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Suite de « Et les quelques taches aveugles qui demeurent dans mon effort pour comprendre qui sont exactement les frères et soeurs de Valentine Bitôt-Lourreyt, la mère de Marie-Amélie Lourreyt-Droin, la commanditaire-propriétaire de la sublime Villa Téthys du Pyla, en 1928″ : 2) l’investigation…

29sept

Pour poursuivre ce que j’ai commencé hier d’entreprendre en mon article « « ,

je m’attelle présentement ici et maintenant à un premier résumé-explicitation de mes recherches d’hier afin de découvrir-identifier qui sont précisément tous les frères et sœurs de Valentine-Marie Bitôt (Bordeaux, 4 juin 1852 – Bordeaux, 1931), l’épouse à Bordeaux le 26 octobre 1880 de Charles-Louis-Alfred Lourreyt (La Guerche-sur-L’Aubois, 31 août 1855 – Bordeaux, 5 janvier 1914);

soit, si possible, l’ensemble des enfants de Pierre-Anselme Bitôt (Podensac, 12  mars 1822 – Bordeaux, 2 février 1888) et son épouse Catherine-Pauline Oré (Bordeaux, 2 novembre 1825 – Bordeaux, 19 octobre 1898)…

Au départ _ et ici je me fie aux notes de mon agenda du 18 septembre dernier… _, j’ai pris appui sur la généalogie proposée sur son site par Raphaël Vialard ;

laquelle, de cette Valentine Bitôt épouse Lourreyt (Bordeaux, 4 juin 1852 – ?), comportait 2 sœurs, Marie-Thérèse (8 octobre 1849 – ?) et Thérèse-Marie (Bordeaux, 21 mai 1867 – Bordeaux, 24 novembre 1915), et un seul frère, Emile (??) Bitôt.

Depuis, mes recherches depuis le dimanche 19 septembre dernier, et à force surtout d’éplucher minutieusement de nombreux avis et faire-part de décès, m’ont permis de découvrir, non seulement bien des précisions supplémentaires sur Marie-Thérèse, Valentine, Emile et Thérèse-Marie, membres de cette fratrie Bitôt, et leurs conjoints et leurs enfants,

mais aussi d’apprendre l’existence de 4 autres membres de cette fratrie Bitôt, constituée de 8 enfants au total, que la généalogie de Raphaël Vialard passait sous silence ;

et dont l’ordre de naissance, chaque fois répété _ parfois, le plus souvent, selon la pure et simple chronologie des naissances ; mais quelquefois aussi en faisant passer l’ensemble des 3 frères faisant-part (Paul, Marc et Emile Bitôt) avant l’ensemble des 5 sœurs (dont les prénoms de 2 d’entre elles n’apparaissent tout simplement pas ; elles figurent seulement là comme épouses de leurs maris, R. Lefour et E. Sarran, dont les noms seuls sont donnés : il s’agit, je l’ai découvert, après recherches méthodiques, le 2 octobre 2022, de Jeanne-Marie, née à Bordeaux le 18 février 1851 ; et de Marie-Amélie-Noémie, née à Bordeaux le 26 mars 1864…) ; mais on apprend bien vite à fait la part de ces choses protocolaires de ce temps-là… _, est le suivant

_ cf, par exemple l’Avis de décès, paru le 19 avril 1894, dans le journal La France de Bordeaux, de M. Henri Baron, beau-frère du Dr Emile Bitôt (numéro 6 de la fratrie des 8 enfants de Pierre-Anselme Bitôt et son épouse Catherine-Pauline Oré), en un ordre qui respecte la chronologie des naissances… _ :

_ 1) Marie-Thérèse Bîtot, l’aînée de cette fratrie de 8 enfants Bitôt, est née, probablement à Bordeaux, le 8 octobre 1849 ; et a été l’épouse _ j’ignore la date de ce mariage, ainsi que la date de naissance de leur fils unique Pierre Jolivet (ancien magistrat et propriétaire, selon l’Annuaire du tout Sud-Ouest illustré de 1904, page 572) _ de Louis Jolivet, avocat et bâtonnier, en 1895 et 1903 _ ariégeois, Louis Jolivet est arrivé à Bordeaux vers 1868, selon la même source, page 571.

