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Un petit rappel au passage d’intuitions-sources miennes de recherches à mener autour de la chaleureuse constellation familiale de Louis Ducos du Hauron, en prologue à une relance de mes recherches à propos de ses neveux et leur descendance…

18juil

Ma virée de samedi dernier 15 juillet à Lectoure, pour l’inauguration de la plaque apposée, 2 Boulevard du Midi, sur la maison de la terrasse _ surplombante _ de laquelle Louis Ducos du Hauron a pris ses toutes premières « photographies des couleurs« , en 1868 _ cf mon article «  » rédigé le soir même, dès mon retour à Bordeaux _,

avec, aussi, les belles rencontres et échanges amicaux, que cette belle circonstance a permis,

a complètement relancé _ reboosté _ mon désir de poursuivre-continuer mes recherches sur ce dont j’ai eu la primeur de l’initiative _ cf l’intuition que j’avais formulée en mes tous premiers articles sur ce sujet-piste à explorer, de la très précieuse aide trouvée par l’inventeur célibataire auprès de sa proche famille : père, frère, neveux, belle-sœur… _, et cela dès cette piste tracée par mon intuition-source du début du mois de décembre 2020 :

le 4 décembre 2020 : « « 

et le 6 décembre 2020 : « « ,

soit l’importance cruciale de l’aide _ considérable ! _ de ses proches à la poursuite des recherches extraordinairement audacieuses et au final extrêmemnt fécondes de cet inventeur absolument génial qu’a été Louis Ducos du Hauron, tout au long de sa vie.

Je me permets donc de citer ici un long passage de cet article-source de mon travail tout à fait original de recherche, en date de ce 6 décembre 2020 :

« J’ai donc commencé par rechercher les constellations familiales _ qui ? _, en leur temporalité et histoire _ dans la durée des années : à partir du XVIIIéme siècle, et jusqu’à aujourd’hui… _ relativement accessible ; mais dont les données reçues jusqu’ici comportent déjà bien des trous…

Il m’a fallu aussi tenter de connaître le plus précisément possible le parcours géographique _ où ? _, sur la durée des 82 ans de la vie _ et quand ? _, de Louis Ducos du Hauron.

C’est ainsi que je me suis assez vite rendu compte de la grande importance, en ce déroulé des découvertes successives de Louis Ducos du Hauron, du contexte familial immédiat pour ce célibataire ne disposant d’aucune ressource financière propre lui assurant ne serait-ce que le simple quotidien des jours…

De sa naissance à Langon le 8 décembre 1837 au décès de son père Jérôme-Amédée Ducos du Hauron, à Auch le 14 octobre 1863 _ Louis n’a alors pas encore 26 ans, et son père décède à l’âge de 64 ans _, le jeune homme qu’est Louis ne se prépare à aucune carrière professionnelle ; et se livre seulement à ses recherches _ assez théoriques pour l’essentiel… ; mais fondamentales pour toutes les applications pratiques qui, peu à peu, en seront faites… _ de physique et chimie, autour du phénomène des couleurs et de leur captation et reproduction matérielles, en bénéficiant de la protection paternelle _ qui a fait toute sa carrière, lui, son père, dans la fonction publique des contributions indirectes.

Il semble que sur son lit de mort, à Auch, le père a fait promettre à son fils aîné _ de 7 ans plus âgé que son cadet Louis : Alcide, lui, a 33 ans _, Alcide _ engagé en une carrière dans la magistrature _, de veiller très scrupuleusement à son jeune frère, et de subvenir à tous ses besoins matériels, afin que le très inventif Louis puisse se livrer le plus librement possible à ses recherches _ très intellectuelles (et théoriques) pour commencer _ de physique et chimie des couleurs…

Promesse qu’Alcide accomplira complètement, de ce 14 octobre 1863 du décès de leur père, à Auch, à son propre décès, à Savigny-sur-Orge, le 13 mai 1909…

Mais ce dont ne paraissent pas s’être assez souciés jusqu’ici, du moins à ma connaissance présente, les biographes de Louis Ducos du Hauron,

c’est de la plus large constellation familiale _ au-delà de la personne-clé de son frère aîné Alcide _ qui a continuellement assisté de toutes les manières possibles _ d’abord affectivement, mais matériellement aussi… _ Louis, en plus du soutien si essentiel et constant de son frère Alcide.

