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L’intéressant apport des livrets militaires aux recherches généalogiques : l’exemple des Bioy d’Oloron, entre 1892 et 1903…

23oct

Une des ressources fécondes à la connaissance des parcours et domiciliations des personnes ayant eu un livret militaire jusqu’en 1921,

réside dans les diverses informations disponibles inscrites dans les livrets militaires ouverts lors des conseils de révision de la 20e année des personnes concernées…

J’en prends ici des exemples au sein de ma famille maternelle,

la famille Bioy, d’Oloron – Sainte-Marie.

Soient,

autour de mon grand-père maternel

Paul Bioy (Oloron, 25 avril 1878 – Bordeaux, 6 décembre 1954),

classe 1898, matricule n° 1626 ;

d’abord ses trois frères :

Antoine Bioy (Oloron, 29 juillet 172 – Buenos-Aires, 31 août 1859),

classe 1892, matricule n° 1518 ;

Pierre Bioy (Oloron, 25 juillet 1874 – Oloron, 13 janvier 1953),

classe 1894, matricule n° 1361 ;

et Xavier Bioy (Oloron, 20 août 1881 – Herrère, 10 septembre 1950),

classe 1901, matricule n° 2119 ;

et ses deux cousins germains :

Célestin Bioy (Oloron, 30 juillet 1875 – Hasparren, 2 novembre 1946),

classe 1895, matricule n° 1008 ;

et son frère Jean-Baptiste Bioy (Oloron, 12 août 1883 – devant Arras, 16 juin 1915),

classe 1903, matricule n° 1755.

Un détail utile à relever et souligner :

ni épouse(s), ni enfant(s) ne sont _ hélas _ jamais mentionnés sur ces livrets militaires pourtant assez bien détaillés,

à la différence, forcément, du parcours dans la hiérarchie militaire,

et de diverses domiciliations, bien sûr,

utiles et même nécessaires en cas de mobilisation du réserviste, avant sa libération définitive des services…

Ce dimanche 23 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour sur les liens de parenté entre deux propriétaires de superbes Villas au Pyla-sur-Mer, via deux frères Leuret, Eugène (1878 – 1965) et François (1890 – 1954), et en remontant à deux soeurs Bitôt, Valentine (1852 – ?), épouse d’Alfred Lourreyt (1855 – 1913), et Thérèse-Marie (1867 – 1915), épouse de Victor-Jean-Pierre-Charles Dorlet (1858 – 1918)…

18sept

Mon échange téléphonique avant-hier soir, vendredi 16 septembre, avec Raphaël Vialard, le très remarquable historien du Pyla _ auteur d’un indispensable « Pyla-sur-Mer » en  4 tomes _,

suivi de  mes deux rencontres hier samedi 17 septembre, à 9h 30, puis à 14h – 14h 45, pour la visite magnifiquement commentée de la Villa Téthys, avec _ d’entre sa centaine d’ayants droit descendant des commanditaires de la Villa de 1927, Georges Droin (Paris, 4 février 1885 – 22 avril 1943) et son épouse (mariés à Dax, le 1er août 1910) Marie-Amélie Lourreyt ; j’ignore pour le moment les lieux et dates de naissance et de décès de celle-ci : à Dax, où son père était notaire, pour sa naissance ? à Paris, à son domicile, pour son décès ? du moins après le décès de son mari Georges Droin, « emporté en quelques jours par une congestion cérébrale en avril 1943«  ; ajoutant en sa conclusion : « Nous prions sa veuve ainsi que ses six enfants (sic) de bien vouloir agréer l’expression du souvenir ému que nous adressons à sa mémoire« , indiquait le 10 mars 1944 à l’annonce de ce décès d’un éminent de ses membres le rapport du secrétaire de la Société des Amis des Livres lors de l’assemblée générale du vendredi 10 mars 1944 (aux pages 21 à 23 de son Annuaire) _, le très remarquable et brillant Nikita Droin,

m’a amené à reprendre leurs arbres généalogiques familiaux, afin de mieux établir les liens de parenté qui les rapprochent _ je savais l’existence de cette parenté indirecte, par les Leuret, mais ne disposais pas jusqu’ici de son détail précis ; ce qui me travaillait…

Ainsi ces liens de parenté, ou plutôt d’apparentement indirect _ entre Raphaël Vialard et Nikita Droin, donc _, remontent-ils, en fait,

d’une part, à la fraternité de deux des frères Leuret :

Eugène (Châteauneuf-sur-Loire, 22 mai 1878 – Bordeaux, 22 juillet 1965)

et François (Orléans, 12 juin 1890 – Lourdes, 8 mai 1954),

fils d’Eugène Leuret (Jargeau, 5 juillet 1836 – Bordeaux, 23 octobre 1902) et son épouse Marie (dite « Maman« ) Mie Maillart (Orléans, 21 juin 1843 – Bordeaux 3 novembre 1925) ;

et, d’autre part, à la sororité de deux des sœurs Bitôt :

..

