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Le très brillant versant oratorio de Haendel, par exemple l’éblouissant « Samson », en 1743, à Londres

29sept

George Frideric Handel

(Halle-sur-Saale, 23 février 1685 – Westminster, 14 avril 1759)

a connu une très féconde _ et longue _ carrière,

tout particulièrement à partir de son arrivée sur le sol britannique, en septembre 1711.

Après de très grands succès avec une série de très brillants opéras _ sur le modèle italien _,

à partir de 1738, Handel se reconvertit à l’oratorio, sur des paroles anglaises.

Sur le site de Res Musica, le critique Matthieu Roc fait l’éloge d’un « éblouissant Samson de Haendel par Alarcon« ,

un double CD qui paraît sur le label Ricercar .

Samson, un oratorio créé  à Londres le 29 octobre 1743.

Voici l’article :


Éblouissant Samson de Haendel par Alarcón

 

Ce mardi 29 septembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un récapitulatif commode de mes 106 « Musiques de joie » pour situation de confinement : du dimanche 15 mars au dimanche 28 juin 2020

29juin

Sous forme de courriels à certains de mes amis

avec lesquels je me suis initié à la recherche (et découverte !) de circonstances extra-musicales méconnues de la création musicale,

voici un récapitulatif commode de liens à mes 106 articles de « Musiques de joie« ,

au départ du dimanche 15 mars, premier tour des Élections Municipales 2020,

au dimanche 28 juin, second tour ;

pour temps de confinement…

Chers vous,
 
cette collection de 106 « Musiques de joie »
_ d’un dimanche d’Élections à un autre dimanche d’Élections,
avec cette expérience rare de confinement prolongé, qui m’a permis de mettre mieux (ou enfin !) à profit le trésor désordonné des piles de CDs de ma discothèque personnelle _
constitue, bien sûr, et forcément, un choix partiel et subjectif,  que j’espère cependant pas trop arbitraire.
 
Une sorte de vagabondage heureux à travers l’histoire, assez hiératique et imprévue, non calculée en tout cas, de la formation assez variée de mes goûts de mélomane vraiment curieux,
à défaut d’être effectivement musicien ;
ou comment retourner (un peu) à son profit les insuffisances rédhibitoires de sa formation…
 
Ce qui m’a offert d’étonnantes et bien belles rencontres, totalement imprévues et improgrammées, que j’ai appris aussi à cultiver avec passion en même temps que recul, de cette place un peu étrange et atypique, me semble-t-il, de mélomane inlassablement curieux, ouvert et …passionné !
 
Voilà pourquoi je tenais à inclure en ce bouquet de « Musiques de joie » ce qui a aussi marqué ce parcours personnel _ et atypique _ de réelles découvertes,
à travers l’attention méthodique que j’ai pu porter par exemple à La Fontaine et Marc-Antoine Charpentier, ou à Lucien Durosoir…
 
Ce qui a enrichi considérablement ce que j’ai naguère nommé « l’aventure d’une oreille »…
Et qui est aussi le charme d’une vie (un peu philosophique) épanouie à sa façon…
 
Avec reconnaissance,
 
Francis
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
10) mardi 24 :  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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         73) mardi 26 :    

 
 
 
 
 
 
 
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Réjouissez-vous !

Ce lundi 29 juin 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Musiques de joie : le très jubilatoire Messie de Haendel, tout simplement

21mai

George Frideric Handel 

(Halle-sur-Saale, 23 février 1685 – Londres, 14 avril 1759)
est un grand hédoniste
_ pas fondamentalement un mystique ;
ainsi Gustav Leonhardt ne chérissait-il guère Haendel…
Et c’est assez à juste titre, probablement, que son œuvre la plus universellement reconnue
est le très jubilatoire Messie,
donné pour la première fois à Dublin, le 13 avril 1742.
J’ai choisi ici l’interprétation fervente et équilibrée des Arts Florissants
sous la direction de William Christie,
en décembre 1993,
avec les solistes Barbara Schlick, Sandrine Piau, Andreas Scholl, Mark Padmore et Nathan Berg ;
soit le double album Harmonia Mundi HMG 501498.99.
Ce jeudi 7 mai 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Musiques de joie : l’enthousiasmante Hypocondrie à 7 de Jan Dismas Zelenka, par Il Fondamento et Paul Dombrecht

15avr

En fouillant jusqu’aux tréfonds de ma discothèque

à la recherche de certains de mes CDs de musique religieuse de Jan-Dismas Zelenka (1679 – 1745)

afin de choisir la plus profondément joyeuse d’entre ces musiques à la plus grande gloire de la catholicité

