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Quelques retouches-appoints à un article du 26 février 2021 sur un point que j’y faisais alors à propos de mes recherches sur les familles Bonopéra et Morand de La Genevraye d’Orléansville, en leur alliance, via les Gentet, Rey, Confex, Wachter, à la branche algéroise-algérienne d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey…

27fév

Les coups de fil reçus le 1er février dernier de MM. Matthias et Georges Bonopéra, fils et père, m’ont remis sur le chantier de mes recherches à propos des familles, alliées entre elles, d’Orléansville, entre 1850 et 1940, dans l’entourage immédiat d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ le neveu algérois de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen , 31 août 1920), l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs«  _, et son épouse orléansvillaise Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933)_ j’ai tout récemment appris que le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey avait eu lieu à Orléansville le 10 juin 1896 _ ;

et plus spécialement à propos de la famille Bonopéra, dont le nom de « Bonopéra » apparaît dans le faire-part du décès, publié par L’Écho d’Alger du 2 janvier 1930, d’Eveline Ducos du Hauron _ là encore, c’est tout récemment que j’ai découvert que Marie-Aimée-Eveline Ducos du Hauron était née à Orléansville  au mois de mars 1898,  entre le 24 et le 30… _, l’épouse de Henri Ducros, et la fille aînée d’Amédée et Marie Louise…

« Monsieur Henri Ducros, administrateur adjoint à Dupleix, ainsi que ses enfants ;

MM. Ducos du Hauron, Gérard et Roger ;

Mme Jacquet ;

Mme Vve Gadel et ses enfants ;

les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,

vous font part du décès de leur chère et regrettée

Madame Henri DUCROS née Éveline DUCOS DU HAURON.

Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939 »

Ou plutôt, et c’est très important, le nom « Bonopéra » n’y apparait, pour la première fois, pas !

Alors que figurait jusqu’alors, sinon nommément « Mme Vve Paul Bonopéra« , du moins le nom générique de la famille « Bonopéra » dans les divers faire-part des familles auxquelles celle-ci était au moins alliée.

On pourrait en déduire que c’est entre ces dates des deux avis de décès, celle du 8 octobre 1935, pour le faire-part du décès de Georges Morand de La Genevraye,  et celle du 2 janvier 1939, pour le faire-part du décès d’Eveline Ducos du Hauron, qu’est probablement décédée, à Orléansville, cette « Madame Veuve Paul Bonopèra mère« …

Ainsi en est-il des divers faire-part de la famille Gadel, à laquelle appartient, depuis son mariage à Orléansville le 11 mars 1905, avec Victor Gadel, la sœur cadette de Marie-Louise Ducos du Hauron, née Rey : Aimée-Laurence Rey, devenue depuis le décès de son époux M. Victor Gadel à Alger le 30 mars 1930, « Mme Vve Gadel » ;

tel, par exemple, ce faire-part de décès-ci, paru dans l’Echo d’Alger le 31 mars 1930 :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

Ou encore, et bien sûr surtout, les faire-part de décès de la famille Morand de La Genevraye,

dont les descendants avaient pour ancêtre direct, cette fois, Marguerite Bonopéra _ l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye, maire d’Orléansville à l’heure de son décès le 25 mai 1904, à Orléansville _la mère des 7 enfants du couple qu’elle formait avec Auguste Morand de La Genevraye : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et enfin Georges Morand de La Genevraye

_ cf mon article «  » du 23 février 2021, dans lequel je mentionne que c’est un long échange téléphonique, entre 16h 44 et 17h 34, le dimanche 21 février 2021, avec Madame Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, qui m’a énoncé la liste complète de ces 7 enfants d’Auguste Morand de la Genevraye et Marguerite Bonopéra ; dont elle-même, Françoise Pons, née Morand de La Genevraye à Alger en 1940, est la descendante directe : Françoise Pons, née Morand de La Genevraye, est en effet arrière-petite-fille de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genecraye, via son père Robert-Auguste Morand de La Genevraye, né à Blida entre le 29 février et le 9 mars  1915 (et époux d’Odette Gallais) ; et son grand-père Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 (et époux de Clémence Orgeret) : le sixième des 7 enfants de Marguerite et Auguste (et j’ignore la date du décès, peut-être à Rabelais, où il était propriétaire viticulteur, ainsi que conseiller municipal, de Jules-Charles Morand de La Genevraye : probablement après 1938, d’après des recherches généalogiques de flapalu, dont j’ignore les sources concernant cette famille Morand de La Genevraye)_ :

ainsi en 1935, lors du décès du dernier né de ce couple _ de Marguerite Bonopéra et Auguste Morand de La Genevraye _, Georges Morand de La Genevraye, à Orléansville, le 7 octobre 1935,

si « Mme Vve Paul Bonopéra«  _ née Confex _ figure en bonne place sur le faire-part de décès du défunt,

c’est en tant que tante par alliance de celui-ci : en effet le défunt mari de celle-ci _ née Confex _, Paul Bonopéra (né à Miliana le 10 janvier 1856), était rien moins que le frère cadet de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1859), la mère de ce défunt Georges Morand de La Genevraye (qui était né à Orléansville le 21 février 1888)…

