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Admirables variations sur la grisaille (de grès) du pays de Brive : la transfiguration du « Lundi » de Pierre Bergounioux

01avr

En 42 pages à peine,

Lundi de Pierre Bergounioux _ qui paraît aux Éditions Galilée _

résume, une nouvelle fois,

et admirablement,

en une magnifique concision,

la métamorphose _ ou métempsycose, le mot est prononcé _ de son esprit,

au sortir de toutes ces longues années passées

au milieu de _ dans _ la grisaille _ poissante _ du pays de grès de Brive,

grisaille tout particulièrement sensible

_ et c’est sur les nuances extra-fines de cette sensibilité exacerbée

que fait merveille l’écriture prodigieuse,

absolument vierge du moindre pathos,

de Pierre Bergounioux _

le lundi.

 

Le lundi, le jour de fermeture des commerces à Brive,

quand le garçon se rendait à _ ou revenait de _, comme chaque jour de classe,

son lycée :

quatre fois une demi-heure pour parcourir les deux kilomètres

entre chez lui et le lycée…

Mais c’est précisément la différence

du lundi

avec les autres jours de classe,

qui rendait sensible,

en en accentuant,

par contraste avec le ressenti des autres jours,

la qualité _ ici décortiquée, comme à la plume plongée dans l’encrier, sur la page _ des sensations éprouvées.

Et c’est la variation

qui précipite

_ poétiquement comme chimiquement (quant à l’alchimie complexe du système nerveux) d’abord _

cette métamorphose

à peine ressentie pourtant _ c’est infra-infinitésimal _

de ce qui est _ passivement d’abord _ physiquement éprouvé. 

Et c’est par contraste

forcément toujours un peu brutal

que s’effectue _ sobrement, humblement, extrêmement discrètement _ la prise de conscience…

Au moment de quitter _ se séparer de _ cette grisaille

_ noyante et asphyxiante, en la transparence de son imprégnation de tout _

du pays,

en venant, après le bac, à Bordeaux _ en classe préparatoire au lycée Montaigne.

Même si un avant-goût d’un envers

de cette grisaille _ épuisante _ du pays de grès de Brive,

était déjà un peu ressenti,

par infra-contraste, déjà,

les dimanches de pêche sur la rivière Dordogne,

au plus riant pays

_ soixante kilomètres plus au Sud que le bassin de Brive _

des environs de Beaulieu _ le nom de Beaulieu n’étant, lui, pas prononcé.

il en révèlerait probablement trop !

Beaulieu-sur-Dordogne : un des plus coins du monde, en effet.

L’écriture de Pierre Bergounioux

est absolument admirable ;

en dépit de _ ou plutôt par

l’extraordinaire contraste, dénué du moindre pathos,

avec _

l’épuisante _ colossale, monstrueuse _ tristesse de ce qui a été vécu,

et est ici et maintenant narré ;

et dont la personne de l’auteur, quant à elle, et hors-texte,

ne s’est probablement toujours pas remise,

tant celle-ci, tristesse, continue de l’accabler…

Mais que transcende _ et comment ! _ la sublime (de sobriété)

écriture

de Pierre Bergounioux :

c’est par elle,

patiente et ultra-précise

en son parfaitement humble cisèlement _ ultra-classique _,

que lui

est parvenu

à ne pas se laisser noyer-asphyxier.

Quel décidément magnifique écrivain !

en ces modestes et humblissimes variations

de ce transfiguré Lundi

Une merveille !



Ce lundi 1er avril 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

la flânerie stambouliote très attentive d’une chaleureuse : « Istanbul Carnets curieux » de Catherine Izzo

10oct

Sur un livre merveilleux

d’attention chaleureuse

à une ville _ sublime ! _,

et à sa vie, ses habitants _ c’est une ville-monde ! _ :

Istanbul.


Le livre

(aux Éditions le bec en l’air)

s’intitule Istanbul _ Carnets curieux ;

son auteur est la photographe (marseillaise depuis longtemps : elle est l’épouse du regretté Jean-Claude Izzo _ cf par exemple son Vivre fatigue_)

Catherine Izzo ;

elle est aussi une amie

de mon ami Bernard Plossu.