Valentine Bitôt (Bordeaux, 4 juin 1852 – ?) _ épouse d’Alfred Lourreyt _,

et Thérèse-Marie Bitôt (Bordeaux, 21 mai 1867 – Bordeaux, 24 novembre 1915) _ épouse de Victor Dorlet _,

filles de Pierre-Anselme Bitôt (Podensac, 22 mars 1822 – Bordeaux, 2 février 1888) et son épouse Catherine-Pauline Oré (Bordeaux, 2 novembre 1825 – Bordeaux, 19 octobre 1890),

elle-même fille de Jean Oré (Bordeaux, 29 décembre 1791 – Bordeaux, 5 novembre 1850) et son épouse, le 16 août 1814, puis veuve, Marie-Joséphine Loureyt _ sic _ (Figeac, 7 août 1796 – Bordeaux, octobre 1878) _ pas mal d’entre ces personnes directement parentes ou indirectement apparentées, mais pas toutes, ayant des origines (ainsi que des propriétés) bordelaises, et plus largement girondines.

Pour ce qui concerne la généalogie de l’heureux propriétaire de la belle Villa de la tranquille et très boisée Avenue de l’Eden, le très remarquable historien du Pyla qu’est Raphaêl Vialard,

le très sérieux travail généalogique _ ainsi que les 11 volumes extraordinairement détaillés de son « Itinéraire d’une famille ordinaire«  : une mine absolument passionnante de données biographiques et historiques… _ qu’il a produit sur ses ascendances familiales,

facilite bien sûr énormément la tâche _ même si elle comporte aussi encore quelques trous à combler…

Ainsi remonte-t-on immédiatement, par la mère de Raphaël Vialard, Marie-Josèphe-Isabelle (dite « Bébelle« ) Leuret (Bordeaux, 3 mars 1910 – Pessac, 13 novembre 2001),

à son grand-père maternel Marie-Marc (dit « Eugène« ) Leuret (Châteauneuf-sur-Loire, Loiret, 22 mai 1878 – Bordeaux, 22 juillet 1965) _ professeur de médecine à Bordeaux, et directeur des Thermes de Barbotan _,

fils d’Eugène Leuret (Jargeau, 5 juillet 1836 – Bordeaux, 23 octobre 1932) _ notaire à Châteauneuf-sur-Loire _ et son épouse _ ils se sont mariés à Orléans le 19 janvier 1863 _ Marie (dite « Maman« ) Mie Maillard (Orléans, 21 juin 1843 – Bordeaux, 3 novembre 1925),

parents de 12 enfants Leuret.

Eugène était le dixième d’entre les 12 enfants de ce couple Leuret ;

et le dernier des frères d’Eugène _ le douzième donc de cette fratrie _, était François Leuret (Orléans, 12 juin 1890 – Lourdes, 8 mai 1954), médecin et directeur des Constatations médicales à Lourdes _ il a aussi été Sénateur de la Gironde (MRP) de 1946 à 1948 _ ;

lequel François Leuret avait épousé le 12 juin 1920 Geneviève Dorlet (Bourges, 4 novembre 1894 – Bordeaux, 26 mars 1977),

fille de Victor-Jean-Pierre-Charles Dorlet (Chantenay – Saint-Imbert, Nièvre, 23 décembre 1858 – ?, 3 juin 1918) _ professeur de mathématiques au Lycée de Bordeaux _ et son épouse Thérèse-Marie Bitôt (Bordeaux, 21 mai 1867 – Bordeaux, 24 novembre 1915) ;

elle-même fille de Pierre-Anselme Bitôt (Podensac, Gironde, 22 mars 1822 – Bordeaux 2 février 1888) _ chirurgien, professeur d’anatomie à la Faculté de Médecine de Bordeaux _, et son épouse Catherine-Pauline Oré (Bordeaux, 2 novembre 1825 – Bordeaux, 19 octobre 1898) _ qui était la sœur aînée d’un notable chirurgien et professeur de physiologie à la Faculté de médecine de Bordeaux, Pierre-Cyprien Oré (Bordeaux, 15 février, 1828 – Bordeaux, 4 septembre 1889) :

ils étaient les deux premiers enfants de Jean Oré (Bordeaux, 29 décembre 1791 – Bordeaux, 5 novembre 1850) et son épouse, à Figeac le 16 août 1814), la lotoise Marie-Joséphine Loureyt (Figeac, 7 août 1796 – Bordeaux, octobre 1878)

_ et sur l’Avis de Remerciements et Messes qui a suivi les obsèques de celle-ci, à l’église Sainte-Eulalie à Bordeaux, tel qu’il est paru le 26 octobre 1878, dans le journal La Gironde, je remarque que parmi les familles qui remercient figure la famille Lourreyt (de Nevers) : probablement la famille de son frère Jean-Baptiste-Charles Loureyt (Figeac, 26 octobre 1812 – ?) et son épouse (mariés à La Guerche-sur-L’Aubois le 12 janvier 1853), Charlotte-Valentine Ménétrier (Charenton-le-Pont, 21 mars 1831 – Bordeaux, novembre 1871), et leurs enfants Alfred (La Guerche-sur-L’Aubois, 31 août 1855 – Bordeaux, 5 janvier 1914) et Paul Lourreyt (1860 – Bordeaux, 13 janvier 1924)… _,