Et c’est sur cette piste prometteuse de la recherche de l’identité précise de cette « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex _ Paul Bonopéra, son époux était donc né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville, 16 janvier 2016 _, apparentée _ via sa nièce « Mme Vve Louis Gentet » née Wachter, elle-même fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont le 5 février 1827) et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (née à Marseille le 28 décembre 1836, et décédée à Alger le 30 mars 1925 : cette « Mme Vve Wachter » née Confex, sœur de « Mme Vve Paul Bonopéra » née Confex) _ aux Rey-Gentet-Ducos du Hauron,

que je ne tardais pas à me pencher très bientôt aussi, cette fin du mois de février 2021, sur la famille orléansvillaise des Morand de La Genevray,

parce qu’il se trouve très précisément, et pardon si j’y insiste encore ici, que la sœur aînée de ce Paul Bonopéra, Marguerite Bonopéra, née à Miliana le 22 janvier 1849 _ et décédée très probablement à Orléansville entre 1892 et 1901, d’après ce que révèle la lecture des livrets militaires de 1892 et 1901 de deux de leurs deux fils : Alphonse-Jean Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 7 juin 1872, et Jules-Charles Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1881 ; le dernier né de leurs 7 enfants, étant ce Georges Morand de La Genevraye, né à Orléansville le 17 juin 1888, qui est décédé .à Orléansville le 7 octobre 1935… _, se révélait être l’épouse d’Auguste-Frédéric-Marie Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), et la mère de leurs 7 enfants : Augustine, Angèle, Alphonse-Jean, Jocelyne, Auguste-Michel, Jules-Charles et Georges Morand de La Genevraye…

Voici donc,

avec l’appoint-enrichissement de plusieurs retouches en fonction de quelques unes de mes récentes découvertes _ cf mes articles « « ,

«  »

et « «  des 18, 20 et 21 février derniers  _,

la reprise, avec ajouts, de cet article déjà crucial pour ma recherche généalogique de la descendance d’Amédée Ducos du Hauron et des familles alliées à la famille de son épouse Marie-Louise Rey _ dont la mère était l’orléansvillaise de vieille souche Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886), et le tuteur, après le décès du père de Marie-Louise, Anatole Rey, à Oran le 28 janvier 1890, était son oncle maternel orléansvillais Louis Gentet (Orléansville, 12 décembre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)… _,

un article en date, donc, du 26 février 2021 :  « « 


Et à suivre, bien sûr,

Ce mardi 27 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Revenir se pencher sur les liens entre les Ducos du Hauron de la branche algérienne, à partir d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey, et les Bonopéra d’Orléansville…

04fév

Suite à deux merveilleux coups de fil jeudi dernier 1er février de deux membres _ fils (né à Paris le 17 mars 1977,) et père (né à Orléanville le 9 mars 1950)… _ de la famille Bonopéra qui ont réussi à capter certains de mes articles du blog « En cherchant bien »  _ alors que le lien à ce blog a disparu du site de la Librairie Mollat, et cela ans que j’en sois informé, et que m’en aperçoive aussitôt… ; mais mon blog, bien sût, se poursuit, et quotidiennement !!! Et j’adresse mes articles à qui je pense pouvoir s’y intéresser, et le dialogue avec eux se poursuit… _, en faisant des recherches, simplement via Google, sur leur famille Bonopéra, et qui ont pris sur eux de me téléphoner, à Bordeaux,

Et suite à mes 2 très récentes reprises, le 1er et le 2 février 2024 derniers, corrigées et augmentées, de 2 précédents articles « « 

et « « 

d’articles en date, donc, des 4 mai 2021 et 16 février 2021,

je me suis décidé à prendre le taureau par les cornes, en tâchant de répondre un peu précisément à la question posée, le lendemain de notre contacr téléphonique, qui est la suivante :

_ « Je crois avoir compris que le lien familial _ des Bonopéra d’Orléansville _ avec M. _ Louis _ Ducos du Hauron _ (Langon, 1837 – Agen, 1920) le génial inventeur de la « photographie de couleurs« , à Lectoure (Gers) en 1868 _ se ferait, d’après vos recherches passionnantes, à partir de la sœur de Paul Bonopera père (et père d’Auguste, lui-même père de mon grand-père René), à savoir Marguerite _ Bonopéra, épouse d’Auguste Morand de La Genevraye _), et concernerait les fils du frère _ Alcide _ de Louis Ducos Du Hauron, notamment Amédée ? Ai-je bien compris ? _ oui, parfaitement ! Et alors, de quelle nature serait cette parenté entre les deux familles ? »…

Et c’est bien sûr là une très pertinente question !

Voici donc mon début de réponse et précisions :