Ici,

et en guise d’introduction en image à l’article,

on pourrait regarder la photo Bosphore IV, page 73 _ soit la numéro 1 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Hier, une fois achevée la lecture du texte (des Carnets Curieux) _ superbe ! _

qui accompagne les 91 _ admirables ! _ photos

_ les 24 chapitres (avec plans !) de ces Carnets vont de la page 114 à la page 209 ; et sont datés « Istanbul, Marseille, Lille, Carnac, 2006-2010 » ;

ils se terminent, page 209, par ces mots :

« Je reviendrai.
Hosça kal ! (Adieu ! Restez joyeux !)« _,

j’ai adressé ce message à Bernard :

De :  Titus Curiosus

Objet : Mail de Catherine Izzo
Date : 9 octobre 2010 08:36:41 HAEC
À :   Bernard Plossu

J’aimerais témoigner à Catherine Izzo
du très grand plaisir
que m’a donné son Istanbul _ Carnets curieux

dont je viens à l’instant d’achever la lecture…

C’est un livre
qu’on aimerait (humblement !) avoir écrit,
tant il est juste en sa finesse
et en la profonde délicatesse (= légère !) de sa curiosité
à tant de singularités
_ en son approche humblement caressante (sublime !) de la beauté vraie de l’altérité (aimée)

C’est ainsi qu’il faut apprendre à voyager, séjourner _ regarder, (essayer de, s’essayer à) contacter : hors tourisme, si tant est que cela soit possible ! et avec tout le temps nécessaire… _,

dans l’amitié de qui

_ ici Ergül

(« jeune stambouliote solide, le visage ensoleillé, elle porte toujours ses cheveux très courts : « c’est plus simple ! »..« , page 149 ;

elle « a vécu dix-sept ans en France _ son père fabriquait des automobiles chez Peugeot«  ;

et « maîtrise parfaitement le français et l’anglais« , page 167 ;

s’intéressant, peut-être professionnellement à l’archéologie, « Ergül voudrait découvrir les grands sites grecs de la Sicile. Mais la Turquie n’appartient pas à l’Europe, et même si l’on sait qu’Istanbul est plus près de Rome, de Naples ou de Palerme que de Bagdad, les tracasseries administratives d’une Europe frileuse et tatillonne freinent toute spontanéité. Il faut des semaines pour obtenir une autorisation de transiter« , page 167 aussi…) ;

mais aussi les égards rencontrés du « gardien du petit hôtel de bois« ,

des « serveurs des jardins de thé«  ;

et encore les mouvements des « tortues des cimetières« ,

ainsi que ceux des « barques des pêcheurs du Bosphore » ;

et encore « la douce lumière sous les treilles«  :

à laquelle, Ergül, (et auxquels, aussi) est dédié, page 7 ce merveilleux livre… _

dans l’amitié de qui

vous fait partager ses sentiers…


Aussi,
j’aimerais que tu me fasses parvenir son adresse Internet.

Titus

P.s. : je n’ai rien dit des photos,
parce qu’elles sont merveilleuses de justesse et beauté,
tout simplement…


J’ai l’intention de consacrer à ce livre _ rare à ce degré de beauté _ un article de mon blog
_ le voici !

Tu sais combien j’aime Istanbul, moi aussi ;
et combien je souhaite retourner y vagabonder…

Fin du courriel à Bernard Plossu ;

et début du corps de l’article :

Parmi les photos disponibles sur le net

_ en l’occurrence sur le site personnel (Passevue) de Catherine Izzo _,

voici une sélection, mienne :

D’abord,

l’arrivée idéale à Istanbul

est par bateau : en contournant la pointe de Topkapi, étrave à la rencontre du Bosphore, depuis la mer de Marmara, pour débarquer

_ tel le Michel-Ange du Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants, au printemps 1506, dans le récit de Mathias Enard ;

cf mes articles des 2 et 11 septembre 2010 :

Au menu du (bon) ogre Enard : le géant Michel-Ange, le pouvoir, le sexe et l’effroi, en un Istanbul revisité à l’ére du tourisme “culturel” mondialisé…

et : Mathias Enard, ou le creuseur pudique : face à l’énigme de l’oeuvre et les secrets du coeur (à partir de l’exemple de Michel-Ange à Rome _ et Istanbul !!!) ;

ainsi que mon entretien avec Mathias Enard, le 8 septembre : le podcast dure 62 minutes… _

pour débarquer

à l' »échelle«  _ le quai, depuis si longtemps que la ville, Constantinople, existe… _ d’Eminönü…

Et ce, par quelque temps que ce soit :

la brume et la pluie n’étant certes pas les moins appropriés à l’émerveillement de la découverte ;

de l’approche _ celle-ci ne finissant, d’ailleurs, jamais !

La gloire de son mystère s’enrichit !..

