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Relecture avec ajouts et corrections d’un article avec apports décisifs en date du 20 décembre 2020, suite à un échange téléphonique très conséquent avec Claude Lamarque : l’article « Ce que vient de m’apprendre de la constellation familiale des Ducos du Hauron la conversation d’hier avec un des petit-fils, né en 1941, de Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912), neveu de Louis »…

07nov

Et maintenant,

voici la relecture, avec corrections, précisions et ajouts, de l’article, avec des apports décisifs à la recherche :

« « 

que j’avais rédigé le dimanche 20 décembre 2020,

suite à une conversation téléphonique développée avec Claude Lamarque (né en 1941).

Claude Lamarque est le plus jeune des 10 enfants d’Étiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996) et son époux Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976) ;

il est petit-fils de Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) ;

arrière-petit-fils d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, 19 mai 1923) ;

et arrière-petit-neveu de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920).

Voici donc cet article relu et corrigé :

Une heure de dynamique conversation avec un des petits-fils _ né en 1941 _

de Gaston du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), le troisième des 3 neveux _ après son frère Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935) et son cousin Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949-1950…)du génial inventeur qu’a été Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

vient,

par le recours à sa mémoire personnelle de Claude Lamarque, très attaché à tout ce qui concerne son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron,

de m’apprendre pas mal de données de la généalogie et histoire familiale des Ducos du Hauron ;

à même de réduire ainsi quelques unes, au moins, des « taches aveugles » _ en cette reconstitution de généalogie _ qui continuent de résister à mon enquête ;

et cela, en un appel téléphonique de son initiative,

et au moment même où je confectionnais une liste un peu synthétique de questions simples à lui faire parvenir par courriel…

Voilà.

Le premier point commencé à être éclairci en cette conversation

concerne la sœur _ jusqu’ici non identifiée ! _ d’Étiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 26 décembre 1996) ; et donc la tante maternelle de mon correspondant :

cette sœur d’Étiennette Ducos du Hauron est Marie-Madeleine-Adrienne (dite Simone) Ducos du Hauron,

née le 20 mai 1900 à Saint-Maurice (Seine) _ non pas, comme sa sœur Étiennette, née en 1898, au domicile de ses parents, à Saint-Mandé, 2 Avenue Herbillon, mais bien à celui de son grand-père maternel, Henry de Lamarque (Clermont-Ferrand, 4 janvier 1832 – Paris, 14 octobre 1916), rue Gabrielle à Saint-Maurice… _ et décédée le 22 novembre 1955, en son domicile, 60 rue Saint-Loup, à Bayeux (Calvados) _ depuis 1944, Simone était atteinte d’une schlérose en plaques ; et recevait les soins très attentionnés de sa tante Marguerite Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) _ ;

Simone Ducos du Hauron,

seconde épouse (à Paris 7e, le 27 janvier 1932) de Jacques-Antoine Engelhard (Gonneville, 31 juillet 1896 – 1979 ; déjà père de deux fils nés de son premier mariage _ avec Marie-Madeleine Grandjean, à Chatou, le 9 septembre 1920 _ : Alain Engelhard _ Le Vésinet, 8 juillet 1921 – Toulon, 23 janvier 2011 _ et Claude Engelhard _ Paris 5e, 13 novembre 1924 – Porto-Vecchio, 21 mars 2014 _),

est mère de deux enfants :

Philippe-Adrien Engelhard (22 février 1942)

et Marie-Bernadette-Gemma-Etiennette-Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019).

Philippe-Adrien Engelhard étant lui-même père de Stéphane-Frantz-Emmanuel Engelhard _ présentement vice-président de la chambre de commerce France-Brésil.

Ensuite, nous avons abordé la descendance _ de 10 enfants, dont deux décédés précocément : Marie-Madeleine (la 4e de la fratrie) et Marie-Marguerite (la 9e de la fratrie) ; 28 petits-enfants ; et 43 arrière-petits-enfants… _ d’Étiennette Ducos du Hauron et son époux Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976),

les parents _ inhumés tous deux au cimetière de Bon-Encontre, tout à côté d’Agen _ de mon correspondant _ né, lui, en 1941.

J’ai découvert aussi, un peu plus tard, qu’Alfred _ fils d’Auguste-René Lamarque (Gençay, 31 juillet 1859 – Le Buisson-de-Cadouin, 29 juillet 1817) _ et Étiennette _ fille d’Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) _ avaient un même grand-père Henry de Lamarque (né à Clermont-Ferrand, le 4 janvier 1832 et décédé à Paris, le 14 octobre 1916),

étant issus des deux mariages successifs de celui-ci :

Alfred, est issu _via son père Auguste-René Lamarque (né à Gençay, le 31 juillet 1859, et décédé au Buisson-de Cadouin, le 29 juillet 1917) _ du premier mariage, à Gençay, le 23 mars 1857, de son grand-père paternel Henry, avec Marie-Radegonde Barot (18 janvier 1836 – Niort, 4 novembre 1871) ;

et Étiennette, est issue _ via sa mère Edmée de Lamarque (née à Poitiers, 8 janvier 1879 et décédée à Saint-Mandé le 22 février 1902) _ du second mariage, à Angoulême, le 31 juillet 1873, de son grand-père maternel Henry, avec Fanny de Coquet de Laroche-Mombrun (Seclin, 3 septembre 1847 – Bourg-la-Reine, 24 mars 1937). Alfred et Étiennette sont donc cousins germains.

Et je remarque aussi que, pour la déclaration _ à la mairie de Saint-Maurice, le 22 mai 1900 _ de la naissance, le 20 mai, 1900, de la petite Simone Ducos du Hauron, la sœur cadette d’Étiennette,

les deux personnes venues accomplir cette déclaration à la mairie de Saint-Maurice, étaient Louis Ducos du Hauron, « ingénieur scientifique, domicilié à Paris rue des Batignolles n°27« , âgé de 62 ans : oncle paternel du père _ Gaston Ducos du Hauron  _ de l’enfant ; et Henry de Lamarque, « inspecteur des chemins de fer d’Orléans en retraite, demeurant à Saint-Maurice rue Gabrielle n° 26« , âgé de 68 ans : père de la mère _ Edmée de Lamarque _ de l’enfant.