_

_ 2) la seconde née, Jeanne-Marie Bitôt, née à Bordeaux le 18 février 1851 _ allais-je laborieusement découvrir dimanche 2 octobre 2022 en passant systématiquement en revue les registres d’archives d’état-civil des naissances à Bordeaux en 1850 et 1851… _, apparaît _ et selon l’ordre de naissance des divers frères et sœurs Bitôt _ non pas sous ses prénoms, mais seulement  comme l’épouse de son mari, Joseph-Raoul Lefour, qui lui est nommé, dans un certain nombre d’Avis de décès ou de Remerciements et Messes consécutifs à diverses obsèques de parents de cette famille Bitôt ; je veux dire comme l’épouse du très fameux Professeur Raoul Lefour (Chenérailles, 9 septembre 1854 – Bordeaux, 22 novembre 1916) _ cf le même Annuaire de 1904 à la page 614 et page 713, sur celui de 1913 ; ou aux pages 439-440 du « Des Hommes et des activités, autour d’un demi-siècle » des Editions BEB de 1957, indiquant qu’il s’était fixé à Bordeaux en 1875… _, qui fonda à Bordeaux la première Société française de Gynécologie…

_ 3) la troisième née de ce couple Bitôt-Oré, à nouveau une fille, est notre Valentine-Marie Bitôt (Bordeaux, 4 juin 1852 – Bordeaux, en 1931), qui épousera à Bordeaux le 26 octobre 1880 son cousin Charles-Louis-Alfred Lourreyt (La Guerche-sur-L’Aubois, 31 août 1855 – Bordeaux 5 janvier 1914), qui était alors clerc de notaire à Nevers. Valentine et Alfred seront les parents de 3 filles : Charlotte-Marie-Josèphe Lourreyt _ épouse à Dax, le 25 novembre 1901, du Dr Jean-Baptiste-Jacques-André Venot _ ; Catherine-Marie-Pauline Lourreyt _ épouse à Dax, le 27 février 1905, de Raoul-Simon-Albert Gallié _ et Marie-Amélie Lourreyt _ épouse à Dax, le 1er août 1910, de Georges-A.-Laurent Droin

_ 4) le quatrième né est _ enfin ! _ un garçon, Paul-Jean-Baptiste Bitôt, né à Bordeaux le 22 mars 1854 (et qui décèdera à Bordeaux le 1er mai 1911, veuf de son épouse Marie Rabion, décédée à Bordeaux le 1er novembre 1896) : le Dr Paul Bitôt _ cf la notice que consacre au Dr Paul Bitôt l’Annuaire du tout Sud-Ouest illustré de 1904, à la page 363

_ 5) le cinquième de la fratrie est à nouveau un garçon, Pierre-Marc-Georges Bitôt, né à Bordeaux le 29 juillet 1856, qui épousera à Bordeaux le 22 avril 1885 Marie-Louise-Elisabeth Lebelin de Dionne (née à Rochefort le 26 juillet 1853), avec laquelle il aura 3 enfants, Anne _ qui épousera Jean Cazenave ; ils auront des enfants… _, Claude _ qui décèdera le 29 août 1919 _ et Etienne-Jean-Marie, qui naîtra à Bordeaux le 20 juin 1894. Marc Bitôt, lui, sera ingénieur à la Compagnie des Chemins de fer du Midi, et chef de traction des chemins de fer _ cf la notice que lui consacre l’Annuaire du tout Sud-Ouest illustré de 1913, à la page 114

_ 6) le sixième est à nouveau un garçon, Pierre-Joseph-Emile Bitôt, né à Bordeaux le 5 mai 1861, et qui comme son père et son frère Paul _ ainsi que son beau-frère le Pr Raoul Lefour _, sera médecin : le Dr Emile Bitôt _ cf aussi la notice que lui consacre l’Annuaire du tout Sud-Ouest illustré de 1913, à la page 114 _, lequel décèdera à Bordeaux au mois de mai 1932 ; son épouse, Marie-Thérèse Baron, qui lui survivra, décèdera à Arcachon, en leur villa les Acanthes de l’Avenue Sainte-Marie, le 31 octobre 1942.