Voici, parmi la moisson d’images captées par Catherine Izzo,

une arrivée_ stambouliote _ possible :

la photo Bosphore VI, page 106… _ soit la numéro 16, en comptant de gauche à droite et de haut en bas, de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Même par gros temps ;

on peut encore y pêcher…

Ici on pourrait regarder la photo Pêche à Üsküdar _ rive asiatique, page 105 _ soit la numéro 30 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

On trouve toujours un débarcadère :

ici on pourrait regarder la photo Débarcadère, page 104… _ soit la numéro 27 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Puis, on pénètre en la ville, aux sept collines, elle aussi ;

et il nous faudra toujours grimper un peu : les rues et ruelles _ avec platanes _ affrontent vaillamment les pentes herbeuses, et se glissent, en se faufilant, dans ce qui fut peut-être autrefois un ruisseau, sinon une cascade ;

il y a aussi bien des escaliers…

© courtesy Catherine Izzo : Pasaj II _ Istiklal, page 50.

Et viennent de merveilleuses maisons de bois,

dans certains quartiers _ par exemple, et tout particulièrement, encore,

à Fener, et Balat ;

elles risquent cependant de bientôt disparaître, face à la spéculation immobilière galopante, ici comme ailleurs ;

sur ce sujet,

cf le très beau film du réalisateur italo-turc, Ferzan Oztepec : Hammam (en 1998 : avec Alessandro Gassmann)…

Ici on pourrait regarder la photo Galerie supérieure de Vezir hane _ Beyazit, page 40… _ soit la numéro 10 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et les intérieurs, orants _ après s’être déchaussés (et nettoyés aux fontaines) _, des mosquées :

par exemple, la photo Prière II, page 88 _ soit la numéro 20 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et encore, en suivant, la photo Arabesque I, page 90 _ soit la numéro 8 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et le lacis labyrinthique des ruelles et rues

des multiples quartiers :

© courtesy Catherine Izzo : Cankurtaran I, page 26.

et

aussi la photo Samatya, page 47 _ soit la numéro 14 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et, bien sûr, Aya Sofya,

toujours magique :

ici, par exemple, la photo Aya Sofya II, page 43 _ soit la numéro 6 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et ses alentours :

ici on pourrait regarder la photo Tombe II _ Divan Yolu _ Vers Beyazit, page 94 _ soit la numéro 9 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo… ;

ou

la photo Eminönü III, page 60 _ soit la numéro 11 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Aya Sofya, toujours, toujours, si puissante :

© courtesy Catherine Izzo : Aya Sofya I, page 29

Puis, les escapades vers les périphéries tentaculaires,

en constante continuelle expansion :

ici on pourrait regarder la photo « Bonne année » _ Kandili _ Rive asiatique, page 45 _ soit la numéro 4 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et encore :

© courtesy Catherine Izzo : Vers Tekirdağ II _ Hommage à Fellini _ Grande banlieue d’Istanbul, page 54…

Ou les quartiers d’affaires et de commerces, hyper-animés ;

Istanbul est une de ces mégapoles

dont parle si bien Régine Robin, en son Mégapolis

_ cf mon article du 16 février 2009 : Aimer les villes-monstres (New-York, Los Angeles, Tokyo, Buenos Aires, Londres); ou vers la fin de la flânerie, selon Régine Robin _ ;

dont le sous-titre est les derniers pas du flâneur… :

ici on pourrait regarder la photo « Kanyon » _ Saryer, page 20 _ soit la numéro 21 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Puis l’on revient toujours, ici,

vers les rivages,

tellement enchanteurs :

le flot y clapote…

© courtesy Catherine Izzo : Vers Tekirdağ IV _ Grande banlieue d’Istanbul, page 81 ;

Ou

la photo Kumpkapi I, page 15 _ soit la numéro 2 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et sans cesse on prend

et reprend

le ferry

d’une rive

(l’une, européenne et, l’autre, asiatique, ainsi que cela se dit…)

à l’autre,

le temps,

à peine,

de déguster à bord un délicieux thé

tout brûlant :

ici on pourrait regarder la photo Bosphore V, page  75 _ soit la numéro 3 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…


et

la photo Bosphore II, page 23 _ soit la numéro 19 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…
;


et puis,

d’où partent les trains pour Bagdad :

ici on pourrait regarder la photo Hayderpaşa I _ Rive asiatique, page 14 _ soit la numéro 29 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Et de saluer,

en guise d’au revoir au lecteur,

la vista _ avec la mouette _ de l’ami Bernard Plossu :

ici on pourrait regarder la photo Hommage à Bernard Plossu III, page 111 _ soit la numéro 28 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Avant de repartir (d’Istanbul),

encore par bateau ;

mais avec l’idée (chère au cœur) de revenir

sur ce rivage du Bosphore

et des Eaux douces d’Europe _ l’autre nom de la Corne d’Or…

Ici on pourrait regarder la photo Bosphore IX, page 109 _ soit la numéro 15 de la page « Istanbul«  du site Passevue de Catherine Izzo…