L’aînée de la fratrie des 10 enfants _ tous ceux qui sont (ou ont) été mariés ont eu des enfants… _ d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque,

Jacqueline Lamarque _ née à Fontainebleau le 5 juin 1921 (précision donnée par son fils Louis Allard le 21 février 2034) _a épousé Jean Allard, et est décédée à Paris le 14 février 2018, en sa 97e année ; Jacqueline était née à Fontainebleau _ sa sœur Geneviève est née, elle, le 24 juillet 1923 _, où résidaient alors ses parents pour des raisons professionnelles ; et le couple de Jacqueline et Jean Allard a eu 3 enfants :

Anne-Elisabeth Allard, épouse de Bernard Pouy ;

François Allard, époux d’Isabelle ;

et Louis Allard _ celui-là même qui, vivant dans le Sud-Ouest, a accepté de venir représenter son oncle aux cérémonies de commémoration, le 31 août dernier (2020) à Agen, du centenaire du décès, à Agen même, au 58 de la rue Lamouroux, de Louis Ducos du Hauron.

Marie-Odile Lamarque (la 7e de la fratrie) est religieuse dominicaine, sous le nom de Mère Marie de Sienne.

Et Anne-Marie Lamarque (la 8e de la fratrie) a deux fils, Eric et  Xavier Haudiquet-Lamarque _ qui est psychothérapeute dans l’Hérault _ de son mari Haudiquet dont elle est divorcée, ainsi qu’une fille, Florence…

Et les garçons Lamarque : Yves (le n°3 _ né, lui aussi  à Agen : le 19 janvier 1925 _),

Jean (le n°5),

et Xavier (le n°6) _ qui est peintre, et vit à Savignt-sur-Orge _, ont donc aussi des enfants…

Ensuite, j’ai demandé à mon correspondant si il connaissait les dates et lieux des décès de Raymond de Bercegol (né à Lamothe-Landerron le 4 février 1869) et de sa mère Berthe Ducos (née à Libourne le 23 janvier 1842) :

non, il ne les connaît pas ;

mais il se souvient que durant de longues années _ de 1917 à 1944 _, Raymond de Bercegol _ nommé parfois Comte Raymond de Bercegol du Moulin _ a dirigé l’Office central du Carmel de Lisieux ;

et il pense que celui-ci serait décédé en son domicile parisien de la rue Michel-Ange (Paris 16e), vers les années 1949-1950 :

ce fut même, m’a-t-il confié, le premier deuil au sein de sa famille qui a marqué l’esprit de mon correspondant ;

qui se souvient bien aussi de la tante Yvonne, née Marinier _ qui a survécu à son mari Raymond de Bercegol _.

En revanche, il n’a nul souvenir d’éventuels cousins de Bercegol qui descendraient de ce couple…

Puis, je pose une question sur la branche des Ducos du Hauron d’Algérie,

en commençant par Roger Ducos du Hauron,

dont je ne connaissais jusqu’ici ni les dates et lieux de naissance, de mariage et de décès, mais seulement l’existence par le faire-part publié dans L’Écho d’Alger en date du 2 janvier 1939, pour le décès d’Eveline Ducos du Hauron, épouse d’Henri Ducros : Eveline, la probable _ et vraiment ! elles née à Orléansville au mois de mars 1898, je l’ai découvert le 20 février 2024… _ sœur aînée de Gérard et Roger Ducos du Hauron _ dont les parents, Amédée Ducos du Hauron, et son épouse Marie-Louise Rey, étaient préalablement décédés en 1935 et 1933 : Amédée, à Alger, le 14 juillet 1935, et son épouse Marie-Louise, à Agen, le 20 septembre 1933.

À comparer avec ce qu’indiquait l’article de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, qui évoquait l’existence, à cette date de 1927, de cinq enfants à la charge du foyer d’Amédée Ducos Hauron, désormais retraité de l’administration, à l’âge de 60 ans, et domicilié alors à Rébeval…

Si j’ai connaissance de la naissance, le 8 juillet 1904, à Lamartine, au foyer d’Amédée Ducos du Hauros, administrateur-adjoint de cette commune à cette date, d’une petite Edmée Ducos du Hauron _ soit le prénom même de l’épouse de son frère Gaston (née Edmée de Lamarque), décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902 : deux ans auparavant… _,

je n’ai trouvé nulle autre mention par la suite de cette petite Edmée Ducos du Hauron _ Edmée Ducos du Hauron est décédée à La Redoute, Birmandreis, le 19 novembre 1920, à l’âge de 16 ans (ajout du 20 février 2024) _ ;

à moins que celle-ci ne soit _ Non ! _ la « Mme Vve Gadel« , présente, dans l’avis de décès, juste après la « Mme Jacquet » (la probable compagne, celle-là, que Gérard Ducos du Hauron, le frère aîné de Roger, épousera bientôt, à Alger, au prochain mois de novembre de cette même année 1939…

Mais Gérard _ né à Berrouaghia le 30 août 1909 _ + Roger _ né à Alger le 23 juillet 1918 (ajout du 20 février 2024) _ + Edmée _ non, Edmée est décédée à Birmandreis le 19 novembre 1920 (ajout du 20 février 2024)…  _ + Eveline, cela ne fait que 4 _ même pas : seulement 3 ! _ enfants : qui était donc le _ 4ème et le _ 5ème enfant de cette fratrie algérienne des enfants d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey, présents à Rébeval en 1927 ? Je l’ignore encore pour le moment _ et toujours ce 7 novembre 2021 (et ce 20 février 2024)…

Mais mon correspondant, Claude Lamarque,

alors qu’il me dit n’avoir souvenir d’aucun lien avec le frère aîné de Roger, Gérard Ducos du Hauron (Berrouaghia, 30 août 1909 – Avignon, 27 janvier 2000),

me déclare que ce Roger Ducos du Hauron était un « cousin bien aimé » de lui ;

et qu’il se souvient fort bien de son arrivée en France, au moment du grand rapatriement des pieds-noirs d’Algérie, en 1962 ;

ainsi que de son installation, avec ses 4 enfants et son épouse Sylvia

 

 

, à Savigny-sur-Orge

_ mais pas dans la maison qui avait été, rue des Rossays, le domicile d’Alcide, Cézarine-Marie, Louis, ainsi que Gaston et ses filles Étiennette et Simone, ainsi que Marguerite et Alice Ducos du Hauron ; maison sur laquelle, le 28 janvier 1951, a été apposée la plaque honorant le séjour, en ce domicile où avait vécu, de 1902 à août 1914, Louis Ducos du Hauron.