_ 7) la septième de la fratrie est une fille,

_ 8) enfin, la huitième et dernière de cette fratrie des huit enfants du Professeur d’Anatomie Pierre-Anselme Bitôt et son épouse née Catherine-Pauline Oré, est Thérèse-Marie Bitôt (Bordeaux, 21 mai 1867 – Bordeaux, 24 novembre 1915), qui sera à Bordeaux, le 28 décembre 1889, l’épouse de Victor-Jean-Pierre-Charles Dorlet (Chantenay – Saint-Imbert, 23 décembre 1858 – ? 3 juin 1918), professeur de mathématiques au lycée de Bordeaux _ cf la notice que lui consacre l’Annuaire du tout Sud-Ouest illustré de 1913, à la page 374 _ ; le couple aura 6 enfants Dorlet, qui naîtront entre le 21 février 1892 et le 2 juillet 1902.

Soit,

et dans l’ordre des naissances à Bordeaux, 3 rue du Hâ, de ces 8 frères et sœurs _ 3 frères et 5 sœurs _ Bitôt :

1) 8 octobre 1849 : Marie-Thérèse, future épouse de Louis Jolivet

2) 18 février 1851 : Jeanne-Marie, future épouse de Raoul Lefour

3) 4 juin 1852 : Valentine, future épouse d’Alfred Lourreyt

4) 22 mars 1854 : Paul, futur époux de Marie Rabion

5) 29 juillet 1856 : Marc, futur époux de Marie-Louise-Elisabeth Lebelin de Dionne

6) 5 mai 1861 : Emile, futur époux de Marie-Thérèse Baron 

7) 26 mars 1864 : Marie-Amélie-Noémie, future épouse d’Emile Sarran

8)21 mai 1867 : Thérèse-Marie, future épouse de Victor Dorlet

C’était donc bien à tort que j’avais d’abord supposé que le Dr Emile Bitôt était l’unique fils du Professeur P.-A. Bitôt et son épouse née Catherine-Pauline Oré ;

et que Marie-Thérèse, Valentine et Thérèse-Marie Bitôt étaient leurs trois seules filles…

Il ne faut donc _ jamais _ se contenter de simplement compiler les travaux d’autres chercheurs,

mais toujours, non seulement vérifier leur validité, mais rechercher davantage de sources documentaires à réunir, à confronter et in fine coordonner avec rigueur et le plus possible de justesse…

À poursuivre, bien sûr, puisque quelques blancs demeurent encore ;

cette mise au point-ci ne pouvant être qu’une étape…

Ce jeudi 29 septembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Dates de naissance et de décès de la « chère Tante Gachuch » de Maurice Ravel

21sept

Pour faire un point sur mes nouvelles découvertes aux archives d’état-civil de Ciboure et Saint-Jean-de Luz vendredi 20 septembre,

ceci,

soit un courriel adressé à Manuel Cornejo :

