1996), Holger Hartmann (1996 – …), Jochen Neuberger (… – 2004), Carmen Marcou (2005 – 2012), Jutta Bechstein-Mainhagu (2012 – 2013), Gertrud de Blay (2013 – 2018), Luise Holke (depuis 2018) ;

après être devenue auparavant, en 1997 _ et cela quinze années durant (1997-2013), c’est-à-dire jusqu’au moment de son départ à la retraite, au mois de janvier 2013 _, l’inventeur et l’animatrice infatigable de ce qu’elle-même a intitulé « le bureau de liaison littéraire du Goethe-Institut » _ à répercussions très vite internationales, même : quelle improbable aventure, au départ, en 1970, à l’âge de 22 ans, de Cobourg pour Paris !..

C’est donc cette passion personnelle de la jeune Jutta Harnatt, née le 14 décembre 1947 à Kronach, en Haute-Franconie (tout au nord du vaste Land de Bavière), devenue plus tard Jutta Bechstein, puis devenue veuve en 1997, Jutta Bechstein-Mainhagu,

qui m’a moi-même passionné par son enthousiasme très communicatif de lectrice attentive et tout à fait perspicace de la littérature allemande, notamment contemporaine ;

avec laquelle, Jutta, je n’ai pas manqué d’avoir régulièrement, moi qui ne suis pas germanophone _ mais mon père, issu d’une famille viennoise, est né le 11 mars 1914 à Stanislaus, en Galicie alors autrichienne _, d’éclairantes conversations, d’abord _ au tout début _, autour de l’œuvre si puissante et marquante, que je découvrais alors, dans les années 80, de ce génie _ autrichien _ qu’est Thomas Bernhard (Heerlen, 9 février 1931 – Gmunden, 12 février 1989) _ lire d’abord les 5 volumes de son autobiographie (écrits en 1975, 1976, 1978, 1981 et 1982 ; et publiés en traduction française chez Gallimard respectivement en 1988 (!), 1982, 1983, 1984 et 1985) : L’origine _ simple indication, La cave _ un retrait, Le souffle _ une décision, Le froid _ une mise en quarantaine et Un enfant ;

c’est à la parution à la NRf du « Souffle _ une décision » (celle de refuser de succomber à sa quasi mortelle maladie pulmonaire, et choisir de vivre en refusant l’avilissement-abaissement généralisé des compromissions…), le 13 septembre 1983, qu’un article enthousiaste de Jean-Louis de Rambures dans le Monde des livres, intitulé « Thomas Bernhard face à la mort« , m’a incité à me procurer et lire dare-dare, dans l’enthousiasme, pour la première et décisive fois, l’immense et formidable Thomas Bernhard : écrivain à l’implacable lucidité désormais et pour jamais indispensable ! Et donc c’est à partir de cette date-là, que j’ai aussitôt lu dès sa parution en traduction française le moindre titre paraissant de lui… ;

de même que j’allais voir (et y mener aussi mes élèves ! depuis Andernos où j’enseignais à philosopher…) en 1991, au Théâtre du Port-de-la-Lune, dirigé alors par Jean-Louis Thamin, les représentations de trois de ses pièces, pas moins !, dont « Le Faiseur de théâtre« , magnifiquement mis en scène par l’excellent Jean-Pierre Vincent (cf ces mots rétrospectifs de Jean-Pierre Vincent le 4 février 2011, en un entretien pour Libération, intitulé « L’art n’est clairement pas leur problème« ), et « La Société de chasse« , mise en scène par Jean-Louis Thamin, mais insupportablement défigurée hélas par cet horripilant cabot qu’est le pauvre Fabrice Luchini, qui se croit irrésistiblement amusant, aussi inintelligent là qu’à son habitude, et parfaitement infidèle à la subtile et terrible efficacité de Thomas Bernhard ; la troisième pièce étant peut-être (mais j’ai échoué à en trouver jusqu’ici trace dans les archives accessibles sur le Net, ainsi que dans mes agendas) « Minetti _ portrait de l’artiste en vieil homme« … _,

pour commencer ;

