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Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…

31oct

Voici quelques précisions complémentaires
à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés, des neveux de Louis Ducos du Hauron,
et plus spécialement en Algérie…

C’est surtout la descendance de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?) et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), mariés à Mustapha le 26 mai 1857,
qui m’intéresse :
plus précisément pour la relation de parenté d’une de leur fille _ née Wachter, donc, mais dont je n’ai pas encore découvert le prénom ; ni donc l’identité précise… _,
avec l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935), née Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).
Car cette future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », dont j’ignore aussi les dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que la date et le lieu _ probablement à Orléansville _ de son mariage avec Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)
n’est autre,
du fait de son mariage avec Louis Gentet, oncle et tuteur des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, devenues orphelines de leurs deux parents, Jean-Anatole Rey (décédé à Oran le 28 janvier 1890) et son épouse Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 25 juillet 1886),
que la tante par alliance de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
le neveu demeuré en Algérie, de Louis Ducos du Hauron. 
 
 
Des 5 (ou 6) enfants du couple Jean-Baptiste-Antoine Wachter – Elisabeth Confex (qui se sont mariés à Mustapha le 26 mai 1857)
à défaut d’en connaître assez au sujet de la future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », 
j’ai identifié, mais avec des données encore un peu trop partielles, les 5 enfants suivants :  
_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter : Medea, 9-mars 1858 – ?
_ Aimée-Marie Wachter : Mustapha, 2 septembre 1859 – ?
_ Louis-Jules Wachter : Orléansville, 29 juillet 1866 – ? : il épousera à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883)
_ Émile Wachter : Mustapha, 15 mai 1869 – ? : il épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet
_ Marie Émélie Wachter : ?, 1874 ou 75 : elle épousera son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand (né en 1869, dont la mère, mariée à Alger le 18 juin 1868, à Philippe Ferrand (Fleury-lès-Lavancourt, 7 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889), était une Confex : Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 février 1839, sœur cadette d’Elisabeth Confex).
L’époux de cette Marie-Emélie Wachter, Albert Ferrand, décèdera à Alger le 18 décembre 1927 ;
et sur le faire-part du décès que publiera sa veuve « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » _ cf mon article du 3à janvier 2021 : _,
sont présents, et dans cet ordre :
… 
_ « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter, et ses enfants : Yvonne et Simone » _ les deux filles du couple du défunt et de sa veuve _,
« M. Henri Ferrand _ le fils aîné du couple _ et Mme » _ née Raphaëlle Apostolico _,
« Mme Vve Bonopera » _ tante, née Confex, de la veuve d’Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter… ; et d’elle aussi j’ignore toujours le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Paul Bonopéra, probablement à Orléansville… _,
« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ très probablement sœur de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » ; d’elle aussi j’ignore le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Louis Gentet, probablement à Orléansville, elle aussi… _
« Mme et M. Emile Wachter, et leurs enfants » _ le frère (né à Mustapha, le 15 mai 1869) et la belle-sœur (née Hélène-Etiennette-Sophie Janet) de la veuve Ferrand, et leurs enfants, neveux et nièces de la veuve Ferrand née Wachter, soient Henri Wachter, Emile-Antoine Wachter, Albert Wachter, Mireille Wachter et Suzanne-Hélène-Emilie… ; cf mes articles du 2 février 2021 :  ; et du 29 mars 2021 : ... _,
« Mme Vve Louis Wachter et sa fille » _ la belle-sœur de la veuve Ferrand, et veuve elle-même de Louis Wachter, frère (né à Orléansville le 29 juillet 1866) de la veuve Ferrand ; ainsi que leur fille Paula Wachter _,
« Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants » _ Mme Malinconi est née Joséphine-Aimée-Constance Confex, à Alger le 31 octobre 1877 ; et elle est la fille de Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841) et son épouse Marie-Augustine Cremonini ; et par conséquent, elle est nièce de la veuve Ferrand, née Aimée-Justine-Marie Confex, sœur de son père, Marius-Ernest-Jules Confex _,
« M. A. Gastaud » _ le fiancé d’Yvonne Ferrand : ils se marieront à Alger le 4 février 1928 _,
« les familles Ferrand, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ».
Voilà.
J’espère ne pas trop noyer mon lecteur dans la forêt des si nombreux détails de ces divers articles ;
mais rechercher le moindre indice est tout à fait passionnant !
C’est tout un passé qui, peu à peu, bribe d’indice par bribe d’indice à explorer, émerge et réapparaît…
...
Ce dimanche 31 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une piste à reprendre : la descendance d’Emile Wachter, à Orléansville…