Roger Ducos du Hauron et son épouse Sylvia, eux, ont eu 4 enfants, qui tous ont été mariés :

_ Marie-José Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 26 décembre 2009), mariée, puis divorcée.

_ Jean-Louis Ducos du Hauron _ né en 1953, et vivant actuellement en Espagne _ ; il a 2 fils, dont l’un est prénommé Cédric et l’autre Aurélien.

_ Danièle Ducos du Hauron, épouse Thion

_ Denise Ducos du Hauron.

Autant de précieuses données sur la présente descendance des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron,

qu’il faudra chercher à compléter…

Voilà pour la fructueuse moisson de cette sympathique conversation téléphonique d’une heure,

hier samedi 19 décembre.

Ce dimanche 20 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Avec quelques menus progrès de la recherche

 

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis reprise de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron (suite) » du samedi 12 décembre 2020

06nov

En poursuivant mes relectures (avec éventuelles retouches) de mes articles de décembre 2020,

je passe à l’article suivant,

celui du 12 décembre : « « ,

que re-voici _ avec mes retouches en rouge _ :

Au final de mon article d’hier (),

j’annonçais avoir avancé dans l’identification des enfants, au nombre de 10, de la petite-nièce aînée

_ fille aînée du second fils, Étienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), du frère aîné, Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) _

de Louis Ducos du Hauron :

Étiennette-Marie-Augustine-Isaure Ducos du Hauron (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898, et décédée à Paris 6e, le 20 décembre 1996)

et de son mari _ leur mariage a eu lieu à Agen le 20 juillet 1920 : Louis Ducos du Hauron était présent ; il mourra, à Agen, au 56 de la rue Lamouroux, un mois et 11 jours plus tard, le 31 août suivant… _ Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976).

Et cela, grâce à ma découverte d’une précieuse généalogie familiale mise au point par un des petits-fils de ce couple d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque,

Benoît Viennot, né en 1963 _ sans plus de précision _le fils aîné _ d’une fratrie de 5 _ d’une des filles _ la seconde de la fratrie des 10 _, d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse _ le mariage a eu lieu le 3 octobre 1953 à Reilly-Sur-Seine _ de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecorbon, 24 août 2016)…

A moins que l’auteur de cette très riche généalogie familiale ne soit, plutôt, l’épouse _ le couple s’est marié à Rueil-Malmaison _ de Benoît Viennot : Anne-Catherine Goulletquer _ qui vit, semble-t-il, dans la Mayenne, à Assé-le-Bérenger, et aime beaucoup l’île de Groix….

Ces 10 enfants _ nés au fil des postes successifs de leur père, qui gravira les plus hauts échelons de la carrière ferroviaire en France... _ d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, sont :

_ Jacqueline Lamarque _ née à Agen en 1921 ou 1922 ; épouse de Jean Allard, elle décèdera à Paris le 15 février 2018  _

_ Geneviève Lamarque _ née à Agen le 24 juillet 1923 ; épouse, à Neuilly-sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot, elle décèdera à Rueil-Malmaison le 25 octobre 1998 _

_ Yves Lamarque _ né à Agen le 19 janvier 1925 _

_ Marie-Madeleine Lamarque _ décédée jeune _

_ Jean Lamarque

_ Xavier Lamarque

_ Marie-Odile Lamarque _ Mère Marie de Sienne, en religion _

_ Anne-Marie Lamarque _ épouse, puis divorcée, d’un M. Haudiquet _

_ Marguerite-Marie Lamarque

_ et Claude Lamarque, le dixième _ né en 1941…

Et il semble _ mais c’est plutôt mon ignorance qui pourrait bien s’égarer ici (oui !), faute d’appuis et de témoignages _ que, de ces 10 enfants Lamarque, seule Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque (née à Agen, le 24 juillet 1923 et décédée à Rueil-Malmaison, le 25 octobre 1998) ait eu une descendance,

via les 5 enfants, issus de son mariage, le 3 octobre 1953, à Neuilly-sur-Seine, avec Bernard Viennot (né à Paris 9e, le 7 juin 1923 et décédé à Rochecorbon, le 24 août 2016) :

_ Benoît Viennot

_ Emmanuel Viennot

_ Hubert Viennot

_ Anaïs Viennot

_ et Dominique Viennot, le cinquième et dernier.

Toutefois, il ne semble pas _ mais je peux bien sûr faire erreur ! _ que l’arrière petit-neveu qui s’est rendu dernièrement, le 31 août 2020, à Agen pour les cérémonies du centenaire du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, décédé à Agen le 31 août 1920,

et qui se nomme Louis Allard,

soit issu de cette branche Lamarque-là des petits-neveux de l’inventeur _ mais si ! je fais ici erreur !! Louis Allard étant un des 3 enfants, avec Anne-Elisabeth Allard et François Allard, de Jean Allard et son épouse Jacqueline Lamarque, laquelle est l’aînée de la fratrie des 10 enfants d’Étiennette Ducos du Hauron et son époux Alfred Lamarque… _ ;

si, comme je le suppose _ mais peut-être tout à fait à tort ! À tort : très effectivement !!! _ aucun des 9 frères et sœurs de Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque, n’a eu d’enfant _ au contraire, Claude Lamarque m’a confié en une très riche communication téléphonique, le 19 décembre 2020, avoir un nombre important de neveux et nièces : 27 neveux et nièces et 43 petits-neveux et petites-nièces, précisément… _ ;

je vois donc mal comment Louis Allard pourrait être un descendant d’un des enfants Lamarque…

Peut-être Louis Allard est-il issu de la descendance de la sœur cadette d’Étiennette, dont j’ignore toujours à ce jour le prénom _ Simone _,  ainsi que le lieu et la date de naissance :  probablement pas à Saint-Mandé _ mais à Saint-Maurice-sur Seine _,  et entre 1899 _ sa sœur aînée Etiennette est née à Saint-Mandé le 28 décembre 1898 _ et 1902 _ leur mère, Edmée de Lamarque, est décédée, à Saint-Mandé, le 22 février 1902. Simone Ducos du Hauron est née à Saint-Maurice-sur-Seine le 20 mai 1900.

