Posts Tagged ‘Conservatoire de Bordeaux – Jacques Thibaud

La compositrice Graciane Finzi à l’honneur à l’Atelier du Théâtre National de Bordeaux-Aquitaine, pour un passionnant concert de sa musique par de brillants élèves du Conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud…

30juin

C’est pour aller écouter ma petite-fille Alma-Flore (âgée 11 ans) jouer « On frappe à la porte«  _ une œuvre pour harpe solo composée en 2000 par Graciane Finzi (née à Casablanca, 10 juillet 1945) pour sa petite-fille (née le 7 septembre 1995, et devenue, depuis, une excellente harpiste…), et interprétée sur cette vidéo, à Lorient, le 9 mai 2022, pour de précédentes master-classes... _, que je me suis rendu, hier soir, vendredi 29 juin, à un concert donné par des élèves du Conservatoire qui avaient très soigneusement travaillé _ avec leurs différents professeurs d’instruments (ou de voix), et, à l’occasion, sur la supervision de la compositrice elle-même, venue pour de telles master-classes à Bordeaux… _ les œuvres de Graciane Finzi, à l’Atelier du TnBA de Bordeaux,

et y ai découvert le superbe univers musical de cette compositrice contemporaine, Graciane Finzi, dont j’ignorais tout jusqu’ici…

Outre ce « On frappe à la porte » pour harpe solo, de 2000, d’une durée d’environ 3′ _ splendidement interprété hier soir par Alma-Flore Lepetit, donc ; et très loin d’un simple déchiffrage a-musical ici… _,

le programme de ce passionnant et très émouvant concert, très vivant, en conclusion très réussie des Master-classes avec la compositrice Graciane Finzi en personne,

était constitué des œuvres suivantes, très variées, de Graciane Finzi :

_ « On frappe à la porte« , de 2000, pour harpe seule, (d’une durée d’environ 3′)

par Alma-Flore Lepetit, harpe 

_ « La Confusion des sentiments et des idées« , de 2022, pour flûte et harpe (d’une durée d’environ 5′),

par Cécile Bernard, flûte, et Sirine Amarouche, harpe

_ « Nikkai« , de 2021, pour soprano et harpe (d’une durée d’environ 7′)

par Marie-France Koua, voix, et Elisa Balsamo, harpe

_ « Going up and down« , de 2020, pour violon et saxophone soprano (d’une durée d’environ 6′)

par Julie Boissel-Trunde, violon, et Margaux Lefebvre, saxophone soprano

_ « Winternacht« , de 2018, pour violon et piano, d’après la 3e Sonate de Johannes Brahms (d’une durée d’environ 19′) _ probablement l’acmé musical de ce très beau concert ; et une œuvre disponible, interprétée par Laurent Wagschal, piano, et Agnès Pyka, violon, sur le CD « Brahms aujourd’hui« , avec aussi des œuvres de Nicolas Bacri et Philippe Hersant, un CD Klarthe paru en février 2021 : Allegro ; Adagio ; Cantabile ; Presto (cliquer pour écouter les 4 podcasts, respectivement de 5′ 27 ; 4′ 15 ; 5′ 36 ; et 5′ 35) ; cf aussi le commentaire qu’en a donné Jean Jordy, sur le site utmisol. fr :

« L’œuvre de Graciane Finzi Winternacht s’inspire de la Troisième Sonate (1888) _ de Brahms _ par sa structure même en quatre mouvements et sa longueur. Elle s’ouvre Allegro par quelques mesures exacerbées précédant une ample plage mélodique que se partagent les deux instruments : tout ici se meut, avec intensité, voire gravité. L’Adagio et l’admirable Cantabile déploient une texture fluide, fine, quasi immatérielle où vibrent des sons étranges, des reflets irisés, des frissons en allés. Le Presto final confirme que la compositrice a relevé le défi, non en déjouant Brahms, mais en se confrontant à lui » _

par Gwenaëlle Burel et Kilian Mondot, piano, Julie Boissel-Trunde, Anggraini Tumino et Marie Morelle, violon 

_ »Les Jardins du possible« , de 2022, des mélodies pour voix moyennes et piano, sur des poèmes de Dominique Sampiero

par Annie Suck Gao, Lauriane Mathet, Margaux Vannicatte et Samuel Rouveure, voix, et Nicolas Contamine, Daiki Abe et Maximilien Wang, piano

_ et « Siguiriya« , de 2022, pour un ensemble de cordes _ au nombre ici de 24 : je les ai comptés, et en très grande majorité des violons… _ (d’une durée d’environ 11′), en guise de feu d’artifices final, très réussi, de ce magnifique concert,

par le Labo Violons du Conservatoire…

Un grand bravo aux interprètes, très engagés en leur interprétation, et à leurs professeurs, qui les ont fait travailler _ et très bien préparés _, avec tant de justesse et efficacité musicales : ce qui est bien l’essentiel d’une vraie formation musicienne…

Graciane Finzi,

une compositrice qui assurément retiendra désormais ma curiosité et mon oreille…

Ce vendredi 30 juin 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

En poursuivant la recherche du côté des Sartre de Dordogne : la confirmation de l’ancrage aquitain de Pierre Sartre…

