Posts Tagged ‘descendance

Une avancée, mais de peu d’incidences sur la recherche, avec la découverte d’une récente généalogie d’une partie de la famille de Swarte…

18juin

Ce jour,

découverte _ comment avais-je pu passer à côté jusqu’ici ? _ d’une généalogie inaperçue jusqu’alors, réalisée _ en 2020 : le 19 février… _ par Thibault de Swarte


Mais, in fine, trop partielle _ consacrée surtout à la descendance de Thibault _ pour élargir les connaissances que j’espère

concernant ses deux sœurs, Bertille et Béatrice, et son frère Eymeric de Swarte ;

Bertille, bien sûr, principalement :

ses lieux et dates de naissance ; ainsi que de ses deux mariages ;

ainsi que tout ce qui concerne ses 5 enfants : Sylvain, Alexis, Camille Sartre, et Pauline et Théotime Langlois de Swarte ;

et ses petits enfants : Sartre, Fizet et de Swarte _ pour le moment du moins…

Mais rien là-dessus : ce silence serait-il volontaire ? Ou bien exigé ?..

C’est tout de même frustrant.

À suivre…

Ce vendredi 18 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ainsi que des nouveautés (encore partielles) sur l’ascendance Langlois de Pauline et Théotime Langlois de Swarte…

09juin

Et voilà qu’en ma recherche concernant la descendance de Pierre Sartre

ainsi que celle _ en partie commune : pour Sylvain, Alexis et Camille Sartre _ de son épouse Bertille de Swarte,

je viens de découvrir un embryon d’arbre généalogique me permettant de situer le second compagnon, après Pierre Sartre, de Bertille _ Marie-Thérèse-Françoise _ de Swarte : Hervé Langlois _ ou Hervé-Alexandre-Yves Langlois, pour être complet _,

à la fois

eu égard à l’ascendance de celui-ci par rapport à ses grands-parents paternels _ Langlois : il s’agit de Robert Langlois et son épouse Denise Dubourg ; mais je n’en sais guère davantage, sinon que Robert Langlois a eu un frère prénommé Paul, et une sœur prénommée Yvonne... J’ignore le prénom du père d’Hervé Langlois, ainsi que le nom de sa mère ; mais j’ai appris de cet embryon d’arbre généalogique comportant si peu de noms donnés en clair, que Hervé Langlois était le quatrième d’une fratrie de quatre ; et en cliquant sur la case xx représentant la seconde épouse de Hervé Langlois, si je n’ai pas obtenu le nom de celle-ci, j’ai obtenu le nom de Sartre (avec une erreur de prénom : Marc, au lieu de Pierre) comme étant le père de Sylvain Sartre, ainsi que d’« une fille Sartre » et « un garçon Sartre«  _ ;

et par rapport, aussi, à sa descendance _ Langlois, puis Langlois de Swarte… _,

constituée d’abord d’un premier enfant Langlois, né d’une première union _ le nom de cette première épouse n’est pas donné ; pas plus que le prénom ni même le sexe de l’enfant… _ ;

puis de Pauline-Marie-Béatrice Langlois de Swarte _ pour une obtention des prénoms complets des membres de la famille Rendu et leurs apparentés (notamment les de Swarte issus du mariage entre Geneviève-Marie-Elisabeth Rendu et son époux Alain-Yves-Marie-Joseph de Swarte), consulter cette généalogie-ci, la plus détaillée sur l’onomastique des prénoms… _ et de son frère cadet Théotime Langlois de Swarte,

issus, eux de la seconde union de Hervé Langlois, celle avec Bertille de Swarte…

Pauline et Théotime Langlois de Swarte ont ainsi trois frères et sœurs Sartre _ Sylvain, Alexis et Camille Sartre_,

ainsi qu’un frère ou une sœur Langlois _ dont j’ignore pour l’heure tant le sexe que le prénom…

Alors que Sylvain, Alexis et Camille Sartre ont deux frères Sartre _ Adrien et Clément Sartre _,

ainsi qu’un frère et une sœur Langlois de Swarte _ Pauline et Théotime Langlois de Swarte…

À suivre :

rechercher demande pas mal de patience _ et de capacité mémorielle (ainsi qu’imaginative) de connexions _ dans l’effort…

Ce mercredi 9 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une piste à reprendre : la descendance d’Emile Wachter, à Orléansville…

07mai

Dans l’espoir de trouver quelques commencements de réponses à l’interrogation de mon article d’hier ,

je vais tâcher de revenir sur _ et repartir de _ quelques données de certains de mes articles antérieurs,

tels que

celui du 2 février dernier :  ;

celui du 29 mars :  ;

ou celui du 18 avril : … ;

afin de peut-être débusquer quelques pistes à propos de personnes susceptibles de m’éclairer sur quelques uns de leurs plus ou moins proches _ ou lointains _ ascendants Wachter, voire Confex,

au moins à Orléansville…

Telle va donc être la prochaine tâche que je me fixe pour la journée de demain…

Ce vendredi 7 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A propos des Gaudin d’Hasparren, et de Maurice Ravel (suite)…