De même que j’ignore toujours le nom de son mari _ Jacques Engelhard _ainsi que de leurs deux filles _ non, une fille et un fils : Nadine Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) et Philippe Engelhard (né le 24 février 1942, et toujours de ce monde, m’a confiée dernièrement Annie Boulanger (« Bonjour, Amie de Philippe ENGELHARD, je suis très intéressée par cette généalogie familiale dont il m’a beaucoup parlé. Philippe ENGELHARD, fils de Marie Madeleine (Simone), est en fait né le 24 février 1942 et est toujours bien vivant ! Je vais lui transmettre votre blog dont je ne crois pas qu’il ait eu connaissance. Cordiaux remerciements. Annie« )… 

Tout ce que je sais, à ce jour _ du 12 décembre 2020 _, concernant la sœur cadette _ Simone _ d’Étiennette Ducos du Hauron,

je l’ai appris de la lettre de Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) du 6 août 1948 à Monsieur Lacroix (cf le post-scriptum de mon article du 6 décembre dernier : …) :

« elle _ Simone Ducos du Hauron, épouse Engelhard _ est depuis 4 ans _ soit 1944 _ paralysée à l’âge de 48 ans _ ce qui ferait remonter l’année de sa naissance à 1900 ! Et elle est effectivement née le 20 mai 1900 _, et ma sœur _ Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) : la tante et la nièce ayant un écart d’âge d’à peu près 21 ans… _ ne la quitte jamais.« 

Ce pourrait alors être d’elle _ non _ (et de son mariage avec un Monsieur Allard) qu’est né l’arrière petit-neveu Louis Allard

venu à Agen le 31 août dernier pour les commémorations du centième anniversaire, jour pour jour, du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920…

Sur la photo ci-dessous,

Charles Sarion, le président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , assiste au dévoilement de la plaque de la rue Ducos du Hauron (à l’angle du Boulevard Carnot), par le maire d’Agen, Jean Dionis du Séjour, et son adjointe à la Culture, Marie Claude Iachemet, ce 31 août 2020.

Dévoilement de la plaque Louis Ducos du Hauron, inventeur de la photo couleur.

On peut aussi, via un article de Sud-Ouest du 2 novembre dernier, intitulé « Culture : Ducos du Hauron mis en vedette par France 3« ,

regarder le riche et très intéressant extrait (entre 12′ 25 et 19′ 27) du film du reportage réalisé à Agen par Éric Perrin pour France 3,

nous présentant, avec Charles Sarion, l’actif et efficace président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , à la fois les sites agenais photographiés par Louis Ducos du Hauron _ en 1877 est ainsi réalisée, à Agen, la toute première photographie au monde de paysage en couleurs ! _et les très précieuses acquisitions par le Musée d’Agen d’œuvres (photos, pellicules originales, mais aussi divers appareils photographiques…) de Louis Ducos du Hauron ;

le Musée d’Agen qui consacre désormais deux salles aux extraordinaires réalisations de cet inventeur de génie et illustre _ méconnu jusqu’ici… _ agenais…

Ce samedi 12 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour cette reprise _ avec correctifs, précisions et ajouts a posteriori _ de l’article du 12 décembre 2020…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis, d’utiles corrections à l’article « Nouvelles avancées à propos de la constellation familiale des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron… » du 8 décembre 2020

05nov

Ce vendredi 5 novembre 2021,

et toujours suite au très riche échange téléphonique de plus de 2 heures, mardi dernier 2 novembre 2021, avec l’excellent Joël Petitjean,

nouvelle opération de corrections, précisions et ajouts _ ci-dessous en rouge _,

cette fois à mon article du 8 décembre 2020 «  » ;

que voici donc re-toiletté de frais : 

Poursuivant ce matin mes recherches généalogiques concernant le cercle familial rapproché de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

et cela afin de mieux  comprendre de quelles aides matérielles ainsi que de quels réconforts affectifs ses recherches ont pu bénéficier,

je viens de découvrir dans le registre des naissances de la ville d’Agen les dates et lieux de naissance et de décès des deux filles d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 31 juillet 1830 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) et Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen,  mai 1923) _ et sœurs cadettes d’Amédée (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et Gaston (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) Ducos du Hauron _ ; et nièces de Louis :

Marie-Alice Ducos du Hauron : Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) _ dont je connais désormais les dates et lieux de naissance (au 58 de la rue Lamouroux à Agen) et de décès (à Neuilly) _ ;

et Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron : Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) _ dont j’apprends ainsi aussi les prénoms.

En revanche, je ne suis pas encore parvenu à identifier quel jour du mois de mai 1923 _ si : le 19 mai, m’ a donné cette précision Joël Petitjean, le 2 novembre dernier _ est décédée à Agen _ probablement encore en son domicile du 58 de la rue Lamouroux : non, mais Rue Landrade, à Agen ;

et Cézarine-Marie de Fourcauld a été inhumée dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, le 21 mai suivant, en 1923, auprès de son époux Alcide Ducos du Hauron, inhumé là le 17 mai 1909 (il était décédé en leur domicile de Savigny-sur-Orge le 13 mai précédent) ; auprès, aussi, de son fils cadet, Gaston Ducos du Hauron, inhumé là probablement le 28 mai 1912 (il était décédé le 3 avril 1912 en son domicile de Savigny-sur-Orge ; et également auprès de son beau-frère Louis Ducos du Hauron, inhumé là le 2 septembre 1920 (il était décédé 58 rue Lamouroux, à Agen, le 31 août 1920) _ la veuve d’Alcide Ducos du Hauron _ le mariage d’Alcide Ducos du Hauron et Cézarine-Marie de Fourcauld avait eu lieu au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 _ et belle-sœur très attentive de Louis, Cézarine-Marie de Fourcauld, née au Temple-sur-Lot le 3 février 1841