Car très rapidement après ce 14 octobre 1863 du décès de leur père à Auch, Alcide, nommé juge suppléant au tribunal d’Agen le 14 mai 1864, s’est marié, au Temple-sur-le Lot, le 11 septembre 1864, à Césarine-Marie de Fourcauld, dont il aura au moins 4 enfants : 2 fils, Marie-Louis-Amédée _ né le 9 février 1866 _ non, le 24 mars 1867 ! _ et décédé à Alger le 15 juillet 1935 : il fera toute sa carrière dans l’administration de l’Algérie _ et Étienne-Gaston, né à Agen le 16 juin 1870, et 2 filles, dont l’une se prénomme Alice : Marie-Alice et sa sœur _ dont j’ignore donc pour le moment le prénom : Marguerite-Jeanne  ! _ survivront à leurs 2 frères _ décédés, donc, le cadet, en 1912 (à l’âge de 41 ans) et l’aîné en 1935 (à l’âge de 68 ans) _, ainsi qu’en témoigne une très intéressante lettre conservée d’Alice, en date du 6 juillet 1948, adressée à M. Lacroix, à Villeneuve-sur-Lot : en effet, à l’âge de 41 ans, le cadet, Gaston Ducos du Hauron décèdera précocément à Savigny-sur-Orge le 3 avril 1912 _ Gaston s’était marié, à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898, à Edmée de Lamarque (née à Poitiers le 8 janvier 1876, et décédée à Saint-Mandé le 22 février 1902) ; et le couple a eu 2 filles, dont l’aînée est Étiennette Ducos du Hauron, née le 26 décembre 1898 à Saint-Mandé, qui se mariera à Agen le 20 juillet 1920, à Alfred Lamarque (né à Angers le 30 juin 1898, et décédé à Paris le 1er décembre 1976), et qui aura 10 enfants ; Etiennette décèdera à Paris le 20 décembre 1996… Je remarque au passage, et surtout, que ce mariage à Agen le 20 juillet 1920 précède d’un mois et 11 jours le décès, à Agen, de Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920… _ ; et Amédée, l’ainé, fera carrière dans les services administratifs en Algérie, où il décèdera, à Alger, le 14 juillet 1935 _ Amédée Ducos du Hauron était marié à Marie-Louise Rey, née en 1879, et décédée à Agen, le 20 septembre 1933, à l’âge de 54 ans ; le couple a eu au moins 5 enfants, dont une petite Edmée, née à Lamartine le 8 juillet 1904, et un fils prénommé Gérard-Yves-Alcide, né à Berrouagha le 30 août 1909, et qui décèdera à Avignon le 27 janvier 2000. À l’occasion d’une belle exposition d’anaglyphes de Louis Ducos du Hauron au Casino d’Alger en 1927, un entrefilet du journal L’Echo d’Alger mentionne la présence d’Amédée Ducos du Hauron (qui fut un collaborateur direct de son oncle, est-il alors rappelé…), désormais retraité, à Rébeval, en Algérie, à la tête d’une famille de 5 enfants… Louis a ainsi communiqué sa passion pour la recherche photographique à trois de ses neveux ; Amédée et Etienne Gaston Ducos du Hauron, les deux fils de son frère Alcide ; et Raymond de Bercegol, le fils de sa sœur Berthe ! Il faut le souligner… Même si ses neveux ne furent guère plus efficaces que leur oncle Louis dans la gestion industrielle de leurs inventions… Marguerite-Jeanne (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-Sur-Seine, 22 avril 1971) et Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 octobre 1971) survivant de très longues années à leurs deux frères aînés, bien plus tôt décédés, Gaston, à Savigny-sur-Orge le 3 avril 1912, et Amédée, à Alger, le 14 juillet 1935… Mais les liens de famille demeureront assez étroits avec leurs neveux et nièces devenus orphelins… 

Césarine-Marie et ses enfants, ainsi que Louis _ retenu dans le Sud-Ouest par d’importants travaux dans une entreprise toulousaine _, ne rejoindront en Algérie Alcide, nommé conseiller à la cour d’appel d’Alger le 25 janvier 1881, qu’en 1883 pour Césarine-Marie et ses enfants, et 1884 pour Louis.