puisque je me suis ensuite passionnément intéressé à bien d’autres auteurs de la sphère d’influence germanique, en Europe centrale et orientale, comme, tout particulièrement, Bruno Schulz (« Les Boutiques de cannelle« , « Le Sanatorium au croque-mort« …), Gregor von Rezzori (« Neiges d’antan« , « Mémoires d’un antisémite« , « Sur mes traces« …), Walter Benjamin (tout l’œuvre !), Hannah Arendt (tout l’œuvre !), Lisa Fittko (« Le Chemin des Pyrénées« , devenu « Le Chemin Walter Benjamin« …), Imre Kertész (tout l’œuvre, et surtout l’indispensable « Le Chercheur de traces » _ redonné in « Le Drapeau anglais«  _ ainsi que son extraordinaire « Liquidation« , à propos des indélébiles séquelles de tout cela…),

et bien d’autres encore, et assurément non des moindres : Aharon Appelfeld (« Histoire d’une vie« , etc.), Wlodzimierz Odojewski (le bouleversant « Et la neige recouvrit leur trace« …), Andrzej Kusniewicz (« Le Roi des Deux-Siciles« , « L’État d’apesanteur« , etc.),

et aussi _ il ne me faut certes pas les oublier _ Pierre Pachet (« Autobiographie de mon père« ), Daniel Mendelsohn (« Les Disparus« ), Patrick Desbois (« Porteur de mémoires« ), et l’immense Saul Friedländer (les deux tomes de son monumental « L’Allemagne nazie et les Juifs« , ainsi que son « Quand vient le souvenir« …),

etc., etc.,

jusquà mener sur quelques uns d’entre ceux-là des recherches poussées, avec même quelques découvertes _ par exemple la localisation, à Montauban, du domicile de Hannah Arendt et son époux Heinrich Blücher (à l’étage au-dessus d’un atelier de photographe), plusieurs mois durant, entre sa fuite du camp de Gurs et leur difficile sortie de France, Varian Fry et son réseau à Marseille aidant, afin, par « le chemin des Pyrénées« , et via l’Espagne et Lisbonne, de réussir à gagner New-York et les États Unis : ce dont j’ai pu faire part, les 28 et 29 avril 2014, au colloque « Hannah Arendt«  organisé au Château d’Orion par Elke Jeanrond-Premauer, avec laquelle Jutta m’avait très efficacement mis en contact… _,

ainsi que des lectures et analyses très détaillées,

comme en mon « Lire ‘Liquidation’ d’Imre Kertész, ou ce qui dure d’Auschwitz« , achevé de rédiger le 13 janvier 2006, et redevenu accessible, grâce à Nathalie Georges-Lambrichs _ qui a réussi à le « récupérer » sur une ancienne sauvegarde sienne qu’elle est parvenue à réactiver : ouf ! immense merci à elle ! _ en mon article du 8 novembre 2022 : « « , où ce très long texte mien de lecture-commentaire-déchiffrage du « Liquidation » de Kertész est miraculeusement redevenu accessible _ il n’a finalement pas été « liquidé« , réduit au pur néant, lui, par l’accident de mon précédent ordinateur où je le conservais sans sauvegarde aucune… _ à de patientissimes lectures !!!  ;

ce très très grand texte de Kertész qu’est ce chef d’œuvre étourdissant _ en son époustouflante complexité archi-enchevêtrée d’écriture par lui, l’auteur, puis de lecture, par nous, ses lecteurs… _, de « Liquidation« ,

se re-révélant hélas ces jours de maintenant plus prémonitoire que jamais _ « Ce qui dure d’Auschwitz » avais-je moi aussi comme prémonitoirement sous-titré ce modeste mien « Lire ‘Liquidation’« , qui, et cela à mon plus vif étonnement (!), résiste superbement à la relecture, 17 ans après sa rédaction, achevée le 13 janvier 2006 ! _ avec le présent retour de l’incroyable plus qu’infâme barbarie déchaînée sur ces décidément malmenées _ Boutcha, Irpin, Marioupol, Bakhmout, etc. _ terres d’Ukraine ; relire ici, du très grand historien américain Timothy Snyder, pour commencer, son indispensable « Terres de sang : l’Europe entre Hitler et Staline » (et désormais Poutine !) _ et relire aussi mes articles, celui très détaillé, du 26 juillet 2012, « « , et celui, synthétique et rétrospectif, du 4 mars 2022, « « , sur ce formidable travail de Timothy Snyder en ce « Terres de sang : l’Europe entre Hitler et Staline« …