05avr

Dans l’élan de ma recherche d’hier,

j’ai continué à m’intéresser aux divers membres de la branche Gaudin-Schlaegel, d’Hasparren,

et à leur descendance ;

et cela dans l’optique de peut-être dénicher une connexion entre cette famille Gaudin-Schlaegel d’Hasparren et Maurice Ravel…

Dans la Correspondance de Maurice Ravel réunie et publiée par Manuel Cornejo,

j’ai trouvé une seule mention d’Hasparren, à la page 96, en une lettre du 27 mars 1905 de Maurice Ravel à son amie luzienne Jane Gaudin, à propos d’un sien projet de séjour à Saint-Jean-de-Luz, en compagnie d’amis qui pourraient être les Godebski _ :

« J’espère que personnellement je pourrai avoir la joie de vous voir cette année, d’autant plus que je suis en train de décider des amis à aller à St-Jean. Je leur ai assuré que la vie y était très bon marché, en quoi je me suis sans doute beaucoup avancé. Je vais même vous demander des renseignements sur les loyers. Il leur faut un salon, une salle à manger et 3 chambres, dont une pour les bonnes, pour la durée de 4 mois environ. Croyez-vous que soit à St-Jean, soit à Ciboure, on puisse trouver cela dans les 600 f ? Bien entendu, que la recherche de ces renseignements ne vous dérange pas ; on a le temps de réfléchir, et les plus pressées de le savoir sont les bonnes, originaires d’Hasparren, qui tourmentent tous les jours leurs maîtres pour savoir si on va les conduire en leur pays« …

Plus loin, aux pages 194-195, 259 et 265,

Ravel fait plusieurs fois mention, en 1908 et 1911, d’une bonne de ses amis Godebski, prénommée Katalin

Mais nulle part jusqu’ici n’a paru une lettre de Maurice Ravel faisant mention de Charles Gaudin, juge de paix à Hasparren _ né à Saint-Jean-de-Luz le 12 septembre 1841, ce Charles Gaudin-là, frère aîné de Saint-Martin-Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920), est, il est vrai, décédé le 9 novembre 1897 : soit avant même le début des lettres retrouvées et publiées de Maurice Ravel… _, ni même _ du moins nommément… _ de son épouse, puis veuve (et excellente pianiste), Louisa Schlaegel (Hasparren, 28 janvier 1850 – Hasparren, 19 août 1829 ) :

cf l’anecdote maintes fois narrée chez les Gaudin du 41 rue Gambetta à Saint-Jean-de-Luz, de la grand-tante et marraine Gachucha Billac (Ciboure, 15 mai 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 17 décembre 1902)), gouvernante des enfants Gaudin, ironisant sur le jeu sur le piano de son petit-neveu (fils de sa nièce Marie Delouart) et  filleul Maurice Ravel (né à Ciboure le 7 mars 1875), qui n’utilisait que le « milieu du clavier, comme un petit chat« , en le comparant au jeu bien plus virtuose de la tante Louise Gaudin-Schlaegel, excellente pianiste… 

À suivre…

Ce lundi 5 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouvelles découvertes concernant les enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet, à Orléansville…

29mar

Suite à mes recherches sur la descendance de Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897), la sœur de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?),

je suis revenu à mon article du 2 février dernier : ,

afin de poursuivre mes investigations, essayer de compléter ce qui y demeurait d’inconnu, et rectifier des erreurs manifestes…

Ainsi que de dégager quelques noms de descendants de ces familles, dont l’éventuel contact serait susceptible de m’aider à corriger quelques taches aveugles de ces généalogies… 

Et de fait j’ai pu réaliser quelques petites découvertes, au moins à propos des 5 enfants du fils de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), Emile Wachter (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?) et de l’épouse de celui-ci, Hélène Janet…

D’abord, par mon accès aux livrets militaires de trois membres de la famille Wachter d’entre 1886pour Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?, ?)

et 1918, pour Émile-Antoine Wachter (Orléansville, 6 janvier 1898 – ?, après 1949),

avec aussi celui d’Henri Wachter (Orléansville, 22 octobre 1895 – ?, après 1939), en 1915,

j’ai eu accès aux dates de naissance dont je ne disposais pas encore :

Henri Wachter est né à Orléansville le 22 octobre 1895 ;

et son frère Émile-Antoine, à Orléansville, aussi, le 6 janvier 1898.

Tous deux étant déclarés les fils d’Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène Janet.

Quant à Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?,?), frère aîné d’Émile (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?),

il est bien mentionné être le fils de Jean-Baptiste Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?) et Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925).

Dont acte.

J’ai aussi appris le prénom de la fillette de Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004) _ c’est la plus jeune des 5 enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet _ et son époux _ le 5 juillet 1930 à Orléansville _ Camille Férise  : née à Orléansville le 14 juin 1931 (elle décèdera à Marseille le 2 juin 2006), elle se prénomme Mireille…

Et encore le prénom de l’époux Debono de Michèle-Odile Wachter (Orléansville, 10 juillet 1937 – Amiens-Salouël, 27 mars 2010), la troisième enfant d’Émile-Antoine Wachter et son épouse _ en novembre 1924 à Orléansville _ Juliette-Augustine-Marie Le Léty :

il s’appelle René Debono ;

et ce couple Debono – Wachter résidait à Bonneuil-les-Eaux (Oise)…

À suivre...

Ce lundi 29 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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