Messieurs et chers amis,

voici d’une part mon article du 1er mars 2021 «  » 
qui pointe ma découverte de l’articulation entre
d’une part mes recherches de la généalogie algérienne des Ducos des Hauron, à partir d’Amédée Ducos du Hauron (Agen 29 mars 1867 – Alger 15 juillet 1935),
_ fils d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 30 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et neveu de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), l’inventeur de la photographie de couleurs à Lectoure en 1868 _
et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933)
_ fille de Jean-Anatole-Firmin Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845  – Oran, 28 janvier 1890)  et son épouse Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) _ ;
et d’autre part ma découverte des liens (indirects : par alliances de collatéraux, via 2 dames Confex ou issues de Confex, l’une, née Confex _ Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1838  – Alger, 30 mars 1925) _, et épouse et veuve (en 1916) de Paul Bonopéra, et l’autre, née Wachter mais de mère Confex _ sa mère est cette même Élisabeth Confex… _, épouse et veuve (en 1906) de Louis Gentet…) de ces Ducos du Hauron d’Algérie, via Marie-Louise Rey, épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
avec votre famille des Bonopéra d’Orléansville
_ Orléansville où la famille de Paul Bonopéra s’est installée vers 1902-1903, en provenance du village de Rabelais, mais la sœur aînée de Paul, Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849), et épouse d’Auguste Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), résidait déjà depuis longtemps à Orléansville ; et son mari était à son décès, le 25 mai 1904, maire d’Orléansville ; cf mon article du 10 février 2021«  » 
Amédée Ducos du Hauron ayant rencontré puis épousé Marie-Louise Rey à Orléansville, où il se trouvait en poste dans l’administration,
une ville qu’il quitte de son poste de rédacteur à la sous-préfecture (d’Orléansville) le 31 janvier 1901, pour un poste d’administrateur « adjoint » à la commune mixte de L’Ouarsenis ;
mais le livret militaire d’Amédée indique bien qu’il résidait déjà à Orléansville à la date du 18 avril 1895
_ et sur la carrière administrative en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron est aussi intéressant et significatif mon article du 2 décembre 2021«  »
Voici, ensuite, un précieux et très émouvant document (rédigé par son grand-père Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992), instituteur de profession) que m’a adressé le 7 mars 2021 la niçoise Cécile Bonopéra :
concernant la généalogie de ses ancêtres Bonopéra
Celle que les documents après 1916 nomment « Mme Vve Paul Bonopéra »,
puis,
après le 3 novembre 1830, au décès du second fils, Paul Bonopéra – junior (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930), le fils de son mari Paul Bonopéra-senior et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892),
« Mme Vve Paul Bonopéra – mère »,
est en réalité la 3ème épouse (et veuve) de Paul Bonopéra – senior, décédé à Orléansville le 18 janvier 1916 ; 

et non pas la mère des 6 fils (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges, nés respectivement en 1877, 1878, 1881, 1883, 1887 et 1892),
qui est Joséphine Girot (ou Giraud), née à Ténès en 1856 et décédée à Orléansville le 11 juillet 1892.
Cette veuve de Paul Bonopéra – senior est en effet née Confex
_ cf mon article du 1er novembre 2021 : «  » ; la Vve Bonopéra (à partir du 18 juillet 1916) née Confex, et la Vve Gentet (à partir du 9 août 1906) née Wachter _ ;
de même que se trouve être une des filles d’Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et de son époux (leur mariage a eu lieu à Mustapha, le 26 mai 1857) Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – en Algérie , ?), celle qui, née donc Wachter, est l’épouse (et la veuve à, partir du 9 août 1906) de Louis Gentet, le presque beau-père d’Amédée Ducos du Hauron, 
_ cf ce même passionnant article du 1er novembre 2021,
C’est ce Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906), donc, qui se trouve être le tuteur légal et effectif , depuis le 28 janvier 1890, des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey de sa sœur Adélaïde Gentet (née à Orléansville en 1855 et décédée à Oran le 5 juillet 1886) et de son beau-frère Anatole Rey (né au Grand-Serre le 11 juin 1845, et décédé à Oran le 28 janvier1890) ; et les deux sœurs Rey vivent donc désormais à Orléanville
les 2 sœurs que sont Marie-Louise Rey, future épouse d’Amédée Ducos du Hauron, 
et Aimée-Laurence Rey, future épouse, le 9 mars 1905 à Orléansville, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (né le 8 juillet au Grand-Serre, et qui décèdera à Alger le 30 mars 1930)…
Les Gentet étant citoyens d’Orléansville depuis 1848
 
Et il se trouve que Elisabeth Confex, épouse Wachter, a longtemps vécu à Orléansville, auprès de plusieurs de ses enfants qui y étaient installés ; dont, notamment, Émile Wachter, j’y reviendrai plus tard
Vous me pardonnerez probablement les efforts de lecture que nécessitent ces divers articles,
qui rejoignent mes propres efforts pour, moi-même, me retrouver en leurs connexions entre eux,
issus qu’ils sont, au jour le jour, de ma patiente, longue et lente, mais tenace, recherche, au fil et rebondissements de mes successives découvertes…
Et, en leur rédaction, j’ai toujours privilégié la précision des faits découverts à l’élégance de la rédaction
et à une lisibilité aisée des articles pour les lecteurs.
Dans mon esprit, il s’agit d’abord et avant tout ici d’une patiente et assez ardue recherche,
avec ses aléas, ses pauses ou impasses j’espère bien provisoires,
et surtout ses formidables merveilleuses surprises de découvertes progressives ;
de même que l’incroyable joie de rencontrer des lecteurs qui y trouvent leur désintéressé profit de connaissance de points jusqu’alors ignorés d’eux de leur histoire familiale ;
telles des bouteilles miennes lancées à la mer et ayant miraculeusement trouvé leurs destinataires…
En toute humilité,
Bien à vous deux, Messieurs Bonopéra,
Francis Lippa, à Bordeaux
..
P. s. :
en sachant d’ores et déjà que vous allez pouvoir corriger certaines de mes erreurs (de rédaction), et il y en a ;
et surtout quelques points demeurés jusqu’ici aveugles dans l’effort d’établissement des données généalogiques de votre famille,
comme m’y ont aidé surtout vos cousines et cousins Françoise Pons, Cécile Bonopéra, André Raymond,
ainsi que divers membres, aussi et bien sûr, de la famille Ducos du Hauron…