Et où nous mesurons tout ce que nous pouvons devoir à la lucidité de poïesis la plus fine et la plus juste sur le réel des plus grands écrivains, tel ici un Kertész…

Oui, voilà bien ce qu’apporte l’imageance des plus grands écrivains et artistes ;

et il nous est plus que jamais indispensable, à nous leurs lecteurs, de venir toujours et à nouveau, génération après génération, les lire, et revenir, de nouveau, les relire ! Car leurs regards, via leurs très vivantes voix précieusement maintenues activement parlantes, déposées qu’elles sont dans les rythmes des phrases, des lignes et des pages de leurs livres, nous demeurent plus que jamais présents, ces extra-lucides regards visionnaires-là, via ces œuvres et chefs d’œuvre, qu’à nous, leurs potentiels lecteurs, ils ont su, tel un infiniment précieux legs, nous laisser.

Immense merci à eux tous, ces plus grands des auteurs !!!  Et fin ici de l’incise.

Ma dette amicale à l’égard de Jutta, via nos conversations passionnées à la bibliothèque du Goethe-Institut, à Bordeaux, n’est donc pas mince…

Ci-joint, un lien au très intéressant petit portrait-vidéo (de 11′ 40) réalisé, il y a 4 jours aujourd’hui, par Jutta dans le petit studio ad hoc de la Librairie Mollat afin de présenter son livre,

même si Jutta met davantage l’accent ici sur son action professionnelle _ très efficace et bien connue à Bordeaux _ au Goethe-Institut, que sur l’histoire personnelle beaucoup plus touchante de ce qu’elle a nommé cette très vive « passion franco-allemande » sienne, née en sa petite enfance et son adolescence _ à Cobourg, et d’abord à travers des livres de littérature… _, qui continue de l’animer et la faire encore et toujours se transcender…

Lire aussi un remarquable entretien, excellemment synthétique, de Jutta avec le journaliste Christian Seguin, publié dans le journal Sud-Ouest du 28 janvier 2013 sous l’excellent titre, déjà, « Une passion française » ;

ainsi que peu auparavant, le 15 novembre 2012, et sous la plume, cette fois, du toujours judicieux Christophe Lucet _ petit-fils du très fin Pierre-Henri Simon _, celui, éclairant aussi, intitulé « Les quarante bougies du Goethe Institut« …

Ce mardi 14 février 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis la comparaison-confrontation des pages 99 à 105 du « Pain perdu » (2020) et des pages 82 à 109 de « Qui t’aime ainsi » (1959) d’Edith Bruck : le parcours d’Edith Bruck entre Kosice, en Slovaquie, le 1er janvier 1946, et le voyage de Marseille à Haïfa, du 26 août au 3 septembre 1948…

07fév

En poursuivant ma comparaion-confrontation entamée hier dimanche 6 février entre les récits de 1959 et 2020 du parcours d’existence d’Edith Bruck en mon article « « ,

qui portait sur la période allant de la naissance de celle-ci, le 3 mai 1931 à Tiszabercel, à son franchissement de la frontière entre la Hongrie et la Slovaquie, en décembre 1945,

j’en viens, ce lundi 7 février à la la comparaison-confrontation des pages 99 à 105 du « Pain perdu » (2020) et des pages 82 à 109 de « Qui t’aime ainsi » (1959)

soit le parcours d’Edith Bruck entre son arrivée à Kosice, en Slovaquie, le 1er janvier 1946, et son voyage de Marseille à Haïfa, en Israël, du 26 août au 3 septembre 1948…