_ demeure la question du lieu d’inhumation (à Alger ? ) de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, car Marie-Louise Rey est décédée à Agen le 20 septembre 1933 ; apparemment Marie-Louise Rey ne repose pas au cimetière de Gaillard, à Agen… Et j’ignore les raisons de ce voyage à Agen depuis Alger…

En revanche, les deux sœurs d’Amédée et Gaston Ducos du Hauron, Marguerite-Jeanne et Marie-Alice Ducos du Hauron, nées toutes deux à Agen (et à la même adresse du 4 rue Palissy), respectivement, Marguerite le 26 mai 1879, et Alice, le 18 (ou 19) décembre 1880, et décédées, toutes deux à Neuilly-Sur-Seine, Marguerite, le 22 avril 1971, et Alice, le 17 novembre 1971, ont rejoint, elles aussi, le caveau familial des Ducos du Hauron au cimetière de Gaillard, à Agen, respectivement Marguerite, le 26 avril 1971, et Alice, le 23 octobre 1971.

Mais ici je suis bien forcé de constater que, pour ce qui concerne les dates respectives de décès (à Neuilly-sur-Seine, le 17 novembre 1971) et d’inhumation (au cimetière de Gaillard à Agen, le 23 octobre 1971, d’après le registre des inhumations) de Marie-Alice Ducos, existe une dérangeante incompatibilité de dates. Pour le moment, je dois me contenter de ce constat d’anachronisme, sans être en mesure de pouvoir résoudre cette difficulté de chronologie…

Et en consultant toujours les archives en ligne d’Agen,  j’ai pu établir aussi la date du mariage, à Agen, le 11 février 1866, de la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron, Berthe Ducos du Hauron, née à Libourne le 23 janvier 1942, avec Henri Fabien Marie Alexandre Onézime de Bercegol, né le 19 février 1834 à Bélaye, au château Floyras, dans le canton de Luzech (Lot) _ le père de celui-ci étant Jean Guillaume Pierre Paul de Bercegol, qui fut maire de Bélaye de 1815 à 1830, puis de 1871 à 1877… Au moment de son mariage, le marié était commis aux manufactures de tabac, et en poste à Coutras. Il décèdera le 21 septembre 1896 à Cahors. Berthe lui survivant _ au moins jusqu’au 15 novembre 1912 : Berthe figure en effet sur le faire-part de décès de sa petite-fille, Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912)

De ce couple d’Onézime et Berthe, j’ai pu identifier au moins un des enfants (le neveu assistant assidu de son oncle Louis dans ses recherches) : Raymond-Camille-Marie de Bercegol, né _ mais je n’ai pas encore découvert où : si à Lamothe-Landerron, en Gironde… _ le 4 février 1869 _ et j’ignore si Berthe et Fabien Onézime de Bercegol ont eu, ou pas, d’autres enfants.

Le 8 mars 1903, Raymond de Bercegol, alors commissaire de police pour les chemins de fer _ il a alors 34 ans _, a demandé sa mise en disponiblité pour raisons personnelles : très possiblement pour s’associer à plein temps aux passionnantes recherches photographiques de son oncle Louis…  C’est en effet ce même Raymond de Bercegol qui, le 21 décembre 1901 et le 16 janvier 1902, cède à la Société Jougla (8 Avenue Victoria à Paris) les droits qu’il avait lui-même pris le 21 octobre 1898 pour l’appareil photographique Sinnox

Et toujours à propos de Raymond de Bercegol,  j’ai trouvé mention de deux mariages : le premier, le 28 octobre 1896, à Bélaye (au château de Floyras), soit le berceau de la famille des Bercegol (dans le département du Lot _ entre Cahors et Fumel _), avec sa cousine Emérancie David _ dont la mère était une de Bercegol _ ; et le second, le 4 juin 1907, à Bordeaux, avec Yvonne Marinier…

Ensuite, plus de traces du parcours existentiel de Raymond de Bercegol _ qu’a-t-il fait ? quand et où est-il décédé ? Si : je découvrirai bientôt les naissances et les décès de deux filles de lui ; la première, Marie-Henriette, fille de sa première épouse (et cousine) Emérancie David (décédée, elle, à Bélaye, au château de Floyras, le 31 octobre 1905), est née à Bélaye, au château de Floyras le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912 ; et la seconde, Simone-Camille-Jeanne-Marie, fille de sa seconde épouse Marguerite Yvonne Marinier, est née à Joinville-le Pont le 13 mars 1910, et décédée à l’Hôpital Marie de Lannelongue, dans le 13e arrondissement de Paris, le 7 septembre 1912. 1912 : une terrible année pour Raymond de Bercegol…

Mais aussi Claude Lamarque me parlera de ce cousin dont, lui qui est né en 1941, se souvient avoir connu à Paris, où Raymond de Bercegol était domicilié, dans le 16e arrondissement… ; et c’est Claude Lamarque qui m’a indiqué que la date de la disparition de Raymond de Bercegol se situait aux environs de 1949, sans davantage de précisions… _ ;

ni, non plus, de son éventuelle descendance…

Mais je n’ai pas non plus découvert pour le moment ce qu’est devenue, ni où et quand est décédée, après son veuvage survenu à Cahors le 21 septembre 1896, la mère de Raymond de Bercegol, née Berthe Ducos, la sœur d’Alcide et Louis Ducos du Hauron. 