à la riche et très intéressante descendance, comportant notamment des Bitôt, des Lourreyt, des Dorlet, ainsi que de ces Leuret et ces Droin, constructeurs de ces Villas Kypris  et Téthys, au Moulleau et au Pyla, qui nous intéressent ici… 

Voilà pour les liens de parenté directs et indirects _ via les frères François et Eugène Leuret : Eugène, à la différence de l’épouse (née Geneviève Dorlet, et fille de Thérèse-Marie Bitôt) de son frère François, n’ayant pas lui, ainsi que ses descendants Vialard, d’ascendance remontant à Pierre-Anselme Bitôt, à la différence des descendants de Georges-A.-Laurent Droin et son épouse longtemps dacquoise Marie-Amélie Lourreyt, fille de Valentine Bitôt et son époux le notaire Alfred Lourreyt (La Guerche – L’Aubois, 31 août 1855 – Bordeaux, 5 janvier 1914)… _ en remontant dans l’ascendance maternelle Leuret de Raphaël Vialard.

Mais si l’on se penche maintenant sur la descendance de ce couple bordelais formé de Pierre-Anselme Bitôt (Podensac, 22 mars 1822 – Bordeaux, 2 février 1888) et son épouse Catherine-Pauline Oré (Bordeaux, 2 novembre 1825 – Bordeaux, 19 octobre 1890),

on s’aperçoit que la sœur qui précède immédiatement Thérèse-Marie (née à Bordeaux le 21 mai 1867) dans la fratrie d’au moins 4 enfants Bitôt _ mais si je consulte le faire-part de décès (dit « Convoi funèbre« ) du Docteur Pierre-Anselme Bitôt tel qu’il est publié dans La Petite Gironde du 3 février 1888, il se trouve que le nombre d’enfants du défunt et son épouse dépasse ce nombre de 4 donné dans l’arbre généalogique publié par Raphaël Vialard ; et il me demeure difficile de démarquer, en cette liste de faisants-part, les enfants du défunt de ceux qui seraient seulement des neveux et nièces, ou oncles, et cousins, du défunt Pierre-Anselme Bitôt : M. et Mme Lefour, M. et Mme Paul Bitot, M. et Mme Marc Bitot et leurs enfants, M. et Mme Sarran, M. et Mme C. Baron (soient M. Camille Baron et son épouse née Amélie Oré) et leurs enfants… _ de ce couple, enfants qui sont Marie-Thérèse (née à Bordeaux le 8 octobre 1849), Valentine (née à Bordeaux le 4 juin 1852), Thérèse-Marie (née à Bordeaux le 21 mai 1867), ainsi que leur frère _ Pierre-Joseph _ Émile (Bordeaux, 5 mai 1861 – mai 1932 _ cf les Remerciements parus dans La Petite Gironde du 25 mai 1932, à la suite des obsèques et l’inhumation du Docteur Emile Bitôt, médecin honoraire des hôpitaux, mentionnant seulement, de ses proches, sa veuve (née Marie Baron : elle décèdera à Bordeaux le 31 octobre 1942, en sa 75e année, ainsi qu’en témoigne son avis de décès paru dans La Petite Gironde du 14 novembre 1942, mentionnant seulement de sa descendance Mme Marc Bitôt, ses enfants et petits-enfants) et sa belle-fille, déja veuve donc, Mme Marc Bitôt)… _), médecin à Bordeaux, que donne Raphaël Vialard dans l’arbre généalogique de cette famille… _ c’est lui, Emile Bitôt, donc, qui le premier des Bitôt et apparentés, tels les Guérin :

Marie-Catherine Dorlet (Bourges, 27 février 1892 – 11 avril 1994), fille de Thérèse-Marie Bitôt (Bordeaux, 24 mai 1867 – Bordeaux, 24 novembre 1915) et son époux Victor Dorlet (23 décembre 1858 – 3 juin 1918), et donc nièce du Dr Emile Bitôt, épousa le banquier Jules Guérin (Bordeaux, 24 mai 1876 – ?), le commanditaire de la Villa Kypris, au Moulleau, dessinée par l’architecte Roger-Henri Expert (Arcachon, 18 avril 1882 – Cérons, 13 avril 1955), et  qui a servi d’inspiration pour la Villa Téthys au Pyla ;

c’est lui, donc, le Dr Emile Bitôt qui a « découvert«  Arcachon, et s’y est installé pour des vacances, à la Villa (ou Chalet) Servantie, en bord de plage, à l’angle des actuels Boulevard de l’Océan et Avenue Sainte-Marie ; Manet y séjourna au mois de mars 1871 et y réalisa quelques belles toiles… _,

la troisième de cette fratrie Bitôt, Valentine Bitôt (Bordeaux, 4 juin 1852 – Bordeaux, 1931),