De même que pour mon article précédent, d’hier, consacré à la comparaison des traitements réservés par Edith Bruck, en ses deux récits autobiographiques de 1959 et 2021, aux épisodes situés entre sa naissance à Tiszabercel, en Hongrie, le 3 mai 1931, et son départ de Hongrie à la toute fin de 1945, pour la Tchécoslovaquie,

ce lundi, je me penche sur les traitements réservés par l’autrice en ses deux récits, à 62 ans de distance, aux épisodes de son périple entre son arrivée en Slovaquie juste avant le 1er janvier 1946, et son débarquement en Israël, à Haïfa, le 3 septembre 1948 :

soient son passage en Tchécoslovaquie, en 1946-1947, puis ses transits par l’Allemagne (la Bavière) et la France (Marseille), en 1948, avant de rejoindre sa destination désirée d’Israël, à Haïfa, le 3 septembre 1948 ;

périodes successives que je décompose ainsi :

1) le séjour d’à peu près deux années en Tchécoslovaquie, à Podmokly (soient, d’une part, 21 pages _ de la page 83 à la page 102 _, et d’autre part 1 page _ la page 100 : ces épisodes-là (premier amant, en la personne du cousin Tibi, et puis avortement, à Prague ; puis premier mariage, avec Milan Grün, électricien) sont donc carrément shuntés dans l’autobiographie de 2021 ! _

2) le passage et les transits dans divers camps _ de transit d’émigrants juifs à destination d’Israël… _ en Bavière (soient, d’une part, 5 pages _ de la page 102 à la page 107 _, et d’autre part 2 pages _ de la page 100 à la page 102 : ces épisodes-là  sont eux aussi expédiés ; ce sont là de simples transitions… _)

3) le bref passage par Marseille et l’embarquement « clandestin » vers Israël (soient, d’une part, 1 page _ de la page 107 à la page 107, avec cette brève remarque, au passage : « Les Français me plurent beaucoup ; leur langue aussi. Je commençai à en parler quelques mots«  _, et d’autre part 1 page _ de la page 102 à la page 103 : « à Marseille, je vis la mer pour la première fois !«  ; cet épisode-là constitue lui aussi une simple transition… _) 

4) et puis la traversée sur un paquebot italien « pour notre terre promise » (soient, d’une part, 2 pages _ de la page 107 à la page 109 _, et d’autre part 2 pages _ de la page 103 à la page 105 : ces épisodes-là  sont eux aussi expédiés ; ce sont là de simples transitions… _)

Certains des centres d’intérêt de l’actrice-narratrice, se sont donc bien déplacés entre le récit de 1959 et le récit de 2021…

Demain, je porterai un regard sur les épisodes beaucoup plus importants du séjour d’Edith Bruck en Israël, entre le 3 septembre 1948, son débarquement, en provenance de Marseille, à Haïfa, et son départ d’Israël en 1952 : peut-être en bateau, d’après le récit de « Qui t’aime ainsi« , en 1959 _  à la page 135 : « Ma famille et mes amies m’accompagnèrent au port« , à Haïfa ; « en quittant Israël, je me fuyais surtout moi-même« ... _ ; ou peut-être en avion, d’après le récit du « Pain perdu« , en 2021 _ à la page 129 : « Rapidement, je me suis retrouvée dans l’avion _ pour Athènes. C’était mon premier vol et j’avais l’impression de voler de mes propres ailes« …

Ce lundi 7 février 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

De petites avancées face aux blancs de la généalogie des Langlois originaires de Pont-de-l’Arche et Sèvres

14juin

En décidant d’affronter méthodiquement les blancs qui résistent, de leur mutisme, dans la généalogie réalisée par Bertand Langlois,

tant en aval des ancêtres bavarois Hastreiter et Kuntz d’Eschlkam, à la fontière de la Bohème, 

qu’en amont, en remontant de Robert Langlois de Sèvres (Sèvres, 16 février 1900 – Montreuil-aux-Lions, août 1944) _ ce Robert Langlois-ci étant le grand-père paternel de Bertrand et de Hervé Langlois, ainsi que de leur sœur et leur frère, dont j’ignore encore les prénoms _