À suivre…

Ce mardi 8 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nous continuons d’avancer : c’est passionnant…

Ce vendredi 5 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

D’utiles corrections à l’article « Avancées et stagnations sur le front de ma recherche à propos de l’entourage familial de Louis Ducos du Hauron… », en date du lundi 7 décembre 2020

05nov

Ma longue et précise (et très précieuse !) conversation téléphonique de plus de 2 heures, du 2 novembre dernier, avec Joël Petitjean

_ cf mon article du 3 novembre dernier : « «  _,

me permet d’apporter, pour commencer _ et je vais bien sûr poursuivre les corrections bienvenues et nécessaires, d’autres articles de ma recherche ! _, d’importants et très utiles correctifs _ ci-dessous en rouge _ à un de mes tous premiers articles de recherche (entamée le 2 décembre 2020) de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron,

l’article rédigé le lundi 7 décembre 2020 (« « ) ;

à propos de la date exacte de naissance d’Amédée Ducos du Hauron :

né à Agen, non pas le 9 février 1866, mais le 24 mars 1867…

Voici ce que désormais _ les corrections et ajouts sont en rouge _ cela donne 

Ce lundi 7 décembre 2020,

j’ai poursuivi ma recherche en tâchant d’élucider quelques points d’ignorance au sein de la constellation familiale de Louis Ducos du Hauron.

Grâce à la lettre d’Alice Ducos du Hauron _ dont j’ignore toujours les lieux et dates de naissance et de décès, pour cette fille d’Alcide Ducos et Cézarine-Marie de Fourcauld : Marie-Alice Ducos du Hauron est née à Agen le 18 décembre 1880, et décèdera à Neuilly-sur-Seine  le 17 novembre 1971 _ en date du 6 août 1948,

j’ai pu identifier qui était fille aînée de Gaston Ducos du Hauron et son épouse Edmée de Lamarque, tous deux précocément décédés : Étiennette Ducos du Hauron ;

et apprendre le nombre d’enfants qu’elle, Étiennette _ épouse d’Alfred Lamarque _, et sa sœurdont j’ignore encore jusqu’au prénom (elle s’appelle Simone : Marie-Simone-Madeleine-Adrienne Ducos du Hauron est née à Saint-Maurice-sur-Seine, le 20 mai 1900, et est décédée à Bayeux le 22 novembre 1955)  ainsi que le nom de son mari (Jacques-Antoine Engelhard : né à Gonneville, le 31 juillet 1896, et décédé en 1979) _ ont eus :

au moins 8 enfants _ 10 en réalité, comme me l’apprendra le dernier né de la fratrie, Claude Lamarque (né en 1941 ; cf mon article du 21 décembre 2020 : ), en notre très précieuse longue conversation téléphonique du samedi 19 décembre 2020 _ pour Étiennette, l’aînée ;

et 2 enfants pour sa cadette Simone.

J’ai découvert aussi que Gaston n’était pas, comme je l’avais d’abord supposé, le frère aîné des enfants d’Alcide et Cézarine-Marie, mais que c’était Amédée _ Marie-Louis-Amédée, pour être très précis quant aux mentions de l’état-civil de l’enfant déclaré à la mairie d’Agen, à sa naissance, qui a eu lieu le 24 mars 1867 à Agen ; et à ne pas confondre, j’y insiste à nouveau, avec Henri-Amédée Lionel Ducos du Hauron, son frère aîné, né à Agen le 9 février 1866, mais décédé, lui, à l’âge d’à peine 2 mois et 5 jours, à Agen, le 11 juillet 1866… :

il a longtemps été d’usage, peut-être en raison de la fréquence, alors, de la mortalité infantile, qu’à plusieurs frères ou sœurs d’une même fratrie, soient donnés et re-donnnés d’identiques prénoms : cf ainsi , par exemple, les 3 sœurs Delouart nommées Marie et Marie-Baptiste (nées à Ciboure les 29 juin 1782, 17 juin 1784 et 17 août 1786), dans la généalogie, à Ciboure, des ancêtres Delouart de la mère, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917), de Maurice Ravel (Ciboure, 1875 – Parisn, 1937) ; ce qui, bien sûr, peut abuser l’attention, parfois un peu trop impatiente, des généalogistes ; cf, par exemple, mon article du 12 avril 2019 : « « … _ ;

Amédée dont, en me penchant sur les dates et lieux de naissance de son frère Gaston (Étienne-Gaston à l’état-civil) et de lui-même, Amédée, connus pour l’un, mais inconnus jusqu’ici pour l’autre, je suis parvenu à découvrir cette date et ce lieu de naissance, à partir des dates, en amont, du mariage de leurs parents (le 11 septembre 1864, au Temple-sur-Lot) et, en aval, de la naissance de son frère cadet Gaston _ puisque c’est bien cet ordre effectif-là de naissance que m’a appris la lettre d’Alice Ducos du Hauron du 6 août 1948 _ : le 16 juin 1870, à Agen.

Il me fallait aussi tâcher de passer en revue le mieux possible les lieux des postes successifs occupés par leur père Alcide, magistrat, entre ces deux dates du 11 septembre 1864 (comme juge suppléant) : à Agen ; et du 16 juin 1870 : à Agen, à nouveau (mais cette fois comme juge titulaire au tribunal d’instance). Entretemps, c’est-à-dire entre septembre 1864 et juin 1870, Alcide avait occupé, de 1868 à début 1870, un poste au tribunal de Lectoure.

J’ai donc passé en revue la liste des naissances à Lectoure ces années-là, et n’y ai pas trouvé ce que j’y cherchais ;

mais c’est en passant en revue la liste des naissances à Agen que j’ai découvert enfin la date de naissance de « Henri, Amédée, Lionel » Ducos du Hauron : à Agen, donc, le 9 février 1866 _ sauf que cet Amédée-ci, soit Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron, né à Agen le 9 février 1866, et qui décèdera précocement à Agen le 11 juillet 1866, ne doit pas être confondu avec Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron, né à Agen le 24 mars 1867, et qui décèdera à Alger le 14 juillet 1935,

ainsi que me l’a appris (ou plutôt confirmé : dans mes articles j’avais contradictoirement indiqué pour Amédée ces deux dates et années (1867 et 1868) de naissance, à Agen), en notre longue conversation téléphonique de plus de heures mardi 2 novembre 2021, Joël Petitjean…