épouse _ mais j’ignore jusqu’ici en quel lieu et à quelle date eut lieu ce mariage de Valentine Bitôt et Alfred Lourreyt : probablement à Bordeaux, où résidaient les parents Pierre-Anselme et Catherine-Pauline Bitôt de la mariée, Valentine Bitôt ; le domicile mortuaire d’Alfred Lourrey, où il décède le 5 janvier 1914, et qui se situe à Bordeaux 5 Cours Tourny, est celui de son gendre médecin André Venot (Bordeaux, 31 mai 1869 – Bordeaux, juin 1923), le mari, en octobre 1901, de la fille aînée d’Alfred Lourreyt, Charlotte Lourreyt ;

je relève aussi le fait qu’a lieu à Bordeaux, à l’église Sainte-Eulalie, le 20 novembre 1891, la cérémonie des obsèques de Madame Veuve Augustine Lourreyt (dont la maison mortuaire se situe 14 rue du Hâ, à Bordeaux ; à ce qui sera aussi le domicile mortuaire de son fils cadet, Paul-Louis-Joseph Lourreyt (clerc de notaire, puis suppléant de Me Régis) , qui décèdera là, à Bordeaux, le 13 janvier 1924, à l’âge de 63 ans, comme il est mentionné dans l’état-civil du journal La Peite Gironde de ce jour…) ; une cérémonie à laquelle assistent ses deux fils, sa belle-fille et ses trois petites filles : M. Alfred et Mme née Valentine Bitôt Lourreyt et leurs enfants Charlotte, Pauline et Marie-Amélie Lourreyt, ainsi que  M. Paul Lourreyt, demeuré célibataire ;

or la généalogie publiée par Raphaël Vialard assigne comme parents à Alfred Lourreyt (La Guerche-sur-L’Aubois, 31 août 1855 – Bordeaux, 5 janvier 1941) Jean-Baptiste-Charles Lourreyt (Figeac, 26 octobre 1812 – ?) et son épouse, à La Guerche-sur-L’Aubois, le 12 janvier 1853, Charlotte Ménétrier (Charenton-le Pont, 21 mars 1831 – ?) :

je suppose donc que cette Mme Veuve Augustine Lourreyt, mère des frères Alfred (La Guerche-sur-L’Aubois, 31 août 1855 – Bordeaux, 5 janvier 1914) et Paul Lourreyt (né en 1860 et qui décèdera le 13 janvier 1924, à l’âge de 63 ans) ; dont les obsèques ont lieu le 20 novembre 1871 à l’église Sainte-Eulalie à Bordeaux,

et Charlotte Ménétrier, épouse de Jean-Baptiste-Charles Lourreyt, à La Guerche-sur-l’Aubois le 12 janvier 1853, sont une seule et même personne… Fin de l’incise. _

d’Alfred Lourreyt (La-Guerche-sur-L’Aubois, Cher, 31 août 1855 – Bordeaux, 5 janvier 1914), qui sera _ au moins à partir de 1895 (le 7 novembre 1895, « notaire à Dax« , il est élu membre titulaire de la dacquoise Société de Borda), et  jusqu’à la fin de l’année 1913, tombant alors très gravement malade ; en 1914 lui succèdera comme notaire Jules Bouvet _ notaire à Dax,

sera la mère de 3 filles Lourreyt :

Charlotte-Marie-Josèphe Lourreyt (née en 1882 ?), qui épousera à Dax le 25 novembre 1901 Jean-Baptiste-Jacques-André Venot, Professeur de Médecine (né à Bordeaux le 31 mai 1869 et qui décédera à Bordeaux en Juin 1923),

Pauline Lourreyt, qui épousera à Dax le 27 février 1905 le parisien Raoul Gallié _ petit-fils de Madame Louis Gras _,

et Marie-Amélie Lourreyt, qui épousera à  Dax le 1er août 1910 George-A.-Laurent Droin (Paris, 4 avril 1885 – 22 avril 1943), d’abord avocat, puis administrateur de sociétés, le commanditaire de la très belle Villa Téthys du 14 de l’Avenue de la Plage, au Pyla-sur-Mer ;

dont Marie-Amélie aura 5 enfants Droin _ ou 6 (?), ainsi que le mentionne (à tort ?) la notice nécrologique du 10 mars 1944 de la Société des Amis des Livres.presque un an après le décès, le 22 avril de l’année précédente, de son membre actif Georges Droin… _ ; et pour davantage de précisions sur ces descendances Droin, voir déjà ce qu’en sa détaillée généalogie, nous en présente Raphaël Vialard _ :

Jacques Droin (né avant 1914), qui épousera à Paris le 18 juillet 1935 Nicole Thorel ;

Denise Droin (Bordeaux, 11 avril 1915 – Savennières, 27 décembre 2012), qui épousera Antoine Joly, dont elle aura 2 fils, Eric (né en 1944) et Nicolas Joly (né le 23 août 1945) ;

Philippe Droin (Bordeaux, 4 juin 1918 – Sèvres, 11 novembre 2010), qui épousera Odile Fliche ;

Gilbert Droin, (Paris, 1er mars 1921 ou bien Capbreton 30 août 1922 _ – Paris 8e, 7 mai 2014), qui épousera Nathalie Ciolkovitch, dont il aura 7 enfants, dont Nikita, le cinquième d’entre eux (né à Neuilly-sur-Seine le 9 février 1961) ;

et Roger Droin (? – 10 janvier 1992), époux, à Cestas, le 12 novembre 1939, de Jeanne Beaumartin (Bordeaux 1918 – Bordeaux, 4 juin 2010) _ sur eux aussi, et leur importante descendance, j’avais mené des recherches qu’il me faudra retrouver. Olivier-Georges Droin (Talence, 17 mai 1941 – Bordeaux, 11 août 2018  _ cf mon article du 16 aoît 2018 : « «  _ était leur fils aîné…