Début du message réexpédié :
De: CECILE BONOPERA 
Objet: Généalogie des Bonopéra, établie par mon grand-père
Date: 7 mars 2021 à 10:17:57 UTC+1
À: Francis Lippa

 

Bonjour Monsieur,

J’ai retrouvé le document manuscrit de mon grand-père Marcel Bonopéra, établissant la généalogie des Bonopéra. Je ne sais pas comment il l’a établie. Mais vous constaterez que l’identité de la veuve qui vous intrigue y apparaît et semble différer des hypothèses de vos recherches. En tout état de cause, je serai heureuse d’en recevoir le résultat quand vous le jugerez abouti. De la même façon, je me perds dans les liens entre les Bonopéra et les Morand de la Genevray, et vos recherches m’éclaireraient.
Bon Dimanche, très cordialement,
Cécile BONOPÉRA

Généalogie des Bonopéra

1ère génération : 1a Nicolas Louis Bonopéra

                                    1a1 Jacinta Minguella

2e génération :      2a : Juan Dionis Francisco Bonopéea

                                    né en 1814 à Tarragone (Catalogne), décédé 

                                    à Pontéba (près d’Orléansville) en 1876, époux de

                                    2a1 : Marguerite Saura, dcédée à Pontéba en 1876

3e génération :      3a : Marguerite Bonopéra

                                     3b : Paul Bonopéra, né à Miliana le 10-1-1856

                                     décédé à Orléansville le 18-1-1916

                                     3c : Jean Bonopéra,, décédé à Alger

4e génération :      3b : Paul Bonopéra, époux de

                                    3b1 : Joséphine Giraud, née à Ténès, décédée à

                                        Orléansville le 11-7-1892 ; ont eu six enfants :

                                    4a : Jean ; 4b : Paul ; 4c : Alphonse ; 4d : Auguste ;

                                    4e : Julien ; 4 f : Georges.

5e génération :      4b : Paul Bonopéra, né à Pontéba le 13-9-1878,

                                     décédé à Orléansville le 2-11-1930 et

                                    4b1 : Marie, Marguerite, Léonie Cathébras, née 

                                       le 12-1-1881 à Saint Sauveur de Ginestoux (Lozère) ;

                                        ont eu deux enfants :

                                     5a : Pauline Bonopéra, née à Rabelais (Alger)

                                      le 5-6-1905, décédée à Nice le 8-2-1974.

                                      5b : Marcel Bonopéra, né à Renault (Oran) le 10-1-1907.

6e génération :        6a : Paul Jean Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5-5-1933

                                       6b : Jean Pierre Bonopéra, né à Orléansville le 2-11-1934

                                       sont les enfants de Marcel Bonopéra, décédé à Nice le 1-12-1992

                                       et de Odette Sanchez, née à Orléansville le 23-12-1911, décédée à Nice                                   



Le 3 mars 2021 à 08:22, Francis Lippa a écrit :

je viens de rajouter in extenso le faire-part de décès (paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930) de M. Victor Gadel,
le mari de Laurence-Aimée Rey,
la sœur cadette de Marie-Louise Rey et belle sœur d’Amédée Ducos du Hauron ;
sur lequel faire-part 
_ malencontreusement déchiré, d’ailleurs, dans la reproduction de la page du journal accessible : j’ai dû rétablir en rouge les éléments manquants !  _
j’ai pu lire pour la première fois la mention du nom de « Bonopéra »
en un document concernant des membres de la famille Ducos du Hauron :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

À comparer avec le faire-part de décès, plus succinct, de « Madame Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron »,
la fille aînée d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse née Marie-Louise Rey, 
paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939
_ et dans lequel ne figure plus le nom de « Bonopéra » : « Mme Vve Bonopéra » était-elle décédée entretemps ?.. Probablement… _ :
M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ;
MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ;
Mme Jacquet ;
Mme Vve Gadel et ses enfants ;
les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,
vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron.
Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939.
À suivre !
Francis Lippa

 

Voilà pour ce premier éclairage, j’espère un peu utile.
Vous me pardonnerez probablement, j’espère aussi, les efforts de lecture que nécessitent ces divers articles,
qui rejoignent mes propres efforts pour, moi-même le premier, tâcher de me retrouver en leurs complexes et riches connexions entre eux,
issus qu’ils sont, au jour le jour, de ma patiente, longue et lente, mais tenace, recherche, au fil et rebondissements de mes successives découvertes…
Et, en leur rédaction, j’ai toujours privilégié la précision et justesse des faits découverts, à l’élégance de la rédaction
et à une lisibilité aisée, facilitée, des articles pour les lecteurs.
Dans mon esprit, il s’agit d’abord et avant tout ici d’une patiente et assez ardue recherche,
avec ses aléas, ses pauses ou impasses j’espère bien provisoires,
et surtout ses formidables merveilleuses surprises de découvertes progressives ;
de même que l’incroyable joie de rencontrer quelques lecteurs qui y trouvent un désintéressé profit de connaissance de points jusqu’alors ignorés d’eux de leur histoire familiale ;
telles des bouteilles miennes lancées à la mer et ayant miraculeusement trouvé leurs destinataires…
En toute humilité,
Bien à vous deux, Messieurs Bonopéra,
Francis Lippa, à Bordeaux
..
P. s. :
en sachant d’ores et déjà que vous allez pouvoir corriger certaines de mes erreurs (de rédaction), et il y en a ;
et surtout quelques points demeurés jusqu’ici aveugles dans l’effort d’établissement des données généalogiques de votre famille,
comme m’y ont aidé vos cousines et cousins Françoise Pons, Cécile Bonopéra, André Raymond,
ainsi que divers membres, aussi, de la famille Ducos du Hauron…
Ce dimanche 4 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise, avec compléments et ajouts, de mon article du 16 février 2021 : « Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra… »