07mai

Dans l’espoir de trouver quelques commencements de réponses à l’interrogation de mon article d’hier ,

je vais tâcher de revenir sur _ et repartir de _ quelques données de certains de mes articles antérieurs,

tels que

celui du 2 février dernier :  ;

celui du 29 mars :  ;

ou celui du 18 avril : … ;

afin de peut-être débusquer quelques pistes à propos de personnes susceptibles de m’éclairer sur quelques uns de leurs plus ou moins proches _ ou lointains _ ascendants Wachter, voire Confex,

au moins à Orléansville…

Telle va donc être la prochaine tâche que je me fixe pour la journée de demain…

Ce vendredi 7 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nouveau focus sur quelques points particulièrement sensibles de mes recherches sur la famille Bonopéra d’Orléansville…

24avr

D’abord,
je garde espoir que la mémoire d’un membre de la famille Bonopéra conservera trace de cette « Madame Veuve Paul Bonopéra », veuve de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),
décédée après 1935, et née Confex, dont je cherche à éclairer enfin l’identité.
La sœur aînée de cette dame Veuve Bonopéra, était en effet Élisabeth Confex (Veuve Wachter), née à Marseille le 28 décembre 1837, et décédée à Alger le 30 mars 1925,
ainsi qu’épouse, à Mustapha le 26 mai 1857, de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont, le 5 février 1827 et décédé peut-être à Orléansville…).
Et c’est d’ailleurs très précisément dans le faire-part de décès d’Élisabeth Confex, veuve Wachter, que j’ai découvert que « Mme Vve Paul Bonopéra » était sœur de la défunte Élisabeth Confex ;
cette défunte qui, avant de décéder à Alger en 1925, avait vécu un nombre notable d’années à Orléansville : probablement, du moins un temps, auprès de certains de ses enfants Wachter ou bien nés ou bien devenus orléansvillois…
En effet, cette Élisabeth Confex, épouse Wachter, a eu un certain nombre d’enfants Wachter qui ont vécu à Orléansville,
au nombre desquels il faut compter la veuve (née Wachter) de ce Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) qui était l’oncle maternel de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron
et j’ignore toujours le prénom ainsi que les lieux et dates de naissance et de décès de cette « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter », nièce de « Mme Vve Paul Bonopéra » _ ;
mais aussi l’orléansvillois Émile Wachter (Mustapha, 15 mai 1869 – Orléansville, j’ignore la date de son décès), qui exerçait la profession d’agent d’assurance à Orléansville, et à propos duquel on peut trouver dans le presse, c’est-à-dire Le Progrès d’Orléansville, pas mal d’échos de ses activités.
J’ajoute ici qu’un autre, au moins, de ses enfants, Louis Wachter, était né à Orléansville, le 29 juillet 1866 _ serait-ce là un indice fiable de l’arrivée et installation à Orléansville de cette famille Wachter ? Assez probablement… 
Probablement certains des membres actuels de la famille Bonopéra ont-ils eu l’occasion de connaître à Orléansville, sinon Émile Wachter lui-même _ j’ignore la date de son décès ; et je rappelle ici qu’il était né à Mustapha le 13 mai 1869… _, du moins certains de ses enfants :
_ Henri Wachter, né à Orléansville le 22 octobre 1895 ;
_ Émile-Antoine Wachter, né à Orléansville le 6 janvier 1898, et qui épouse au mois de novembre 1924, à Orléansville, la brestoise Juliette Le Lety ;
le couple aura au moins 2 enfants : Albert Wachter, né à Orléansville le 27 mars 1925, et qui sera Résistant ; et Mireille Wachter, née à Orléansville le 10 juillet 1937 ;
Émile-Antoine Wachter était commis à la Trésorerie d’Orléansville, puis, à partir du mois de mai 1929, à la Trésorerie d’Alger ;
_ Suzanne Wachter, née à Orléansville le 29 novembre 1911, épouse, au mois de juin 1930, à Orléansville, de Camille Férise ; le couple aura une petite Mireille Férise, née à Orléansville le 14 juin 1931.
Émile Wachter et son épouse née Hélène Janet ont très probablement continué de résider à Orléansville.
D’autre part,
j’aimerais savoir si certains, parmi les membres actuels de la famille Bonopéra, disposeraient de sources documentaires qui justifieraient la naissance, affirmée par certains, à Palerme, en Sicile _ d’où provient donc cette légende familiale ? À quel moment s’est perdu le souvenir de l’arrivée en Algérie, en 1830, des Bonopéra venus de Ceuta, Tarragone, Barcelone, et plus loibtainement en amont de Macerata ?.. _, de l’ancêtre Luigi-Nicola Bonopera,
qui serait à même de compléter (voire infirmer) le document que j’ai découvertRepresion de la Masoneria y consulados Pontificios. El Consulado Pontificio de Barcelona (1828-1830), de Monserrat Moli Frigola, en 1989 _ indiquant que Lluis-Nicola Bonopera, maître-tailleur à Tarragone, puis encore aussi, à partir de 1930, à Alger, exerçait déjà la profession de tailleur (sastre, en espagnol) à Macerata, dans les Marches, en Italie…
Enfin, et peut-être surtout,
quelque membre actuel de la famille Bonopéra descendant des Bonopéra d’Orléansville connaîtrait-il un membre de sa famille susceptible de disposer encore aujourd’hui de connaissances pointues sur la généalogie familiale des Bonopéra ?..
Ce samedi 24 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouvelles découvertes concernant les enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet, à Orléansville…