08juin

En poursuivant ma recherche d’hier _ … _ du côté des Sartre de Dordogne,

et après avoir découvert le faire-part de décès de Madame Denise Sartre, la veuve d’André Sartre et mère de Pierre Sartre _ le premier époux de Bertille de Swarte et père de Sylvain, Alexis et Camille Sartre _,

je suis parvenu à dénicher _ enfin ! _ de très précieuses précisions biographiques de membres _ cruciaux dans la recherche généalogique _ de la famille Sartre (de Dordogne _ entre Thiviers et Périgueux _),

à commencer celles concernant les lieux et dates de naissance et décès d’André-Pierre Sartre, l’époux, donc, de Marie-Denise Lacroix :

André-Pierre Sartre,

fils de Gérard Sartre (Périgueux, 7 janvier 1888 – Périgueux, 24 décembre 1966) et son épouse Irma Olivier

_ qui ont eu, avant André-Pierre, deux autres enfants : Pierrette Sartre (future épouse de Pierre Gaillère, et mère de Michel Gaillère) et Odile Sartre (future épouse de Roger Verdier, et mère de Christine et Nicole Verdier) _,

est né à Saint-Pierre-de-Chignac _ où son père Gérard Sartre était instituteur _ le 5 février 1923, et est décédé à Bordeaux, le 7 juin 1983, à l’âge de 60 ans.

Il était inspecteur des impôts de profession. 

Son épouse, Marie-Denise Lacroix (Cublac, 20 avril 1922 – Périgueux, 13 décembre 2014 _ la commune de Cublac, située dans le département de la Corrèze, jouxte celle de Terrasson, située dans le département de la Dordogne _) et lui-même, André-Pierre Sartre (Saint-Pierre-de-Chignac, 5 février 1923 – Bordeaux, 7 juin 1983)

ont eu deux enfants, une fille, en 1950, et un garçon, en 1956 :

_ Françoise Sartre _ devenue ensuite épouse Simon, et mère de 4 enfants : François, Sophie, Adrien et Clément Simon _ est, en effet, née le 15 décembre 1950 ;

_ et Pierre Sartre _ qui deviendra l’époux de Bertille de Swarte, et le père de Sylvain (le 28 août 1979), Alexis et Camille Sartre _ est né, lui, le 1er juin 1956.

Ensuite, j’ai pu glaner diverses données permettant de préciser le parcours personnel et professionnel _ bien intéressant _ de Pierre Sartre.

Ainsi ai-je pu découvrir le parcours scolaire _ au lycée Laure Gatet, à Périgueux, de 1967 à 1974… _, puis universitaire _ à l’université Bordeaux -II  – Victor Segalen, à Bordeaux, de 1974 à 1979 ; et je remarque que c’est le 28 août 1979 qu’est né son fils aîné Sylvain Sartre ; j’ignore encore les dates de naissance de ses deux autres enfants, Alexis et Camille Sartre ; de même que j’ignore leurs lieux de naissance : à Bordeaux ?.. _ ; et enfin professionnel de Pierre Sartre :

attaché d’enseignement en odontologie à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Bordeaux-II de 1980 à 1985, Pierre Sartre débute une brillante carrière,

qui le fera passer par Bâle (2000-2007), Marseille (2006-2007), New-York (2007-2008).

Le 7 juillet 1990, divorcé de la mère de ses trois enfants Sylvain, Alexis et Camille Sartre _ et j’ignore les dates et lieux de mariage, puis de divorce, avec Bertille de Swarte : à Bordeaux ?.. _,

Pierre Sartre se remarie avec la bordelaise Isabelle Mancini _ fille de Roland Mancini, le renommé musicologue, spécialiste du chant bien connu, et Elisabeth Monime Pichon (décédée au mois d’avril 2018) ; laquelle Elisabeth Mancini-Pichon, par sa mère Carmen-Louise Brahy (Hendaye, 19 juin 1903 – Hendaye, Novembre 1984), et sa grand-mère Marie-Elvira Isidori (Hendaye, 9 juillet 1983 -, Hendaye, 14 juin 1976), a des attaches hendayaises… Isabelle Mancini enseigne la musique et le piano au Conservatoire National de Région de Bordeaux.

Pierre Sartre et Isabelle Mancini ont deux fils, Adrien et Clément Sartre _ domiciliés à Bordeaux. J’ignore leurs lieux et dates de naissance.

Et chirurgien dentiste à Marmande,

Pierre Sartre réside désormais au sein de la forêt des Landes de Gascogne, non loin de Casteljaloux, en une commune du Lot-et-Garonne limitrophe de la Gironde _ assez loin, donc, de Perpignan et du château de L’Esparrou.

Et l’épouse de Pierre Sartre, Isabelle Mancini-Sartre, enseigne la musique et le piano au Conservatoire National de Région de  Bordeaux, devenu en 2003 Conservatoire de Bordeaux – Jacques Thibaud…

À suivre, 

Ce mardi 8 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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