C’est donc via deux frères Leuret, Bugène et François,

et deux sœurs Bitôt, Valentine et Thérèse-Marie,

qu’existe ce lien indirect de parenté entre Raphaël Vialard, de la serpentine et ombragée Avenue de l’Eden,

et les Droin, dont Nikita Droin _ mais aussi ses cousins Eric et Nicolas Joly _ , de la sublime Villa Téthys de la rectiligne Avenue de la Plage, au Pyla-sur-Mer…

À compléter, bien entendu, encore _ la joie de rechercher ne connaît pas la satiété…

Et à ceux seuls qui cherchent advient, de temps en temps, la joie de découvrir un peu…

Ce dimanche 18 septembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le vif goût de l’Ecosse et le tropisme « Stuart » d’Elizabeth II (descendante, par son père le roi d’Angleterre George VI, de la reine d’Ecosse Marie Stuart), et aussi de sa mère écossaise, Elizabeth Bowes-Lyon : le choix de prénoms « écossais » et de prénoms « Stuart » ; et la décision du roi Charles III d’assumer ce prénom comme roi…

11sept

Le décès à Balmoral de la reine Elizabeth II (Londres, 20 avril 1926 – Balmoral, 8 septembre 2022) ainsi que les diverses cérémonies liées à ses prochaines obsèques, le 19 septembre prochain, et à l’avènement de son fils le roi Charles III (né à Londres, le 14 novembre 1948),

me font me ressouvenir

d’une part de l’ascendance généalogique paternelle _ George VI, Londres, 14 novembre 1895 – Londres, 6 mars 1952 _ d’Elizabeth II _ Elisabeth descend ainsi de la Reine d’Écosse Marie Stuart (Linlithgow, 14 décembre 1542 – Fotheringhay, 8 février 1587) à la 13e génération… _,

et d’autre part du très solide ancrage écossais de la famille de sa mère, née Elizabeth Bowes-Lyon (Londres, 4 août 1900 – Londres, 20 mars 2002) _ même si le château de Balmoral, lui-même, a été une acquisition de la reine Victoria (Londres, 24 mai 1819 – Île de Wight, 22 janvier 1901), en 1848…

Si l’on remonte dans l’ascendance paternelle d’Elizabeth II jusqu’à la treizième génération en amont de celle-ci (Elizabeth II : 20 avril 1926 – 8 septembre 2022),

voici ce que cela donne :

_ 1) George VI (14 décembre 1895 – 6 février 1952) – Elizabeth Bowes-Lyon (4 août 1900 – 30 mars 2002)

_ 2) George V (3 juin 1865 – 20 janvier 1936) -Mary de Teck (26 mai 1867 – 24 mars 1963)

_ 3) Edouard VII (9 novembre 1841 – 6 mai 1910) – Alexandra de Danemark (1er décembre 1844 – 20 novembre 1925)

_ 4) Victoria I (24 mai 1819 – 22 janvier 1901) – Albert de Saxe-Cobourg (24 août 1819 – 14 décembre 1861)

_ 5) Edouard Auguste Kent et Strathearn (2 novembre 1767 -23 novembre 1820) – Victoria de Saxe-Cobourg (17 août 1786 – 16 mars 1861)

_ 6) George III (4 juin 1738 – 29 janvier 1820) – Sophie de Mecklembourg-Strelitz (19 mai 1744 – 11 novembre 1818)

_ 7) Frédéric-Louis de Hanovre (20 janvier 1707 – 20 mars 1751) – Augusta de Saxe-Gotha-Altenbourg (30 novembre 1719 – 8 février 1772)

_ 8) George II (30 octobre 1683 – 25 octobre 1760) – Caroline de Brandenbourg-Ansbach (1er mars 1683 – 20 novembre 1737)

_ 9) George I (28 mai 1660 – 11 juin 1727) – Sophie-Dorothée de Brunswick-Lunebourg (10 septembre 1666 – 13 novembre 1726)

_ 10) Sophie de Hanovre (13 octobre 1630 – 8 juin 1714) – Ernest-Auguste de Hanovre (1629 – 1698)

_ 11) Elisabeth d’Angleterre (19 août 1596 – 13 février 1662) – Frédéric V du Palatinat (26 août 1596 – 29 novembre 1632)

_ 12) Jacques VI d’Ecosse et Jacques I d’Angleterre (19 juin 1566 – 27 mars 1625) – Anne de Danemark (14 octobre 1574 – 4 mars 1619)

_ 13) Marie Stuart d’Ecosse (14 décembre 1542 – 8 février 1587) – Henry Darnley Stuart (7 décembre 1545 – 10 février 1567)

Quant à la mère d’Elizabeth II, Elizabeth Bowes-Lyon (Londres, 4 août 1900 – Windsor, 20 mars 2002),

elle est la descendante, à la 11e génération, et en ligne directe paternelle uniquement _ en remontant les générations à partir de son père Claude-George Bowes-Lyon (1855 – 1944) _

de John Lyon, 8e Lord Glamis (décédé en 1578), et puis son fils Patrick Lyon, 1er Earl of Kingshorne (1575 – 1615) :