à Robert Dubourg de Pont-de-l’Arche (Pont-de-l’Arche 1591 – Pont-de-l’Arche, 1666),

j’ai pu, à force d’un peu de patience dans le décryptage systématique de ces blancs, réaliser quelques petits progrès d’identifications au moins partielles…

Par exemple,

je sais dorénavant que l’enfant né _ même si j’en ignore toujours et le lieu et la date de naissance ; ainsi que l’identité de sa mère… _ du premier mariage de Hervé _ Alexandre-Yves _ Langlois

_ le frère de Bertrand Langlois, l’auteur de ces arbres généalogiques… _,

est un garçon Langlois.

J’ai pu aussi identifier le sexe _ le genre masculin ou féminin _ de chacun des individus dont les identités ont été cryptées par l’auteur de ces arbres généalogiques, Bertrand Langlois _ dont j’ignore les lieux et dates de naissance et mariage (avec Sylvie Poinsot) _  ;

et cela d’une génération à une autre

_ si bien qu’il est possible d’indiquer qui porte, et qui ne porte pas, le nom de Langlois à chaque génération, et en particulier les plus récentes, de cette famille Langlois ; même si la plupart des noms demeurent inaccessibles pour l’heure…

Ce qui m’a aidé à en apprendre davantage sur les identités de certains de ces descendants Langlois :

par exemple,

j’ai appris que le second des trois fils _ placé entre Thibaut, l’aîné, et Xavier Langlois, le troisième _ de Bertrand Langlois et de son épouse Sylvie Poinsot, Matthieu Langlois,

est né _ mais j’ignore où _ le 22 mai 1976,

et son épouse, Sophie-Marie Haguet, le 7 novembre 1975 ;

et que les trois fils de ces derniers se prénomment Corentin, Ernest et Artus…

Recherches, bien sûr, à poursuivre ;

avec patience, en espérant toujours que quelque nouvel indice me fera un peu avancer encore dans ces identifications de la parentèle plus ou moins proche, ou lointaine, de Théotime Langlois de Swarte, né à Céret en 1995 _ sans plus de précision _, ce si brillant jeune violoniste :

et je n’en sais guère davantage sur Théotime lui-même ;

sinon _ et ce n’est pas peu _ le nom de son épouse, la flûtiste (de Laburgade, dans le Lot) : Mathilde Latour…

Mathilde et Théotime se sont mariés, dans les Pyrénées-Orientales _ la réception a eu lieu à Pollestres, non loin de Perpignan _, le 27 juillet 2018.

Et Mathilde et Théotime sont domiciliés, non loin de Pantin, en Seine-Saint-Denis : au Pré-Saint-Gervais

Ce lundi 14 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La persistance des blancs dans l’ascendance recherchée des Langlois normands, présents à Sèvres depuis l’installation là de Polyclès Langlois (1814 – 1872) ; ainsi que de leurs descendants…

13juin

Je continue à rechercher de plus précises donnés biographiques concernant les Langlois originaires de _ et installés _ dès 1591 _ au moins _ à Pont-de-L’Arche, en Normandie,

et présents à Sèvres, depuis Polyclès Langlois (Pont-de-l’Arche, 29 septembre 1814 – Sèvres, 30 novembre 1872), et époux de la sévrienne Amable-Ursule Landry (Sèvres, 19 mai 1825 – Sèvres, 7 février 1898).

A Sèvres

où ce graveur, dessinateur et peintre _ disciple de Camille Corot _, que, en digne héritier des talents de peintre, dessinateur et graveur _ qualifié, lui, de Callot normand _, de son _ assez fameux _ père Eustache-Hyacinthe Langlois _ on remarquera au passage la présence assez fréquente (parmi les seconds prénoms…) du prénom de Hyacinthe parmi de nombreux descendants Langlois _, né, lui, Eustache-Hyacinthe Langlois, à Pont-de-l’Arche le 3 août 1777, et décédé à Rouen, le 29 novembre 1838,

Polyclès Langlois, son fils, posséda lui aussi ;

ce qui lui permit aussi de bientôt faire œuvre utile _ et reconnue _ à la célébre Manufacture de Porcelaines de Sèvres.

