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Musiques de joie : Jean-Philippe Rameau, ou le sublime art français de la danse, saisi à la perfection par Frans Brüggen, maître du souffle…

27avr

Avant d’être un merveilleux meneur d’orchestre

_ son Orchestre du XVIIIème siècle, qu’il a fondé en 1981 _,

Frans Brüggen

(Amsterdam, 30 octobre 1934 – Amsterdam, 13 août 2014)

a été un prodigieux souffleur de flûte.

Son art de conduire les danses de Jean-Philippe Rameau

est de la plus parfaite _ admirable ! _ justesse :

souplesse, vivacité, élégance, tendresse, clarté d’élocution, délicatesse,

des qualités on ne peut plus françaises

qui ont porté au sublime l’art de composition de Jean-Philippe Rameau

(Dijon, 25 septembre 1683 – Paris, 12 septembre 1764…

Aussi le coffret _ récapitulatif _ de 4 CDs Glossa GCD 921125,

publié en 2018,

nous offre-t-il la jubilatoire collection des « Suites orchestrales » que Frans Brüggen a rassemblées

et enregistrées

_ en 1986, à Nimègue ; puis 1989, 1992, 1996, 1997, et 1998, à Utrecht,

et publiées en 1987, 1990 et 1994 par Philips ; puis 1998 et 2001 par Glossa _

extraites de quelques uns (8) des _ merveilleux ! _ opéras et ballets de Rameau

_ un des sommets les plus éblouissants de la musique française _ :

Les Indes galantes (1735),

Castor et Pollux (1737),

Les Fêtes d’Hébé (1739),

Dardanus (1739),

Naïs (1749),

Zoroastre (1749),

Acanthe et Céphise (1751),

Les Boréades (1763).

Jean-Philippe Rameau + Frans Brüggen :

probablement le plus juste portrait discographique

de l’art français de la danse…

Ce lundi 27 avril 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

La poésie intimiste d’Adam Laloum dans les deux Concertos pour piano et orchestre de Johannes Brahms

05jan

Adam Laloum

est un peu moins à l’aise dans l’exercice du Concerto pour piano avec Orchestre,

que dans les œuvres pour piano seul,

ou dans la musique de chambre,

où vraiment il excelle !

Je ré-écoute en ce moment ses deux Concertos pour piano et orchestre de Brahms

_ soit le double CD Sony 88985460812 _,

et refais le même constat…

La voix d’Adam Laloum excelle dans l’intime.

Et je retrouve les impressions

dont faisait part, le 24 mai 2018, Alain Huc de Vaubert,

en son article de Res Musica

intitulé La Poésie d’Adam Laloum dans les deux Concertos de Brahms :

La poésie d’Adam Laloum dans les deux concertos de Brahms

Ce dimanche 5 janvier 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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