Et Césarine-Marie, devenue veuve d’Alcide le 13 mai 1909, demeurera au domicile familial _ depuis 1902 _ de Savigny-sur-Orge en compagnie de son beau-frère Louis, jusqu’au mois d’août 1914 _ au début de la guerre _ ; et je suppose que c’est en ce domicile familial du 14 rue des Rossays, à Savigny-sur-Orge, qu’est décédé le fils cadet d’Alcide et Césarine-Marie, Gaston, le 3 avril 1912.

Mais Louis Ducos du Hauron est demeuré très proche aussi de la famille de sa sœur Berthe _ née à Libourne le 23 janvier 1842 ; j’ignore à ce jour la date (après 1912 !) et le lieu de son décès : Berthe était présente au second mariage de son fils Raymond de Bercegol, le 4 juin 1907, à Joinville-le Pont, et domiciliée avec son fils au n° 17 de l’avenue Pauline de Joinville-le-Pont… _ et de son époux Fabien-Onézime de Bercegol _ leur mariage avait eut lieu à Agen, le 11 février 1866. Un de ses neveux Bercegol _ Raymond ! il demeura fils unique… _ accompagnera diverses entreprises de son oncle Louis, notamment à l’occasion de divers brevets de procédés photographiques, au début du XXème siècle en région parisienne.

Louis Ducos du Hauron est certes demeuré célibataire et sans enfants, mais c’est en compagnie de sa belle-sœur Cézarine-Marie qu’il quitte Savigny-sur-Orge au mois d’août 1914 pour gagner, plus loin du front, la propriété familiale des de Fourcauld, au Temple-sur-Lot ;  et c’est toujours avec sa belle sœur qu’il s’installe en 1920 à Agen au 58 de la rue Lamouroux, en ce qui sera son dernier domicile, puisqu’il y décède bientôt le 31 août 1920 ; mais non sans avoir été présent _ j’y insiste _ au mariage, à Agen, le 20 juillet 1920, de sa petite-nièce, la fille aînée du regretté Gaston Ducos du Hauron, Étiennette, née à Saint-Mandé le 26 décembre 1898, avec Alfred Lamarque _ né à Angers le 30 juin 1898…

Je constate aussi l’importance des tropismes gascons : gersois (Nogaro, Auch, Lectoure) et lot-et-garonnais (Tonneins, Agen, Le Temple-sur-Lot), qui caractérisent, génération après génération, pas mal des membres de la famille Ducos du Hauron, depuis la vie à Nogaro des ancêtres François Ducos et Jean-Marie Ducos du Hauron : ce dernier, en effet, né à Nogaro en 1778, s’est marié à Bordeaux le 10 août 1797 avec Marie de Montalembert, native de Penne d’Agenais en 1780, et est décédé à Tonneins, en Lot-et-Garonne, en 1853…

Mes recherches sur la constellation familiale qui a protégé toute sa vie durant Louis Ducos du Hauron ne font ainsi que commencer« , concluais-je alors assez prémonitoirement mon article de ce 6 décembre 2020…

Cela en forme en quelque sorte de prologue, à l’exposé, dès demain, de premiers résultats de la relance de ma recherche de données factuelles _ et très empiriques détails… _ concernant les neveux (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron ;

avec une toute première moisson glanée, à force de se mettre à chercher à nouveau un peu _ sur ce que peut offrir, à qui se met un minimum en quête, la très riche ressource documentaire du web, avec laquelle jouer ; avec un peu de temps et de chance (et sérendipité) … _, ce lundi 17 et ce mardi 18 juillet 2023…

Ce mardi 18 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture avec corrections de l’article « Second point d’étape sur les avancées et les taches aveugles de ma recherche sur l’entourage familial de Louis Ducos du Hauron » du 18 décembre 2020

07nov

Ce dimanche 7 novembre 2021,

j’entreprends la relecture-révision de mon article du vendredi 18 décembre 2029. 