mon séjour hier à Saint-Jean-de Luz et Ciboure m’a permis de passer _ avec profit ! _ un peu de temps aux archives municipales de ces deux cités _ procéder à partir des données documentaires (même sérieuses) du web comporte des limites : elles demeurent lacunaires. Et la recherche est infinie.
Voici pour commencer _ d’autres documents bien intéressants aussi suivront ! _ de quoi rectifier les erreurs (de paresse de recherche) d’un bon auteur,
à propos de Gachucha Billac, la « chère grand-tante » maternelle de Maurice Ravel
(demi-sœur de sa grand-mère Sabine Delouart, née elle aussi à Ciboure, le 11 mars 1809 _ de Marie Delouart et d’un père inconnu _),
cet acte de décès (n° 76) d' »Engrâce Billac, décédée le 17 décembre, rue Gambetta, 41, (83 ans), célibataire« ,
en date du 17 juin 1902, à onze heures du matin :
L’an 1902, et le dix-sept décembre à onze heures du matin,
Par devant nous Dominique Larrea, maire, Officier de l’État Civil de la ville de Saint-Jean-de-Luz, département des Basses-Pyrénées, sont comparus en notre Mairie, Charles Gaudin, capitaine au long cours, âgé de vingt-sept ans, et Pierre Gaudin, employé, âgé de vingt-quatre ans, domiciliés en cette ville, voisins _ sic _ de la défunte,
lesquels nous ont déclaré que ce jour, à quatre heures du matin, Engrâce Billac, domestique, célibataire, âgée de quatre-vingt-trois ans, née à Ciboure _ le 15 mai 1824 _, domiciliée en cette ville, fille de feu Jacques Billac _ âgé de 52 ans à la naissance d’Engrâce, marin _ et de feue Marie Delouart, son épouse _ 35 ans, à la naissance d’Engrâce, poissarde _,
est décédée à la rue Gambetta, numéro quarante et un,
ainsi que nous nous en sommes assuré, et ont les déclarants
signé avec nous le présent Acte de Décès après qu’il leur en a été fait lecture.
Ont donc déclaré à la mairie de Saint-Jean-de-Luz le décès de Gachucha Billac
Charles Gaudin, capitaine au long cours, âgé de 27 ans _ né le 19 novembre 1875, à Saint-Jean-de-Luz, 41 Grand’Rue n° 41 _,
et Pierre Gaudin, employé, âgé de 24 ans _ né le 7 février 1878, à Saint-Jean-de-Luz, 41 Grand’Rue n° 41 _
« voisins de la défunte » _ et beaucoup plus que cela : Engrâce-Gachucha avait pris la place la plus active à leur éducation quotidienne. Ils tenaient donc beaucoup, beaucoup à elle…
Suivront deux photos _ de simple confirmation des faits déjà reconnus ; cf mon article du 15 juillet dernier : _ de l’acte de naissance (à Ciboure, le 15 mai 1824) de Gracieuse Billac.
C’est la confusion _ d’où a-t-elle bien pu surgir ? Qu’est ce qui a donc pu la susciter ?.. _ par ce bon auteur de cette « Tante Gachuch » Billac avec la « Tante Bibi » des Bibal
qui a entraîné vos affectations à Gachoucha Billac, aux pages 764, 1250 et 1646 de votre magnifique Correspondance,
de ce qui revenait en réalité à Bernardine Bibal (née à Saint-Jean-de-Luz le 22 août 1855 ; je n’ai _ hélas _ pas pensé à rechercher aux archives municipales de Saint-Jean le document établissant la date de son décès ! _ ce que j’ai fait un mois plus tard, le 25 octobre suivant : Bernadine Bibal, célibataire, est décédée à Saint-Jean-de-Luz en son domicile, 5 Place Maréchal Foch, le 28 février 1943, à l’âge de 86 ans _)…
Un simple calcul d’âge, et, d’abord, une vérification des dates de naissance et de décès de ces deux personnes, Gracieuse Billac et Bernardine Bibal,
auraient permis d’éviter cette ridicule confusion _ que j’ai déjà relevée ; mais maintenant je dispose de la date effective (et significative de tout ce qui nous manque en fait de documents de la présence de Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz et Ciboure avant 1901) du décès de Gachucha, le 17 décembre 1902 _ ; développée hélas dans le livre de cet auteur un peu trop négligent sur ses sources (et leur vérification)…

Compiler ne dispense pas de chercher aussi vraiment un peu et de penser à vérifier…
Ce serait plus sérieux pour un travail aspirant à faire référence scientifique !
Précisions en forme de commentaire :
La première de ces 2 mentions par Maurice Ravel de Gachucha Billac, en une lettre à Jane Gaudin, en date du 16 octobre 1902 _ page 82 _,

date de 2 mois et 1 jour avant le décès de Gracieuse Billac, le 17 décembre 1902.
Jusqu’ici, nulle mention de ce décès _ et de ce qu’a pu en ressentir Maurice Ravel : mais tant de lettres ont disparu ! ou nous échappent !.. _ n’a été retrouvée dans la Correspondance conservée de Maurice Ravel
_ Madame Lenoir m’a répété hier qu’en un accès de rage une personne de sa parenté a (ou aurait) détruit (est-ce possible ???) toutes les lettres de Ravel que cette personne, qui en avait la détention après héritage) avait conservées en sa possession… Quelle terrible (et si absurde !) perte pour la connaissance !