02fév

Suite à deux passionnant séchanges téléphoniques hier soir avec Matthias Bobopéra, puis son père Georges Bonopéra, à la recherche de précisions sur l’histoire de leur famille Bonopéra,

voici, et pour continuer la reprise d’hier soir 1er février _ avec l’article « «  _,

cette fois la reprise de mon article du 16 février 2021 « « , concernant ici le 4éme des 6 fils de Paul Bonopéra, Auguste Bonopéra-le-père, né le 3 avril 1883 à Orléansville, et époux d’Isabelle Vivès,

et père, nons pas de 4 enfants, comme je l’avais supposé jusqu’ici, mais bien de 5 enfants, car à ses 2 sœurs Hélène-Isabelle et Yvonne, et ses 2 frères Georges (dit Coco) et Auguste (dit le fils) il me faut désormais adjoindre René Bonopéra dont j’avais jusqu’ici ignoré l’existence :

Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra…

Ce mardi 16 février _ 2021 ! _, je continue donc d’apporter des précisions sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger (sic ; ce n’est que plus tard qu’il deviendra le cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville…), et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Ténès _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possible, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en en venant ce soir au quatrième, Auguste Bonopéra (né à Orléansville le 3 avril 1883 _ j’ignore encore la date et le lieu de son décès : mais voici que son petit-fils Georges Bonopéra (né à Orléansville le 9 mars 1950), qui m’a joint hier soir au téléphone, vient de m’apprendre que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (et dit le colonel) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962 ; et que l’épouse de celui-ci, née Isabelle Vivès, était décédée à Orléansville en 1950… _), qui me pose quelques difficultés…

 

L’absence d’archives d’État-civil pour Orléansville demeure encore en effet une source permanente de difficultés et complications pour la recherche.

En effet, déjà, je ne suis pas parvenu _ jusqu’ici : c’était le 16 février 2021 _ à donner un nom à l’épouse d’Auguste Bonopéra-le-père _ à la différence de ce que j’ai pu réaliser pour ses frères Jean (dont l’épouse est Louise-Marie Hulne), Paul (dont l’épouse est Marie Cathébras) et Julien (dont l’épouse est Germaine-Jeanne-Lucie-Geneviève Besse) ; mais ayant pu joindre au téléphone Huguette Bonopéra, au mois d’avril 2021, celle-ci m’avait donné le nom de sa grand-mère paternelle (l’épouse d’Auguste-le-cafetier de la rue d’Isly à Orléansville) : Isabelle Vivès.

Et pour ses propres enfants aussi, pas mal d’éléments, aussi, me manquent encore ;

à commencer par leur nombre exact _ à la date du 19 février 1915, son livret militaire indique qu’il a alors « 4 enfants vivants« ; et c’est précisément ce qui autorise son départ de l’armée d’active, en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905…  _ ;  puis par leur ordre de naissance ;

jusqu’ici j’ai pu repérer, principalement dans la presse _ Le Progrès, d’Orléansville, ainsi que L’Écho d’Alger _, quelques événements familiaux, tels que naissances, mariages ou décès ; mais hélas aucun de ces _ bien précieux ! _ faire-part officiels qui permettent normalement _ quand ils sont suffisamment précis et détaillés _ de réunir l’ensemble de la constellation familiale…

Et cela alors que très sympathique _ et très estimé _ Auguste Bonopéra-le-père tenait un rôle central dans l’animation locale d’Orléansville, en tant que tenancier du principal Café de la cité : le Grand Café, rue d’Isly ;

et à ce titre son nom apparaît souvent dans la chronique de la vie locale et festive de l’Orléansville d’alors _ ainsi, le 29 août 1912, lors d’un bref début d’incendie du Café, heureusement très vite éteint grâce à l’aide des voisins aussitôt accourus…

Je suppose que l’aînée des _ au moins _ quatre enfants _ en fai ils sont cinq : le 5e d’entre eux (René ?) naîtra donc après le 15 février 1915… _ d’Auguste Bonopéra-le-père et de son épouse, née, donc, Isabelle Vives, est cette Hélène-Isabelle Bonopéra _ elle est née à La Ferme, le 29 mai 1905 ; et elle décèdera en 1950, m’a appris hier soir, 1er février 2024, son petit-fils Georges Bonopéra, né le 9 mars 1950, et fils de René et son épouse, Arlette Cailliez... _ qui épouse, le 17 décembre 1927 _ l’avis de mariage est donné par Le Progrès, d’Orléansville du 29 décembre 1927 ; et le marié, Michel Pons, est alors « facteur au P.L.M. et domicilié à Oran«  _, Michel-Albert Pons _ né à Perrégaux le 1er novembre 1897 _, qui travaille à la compagnie ferroviaire P. L. M. ; et qui sera, un peu plus tard, en 1932, le sous-chef de gare de la gare d’Orléansville : au moment de la naissance du second enfant de ce couple de Michel Pons et Hélène-Isabelle Bonopéra, le petit Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 _ celui-ci deviendra l’époux de Françoise Morand de La Genevraye (née en 1940), et il décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Le couple formé par Hélène-Isabelle Bonopéra et son époux Michel-Albert Pons donnera, en effet, au moins deux petits-enfants à Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès :

_ Michelle Pons, qui naît à Orléansville au tout début du mois de janvier 1929 (et qui épousera Louis Préfume _ qui décèdera à Nice le 1er février 2011, à l’âge de 86 ans _ ; et ils auront un fils : Pierre Préfume) ; Michelle Pons, née Bonopéra, décèdera à La Colle-sur-Loup le 2 septembre 2013 ;

_ et Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 ; et qui épousera une cousine des Bonopéra, Françoise Morand de la Genevray _ née à Alger, en 1940 : fille de Robert Morand de la Genevraye et de son épouse Odette Gallois ; petite-fille de Jules Morande de la Genevray et de son épouse Clémence Orgeret, et arrière petite-fille de Frédéric-Auguste Morand de la Genevray (Varsovie, 11 novembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et de son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, entre 1892 et 1901) _ ; Auguste Pons décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Et nous pouvons remarquer ici, au passage, que Françoise Morand de La Genevray est une descendante de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849) et de son époux Frédéric-Auguste Morand de la Genevraye _ décédé le 25 mai 1904 alors qu’il exerçait le mandat de maire d’Orléansville _) : Marguerite Bonopéra, sœur aînée de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) est en effet la tante d’Auguste Bonopéra-le-père _ le cafetier de la rue d’Isly _, le quatrième des six fils _ Jean (1877, à Pontéba), Paul (1878, à Pontéba), Alphonse (1881, à Charon), Auguste (1883, à Orléansville), Julien (1887, à Charon), Georges (1892 à Ténès) _ de Paul Bonopéra, et grand-père maternel de ce petit Auguste Pons.

Auguste Pons et son épouse née Françoise Morand de la Genevraye, eux, seront parents de deux enfants : Jean-François Pons et Isabelle Pons _ épouse d’Olivier Fischbach.

Pour ce qui concerne l’ordre de naissance des au moins quatre enfants  _ cinq, en fait : il faut adjoindre ici le plus jeune, né après 1915, René Bonopéra _ d’Auguste Bonpéra-le-père et son épouse Isabelle Vivès, il se pourrait que que leur deuxième enfant soit Auguste Bonopéra-le-fils _ dont j’ignore encore (à ce jour du 16 février 2021) la date et le lieu de naissance : son petit-neveu Georges Bonopéra, fils de son frère René, vient de m’apprendre au téléphone hier soir, 1er février 2024, que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (dit le colonel…) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962. il faudra que je demande à Georges Bonopéra de bien vouloir m’indiquer aussi les dates et lieux de naissance et de décès de son oncle Auguste Bonopéra-le fils…

Auguste Bonopéra-fils _ cf l’avis du Progrès d’Orléansville du 30 juin 1932se marie à Orléansville le le 25 juin 1932 avec Antoinette Galléra (ou Calleja) _ sœur et belle-sœur de Mme et M. Paul Joanico, de La Senia, indique cet avis de ce mariage _, qui lui donnera le 3 mai 1933 « deux mignonnes fillettes prénommées Huguette et Claudette » ces deux jumelles vivent toutes deux (à la date de ce 16 février 2021) dans la région de Montpellier : Huguette Bonopéra, épouse (puis divorcée) de Gérard Dubois, est mère de cinq enfants (Georges, Jean-Marc, Michel _ père de Steve Dubois _, Pascal et Isabelle Dubois) ; et Claudette Bonopéra, épouse de Hans Haenni (né en Suisse le 1er novembre 1922 et décédé à Clapiers, Hérault, le 7 novembre 1998), a eu aussi plusieurs enfants.

Mais Claudette Haenni Bonopéra et Huguette Bonopéra, les jumelles nées à Orléansville le 3 mai 1933, sont toutes deux décédées l’année dernière, à deux mois d’intervalle : Claudette le 26 juin 2023 et Huguette le 25 août 2023…

Puis, leur troisième enfant pourrait être Yvonne Bonopéra, qui leur est née à Orléansville le 9 avril 1912 ; et qui décèdera à Montpellier _ vivaient ses nièces Huguette et Claudette, les filles jumelles de son frère Auguste Bonopéra-le-fils _ le 10 août 2008 _ Yvonne Bonopéra ne s’est pas mariée et n’a pas eu d’enfant.

Et il s’avère que le bébé Georges _ dit « Coco« … _ né à la fin du mois de janvier ou au début du mois de février 1915 _ et dont a bien laconiquement parlé Le Progrès d’Orléansville du 11 février 1915 : « M. et Mme Bonopéra ont aussi un bébé, Georges » _, est bien le quatrième des « enfants vivants » ;, lui, à

ce dont Auguste Bonopéra a pu faire état auprès des autorités militaires, le 23 février 1915, afin d’être à même de bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905 concernant les pères de famille d’au moins quatre enfants, libérant les assujettis au service actif, et leur permettre de regagner leurs foyers _ ce qui fut fait pour lui ; il put aussitôt regagner son domicile (et son Café) d’Orléansville dès le mois de février 1915…


Il se pourrait donc que René Bonopéra,

père de Georges Bonopéra _ né, lui, à Orléansville le 9 mars 1950 _ et grand-père paternel de Matthias Bonopéra _ né à Paris 11e, le 17 mai 1977 _,

soit le dernier-né, après 1915, de Auguste Bonopéra-père (dit le colonel) et son épouse Isabelle Vivès…