_ 1) Claude-George Bowes-Lyon, Earl of Strathmore and Kinghorn (Londres, Belgravia, 14 mars 1855 – Glamis, Angus, 7 novembre 1944)

_ 2) Claude Bowes-Lyon, Earl of Strathmore and Kinghorn (Redbourn, Hertfordshire, 21 juillet 1824 – Bordighera, 16 février 1904)

_ 3) Thomas-George Lyon-Bowes, Lord of Glamis (6 février 1801 – 27 janvier 1834)

_ 4) Thomas Lyon-Bowes, 11e Earl of Strathmore and Kinghorn (3 mai 1773 – 27 août 1846)

_ 5) John Bowes, 9e Earl of Strathmore and Kinghorn (17 juillet 1737 – 7 mars 1776)

_ 6) Thomas Lyon, 8e Earl of Strathmore and Kinghorn (6 juillet 1704 – 18 janvier 1753)

_ 7) John Lyon 4e Earl of Strathmore and Kinghorn (8 mai 1663 – 24 avril 1712)

_ 8) Patrick Lyon 3e Earl of Strathmore and Kinghorn (Castle Lyon, Ecosse, 29 mai 1643 – 15 mai 1695)

_ 9) John Lyon, 2d Earl of Strathmore and Kinghorn

_ 10) Patrick Lyon, 1er Earl of Kingshorn (1575 – 1615)

_ 11) John Lyon, 8e Lord Glamis (décédé en 1578)

Ces préambules nécessaires posés,

j’en viens à la question qui m’interroge et fait l’objet de la recherche à mener en cet article-ci :

le choix de la princesse, puis reine Elisabeth, des prénoms « Stuart » ainsi qu' »écossais« , dirai-je, de ses enfants Charles _ Charles, Philippe, Arthur, Georges, né le 4 novembre 1948 _, Anne _ Anne, Elizabeth, Alice, Louise, née le 15 août 1950 _ et Andrew _ Andrew, Albert, Christian, Edouard, né le 19 février 1960 : Andrew est un prénom tout à fait écossais ! _ ; le quatrième et dernier enfant, Edouard _ Edouard, Anthony, Richard, Louis, né le 10 mars 1964 _, ne portant pas, lui, de prénom « Stuart« , ni « écossais« … ;

ainsi que le choix du prince de Galles Charles _ baptisé Charles Philippe Arthur George le 15 décembre 1948 au Palais de Buckingham _, devenant roi, d’assumer, devenu roi, son premier prénom, puis prénom usuel _ Charles _ en accédant au trône sous le nom de « Charles III« , en dépit d’une malédiction qui pourrait avoir accompagné les rois Stuart Charles Ier (1600 – 1649), le roi décapité par Cromwell, et Charles II, (1630 – 1685), demeuré sans descendance légitime, ayant porté ce prénom de Charles…

 Il semble que le goût de ce prénom Charles dans la dynastie des Stuart

provienne du choix initial de Marie Stuart (1542 – 1587), en 1666, de donner pour parrain, lors du baptême le 17 décembre 1566 de son fils Jacques _ Charles étant son second prénom… _ VI d’Écosse (1566 – 1625) _ et futur Jacques Ier  d’Angleterre : né à Edimbourg  le 19 juin 1566, celui-ci était fils de la reine d’Écosse Marie Stuart (Linlithgow, 8 décembre 1542 – Fotheringhay, 8 février 1587) et son second époux Henry Darnley Stuart (7 décembre 1545 – 10 février 1567) _, le roi de France Charles IX (Saint-Germain-en-Laye, 27 juin 1550 – Vincennes, 30 mai 1574).

On se souvient en effet que par sa mère Marie de Guise (Bar-le-Duc, 22 novembre 1515 – Edimbourg, 11 juin 1560), veuve cinq jours seulement après la naissance de Marie, de son époux le roi d’Écosse Jacques V (Linlithgow, 10 avril 1512 – Falkland Palace, 14 décembre 1542), et dès lors reine consort d’Écosse,

Marie Stuart était liée à la Lorraine et à la France,

mais aussi et surtout elle y était sentimentalement attachée du fait de son long séjour de treize années en France, d’août 1548 à août 1561, d’abord en tant que promise au Dauphin François (1544 – 1560) _ fils de Henri II et son épouse Catherine de Médicis _, qu’elle épousera le 24 avril 1558, puis qu’elle fut reine de France au décès, le 10 juillet 1559 de son beau-père le roi Henri II (1519 – 1559), jusqu’au décès de son époux François _ devenu le 10 Juillet 1559 le roi François II _ le 5 décembre 1560.

Marie Stuart, veuve et retournant en Écosse, dira adieu à la France le 14 août 1561 en s’embarquant à Calais.

Mais la pensée de la France n’a pas quitté le cœur de Marie Stuart.