La seconde _ et dernière _ de ces deux mentions du nom de Gachucha Billac dans la Correspondance conservée et connue de Maurice Ravel 
est très postérieure à ce décès _ du 17 décembre 1902 _, puisqu’elle se trouve dans une lettre adressée à Marie Gaudin, en date du 20 septembre 1916 _ pages 537-538 _ :
son occasion est une dysenterie survenue à Saint-Dizier provoquée par des melons,
ces melons qu’affectionnait tout particulièrement la chère tante Gachucha : « J’ai voulu réaliser le vœu de ma pauvre tante Gachucha, qui souhaitait mourir d’une indigestion de melon. Je m’en suis fourré pendant trois jours avec accompagnement de tomates crues, le tout additionné d’eau contaminée. Me voici depuis 5 jours couché dans ma chambre, avec la perspective d’être transporté à l’hôpital « …
Maurice s’est alors souvenu avec émotion de sa grand-tante et de son goût immodéré des melons…
Les élucubrations d’E. sur les « 64 ans » (« Gachoucha resta ensuite au service de ce couple Gaudin pendant soixante-quatre ans« , lit-on page 30 du livre d’E.) _ d’où peut donc sortir un tel nombre ? La référence n’en est bien sûr pas donnée…que Gachucha aurait passés au service des Gaudin (Annette Bibal _ née le 28 avril 1845, Grand’Rue n°21 à Saint-Jean-de -Luz  _ et Edmond Gaudin _ né le 17 novembre 1844, Rue Neuve n° 38, à Saint-Jean-de-Luz _ se sont mariés le 27 janvier 1875
_ et si avant ce mariage Bibal-Gaudin de 1875, cela avait été au service des parents d’Annette Bibal (soit Pierre Bibal, né le 5 septembre 1806, rue Saint-Jacques n° 24, à Saint-Jean-de-Luz ; et Victoire Dupous, née le 9 juin 1822, rue Saint-Jean, n°4, à Saint-Jean-de-Luz) qui s’étaient mariés, eux, le 26 avril 1843), et pas des Gaudin… que Gachucha Billac aurait pu être domestique, à Saint-Jean-de-Luz _)
manquent du plus élémentaire bon sens : 1875 + 64 = 1939 ! _ et 1843 + 64 = 1907 ; ce n’est toujours pas cohérent…
Gachucha Billac, née à Ciboure le 15 mai 1824, aurait atteint en 1939 l’âge beaucoup plus que canonique de 115 ans…
Alors que Bernardine Bibal, née à Saint-Jean-de-Luz le 22 août 1855, était de 31 ans plus jeune que Gachucha Billac
_ pour rappel, cf mon article du 1er juin dernier :  ; et celui du 12 juillet : … C’est pas à pas que l’enquête progresse.
Enfin, si l’on retranche 64 ans (de situation de domestique) des 83 ans de vie de Gachucha Billac (1902 – 64 = 1838),
il se trouve que le résultat de 1838
implique que la cibourienne Gachucha Billac aurait été domestique dès l’âge de 14 ans, en 1838,
des luziens Gaudin-Bibal (mariés à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875) ;
ou plutôt des luziens Bibal-Dupous (mariés le 26 avril 1843) ;
et même, plus en amont encore, des luziens Dupous-Benoît _ les parents de Victoire Dupous (9 juin 1822 – 16 juin 1903), soient Baptiste Dupous (Béhobie, 26 juin 1800 – Saint-Jean-de-Luz, Grand’Rue n° 41, 11 avril 1865) et Françoise Benoît (Saint-Jean-de-Luz, 2 octobre 1786 – Saint-Jean-de-Luz, Grand’Rue n° 20, 13 septembre 1855) _, qui se sont mariés, eux, le 17 septembre 1821, à Saint-Jean-de-Luz !
La recherche, comme la publication, exigent un peu plus de sérieux !
Suivront maintenant d’autres précisions documentées : sur les Hiriart…
Ce samedi 21 septembre 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
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