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Question : lesquels des « Tirages Fresson » de Bernard Plossu, sont ceux que je préfère ?.. Pour commencer, les images de nature : montagnes, déserts, campagnes, forêts…

08nov

Bernard Plossu est un adepte bien connu de marches-randonnées dans la nature _ plus ou moins sauvage… _ :

montagnes, déserts, hauts-plateaux, voire grandes prairies,

campagnes, et même jardins,

ainsi que sous-bois et forêts…

En ce chapitre-ci d’une « nature » au sein de laquelle cheminer, sac au dos

_ et appareil-photo à portée immédiate de main, tel le large filet pour le collecteur de papillons (cf ici Vladimir Nabokov…)… _,

un peu à l’aventure,

au moins 7 images (sur 80) de ce « Tirages Fresson« 

sont consacrées à des images disons _ et pour bien mal le résumer _ « vertes« ,

je veux dire peu ou prou « écologiques« ,

avec des degrés d’ailleurs fort divers entre sauvagerie et civilisation,

entre nature quasi vierge _ « wilderness«  américaine (cf Catherine Larère…) _, et culture _ européenne _ un tant soit peu peignée…

En ce « Tirages Fresson » qui vient de paraître,

au moins 7 images de « nature » se trouvent aux pages

13 (« Ardèche, France, 2012« ),

15 (« Taos Mountain, Nouveau-Mexique, États-Unis, 1978« ),

29 (« Californie, États-Unis, 1977« ),

30-31 (« Cantal, France, 2014« ),

53 (« Port-Cros, France, 2011« ),

69 (« Sud du Nouveau-Mexique, États-Unis, 1980« )

La librairie Artazart, sur les bords du Canal Saint Martin à Paris, vous propose de venir à la rencontre du photographe Bernard Plossu pour la parution de son album Western Colors, ce jeudi 23 juin à partir de Nouveau Mexique, Photographie Couleur, Onirique, Peinture, Rencontre, Yeux, Photographie Numérique, Photographie De Voyage, Les Photos Noir Blanc

et 80 (« Giverny, France, 2010« ).

On remarquera au passage l’imprécision _ bien évidemment par force ! _ de localisation _ quelque part… _ des sites

où ont été saisies ces images… 

Ce qui donne, cette fois au sein de ma liste de 13 images entre toutes préférées,

pour ce qui concerne le chapitre de l' »extérieur-nature« ,

le fait que j’ai retenu 2 images proprement sidérantes, à mon œil,

les images des pages 30-31 (« Cantal« )

_ peut-être un poil trop majestueuse (spectaculaire !) et photogénique, celle-ci, pour pouvoir servir véritablement d’emblème de la singularité extraordinaire du mode de faire, foncièrement modeste, aux antipodes du « m’as-tu vu« , de Plossu…,

et servir, du moins à mon goût personnel, pardon !, de couverture à l’album :

mais quelle infiniment tendre sensualité caressante se dégage des courbes, au premier plan, de cette merveilleuse « vue verte«  surplombante d’un très vaste, quasi infini, panorama cantalien, en Auvergne…

Bernard Plossu n’est pas l’homme des bien trop époustouflants vertigineux à-pics des Dolomites… _

et 53 (« Port-Cros« )

_ celle-ci (peut-être une image inédite ; à moins, et c’est plus vraisemblable !, qu’elle n’ait déjà paru, en 2013, en un album que je ne possède hélas pas !« L’Incertaine apparence de Port-Cros«  de Bernard Plossu et François Carrassan, paru aux Éditions de l’Égaré, en 2013 : un album probablement tiré alors à très peu d’exemplaires…) est, entres toutes, ma préférée : celle que j’aurais personnellement encouragé à choisir pour la couverture !