Un livre merveilleux, chaleureux,

en la délicatesse de sa justesse,

que cet Istanbul _ Carnets curieux

de Catherine Izzo…

Titus Curiosus, le 10 octobre 2010

Post-scriptum :

Catherine Izzo cite aussi,

et à plusieurs reprises,

les beaux films de Nuri Bilge Ceylan :

Koza, Kasaba, Uzak, Les Climats, Nuages de mai, Les Trois singes

J’aime aussi beaucoup, beaucoup

les deux photos

_ à végétation plantureuse : ce pourraient presque être des vignes… _

qui se font face aux pages 18 et 19 :

Tombe I _ Jardin de Küçük _ Aya Sofya Camii ;

et 

Yeni Valide Camii, cour intérieure _ Üsküdar, rive asiatique


De l’ami Plossu,

j’ai appris à (re-)connaître aussi l’art de la mise en page…

En conclusion,

et pour donner aussi quelque échantillon de sa belle écriture fine, précise, juste et subtile,

ces deux extraits-ci, aux pages 132 et 133 :

« Istanbul sous la pluie… La ville se rapproche _ de la focale du regard _, se resserre, intime, sensible, feutrée. Une dimension nouvelle se dessine, inconnue et voilée, secrète et délicate. Les paysages se diluent, le ciel et les mers s’embrassent. Istanbul se métamorphose en une palette de gris subtils et raffinés, nuancier infini, d’une grâce exceptionnelle pour qui prend le temps de les contempler _ et de les ressentir et saisir alors.

Gris argenté des dômes des mosquées, gris cendré des coupoles des medrese, gris anthracite et mat de l’asphalte, gris porcelaine des marbres des türbe, gris bleu des fumerolles échappées des frêles cheminées tortueuses, gris brun des fumées des bateaux, gris éteint et lourd des silhouettes des cargos qui remontent lentement le Bosphore, gris vert de la colline d’Eyüp, gris tourterelle des fontaines, gris perle de la tour de Galata, gris rosé de la façade du Patriarcat orthodoxe grec à Fener, gris sombre de Teodos Suru.

La pluie lave les toits de plomb, souligne l’envol des minarets, adoucit le jaune des taxis, assombrit les façades des maisons de bois. Les bateaux ne sont plus que de simples contours fantomatiques, les mosquées de gros animaux fantastiques.

On pourrait imaginer ce tableau triste, voire sinistre.
C’est juste doucement mélancolique
_ voilà.

Les terrasses des çay bahçesi disparaissent, parfois simplement enfouies à la hâte sous des bâches de plastique translucides.
À l’abri des petits auvents ou des larges toits des marchés restent quelques tabourets sur lesquels les plus téméraires sirotent le thé éternel.

Un ruisseau, au milieu de la rue, dégringole vers les Eaux. J’ai toujours eu l’envie _ sans jamais le faire _ d’y déposer un petit bateau de papier et de suivre son chemin brinquebalant vers Marmara.
À l’intérieur des lokanta les vitres s’embrument. Derrière la buée les rues deviennent des no man’s land mystérieux et lointains, paysages propices à toutes les rêveries »…

Et juste neuf lignes, plus loin, page 133 :

« Plus j’y reviens, moins je suis convaincue qu’Istanbul est méditerranéenne.

L’œuvre de Nuri Bilge Ceylan s’impose tout à coup. Derrière des fenêtres brouillées de gouttes d’eau qui tracent des chemins improbables et fantaisistes, la caméra suit le regard des personnages. Leurs yeux se noient dans la ville devenue imperceptiblement _ presque à leur insu _ intime et charnelle » _ voilà encore…

Voilà ce qu’est un regard fin et juste :

d’artiste

pudique

vrai…

J’aurais aimé donner plus (ou mieux) encore le goût de contempler les quatre-vingt onze images d’Istanbul

que le livre _ de Catherine Izzo : Istanbul _ Carnets curieux, aux Éditions le bec en l’air _ propose

_ afin de goûter le plaisir de feuilleter le papier des 244 pages de ce livre _,

mais il m’a fallu restreindre l’enthousiasme de mon choix

_ au départ de vingt-quatre images… _

à cinq d’entre elles… :

j’ai donc choisi celles

que je préférais…

Les dix-neuf autres _ dont je cite le titre et la page dans le livre _ sont cependant accessibles

_ en veuillant bien compter… _

sur le site personnel de Catherine Izzo : Passevue

Qu’on aille y jeter un coup d’œil…

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