À suivre…

Ce mardi 16 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour ces précisions et compléments, suite et grâce à mes échanges téléphoniques très sympathiques d’hier soir avec Georges et Matthias Bonopéra, curieux d’en découvrir un peu davantage sur l’histoire de leur famille, en Algérie, et à travers la Méditerranée : Sicile, Marches, Catalogne, Minorque…

Et bien entendu à suivre…

Ce vendredi 2 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise, avec notables ajouts et précisions, de mon article du 4 mai 2021 : « Pour présenter synthétiquement les récentes avancées de ma recherche autour des Bonopéra issus de Jean Bonopéra… »…

01fév

Suite à deux coups de fil passionnants de deux membres _ Matthias Bonopéra (né à Paris 11e le 17 mai 1977) et son père Georges Bonopéra (né à Orléansville le 9 mars 1950) _ de la famille Bonopéra originaire d’Orléansville, en Algérie, et très curieux d’apprendre de nouveaux éléments de leur histoire familiale à travers la Méditerranée _ Sicile, Marches, Catalogne, Minorque, Algérie, Montpellier, etc. _,

je viens de reprendre en la révisant (et ajoutant d’importantes précisions _ en rouge, vers la fin de l’article _ à) mon article du 4 mai 2021 «  » toujours accessible sur le web, en cherchant vraiment bien,

même si n’existe hélas plus de lien direct d’accès à mon blog « En cherchant bien » sur le site de la Librairie Mollat, à Bordeaux,

alors même que quotidiennement ce blog « En cherchant bien » continue de publier des articles… 

Cliquer sur ce lien-ci «  » pour accéder à l’article révisé et complété _ noms et prénoms donnés, et pas seulement les initiales… _ ce 1er février 2024…

Voici aussi le courriel reçu ce matin même, à 7h 45, d’Éric Rouyer, le dynamique et exigeant créateur de l’excellent label de CDs « Le Palais des Dégustateurs » et ami,

auquel je venais tout juste d’adresser par courriel, à 6h 31, mon article d’hier 31 janvier «  » :

Cher Francis

Je n’avais pas forcément prévu de me procurer ce disque mais maintenant je n’imagine plus comment m’en dispenser.
Je vais donc le découvrir probablement.
Comme une prescription…
Meilleures pensées
Éric

Le Palais des Dégustateurs

Cave à vin musicale
Dégustation auditive

Le 1 févr. 2024 à 06:31, Francis Lippa <francis.lippa@wanadoo.fr> a écrit :

Cet article-ci d’hier soir «  » achevé ce petit matin, dans l’enthousiasme…

 
Avec la petite – infime – réserve d’une « Valse » pas assez apocalyptique à mon goût…
Mais l’interprète a le droit d’essayer…
 
Francis

Ce merveilleux « Comme une prescription » d’Éric Rouyer me touche infiniment…

..;

Ce blog étant pour moi une façon _ très peu efficace, mais tout de même, il arrive que quelques passionnées bouteilles lancées à la mer, atteignent parfois et miraculeusement quelques destinataires de choix, et qui y répondront !.. _ de pallier quelques failles béantes _ et injustes _ des grands médias exclusivement soucieux du grand nombre et des algorithmes très calculés, en ratissant très large avec leurs très pragmatiques filets…

À suivre, bien sûr, forcément …

Ce jeudi 1er février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour présenter synthétiquement les récentes avancées de ma recherche autour des Bonopéra issus de Jean Bonopéra…

04mai

Afin de présenter de manière un peu synthétique les récentes avancées de ma recherche,

voici un courriel un peu explicatif, à Cécile Bonopéra, du 4 mai 2021, à 14h 47…

Voici d’abord la moisson des récents articles de mon blog (à partir du 29 avril dernier),