Quel infiniment doux plaisir sensuel de cheminer-s’enfoncer sans se perdre sur (ou dans) le chemin de ce vert sous-bois à la fois un peu sombre et combien chaleureusement lumineux d’Eden méditerranéen, accueillant, où vagabonder à l’envi sans jamais risquer de se perdre… Le paradis est juste là ! Et l’on s’y meut, en une île ! cette île de Port-Cros…

Port-Cros, Porquerolles, l’ïle du Levant : le paradis même du « Pierrot le fou » de Godard, dont Bernard avait si justement saisi les orgasmiques « ambiances«  en quelques magiques images de son si beau Plossu Cinéma, en 2010 (aux Éditions Yellow now) ; cf mon article du 27 janvier 2010 : … _ ;

ainsi que, aussi,

et cette fois dans ma liste supplémentaire de 22 autres images, cette fois,

_ il est si difficile de réduire le nombre de ses choix ! _,

les 2 images, encore,

des pages 69 (« Sud du Nouveau-Mexique« )

_ ici encore un chemin, ou plutôt cette fois une route pierreuse, mais désertique, sec et aride, celui-ci ! Et cette fois encore, un Plossu emblématique, et presque trop, pour le coup, pour que j’eusse choisie cette image-ci comme couverture… Et, à dire vrai, ma préférence, très subjective, bien sûr (et injuste !), va au Plossu européen, et même, assez souvent (mais pas exclusivement non plus : cf ici même son extraordinairement beau « Giverny« , de la page 80, ou, et à propos des villages, son admirable « Bourgogne« , de la page 81…), au Plossu méditerranéen… _

et 80 (« Giverny« )

_ une nature superbement peignée, cette fois, mais surtout pas trop, non plus, ici chez Monet : une merveille de classicisme (français, je le constate…) ouvert, à la fois retenu et déboutonné, et hyper-détendu, idéalement paisible, en sa respiration, pleine de fantaisie, amusée, et en même temps d’une idéale sérénité ; paradisiaque encore, mais d’une autre façon : apollinienne, dirai-je, cette fois, plutôt que dionysiaque (comme était le si chaleureux « Port-Cros« ) : quelle sublimissime renversante image, que ce « Giverny« – là, en son tendre délicatissime équilibre-déséquilibre (à la Marivaux), si français !..

Mais on comprend très bien aussi le degré d’embarras de choix de Bernard Plossu à sa table de travail,

face aux nécessaires choix éditoriaux à réaliser, à la profusion fastueuse de ses images, offertes, là, sous ses yeux ;

disponibles images, parmi _ et au sein de _ ses innombrables richissimes planches-contact _ qui les recèlent et les conservent _ ;

Bernard Plossu en face de ses milliers de somptueuses images saisies, qui, beaucoup d’entre elles, méritent vraiment, les unes ou les autres

_ et surtout celles au tout premier abord apparemment les plus « ratées«  ! _,

une nouvelle chance de parvenir à paraître, au moins une fois, quelque jour à venir, à nos yeux de regardeurs, à notre tour :

en quelque prochain nouvel album, ou quelque prochaine nouvelle exposition.

Oui, parmi les images qui n’ont pas été retenues cette fois-ci, pour ce « Tirages Fresson« -ci,

des centaines, probablement, l’archi-méritaient _ et méritent toujours _ pleinement,

mille fois davantage même, peut-être parfois, que celles sur lesquelles a porté, ce jour-là, le magnifiquement judicieux choix, déjà !, de leur auteur-capteur-saisisseur-receveur-partageur, à sa table de La Ciotat _ comme je l’y ai vu procéder, le 22 juillet 2008, pour son « Plossu Cinéma« , assis que j’étais auprès de Michèle Cohen et de Pascal Neveux, présents là pour ce tout premier choix…

Mais, et soyons-en certains,

ce n’est, pour ces belles endormies, sommeillant, pour le moment encore, en leurs planches-contact,

que partie remise, pour la prochaîne occasion de publication d’un album, ou d’une exposition ;

et grâce, bien sûr aussi, à la médiation féérique, décisive, elle aussi, du tirage de l’image,

par les doigts de fées de magiciens

tels que, ici, de père en fils _ Pierre, Michel, Jean-François _, les Fresson, à Savigny-su-Orge…