D’où son choix de donner pour parrain, lors du baptème de son fils Jacques _ dont le second prénom va être, et c’est à remarquer, Charles… _, à Stirling, le 17 décembre 1566, son beau-frère le roi de France Charles IX (1550 – 1574) :

voilà la probable principale raison pour laquelle le prénom de Charles va devenir un prénom bien-aimé des successifs rois Stuart : le fils de Marie Stuart Jacques Ier (1566 – 1625), et puis son petits-fils Charles Ier (1600 – 1649) et les fils de celui-ci, les rois Charles II (1630 – 1685) et son frère et héritier Jacques II (1633 – 1701) ;

mais encore, selon l’hypothèse que j’avance ici, également de ces plus lointains descendants de Marie Stuart _ ce fait n’est guère repéré ni a fortiori mentionné des journalistes et pseudo-historiens en permanence présentement sur les chaînes d’information en continu… _ que sont la reine Elisabeth II (1926 – 2022) et son fils Charles III (né le 14 novembre 1948 _ et baptisé Charles Philippe Arthur George _)… 

Ce n’est donc probablement pas pour rien que la reine Elizabeth était si viscéralement attachée à son domaine familial _ depuis l’achat de la propriété en 1848 par son ancêtre, côté paternel, la reine Victoria (1819 – 1901) _ de Balmoral, et plus généralement à l’Écosse _ de fait un merveilleux pays que j’ai pu parcourir en ma jeunesse _, le pays, aussi, de ses ancêtres maternels les Bowes-Lyon ;

ni peut-être, même, qu’elle ait aspiré y rendre, plutôt qu’à Londres ou en Angleterre, son dernier souffle…

À côté du prénom « écossais » d’Andrew,

les prénoms que je me permets de qualifier de « Stuart » _ donnés par les Stuart à leurs enfants au moins à partir de Marie Stuart (1542 – 1587) _, sont les suivants :

Charles _ d’après le roi de France Charles IX, et porté le plus fréquemment dans la famille des Stuart descendants de Marie Stuart_,

Jacques _ prénom « écossais« , porté par 6 précédents rois d’Écosse… _,

Anne,

Marie,

Henry,

Henriette,

Elizabeth,

Catherine… 

Une hypothèse parmi d’autres,

intéressante surtout pour ce qui concerne les enfants actuels d’Élisabeth II

dont son fils aîné le roi Charles III

qui semble, à son tour, après sa mère, laisser lui aussi apparaître un certain tropisme « écossais » _ que, pour avoir parcouru les contrées écossaises, je comprends…

Ce dimanche 11 septembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour à la famille du luzien Charles Gaudin (1841 – 1897) et son épouse haspandar Louisa Schlaegel (1850 – 1929)

17fév

Suite à un coup de fil d’une de leurs descendantes,

je reviens à la famille mi-luzienne, mi-haspandar, de Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, le 12 septembre 1841 – Saint-Jean-de-Luz, 9 novembre 1897)

et son épouse _ ils se sont mariés à Hasparren le 30 septembre 1874 _ Louisa Schlaegel (Hasparren, 28 janvier  1850 – Hasparren, 19 août 1929) _ ils ont eu sept enfants ; et Louisa, remarquable pianiste, possédait 9 pianos…

J’ai commencé par adresser à ma charmante correspondante téléphonique les liens suivants à d’anciens articles pouvant l’intéresser,

et susceptibles de former une base pour d’ultérieures recherches concernant les cousinages cibouro-luziens _ côté Hiriart-Gaudin _ de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917) et son fils Maurice Ravel (Ciboure, 7  mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) :

À suivre !!!

Ce jeudi 17 février 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Relecture-révision de l’article du 28 décembre 2020 : « L’apparentement des Ducos du Hauron d’Algérie avec les Gadel, par plusieurs dames Rey : Marie-Eugénie-Hortense, Aimée-Laurence, et Marie-Louise »

30nov

Voici les résultats, corrections et ajouts, de ma relecture de l’article du 28 décembre 2020 :

Le long temps passé sur les données disparates, telles qu’au fur et à mesure, elles sont devenues, et une par une, accessibles sur le web, des parentés familiales des Ducos du Hauron d’Algérie et des Gadel au cours des quatre premières décennies du XXe siècle, à la recherche de la pièce de ce puzzle qui les connecterait enfin très effectivement, m’a permis de découvrir avec assez de probabilité de vérité, ce lien qui, jusqu’à présent, n’était jamais apparu, encore, avec l’éclat d’une entière clarté d’évidence parfaite de parenté.

Ce lien concerne, pour commencer, et en prémices, la présence suivie, mais toujours particulièrement discrète _ chaque fois isolée de son propre contexte familial spécifiquement Rey ; ce qui accentuait ma difficulté… _, de plusieurs dames née Rey, successives, parmi deux familles : celle de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, d’une part, et celle de la famille provençale des Gadel, d’autre part :

soit 1) Marie-Eugénie-Hortense Rey, première épouse _ leur mariage a eu lieu au Grand-Serre (Drôme) le 6 avril 1867 _ de Victor-Alexandre-Philémon Gadel, et mère de ses enfants

_ Marie-Eugénie-Hortense Rey est née au Grand-Serre le 21 mars 1848 ; et décèdera au Grand-Serre le 9 septembre 1880 ;

et Victor-Alexandre-Philémon Gadel est né à Tarascon, le 12 octobre 1835 ; et décèdera à Marseille le 27 septembre 1927 _,

2) Aimée-Laurence Rey, épouse _ à Orléansville, le 11 mars 1905 _, puis veuve _ à Alger, le 30 mars 1930 _, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ;

et enfin 3) Marie-Louise Rey _ née, mais j’ignore où, en 1879 : sans plus de précision… _, épouse _ mais j’ignore toujours précisément où et quand… _, de Marie-Louis-Amédée Ducos du Hauron _ et non pas son frère Henri-Amédée-Lionel (Agen, 9 février 1866 – Agen, 11 juillet 1866).