Voilà donc qui est notre Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935), que nous pouvons considérer comme l’aîné des trois neveux, Amédée Ducos du Hauron, Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949) et Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), de Louis Ducos du Hauron, l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs«  ; et mes corrections sont réalisées ce vendredi 5 novembre 2021…  

Je tenais enfin là la confirmation de ce que m’avais laissé entr’apercevoir la lettre de sa tante Alice _ sauf que mon passage en revue de l’état-civil d’Agen ces années-là s’était trop vite interrompu ; et que j’avais manqué, à la fois  le décès de ce premier né d’Alcide et son épouse Cézarine-Marie, soit Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron, à Agen, le 11 juillet 1866 ; et la naissance de son frère (notre Amédée !), Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron, à Agen, le 24 mars 1867…

J’ai aussi fait des recherches sur les dates et lieux de naissance des divers enfants d’Amédée en Algérie ; dont je ne suis pas encore parvenu à découvrir toutes les identités…

J’ai découvert aussi le nom de son épouse : Marie-Louise Rey ; ainsi que les lieux et dates du décès d’Amédée : à Alger, le 15 juillet 1935 _ non, c’est le 14 juillet qu’est décédé, à Alger, Amédée ; alors que le 15 juillet est le jour de ses obsèques, à Alger, ainsi que l’indique mon article du 23 décembre 2020 :  _ ;

et les lieux et dates du décès de son épouse Marie-Louise : à Agen, le 20 septembre 1933.

Pour leurs enfants nés en Algérie _ et à la date du 4 mars 1927, selon un article de L’Écho d’Alger : la famille résidait alors à Rébeval (aujourd’hui Baghlia), en Kabylie ; et Amédée jouissait alors d’une mince pension de retraite de 500 francs par mois _, ces enfants Ducos du Hauron étaient _ au moins _ au nombre de 5.

Le 8 juillet 1904, alors que le couple résidait à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, dans la circonscription d’Orléansville, leur était née une petite Edmée _ le prénom de la belle sœur d’Amédée, l’épouse de son frère Gaston, qui venait de décéder à Saint-Mandé le 22 février 1902.

Et le 30 août 1909, alors que le couple résidait à Berrouaghia, au sud d’Alger, leur était né un petit « Gérard Yves Alcide« , qui décèdera le 27 janvier 2000, à l’âge de 90 ans, à Avignon.

Pour ce qui concerne la petite sœur d’Alcide et Louis, Berthe Ducos du Hauron, née à Libourne le 23 janvier 1842,

ma moisson de renseignements demeure encore bien maigrelette : si je sais que son époux, Fabien Onézime de Bercegol _ peut-être originaire de Coutras : non il y fut seulement en poste de contrôleur des tabacs ; Fabien-Marie-Alexandre-Onézime de Bercegol est né au château de Bélaye (Lot) le 19 février 1834… _, l’a épousé à Agen, j’ignore encore à quelle date _ ce fut le 11 février 1866 _de même que j’ignore les prénoms, dates et lieux de naissance de leurs enfants ; alors que l’un d’eux _ peut-être (ou peut-être pas…) fils unique !.. _, Raymond de Bercegol _ Raymond-Camille-Marie de Bercegol_, né le 4 février 1869 _ en Gironde : à Lamothe-Landerron _, assista de très près son oncle pour plusieurs de ses inventions, au début du XXe siècle, tels l’appareil photo Sinnox, ou les plaques photographiques Omnicolors… À peine sais-je que Berthe est devenue veuve d’Onézime _ celui-ci décèdera à Cahors le 21 septembre 1896 ;

et je sais que Berthe était encore vivante en 1912 : elle figure en effet sur les deux faire-part de décès de ses deux-petites-filles, Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol (Joinville le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 3 septembre 1912) et Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) cf mon article du 10 décembre 2020 : …  

À (pour)suivre, donc…

Ce lundi 7 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les imprécisions et confusions de l’article du 7 décembre 2020 viennent donc d’être ainsi corrigées.

Et à nouveau, un grand merci à la vigilance méthodique de Joël Petitjean :

de tels échanges bienveillants constituent de très précieux atouts aux avancées de la recherche et de la connaissance !

 

Ce vendredi 5 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quand les messages des bouteilles lancées à la mer rencontrent des destinataires et offrent de merveilleux retours…

26sept

Que mon blog rencontre de vrais lecteurs passionnés
assez patients pour me lire in extenso _ au point même d’imprimer l’intégralité de la série de ces articles qui les intéressent !.. _,
constitue une sorte de miracle !
 
Et pourtant il advient à quelques uns de mes détaillés articles – bouteilles-lancées-à-la-mer 
d’arriver à rencontrer quelques lointains destinataires qui y portent une extrême scrupuleuse attention.
 
C’est magnifique !
 
C’est ce qui vient de se produire avec Joël Petitjean,
chercheur (et découvreur) de l’œuvre photographique de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le génial inventeur de la « photographie de couleurs » :
à partir de mes articles
d’avant-hier 24 septembre
et de la récapitulation commode du 4 janvier 2021
 
Comme c’est arrivé aussi, notamment, avec Manuel Cornejo
_ éditeur de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel (et Président des Amis de Maurice Ravel), avec lequel je suis désormais en très amical et très fructueux contact permanent _
pour mes articles de recherche sur Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
 
Ou encore avec Luc et Georgie Durosoir,
à partir de mes divers articles _ cf celui-ci, inaugural et essentiel (!), du 4 juillet 2008 :  ; et, 12 ans plus tard, celui-là, du 28 juin 2020 : _ sur l’œuvre musicale de Lucien Durosoir (1878 – 1955)…
Dont un des très mémorables aboutissements fut mes 2 contributions (1  et 2), au mois de février 2011, au Colloque « Un Compositeur moderne né romantique : Lucien Durosoir (1878 – 1955)« , qui s’est tenu au magnifique Palazzetto Bru-Zane à Venise :
 