Voici _ les correction, précisions et ajouts sont en rouge et en gras _ ce que cela va donner :

Le 14 décembre dernier,

j’avais proposé un tout premier récapitulatif de mes recherches sur l’entourage familial de l’inventeur de la « photographie de couleurs« , Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

entourage si important à tous égards pour ce chercheur assez solitaire _ et lui-même célibataire, et sans descendance directe… _ :

Depuis, j’ai proposé 3 nouveaux articles :

et _  ;

et, surtout,

je continue d’affiner et préciser mes acquis et mes interrogations persistantes de l’article du 15 décembre :  ;

qui ne me satisfait, d’ailleurs, toujours pas :

il me faut donc continuer à y retravailler…

C’est surtout, d’ailleurs, sur le parcours « algérien » de l’aîné des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron,

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1966 – Alger 1935),

que j’achoppe,

faute de disposer, sur le web, de données suffisamment consistantes, et sans trop de « trous » :

ce que je nomme ici des « taches aveugles« …

Surtout,

je n’ai pas encore réussi à identifier les 5 enfants que prête à Amédée et son épouse Marie-Louise, un très précieux article de L’Écho d’Alger, en date du 4 mars 1927,

au moment de la retraite d’administrateur adjoint, résidant à Rébeval _ maintenant Baghlia _, d’Amédée, à l’âge de 60 ans _ Amédée Ducos du Hauron est né, à Agen, le 24 mars 1867…

Et puis un magnifique avis de décès _ magnifique, parce que particulièrement détaillé, celui-ci !_, paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930,

pour le décès, la veille 30 mars, à Alger, de Victor Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930), Payeur adjoint du Trésor d’Algérie, à Alger l’époux d’Aimée-Laurence Rey, elle-même la sœur cadette de Marie-Louise Rey, épouse d’Amédée Ducos du Hauron ;

mais j’ignorais encore à cette date du 14 décembre 2020 la sororité très effective de Marie-Louise Rey et Aimée-Laurence Rey _,

auxquels étaient apparentés _ par mariages _et les Ducos du Hauron _ en la personne d’Amédée, époux de Marie-Louise Rey _ et les Ducros _ en la personne de Henri Ducros, époux d’Eveline Ducos du Hauron, fille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey… _ 

_ mais je n’avais pas encore réussi, à cette date du 14 décembre 2020, à découvrir précisément comment existaient ces apparentements : par quels liens de quels mariages (entre ces familles Ducos du Hauron, Rey, Gadel, Gentet)… : je le découvrirai bientôt : les 31 décembre 2020, 1er et 2 janvier 2021 ; cf mes trois articles à venir :  ;  et  _

présente un terrible défaut pour le chercheur que je suis : un petit coin, mais hélas crucial, de cet avis de décès, en date du 30 mars 1930 _ et là même où justement auraient dû apparaitre les prénoms précis des divers membres de ces familles Ducos du Hauron et Ducros apparentés aux Gadel…a été malencontreusement arraché _ un phénomène assez rare dans les collections d’archives légalement conservées… _ ;

et constitue très littéralement, pour le regard de qui le consulte, une vraie « tache aveugle« , noire

_ qui vient nous priver d’indices décisifs _ ;

et je n’ai hélas pas réussi à  dénicher, sur le web, un exemplaire de cette page qui, lui, aurait été complet !!!