_ et il est bien difficile de choisir tant entre les œuvres, plus belles les unes que les autres,

qu’entre leurs interprétations, que je collectionne tout spécialement, tant j’apprécie ces œuvres

et m’en réjouis ! _,

voici que je mets la main sur un somptueux (!) CD de musique instrumentale de Zelenka :

le CD Passacaille 9524 intitulé Prague 1723,

enregistré par Paul Dombrecht et son Ensemble Il Fondamento

en 1999,

et comportant,

en plus de la très justement célèbre Hipocondrie a 7 concertanti en La majeur _ pour 2 violons, 2 hautbois, alto, basson et basse continue _,

une Ouverture a 7 concertanti en Fa Majeur _ pour 2 violons, 2 hautbois, alto, basson et basse continue _,

un Concerto a 8 concertanti en Sol Majeur _ pour 2 violons, 2 hautbois, alto, basson et basse continue _,

et une Simphonia a 8 concertanti en la mineur _ pour 2 violons, 2 hautbois, alto, , violoncelle, basson et basse continue.

Il Fondamento et Paul Dombrecht (au hautbois) y sont, bien sûr, au meilleur d’eux-mêmes !!!

pour des musiques brillantissimes

et surtout intensément profondes !

A défaut d’avoir réussi à dénicher sur le web une vidéo de l’interprétation _ parfaite ! _ de cette fabuleuse Hipocondrie ZWV 187 interprétée par Paul Dombrecht et Il Fondamento, en 1999,

voici une vidéo (de 7′ 40) d’une interprétation _ un peu moins acérée… _ par Gottfried von der Goltz et son Freiburger Barock Orchester, prise le 24 septembre 2010…

1723 :

c’étaient, à Prague, les fêtes du couronnement de l’Empereur (et roi de Bohème) Charles II,

pour lesquelles Zelenka composa

et donna _ sous la direction d’Antonio Caldara _ son oratorio Sub olea pacis et palma virtutis conspicua orbi regia Bohemiae Corona 

_ j’en possède une interprétation en un double album Supraphon SU 3520-2 232, par les Ensembles Musica Florea,  Musica Aeterna, Philidor et les Boni Pueri soloists, sous la direction de Marek Stryncl _ ;

et son maître Johann Joseph Fux, son fameux oratorio Costanza e Virtute.

Il est plus que possible que la plupart des œuvres instrumentales _ chacune plus magnifique que les autres ! quelle jubilation !!! _ de Zelenka,

furent préparées pour cette brillantissime circonstance impériale.

Et c’est au Clementinum de Prague

à partir de 1690 _ Jan-Dismas avait onze ans _,

que Zelenka fit ses études musicales,

avant d’être engagé _ comme contrebassiste _, en 1711, à la cour d’Auguste le Fort, Electeur de Saxe et roi de Pologne, à Dresde,

où il allait faire toute sa carrière…

Selon le chef et violoniste Reinhardt Goebel,

avec Bach, Haendel, Leclair et Locatelli, 

Zelenka fait partie des 5 Grands Compositeurs du Baroque du XVIIIème siècle :

et peut-être même est-il le meilleur d’entre eux !!!

Tâchez d’écouter le programme jubilatoire

de ce magique CD Prague 1723, Passacaille 9524 !


Ce mercredi 15 avril 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour aujourd’hui, la joie-Haendel : les flamboyantes Vêpres des Carmelites, de 1707, par Andrew Parrott ; ainsi que la transcendante cantate « Tra le fiamme », par Emma Kirkby

27mar

Parmi les compositeurs les plus hédonistement jubilatoires,

figure Georg Friedrich Händel

(Halle, 23 février 1685 – Londres, 14 avril 1759),

formé surtout en Italie _ catholique _

lors d’un assez long et très fécond séjour

de l’automne 1706 à février 1710,

à Florence d’abord,

Rome surtout _ voilà ! _,

ainsi qu’à Naples et à Venise.

Le double album des Taverner Choir & Players dirigés par Andrew Parrott,

intitulé Carmelite Vespers (1707), paru en 1989

_ soient les CDs EMI Reflex 7 49749 2 _,

comportant un flamboyant Dixit Dominus,

demeure pour moi,

en leur splendide hyper-tonique énergie et magique ferveur,

une merveilleuse référence de réussite de jubilation

parmi les musiques de joie !

J’y adjoins,

de la même luxuriante période romaine de composition par le jeune Handel,

la sublime Cantate Tra le Fiamme

interprétée par une angélique et transcendante Emma Kirkby

et l’Academy of Ancient Music, dirigée par Christopher Hogwwood,

en un CD L’Oiseau-lyre 414 473-2 intitulé Cantates italiennes,

paru en 1985.


Ce vendredi 27 mars 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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