Car les données biographiques de ces ancêtres Langlois _ et de Bertrand Langlois, auteur de l’arbre généalogique de ses ancêtres Langlois, et son frère Hervé Langlois, le père de Pauline Langlois de Swarte, et de Théotime Langlois de Swarte _

demeurent obstinément muettes pour la génération intermédiaire entre celle de Robert Langlois (Sèvres, 16 février 1900 _ Montreuil-aux-Lions, Aisne, août 1944) et celle des petits-enfants de ce dernier _ dont font partie et Bertrand (Robert-Hyacinthe-Denis-Pierre) et Hervé (Alexandre-Yves) Langlois, dont je continue d’ignorer les dates et lieux de naissance (ainsi que de mariage(s), aussi)… _ ;

car je continue d’ignorer les prénoms de leur père _ fils unique de Robert Langlois et son épouse Denise Dubourg _, ainsi que les prénoms de leur mère, née Kuntz _ et fille de parents tous deux originaires de Bavière : Eschlkam, Bamberg… _ ;

de même que j’ignore _ non sans avoir pas mal cherché pourtant : il faut être patient et opiniâtre… _ leurs lieux _ pour certains d’entre eux peut-être à Boulogne-Billancourt ; parmi lesquels semblent en effet au moins y avoir vécu Thibaut (Hyacinthe-Jacques-Gérard) Langlois, Matthieu (Adrien, Paul) Langlois et Xavier (François-Henri) Langlois, les trois fils de Bertrand Langlois et son épouse Sylvie Poinsot  _ et dates de naissance ;

ainsi, même, que si ils sont toujours en vie _ ce qui est, sinon probable, du moins tout à fait de l’ordre du possible…

Mais rien, de tels renseignements biographiques concernant ces Langlois, n’apparaît hélas accessible, du fait de nombreux blancs, dans l‘arbre généalogique élaboré par Bertrand Langlois,

notamment concernant la descendance de sa grand-mère bavaroise Katharina Hastreiter (Eschlkam, 26 novembre 1890 – Bamberg, 14 avril 1973)

_ descendance issue des deux mariages de Katharina Halstreiterle mariage avec Jacob Kuntz (4 enfants Kuntz, dont la dernière de la fratrie est la mère de Bertrand Langlois et son frère Hervé Langlois) ; et le mariage avec Ernst Edler (3 enfants Edler) ; cf aussi l’arbre de la descendance du musicien Wenzl Hastreiter, le père de Katharina… _ ;

si bien qu’un certain _ et plutôt intriguant _ secret semble _ mais peut-être fais-je là erreur _ régner…

À suivre donc,



Ce dimanche 13 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un bilan récapitulatif provisoire de ma recherche sur la généalogie familiale des Langlois de Swarte : une sorte d’essai d’éclairage sur le terreau fécond de la culture de leurs talents…

12juin

Ce soir,

afin de me placer en position de récapitulation féconde afin de poursuivre ma recherche,

je procède à un recensement des articles que j’ai élaborés depuis celui du mardi 25 mai ,

à propos du très intéressant fécond terreau familial du violoniste baroque_ mais pas seulement baroque _ Théotime Langlois de Swarte, né à Céret en 1995.

Voici donc la liste de 18 articles de recherche réalisés jusqu’à hier vendredi 11 juin,

qui témoignent à la fois de ma méthode de recherche, et aussi de ses avancées _ et déjà leurs titres sont assez parlants…

..


Bien sûr, je suis encore loin de disposer de données biographiques suffisantes,

et tout particulièrement celles concernant les dernières générations des familles apparentées Langlois, de Swarte et Sartre _ et leurs enfants…

Mais, tout de même,

j’ai déjà assez bien progressé dans mon élucidation du terreau _ assez fécond _ des talents de quelques uns des membres de ces familles de Swarte, Sartre et Langlois…

Et je vais bien sûr continuer de tâcher de progresser encore davantage…

Ce samedi 12 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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