À suivre…

Ce vendredi 18 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà quelques bien utiles précisions de relecture a posteriori…

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Petit récapitulatif sur ma recherche de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron, le génial inventeur de la « photographie de couleurs », à Lectoure, en 1868…

03jan

Ce dimanche 3 janvier 2021,

faisant une petite pause dans mon travail _ quotidien _ de recherche à propos de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le génial inventeur de « la photographie de couleurs« , à Lectoure, en 1868,

en l’occurence ses trois neveux,

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935),

Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949-1950…)

et Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juillet 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912),

et leurs descendances respectives,

je propose ici un récapitulatif commode des 32 articles publiés jusqu’ici, 

du mardi 2 décembre 2020 au samedi 2 janvier 2021 :

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Et tout cela est, bien sûr, à poursuivre…

Ce dimanche 3 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

P. s. :

et pour dessert,

on pourra jeter un regard sur quelques unes des 80 merveilleuses images du splendide Tirages Fresson de mon ami Bernard Plossu _ paru ce mois de septembre aux Éditions Textuel _,

qui viennent, de temps en temps, de-ci, de-là, éclairer de leur splendide lumière

la série des 32 articles que j’ai consacrés, juste précédemment, à ce si beau travail de l’ami Plossu

…et de l’atelier Fresson de Savigny-sur-Orge !

et dont certaines d’entre elles viendront illuminer l’exposition agenaise en hommage à Louis Ducos du Hauron,

dont le vernissage aura lieu, à l’église des Jacobins, à Agen le 3 juillet prochain...

Second point d’étape sur les avancées et les taches aveugles de ma recherche sur l’entourage familial de Louis Ducos du Hauron

18déc

Le 14 décembre dernier,

j’avais proposé un premier récapitulatif de mes recherches sur l’entourage familial de l’inventeur de la « photographie de couleurs« , Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

entourage si important à tous égards pour ce chercheur assez solitaire _ et lui-même célibataire _ :

Depuis, j’ai proposé 3 nouveaux articles, :

et _  ;

et, surtout,

je continue d’affiner et préciser mes acquis et mes interrogations persistantes de l’article du 15 décembre :  ;

qui ne me satisfait, d’ailleurs, toujours pas :

il me faut donc continuer à y retravailler…

C’est surtout, d’ailleurs, sur le parcours « algérien » de l’aîné des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron,

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1966 – Alger 1935),

que j’achoppe,

faute de disposer, sur le web, de données suffisamment consistantes, et sans trop de « trous » :

ce que je nomme ici des « taches aveugles« …

Surtout,

je n’ai pas encore réussi à identifier les 5 enfants que prête à Amédée et son épouse Marie-Louise, un très précieux article de L’Écho d’Alger, du 4 mars 1927,

au moment de la retraite d’Amédée, à Rébeval _ Baghlia _, d’Amédée, à 61 ans…

Et puis un magnifique avis de décès _ magnifique, parce que très détaillé, celui-ci ! _, de L’Écho d’Alger du 30 mars 1930,

pour le décès de Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor d’Algérie, à Alger,

auxquels étaient apparentés

et les Ducos du Hauron, 

et les Ducros

_ mais je n’ai pas encore réussi à découvrir précisément comment : par quels liens de quels mariages entre eux…

présente un terrible défaut pour le chercheur

que je suis :

un petit coin, mais crucial, de l’article

_ là où justement apparaissent les prénoms des Ducos du Hauron et des Ducros apparentés aux Gadel _

a été arraché _ le phénomène est très rare ! _ ;

et constitue très littéralement pour le regard de qui le consulte

une vraie « tache aveugle« , noire

_ qui vient nous priver des indices décisifs _ ;

et je n’ai hélas pas réussi à  dénicher, sur le web, un exemplaire de cette page

qui, lui, aurait été complet !!!

À suivre…

Ce vendredi 18 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un premier commode récapitulatif de mon parcours de recherche autour du bienveillant entourage familial gascon de Louis Ducos du Hauron, inventeur génial de la « photographie de couleurs »

14déc

Pour commodité,

voici un récapitulatif provisoire des articles de mon blog « En cherchant bien« 

témoignant de mon parcours de recherche _ step by step _,

à partir du mercredi 2 décembre dernier,

à propos de l’environnement familial,

en Gascogne principalement _ mais aussi en Algérie, puis en région parisienne _,

de Louis-Arthur-Montalembert Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

ce génial inventeur _ trop méconnu encore _ de la « photographie de couleurs » :

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

De prometteurs contacts de proches de l’inventeur

laissent espérer de nouveaux progrès de la connaissance concernant les conditions affectives et matérielles de ses recherches et géniales découvertes photographiques …

Ce lundi 14 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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