Car Bernard Plossu sait mieux que personne tout ce qu’il doit à la perfection infiniment soignée du travail de ses tireurs d’images préférés,

son épouse, Françoise Nunez, et Guillaume Geneste ;

et, ici, pour ces fabuleux tirages-couleurs-Fresson,

Pierre, Michel et Jean-François Fresson, à Savigny-sur-Orge… ;

dont la perfection infiniment soignée _ pardon de la répétition !, mais il faut y insister, comme le fait d’ailleurs lui-même, et à nouveau,  après le « Plossu couleurs Fresson » de 2007, le titre si justement reconnaissant de cet album de 2020 : « Tirages Fresson« … _ de ce travail de tirage

lui permet, à lui _ le rencontreur passionné d’images à faire sourdre-surgir, de ce réel inattendu à apprendre à vraiment, et vraiment presque partout, surprendre et percevoir vraiment (il faut insister aussi, et toujours, sur ce très profond souci de vérité de Bernard Plossu à toutes les étapes de son travail, et son refus absolu et même forcené du moindre trucage falsificateur !), en un clin d’œil, sur le champ, décisif ; et saisir, pour l’éternité désormais, par ses images photographiques qui vont être engrangées, conservées, tirées et publiées… _,

de vraiment se consacrer quasi exclusivement _ voilà ! c’est simplement un gain de temps et d’énergie à répartir (de confiance !)… _ à la pure rencontre _ miraculeuse _ offerte de ce si vaste réel à parcourir,

ce réel tout à la fois le plus normal et quotidien possible _ et ce peut-être celui-là même de sa propre maison à La Ciotat, comme jadis à Grenoble ; comme celui d’absolument le plus banal n’importe où (telle la plus simple chambre d’hôtel)… _et en même temps fantastiquement riche, et à quasiment inépuisable profusion _ pour qui sait, « sur le motif » d’abord, et c’est bien sûr le principal, le percevoir (puis, une fois « pris« , « saisi » sur la pellicule photographique et conservé, bien sûr encore apprendre à le reconnaître et identifier, très a posteriori, à sa table de travail), en sa merveilleuse fulgurance poétique iconique _, de formidables fabuleuses surprises ;

dont, Kairos aidant, et hic et nunc,

lui va pouvoir réaliser, l’éclair d’un clic instantané sur la pellicule photographique, ces fantastiques images vraies

qui vont demeurer à partager _ en une admirable œuvre réalisée _ pour jamais :

le défi, quasi permanent alors _ en ces très intenses autant que très sereines (de concentration paisible, vierge de tout parasite…) chasses aux papillons iconiques « sur le motif«  _, est immense…

Que de merveilleux trésors de poésie _ déjà réalisés, mais encore en partie dormants, en attente qu’ils sont de « réalisation finale«  lors du tirage sur du papier adéquat… _ attendent donc, encore,

dans les inépuisables rangements de planches-contact de Bernard Plossu, chez lui, à La Ciotat,

la grâce de lumière d’un tirage parfait enfin réalisé ;

puis d’un livre édité, ou d’une exposition exposée !

Et,

tout en bout de course, et presque accidentelle _ et assez pauvre en nécessité _,

la découverte émerveillée, consécutive,

par nous,

de nos regards éblouis de spectateurs _ de ces images, dans le livre, ou à l’exposition _ attentifs admiratifs,

infiniment reconnaissants de ces sublimes éclats si merveilleusement bienfaisants

de lumière

que nous recevons instantanément alors, tout en bout de course, en cadeau…

Car ces couleurs nous font vraiment du bien…

Ce dimanche 8 novembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Toute première approche de « Nacres », un cahier publié par Hélène Cixous : à déchiffrer…