consécutive à mes contacts avec votre tante Aline Bonopéra,
ainsi qu’une plus lointaine cousine (par alliance), Mme Claude Petit, qui vit en Corrèze, près de Brive :
Votre tante Aline Bonopéra ne m’a pas appris grand chose que je ne sache déjà,
sinon une tradition familiale (?) qui fait de l’ancêtre Luigi-Nicola Bonopéra un sicilien qui serait né à Palerme…
J’ignore sur quel témoignage ou document repose cette tradition…
Surtout, à nul moment, je n’ai eu contact avec votre oncle Jean-Pierre (né le 2 novembre 1934) ; je n’ai eu au téléphone que son épouse Aline, née Lafet, en 1939. J’espère que votre oncle va bien…
La seule personne de cet âge de votre famille avec qui j’ai pu échanger un peu au téléphone, est Huguette Bonopéra (épouse _ séparéede Gérard Dubois), et qui vit à Montpellier, l’une des 2 filles jumelles d’Auguste Bonopéra-fils et son épouse Antoinette Gallera, née à Orléansville le 3 mai 1933.
C’est elle, Huguette Bonopéra, qui m’a appris le nom de sa grand-mère paternelle : Isabelle Vives, l’épouse d’Auguste Bonopéra-père _ celui que j’appelle le cafetier de la rue d’Isly à Orléansville.
Mais Huguette Bonopéra m’a dit que son père, Auguste Bonopéra-fils, avait été lui aussi cafetier…
Surtout, Huguette Bonopéra m’a dit que son arrière-grand-père Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),
le père des 6 fils Bonopéra Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges Bonopéra,
avait vendu ses propriétés de Rabelais, afin d’aider, par un partage, ses fils à s’installer, au cours de la première décennie du XXe siècle (vers 1905) ;
peut-être au noment de son troisième mariage, probablement à Orléansville _ et après sa brève union avec sa seconde épouse, à Rabelais : Marie-Jeanne-Virginie Claudet, en 1897… _ ;
le mariage avec celle qui deviendra, en 1916, « Madame Veuve Paul Bonopéra », et était née Confex _ dont j’ignore toujours l’identité précise et le parcours de vie…
Mais Huguette Bonopéra n’avait hélas pas souvenir de cette veuve de son arrière-grand-père…
Cette « Mme Vve Paul Bonopéra » était aussi la tante de l’orléansvillois Émile Wachter, fils de sa sœur aînée Elisabeth Confex, épouse Wachter ;
ainsi que la tante de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter », sœur d’Émile, et fille d’Elisabeth Confex (Marseille, 26 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter…
Huguette Bonopéra, cependant, était fatiguée, et je n’ai pas voulu abuser de sa gentillesse.
Huguette Bonopéra est aussi la grand-mère de Steve Dubois _ qui vit à Aups, dans le Var _,
qui m’a très gentiment remercié de lui en apprendre beaucoup sur l’histoire de ses ancêtres Bonopéra.
En revanche, je n’ai pas réussi à joindre au téléphone Claudette Bonopéra (veuve de Hans Haenni), la sœur jumelle de Huguette Bonopéra, qui vivait il y a encore peu de temps dans l’Hérault…
J’ignore cependant si Claudette  Bonopéra vit toujours…
D’autre part, 
votre tante Aline Bonopéra m’a aussi parlé d’une lointaine cousine par alliance, Mme Claude Petit (née en 1944), qui l’avait contactée il y a quelques années,
et faisait des recherches à propos de la famille Bonopéra, à la recherche, notamment, de sa  cousine par alliance Claudette Bonopéra : 
Mme Petit, fille d’Eugène-Louis Petit (Orléansville, 3 septembre 1909 – Orléansville, 24 mai 1952) est la nièce de Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980) et de son époux Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977)…
Mme Claude Petit a essayé de rétablir le contact avec ses cousins germains Bonopéra, 
le fils, Paul (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000), et les 5 filles, Hélène, Jacqueline, Mireille, Stéphanie et Vivianne Bonopéra,
de sa tante _ sœur aînée de son père Eugène-Louis Petit _ Clémentine Petit et son époux Georges-Paul Bonopéra
_ ce dernier étant fils de Jean Bonopéra (né à Pontéba le 18 juin 1877), 
le fils aîné de Paul Bonopéra (1856 – 1916) et sa première épouse Joséphine Girot (1856 – 1892).
De ces 6 enfants de Georges-Paul Bonopéra (1902 – 1977) et son épouse Clémentine Petit (1907 – 1980),
ne vit plus aujourd’hui _ à Laparade, dans le Lot-et-Garonne _ que Mireille-Geneviève Bonopéra (née en 1947), épouse Heuer.
D’autre part, l’épouse de ce Paul Bonopéra (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000) était Jeannine-Adrienne Tudury (Saint-Eugène, 7 septembre 1929 – Toulon, 5 juin 2007) :
Paul Bonopéra et Jeannine Tudury ont eu, eux aussi, 6 enfants Bonopéra _ sans plus de précisions…
Et Mme Claude Petit a établi un contact avec au moins l’un des 6 enfants de Paul Bonopéra et son épouse Jeannine Tudury : Paul Bonopéra, qui vit à La Garde, dans le Var…
Peut-être sont frères de ce Paul Bonopéra, qui vit à La Garde :
Georges Bonopéra, né à Orléansville le 9 mars 1950, assez célèbre producteur de télévision parisien _ non : ce Georges Bonopéra-ci est fils de René Bonopéra (qui tenait le café de la gare à Affreville) et son épouse Arlette Cailliez (dont les parents étaient Henri Cailliez et son épouse Anna, de Pontéba ; René Bonopéra avait deux frères, Georges Bonopéra dit Coco, et Auguste Bonopéra ; et deux sœurs Yvonne et Hélène Bonopéra ;
et ceux-ci étaient les 5 enfants d’Auguste Bonopéra (dit le colonel) et son épouse Isabelle Vivès, qui tenaient le café de la rue d’Isly à Orléansville ;
et cet Auguste Bonopéra-là décèdera à la fin du mois de juin 1962 à Montpellier ; alors que son épouse Isabelle née Vivès était décédée à Orléansville en 1950 :
c’est ce que vient de me confier au téléphone ce jeudi 1er février 2024 Georges Bonopéra, né le 9 mars 1950 à Orléansville ; après que son fils Matthias Bonopéra (né à Paris 11e le 17 mai 1977), et ayant lu plusieurs articles de mon blog concernant la famille Bonopéra d’Orléansville, m’avait joint peu auparavant lui aussi au téléphone… _ ;
Roger Bonopéra, né en 1954 ;
et Jean-Stéphane Bonopéra, né à Orléansville le 5 décembre 1956 _ qui a un domicile au Lavandou ; et qui cherchait lui aussi à entrer en contact avec sa cousine Claudette Bonopéra…
Voilà pour ce jour.
Ce mardi 4 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
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