29mar

Suite à mes recherches sur la descendance de Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897), la sœur de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?),

je suis revenu à mon article du 2 février dernier : ,

afin de poursuivre mes investigations, essayer de compléter ce qui y demeurait d’inconnu, et rectifier des erreurs manifestes…

Ainsi que de dégager quelques noms de descendants de ces familles, dont l’éventuel contact serait susceptible de m’aider à corriger quelques taches aveugles de ces généalogies… 

Et de fait j’ai pu réaliser quelques petites découvertes, au moins à propos des 5 enfants du fils de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), Emile Wachter (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?) et de l’épouse de celui-ci, Hélène Janet…

D’abord, par mon accès aux livrets militaires de trois membres de la famille Wachter d’entre 1886pour Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?, ?)

et 1918, pour Émile-Antoine Wachter (Orléansville, 6 janvier 1898 – ?, après 1949),

avec aussi celui d’Henri Wachter (Orléansville, 22 octobre 1895 – ?, après 1939), en 1915,

j’ai eu accès aux dates de naissance dont je ne disposais pas encore :

Henri Wachter est né à Orléansville le 22 octobre 1895 ;

et son frère Émile-Antoine, à Orléansville, aussi, le 6 janvier 1898.

Tous deux étant déclarés les fils d’Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène Janet.

Quant à Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?,?), frère aîné d’Émile (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?),

il est bien mentionné être le fils de Jean-Baptiste Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?) et Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925).

Dont acte.

J’ai aussi appris le prénom de la fillette de Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004) _ c’est la plus jeune des 5 enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet _ et son époux _ le 5 juillet 1930 à Orléansville _ Camille Férise  : née à Orléansville le 14 juin 1931 (elle décèdera à Marseille le 2 juin 2006), elle se prénomme Mireille…

Et encore le prénom de l’époux Debono de Michèle-Odile Wachter (Orléansville, 10 juillet 1937 – Amiens-Salouël, 27 mars 2010), la troisième enfant d’Émile-Antoine Wachter et son épouse _ en novembre 1924 à Orléansville _ Juliette-Augustine-Marie Le Léty :

il s’appelle René Debono ;

et ce couple Debono – Wachter résidait à Bonneuil-les-Eaux (Oise)…

À suivre...

Ce lundi 29 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

De nouveaux aperçus sur la venue en Algérie de la famille Wachter de Rougemont : le mariage à Birmandreis le 4 avril 1857 de Sophie Wachter (de Rougemont) et François-Martin Molter (de Chaux)…

24mar

En continuant mes recherches sur les diverses origines _ et origines diverses _ des colons d’Orléansville au XIXe siècle,

je me suis à nouveau penché sur la famille des Wachter, venus de Rougemont (Haut-Rhin) ;

reprenant en quelque sorte le fil que j’avais provisoirement laissé le 8 mars dernier, en mon article  dans lequel j’avais démarré ma recherche sur la présence des membres de cette famille Wachter _ au nombre desquels le cousin Jean-Pierre Wachter (Rougemont, 24 mars 1801 – El Biar, 20 janvier 1871) _ au mariage, à Mustapha, le 26 mai 1857, de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?, ?) et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925)…

J’avais déjà pu constater qu’à ce mariage non seulement était présent et témoin du marié son « cousin » _ en fait cousin germain de son père _ Jean-Pierre Wachter, garde principal d’artillerie, mais qu’y assistaient aussi, « présents et consentant« , les quatre-parents des mariés _ soient François-Antoine-Humbert Wachter (Rougemont, 29 août 1794 – ?, ?) et son épouse, à Rougemont le 27 octobre 1814, Marie Françoise Chevillot (Le Val, 12 février 1792 – Mustapha, 8 septembre 1870), ainsi que Jean-Baptiste-Pierre Confex (Marseille, 28 décembre 1811 -Mustapha, 28 mai 1887) et son épouse, à Alger le 22 août 1837, Marie-Claire-Joseph Vidal (Marseille, 22 septembre 1815 – Mustapha, 6 juillet 1869) _qui donc avaient tous fait le voyage vers l’Algérie, pour s’installer là  _ et y mourir, aussi… _, non loin de leurs enfants…