17oct

Hélène Cixous vient de m’adresser son Cahier intitulé Nacres
Nacres : cahier
qui paraît aux Éditions Galilée :
« un petit livre pour la rentrée« , lui avait demandé son éditeur ;
« petite demande, voix affectueuse« .
« Tout ce que je peux te proposer _ lui répond-elle _ c’est un cahier. Ce n’est pas un livre _ un livre, c’est bien davantage apprêté (et travaillé) qu’un simple cahier (de notes). Ce cahier, il est déjà écrit. Il n’a jamais pensé _ Dieu merci pour lui ! _ être un livre. Je n’ai jamais pensé _ forcément ! _ pour livre à un cahier. Livrer _ voilà : tel quel et sans apprêts ; le mot est important : livrer, c’est aussi se livrer… _ un cahier à la lecture _ d’un lecteur étranger _, c’est comme si je sortais en chemise dans un rêve ou en maillot de bain, et au lieu d’aller à la mer, j’irais faire un séminaire. Un cahier ne prétend pas _ le mot est important _ être habitant ou citoyen _ comportant des droits et des devoirs légaux _ de la Littérature _ car la Littérature comporte des conditions-exigences minimales de reprise par l’auteur et de présentation au lecteur à venir : d’apprêts ; sans trop de débraillé… C’est un cabinet pleins d’objets estimables pour moi et probablement sans grande valeur pour un visiteur _ autre que soi. Des bouts et des fragments écrits à l’abri de toute lecture _ et fortiori relecture (d’un autre que soi : un visiteur de passage…). Des pages sauvages, libres de désordonné, sans arrière-pensée, sans visière, sans calcul, sans arme, sans aucune défense _ voici une presque théologie négative de ce qu’est en son essence propre la Littérature _, un ramas de boutons d’or _ de fleurs des champs _, des éclats herbeux _ et en rien gazonnés _ dont le charme _ tout privé _ pour moi réside dans la brièveté _ sans un quelconque souci de suites, ni, a fortiori, de fin, de point final… _, une poussière _ simplement _ d’astres _ tout de même !.. _ sur la terre oisive _ incultivée, libre de son loisir-plaisir, caprice même _ autour de la tour de Montaigne _ mon pays : atteignable à pied en peu d’heures depuis Castillon-la-Bataille… Des souffles. Des battements _ à peine effleurés, presque pas saisis : juste des ombres esquissées, même pas apprivoisées ; elles sont si farouches et fugaces… Même pas des phrases. Même pas des épiphanies, quoique _ si, justement : quelque chose commence, même si c’est à peine, à apparaître, s’esquisser, se profiler, se saisir... Juste une façon de se tenir la main _ pour continuer, pour poursuivre : tant le fil du vivre, d’abord, très probablement, que le fil de l’écrire, ensuite, sans trop de rupture ; les ruptures-cassures, les enjamber… Voir ici la place, ou fonction, des chats (Philia, Théïa) d’Hélène dans ces notes de Nacres  Sans ambition. Sans loi _ et la Littérature comporte, elle, un minimum d’ambition et de lois ; c’est dit.
Ce petit volume aura été surpris _ non toiletté _ au saut du lit.
Je n’ai rien arrangé pour paraître _ et présenter présentable figure (attendue, convenable, sinon convenue). À peine ai-je parfois complété des mots, des phrases nominales, dont l’inachèvement hâtif ne gênait pas le cahier.« 
Telle est, presque in extenso, la teneur du Prière d’insérer
que l’éditeur prie l’auteure de glisser, en feuillet séparé, détaché,
à l’avant de ce qui se présente, malgré tout comme un livre, avec couverture _ et qui, décidément, plaît beaucoup au lecteur que je suis ; et même l’enchante ; en un regard rétrospectif de l’auteure, empreint de prévenances, voilà, à l’égard du lecteur qui s’apprête à lire son livre. Tel un accueil de l’hôte accueillant l’accueillé avec un minimum d’égards nécessaires envers le lecteur (pour peu que celui-ci s’apprête, aussi, de son côté, à vraiment bien le lire ; sinon, « indiligent lecteur, quitte ce livre !« , prévenait Montaigne en ouverture, impérieuse autant que malicieuse, de ses Essais) sur le porche attractif de son seuil d’intimité de ce qui est ici livré : à la lecture.
Le Nacres _ cahier d’Hélène Cixous a bien sûr passionné le Curiosus-lecteur que je suis.
Et me lance dans un tout premier questionnement,
pour essayer de reprendre le fil du souvenir de mes précédentes lectures de l’Œuvre-Cixous.
En voici de premières amorces :
Isaac serait-il une pure fiction ?
La question _ « _ Isaac, c’est son nom, celui de votre amour ?«  _ est posée page 94 :
« _ C’est une fiction. Tout. Isaac, amour, votre, fiction« .
Et ici, forcément, l’énigme-Isaac demeure…
Il faudra que je recherche qui peuvent être les effectifs cousins d’Hélène (pages 44-45, et ailleurs)
la cousine Pi et son frère Paul-les-Malheureux :
des Cixous _ ou apparentés : ils viennent d’Oran ! Des Amar ? _, et pas des Jonas ou des Klein….