Il est aussi plus que probable, mais manquent pour le moment les preuves formelles absolument décisives, qu’existent des liens de parenté proprement et directement Rey _ mais lesquels ? Je vais bientôt le découvrir… _ entre ces trois dames, toutes trois en effet nées Rey.

C’est là le principal résultat, et en dépit des lacunes _ et des flous _ qui demeurent encore au sein de la généalogie des Ducos d’Algérie que je suis parvenu à, tant bien que mal, à peu près reconstituer _ alors que, cependant, demeurent, et je dois y insister, de très importantes lacunes ! _, en ces récentes journées passées à défricher et déchiffrer de multiples données, éparses, que j’ai essayé d’abouter le plus justement possible les unes aux autres ;

c’est-à-dire avec le plus possible de vraissemblance et probabilité de justesse, en dépit de ces « taches aveugles » qui continuent, faute de disposer enfin de preuves décisives de la nature de ces liens, qui continuent de résister à mes efforts d’enquête…

En tout cas, là se trouve la raison qui fait qu’en quelques faire-part de décès de certains des Gadel, figurent des Ducos du Hauron ; comme en certains des décès des Ducos du Hauron, figurent également des Gadel.

Voilà qui finit par mettre la puce à l’oreille…

Et c’est précisément là que finit par éclater au regard la réalité de l’apparentement effectif de ces deux familles, dans la première moitié du XXe siècle, et en Algérie.

Ce lundi 28 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les apports à mon article en date du 28 décembre 2020, concernent donc la découverte des lieux _ tous au Grand-Serre, là même où elle est née le 21 mars 1848 _ et dates et du mariage (le 6 juin 1867) et du décès (le 9 septembre 1880) de Marie-Eugénie-Hortense Rey,

la mère de Victor-Nicolas Benjamin Gadel, le futur époux d’Aimée Laurence Rey ;

et par là futur beau-frère de Marie-Louise Rey et son époux Amédée Ducos du Hauron…

Et le 27 mai 1877,

toujours au Grand-Serre, au domicile des grands-parents maternels, Jean-François-Régis (dit Benjamin) Rey (né au Grand-Serre le 8 décembre 1816 ; et qui décèdera, chez lui, au Grand-Serre, le 11 juillet 1880), et son épouse, puis veuve, Eugénie-Catherine-Louise Sibert,

naîtra le 27 mai 1877 Jeanne-Marie-Louise-Adélaïde Gadel, une petite sœur de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand-Serre, 8 juillet 1872, et qui décèdera à Alger le 30 mars 1830) ; l’époux à Orléansville, le 11 mars 1905, de sa cousine Aimée-Laurence Rey ; elle-même fille de l’oncle maternel de l’enfant, Jean-Anatole-Firmin Rey (né au Grand-Serre le 10 juin 1845, époux de l’orléansvillaise Adélaïde Gentet ; et qui décèdera à Oran le 28 janvier 1890)…

Aimée-Laurence Rey, future épouse de son cousin Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, étant la sœur cadette de Marie-Louise Rey, née _ toujours hélas sans plus de précisions… _ en 1879, à Orléansville, et qui épousera Amédée Ducos du Hauron _ probablement à Orléansville ; et peut-être le 21 janvier 1897 ; cf la présence ce jour-là à Orléansville de Gaston Ducos du Hauron (au mariage de son frère Amédée ?) mentionnée sur son livret militaire

J’ignore le lieu et la date de naissance d’Aimée-Laurence Rey, mais elle est probablement née, comme sa sœur Marie-Louise, à Orléansville,

où ont été domiciliés leurs parents jusqu’à leur départ, le 22 septembre 1883 _ mentionné sur le livret militaire de Jean-Anatole Rey _ pour Oran (où tous deux décéderont prématurément : Adélaïde Gentet, à l’âge de 31 ans, le le 5 juilet 1886 ; et Jean-Anatole Rey, à l’âge de 45 ans, le 28 janvier 1890.

Et comme je n’ai pas trouvé mention de l’éventuelle naissance à Oran au cours des années 1883 à 1886 d’Aimée-Laurence Rey, je suppose que celle-ci est probablement née, entre 1879, l’année de la naissance de sa sœur aînée Marie-Louise, et le 22 septembre 1883 _ la date du décès de leur mère Adélaïde Gentet _, et à Orléansville, comme sa sœur aînée Marie-Louise en 1879…

Voilà pour les apports à la connaissance de ce que j’avais appris et rédigé à la date du 28 décembre 2020…

Ce mardi 30 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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