Cette fois, c’est le mariage, moins de deux mois plus tôt, le 4 avril 1857, à Birmandreis, de Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897) _ Sophie Wachter était en effet alors domiciliée, avec ses deux parents, Humbert Wachter et son épouse, née Marie-Françoise Chevillot, à Birmandreis… _ avec François-Martin Molbert (Chaux, Haut-Rhin, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884) _ auparavant, et à Rougemont, le 18 août 1853, ce couple, pas encore marié, de Sophie Wachter et François-Martin Molbert (elle avait 29 ans ; et lui, 27 ans…) avait donné naissance à une petite Sophie Wachter, que son père, François-Martin Molbert, a reconnue officiellement comme sa fille ce jour de leur mariage, le 4 avril 1857, à Birmandreis _,

qui sollicite mon attention ;

et m’amène au constat de la présence prolongée de ces familles Wachter et Molbert à Mustapha, tout particulièrement,

mais aussi à Kouba, où fut fondée, probablement en 1848 _ ou peut-être dès 1844, même si cela me paraît plus improbable, vu l’âge du probable fondateur : le potier Jean-Baptiste Molbet est, en effet, né à Chaux (Haut-Rhin) le 10 mars 1830 : en 1844, il avait seulement 14 ans ; alors qu’il en avait 18, en 1848… _, la manufacture de Poterie Molbert, qui a laissé trace dans l’histoire

Il est difficile de dire lequel de ces Molbert, de Chaux (Haut-Rhin) _ une famille de potiers, déjà en Alsace… _, a été le pionnier de la venue en Algérie :

des cinq fils Molbert _ François-Martin (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884), Jean-Pierre (Chaux, 1er janvier 1828 – Mustapha, 23 juin 1865), Jean-Baptiste-Claude (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904), Claude-Jacques (Chaux, 12 avril 1832 – Mustapha, 4 août 1886) et Pierre-Richard Molbert (Chaux, 28 avril 1834 – Mustapha 29 janvier 1878) _ de Pierre-Richard Molbert (Montenois-sur-Doubs, 13 juillet 1802 – Mustapha, 8 décembre 1861) et son épouse Marie-Sophie Prévot (Chaux, 1797 – Mustapha, 16 juin 1883),

il est possible que ce soit le troisième né, Jean-Baptiste-Claude, qui soit venu le premier en Algérie, pour fonder à Kouba, probablement en 1848, à l’âge de 18 ans, une importante manufacture de poterie, qu’a fait prospérer son fils Jean-Baptiste-Claude Molbert (Mustapha, 10 janvier 1860 – Kouba, 7 mai 1926) ;

et que les autres membres de sa famille,

ses parents, présents à son mariage avec Hélène Placette (Tarnos, 10 avril 1837 – Kouba, 10 avril 1919), à Mustapha, le 27 février 1854,

ainsi que ses quatre frères,

l’aient rejoint, et se soient installés pour de longues années à Mustapha…

Les liens de famille étaient assurément précieux en cette terre de mission qu’était l’Algérie…

Et j’ai noté aussi, au passage, l’installation à Orléansville du docteur Jean (ou Jean-François) Molbert (Hussein Dey, 3 décembre 1885 – ?,?),

fils de l’instituteur Charles Molbert (Mustapha, 5 janvier 1863 – Alger, 28 octobre 1919) et de son épouse Antoinette Nin (Hussein Dey, 20 septembre 1864 – Orléansville, 29 janvier 1941).

Et dont la grand-mère paternelle était Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897) l’épouse de François-Martin Molbert (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha 1884).

Sophie Wachter, épouse Molbert, et sœur de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, le mari d’Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex,

était donc la tante des 6 enfants Wachter (dont l’orléansvillois Emile Wachter et l’orléansvilloise « Veuve Louis Gentet« , née Wachter _ j’ignore toujours son prénom _) de ce couple…

Et le docteur Jean Molbert était ainsi le cousin germain d’Emile Wachter et de sa sœur, veuve Gentet…

Et de fait dans l’avis de décès de M. Charles Molbert (Mustapha, 5 janvier 1863 – Alger, 28 octobre 1919) publié par L’Écho d’Alger du 20 octobre 1919,

 dans la liste des faisant part,

à la suite de la veuve, née Antoinette Nin (Hussein Dey, 20 septembre 1864 – Orléansville, 29 janvier 1941), du fils, le docteur Jean Molbert (Hussein Dey, 3 décembre 1885 – ?,?), et son épouse, née Nathalie Croze (Tizi Ouzou, 1er décembre 1887 – ?,?), et des sœurs Sophie Molbert (Rougemont, 18 août 1853 – Courbet, 1er février 1838) et Louise Vve Iscariot, née Molbert (Birmandreis, 12 juillet 1858 – ?,?) du défunt,

apparaît aussi _ avec il est vrai une faute d’orthographe ! _ la mention de la famille Wachter… 

À suivre…

Ce mercredi 24 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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