… 
Mon identification _ antérieure ; cf mon article du 12 juin 2018 : _ de Marcel Dulas, l’homme du portail grippé à déverrouiller d’Arcachon de Défions l’augure,
se trouve confirmée
avec l’indication du décès de son frère Tontus René Dulas
ainsi que le cimetière _ à La Teste, et non loin de l’Éden _ du Natus, page 83 :
« 17 octobre 2017
Tontus est mort. En apparence. Pif _ Pierre-François _ me raconte longuement la légende de Tontus René Dulas et le royaume d’Éden (l’habitation des onze Dulas dans la forêt des Landes, hommes des bois, sans école, qui ne vont dans la société extérieure et hostile que pour le service militaire). Mes enfants, élevés _ c’est dit _ par ces forts de la nature, sur le Natus. Natus, nom propre du Bourrier.
Aller au Natus, expression _ conservée telle quelle  _ de leur enfance.
Au lieu-dit Natus-de-Haut, le Bourrier créé en juillet 1916 au cimetière national de La Teste, tout ça mes enfants, sous les ordres des Dulas, Chef Tontus, l’ignorent, ils vont au Natus comme à l’Éden, l’Éden des enfants sauvages est un mont de débris immondices de la ville, écharnures, morceaux de carcasses d’avions, casques de guerre.
(Note : ces cahiers sont des petits-cousins du Natus, des bourriers.) » ;
de même qu’est nommée, page 69, l’Allée Fustel-de-Coulanges
Est indiquée aussi, page 39, l’adresse d’Éve Cixous, rue du Saint-Gothard :
« Un vilain souci : les Catacombes dégueulent maintenant juste à côté de l’immeuble de maman. Qu’aurait-elle dit ? Si je savais, ça me protégerait. Comme pour « l’avenue René Crotty »  (elle disait). Elle aurait trouvé le nom de cette « sortie » stérilisée, rectum au néon, étrange bouche d’égout au terme d’un long cheminement intestinal embouché d’abord place Denfert-Rochereau.
Heureusement qu’elle est abritée au fond du jardin Saint-Gothard. Ce Saint-Gothard n’était pas son col. Elle, c’était le Lautaret. Destin à l’esprit farceur : une si petite rue pour un si grand col.
Écrire le livre des Cols, on y apercevrait Hannibal, Stendhal, Goethe, à cheval, maman à pied, ou à dos de chameau.
Le mot col, dans la langue d’une sage-femme.« 
Bref, me voici aux anges ! en cette déchiffreuse lecture…
Ce jeudi 17 octobre 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
Post-scriptum :
Sur le Natus-de Haut,
lire les articles excellemment détaillés de Patrick Boyer et Jean-Michel Mormone publiés en 2008 et en novembre 2013 dans le bulletin de la Société historique d’Arcachon et du Pays de Buch ;
ainsi que le livre d’Éric Joly paru en octobre 2013, Un Nègre en hiver, aux Éditions Confluences.
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