La recherche désintéressée, vierge de tout souci de plaire, est donc féconde…

En effet, à mon courriel de vendredi 24 septembre dernier, à 15h 12 :
Le commentaire, hier, d’Annie Boulanger _ quelle magnifique surprise ! _, à mon article du 21 décembre 2020 :
m’a permis de reprendre, corriger et améliorer mon article généalogique du 4 janvier dernier : 
J’ose donc espérer que de nouveaux contacts, comme ceux, excellents, que j’ai eu en décembre dernier avec Claude Lamarque,
par exemple lors du colloque « Louis Ducos du Hauron » qui aura lieu au Théâtre Ducournau, à Agen, la journée du 27 novembre prochain,
m’offriront l’opportunité de compléter _ ou corriger _ mon essai de généalogie des descendants des trois neveux _ Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937), Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et Gaston Ducos du Hauron (Agen, Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _, de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), ce génie agenais…
Joël Petitjean a merveilleusement répondu ceci, par retour de courriel, à 19h 58 :
… 

Cher Monsieur,
 
Il y a quelques mois, Claude Lamarque _ petit-fils de Gaston Ducos du Hauron, via la fille aînée de ce dernier, Etiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 1898 – Paris 6e, 1996), épouse d’Alfred Lamarque (Angers, 1878 – Paris 7e, 1976) _, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années _ 1984 _, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) ; je suis donc un de vos lecteurs assidus.
 
Vous m’avez beaucoup appris.
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean
Voici maintenant ma réponse à ce splendide courriel de Joël Petitjean,
hier, samedi 25 septembre, à 11h 02 :
Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé,
et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux _ et leurs activités en lien avec celles de leur oncle Louis _ de Louis Ducos du Hauron,
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient, de près, puis de plus loin, apparentées _ par mariages _,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités spécifiques de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, effectivement collaboré à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron _ et son devenir jusqu’à aujourd’hui…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses, me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages.
Je me suis en effet pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure, afin d’établir les réels liens de parenté.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (Stanislawow, 1914 – Bordeaux, 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Etrangers _ GTE : une création de Vichy… _ ; puis à Toulouse, et surtout à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (Buenos Aires, 1914 – Buenos Aires, 1999) _ ma mère (Tarbes, 1918 – Bordeaux, 2018), née Marie-France Bioy, était La mémoire vivante de notre famille…
Là-dessus, cf mon commode compendium d’articles du 30 juillet dernier :
Puis, j’ai entrepris des recherches sur la généalogie basquaise de la mère, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917), de Maurice Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
j’ai ainsi appris à une très aimable luzienne, Maylen Lenoir, née Gaudin, le cousinage effectif, ignoré et même nié jusque là !!! _ et il y a là une étrangeté qui mériterait assurément d’être éclaircie ! _, de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (Ciboure, 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (Ciboure, 1809 – Ciboure, 1874),
était la gouvernante des 7 enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1875 – Bimbo, sur le fleuve Oubangui, 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres des 8 octobre 1910 et 20 novembre 1914 _ aux pages 246 et 403 de la Correspondance de Maurice Ravel publiée aux Éditions Le Passeur par Manuel Cornejo en 2018 _, à l’occasion des décès de Charles Gaudin _ le mari de Magdeleine Hiriart ; cf mon article du 16 juillet 2019 : _, puis de ses frères Pierre (Saint-Jean-de-Luz, 1878 – Mangiennes, 1914) et Pascal (Saint-Jean-de-Luz, 1883 – Mangiennes, 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
Et Maurice Ravel est demeuré toute sa vie l’ami très proche de Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1876 – Saint-Jean-de-Luz, 1976), la 4ème des 8 enfants d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 1920) et Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 1936), au domicile desquels Maurice Ravel est descendu à de multiples reprises lors de ses séjours à Saint-Jean-de-Luz…
 
Je suis, bien sûr, en lien constant et amical avec le Président des Amis de Maurice Ravel, le très actif Manuel Cornejo, le magnifique éditeur de la très précieuse Correspondance de Maurice Ravel,
de la lecture scrupuleuse de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique, ni authentique recherche personnelle tant soit peu rigoureuse et approfondie, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo tiendra compte des apports de mes corrections et découvertes lors de la réédition à venir de cette très riche Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants _ et remarquables _ musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père (Jean-Baptiste Sartre) de Jean-Paul Sartre (Paris, 1905 – Paris 1980) était originaire de Thiviers, en Dordogne : Jean-Baptiste Sartre est né à Thiviers le 5 août 1874 ; et décédé à Thiviers, le 17 septembre 1906.
Le père de Sylvain Sartre, Pierre Sartre, est, en effet _ j’ai pu l’établir : cf mon article du 8 juin dernier : ... _, un cousin des Sartre de Thiviers… 
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et il se trouve aussi que ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué ;
Agen, où vivent donc des cousins…
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
Et, par ma forme d’esprit, je suis fervent adepte et pratiquant de la sérendipité !
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
A ce courriel mien d’hier à 11h 02,
Joël Petitjean a répondu très vite, à 12h 46,
ceci :
Cher Monsieur,
 
Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron.
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son oeuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours.
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?)
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives _ de Louis Ducos du Hauron _ que j’ai retrouvées _ et c’est en effet très frustrant ; alors que la photographie suscite tant d’intérêts… _  je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre _ enfin… _ en place à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ le samedi 27 novembre prochain _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles Sarion et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur
_ j’ai moi-même eu un article publié par la Revue de l’Agenais (127e année, n°1, janvier-mars 2000), concernant la Bibliothèque musicale des Ducs d’Aiguillon, conservée à Agen, et réalisé pour un colloque organisé à Aiguillon par Serge-Alain Paraillous…
J’avais entrepris ces recherches en tant que conseiller artistique de Hugo Reyne et La Simphonie du Marais…
Pour lesquels j’avais découvert, en 1995, une œuvre restée jusqu’alors inconnue de Marc-Antoine Charpentier, sur un livret de Jean de La Fontaine, de 1678 : Les Amours d’Acis et Galatée… Découverte précieusement mentionnée à la page 138 de la 2de édition, en 2004, du Marc-Antoine Charpentier de Catherine Cessac, aux Éditions Fayard : cf là-dessus mon article du 18 avril 2009 : .
Cela fait vraiment plaisir !!!
Ce dimanche 26 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
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