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Les parentés des Hiriart-Gaudin de Saint-Jean-de-Luz : un récapitulatif commode cette fin août 2019, dans le prolongement de mes recherches sur les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel

31août

Dans le prolongement de mes recherches _ assidues et patientesdes cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel

_ cf mon précédent répertoire récapitulatif (commode parce qu’exhaustif quant aux étapes, step to step, des découvertes de ma recherche) du 9 août dernier : 

 _,

voici ce jour

un répertoire récapitulatif de mes avancées sur quelques parentés des luziens Hiriart-Gaudin

_ cousins de Maurice Ravel, je l’ai démontré (alors qu’eux-mêmes aujourd’hui, telle Madame Maylen Gaudin-Lenoir, l’ignoraient : une étrangeté de situation qu’il faudra démêler ; cf mon article du 28 mai : …) ;

cf mes articles décisifs là-dessus des 13 et 26 mai 2019 :

et  _ :

Ce samedi 31 août 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
P. s. : voici _ toujours pour commodité de repérage _ le rappel exhaustif de ce ce que répertoriait mon récapitulatif du 9 août dernier : 

Pour éclairer les noms présents sur le faire-part de décès de Charles Gaudin en 1910 : Andourandéguy, Elissalt, Mesnard, Saint-Lanne…

18août

Poursuivant mon élucidation des liens de parenté avec les Gaudin, Bibal, Hiriart

de certaines familles dont les noms sont présents sur le faire-part de décès de Charles Gaudin, le 13 septembre 1910,

j’ai en effet découvert de nouveaux liens de parenté :

avec les familles Andourandéguy _ via les Harispe (et donc les Hiriart) _,

Elissalt _ via les Harispe encore _,

Mesnard _ via les Decaup (et donc les Hiriart) et d’autres Gaudin _,

Saint-Lanne _ via les Hiriart, à nouveau…

Ce qui confirme et la pertinence de mon intuition de l’importance des Hiriart au sein de la constellation familiale des Bibal-Gaudin luziens ;

et la justesse de mon étonnement du relatif effacement de la mémoire des ancêtres Hiriart au sein des descendants au XXe siècle de la famille Gaudin.


Le 13 mai 1857, eut lieu à Saint-Jean-de-Luz

le mariage de Raimond Andouréguy, 36 ans, charpentier, né à Saint-Pée-sur-Nivelle le 2 novembre 1820,

et de Gracieuse Harispe, 21 ans, née le 25 Septembre 1835,

fille de Samson Harispe, laboureur _ qui décèdera à Saint-Jean-de-Luz le 15 août 1870 _, et de feu Jeanne Issosta, décédée à Saint-Jean-de-Luz le 22 novembre 1837 _ Samson Harispe et Jeanne Issosta s’étaient mariés à Saint-Jean-de-Luz le 26 novembre 1834.

Sur les liens de parenté entre les Harispe _ et les Larroulet… _ et les Hiriart,

cf mon article du 20 juillet dernier :

Les liens de parenté entre les Elissalt et Hiriart-Gaudin _ et je ne parle pas ici de l’association industrielle entre Pascal Elissalt (Saint-Jean-de-Luz, 19 juillet 1878 – Ciboure, 14 janvier 1941) et Pascal Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 31 août 1883 – Oulches-Hurtebise, 12 novembre 1914) _ passent aussi par les Harispe :

Le 18 février 1857, eut lieu à Saint-Jean-de-Luz

le mariage de Jean Elissalt, 30 ans, tisserand, né à Saint-Jean-de-Luz, le 21 juillet 1826, fils de Pierre Elissalt, tisserand, et de Marie Darrigol,

et de Marie Harispe, 28 ans, née à Saint-Jean-de-Luz le 15 avril 1828, fille d’Augier Harispe et de Gracieuse Douat ;

étaient témoins, Jean-Joseph Harispe, 31 ans, laboureur, frère de l’épouse ;

Michel Elissalt, 27 ans, tisserand, frère de l’époux ;

et Samson Harispe, 23 ans _ né le 26 novembre 1834 _, laboureur, cousin de l’épouse.

Les liens de parenté entre les Mesnard et les Hiriart et les Gaudin, passent cette fois par les Decaup _ les Decaup, les Hiriart et les Bibal-Gaudin étaient déjà très proches voisins de la Grand’Rue (maintenant rue Gambetta) de Saint-Jean-de-Luz… _ :

Le 10 octobre 1882, eut lieu à Saint-Jean-de-Luz

le mariage de Henri Mesnard, 34 ans, boucher, né à Bayonne le 3 septembre 1838, fils de Pierre Mesnard, 63 boucher _ à Bayonne _, et de feue Jeanne Carrère, décédée à Bayonne le 27 septembre 1865,

et de Anne-Louise (dite Céleste) Decaup, 35 ans, née à Saint-Jean-de-Luz le 25 août 1847, fille d’Etienne Decaup, 60 ans, boulanger, et de feue Marie Ablast (?), décédée à Saint-Jean-de-Luz le 30 septembre 1855 ;

étaient témoins de ce mariage, Hippolyte Decaup, 29 ans, boulanger ;

Léon Bibal, 33 ans, peintre ;

Edmond Gaudin, 36 ans, rentier ;

et François Barnèche, 27 ans, négociant.

Le 13 mai 1857, eut lieu à Saint-Jean-de-Luz

le mariage de Etienne Decaup, 34 ans, boulanger, né à Habas (Landes) le 5 juillet 1822, fils de feu Pierre Decaup, propriétaire jardinier, décédé à Habas le 7 avril 1846 et de feue Marie Gassiat, décédée à Habas le 2 avril 1837 ;

le marié étant veuf de Marie Uot, décédée à Saint-Jean-de-Luz le 30 septembre 1855 ;

 et de Marie Hiriart, 23 ans, née à Urrugne le 8 avril 1834, fille de Martin Hiriart, laboureur, et de Marie-Angélique Darhampé.

Et le 11 février 1885, eut lieu à Saint-Jean-de-Luz

le mariage de Gustave-Martin Decaup, 27 ans, pâtissier, né à Saint-Jean-de-Luz le 4 février 1858, fils de feu Etienne Decaup, décédé à Saint-Jean-de-Luz le 1er mai 1884, et de Marie Hiriart, 51 ans,

et de Marie-Magdeleine-Isabelle Gaudin, 28 ans, née à l’Île Saint-Pierre de Terre-Neuve le 16 août 1857, fille de Martin Gaudin, menuisier, 56  ans, et de Marie-Martine Larronde, 46 ans.


Enfin, le lien entre les Saint-Lanne _ et non Saint-Glan _ et les Hiriart et les Gaudin passe par Marthe Hiriart.

Le 17 novembre 1846, eut lieu à Saint-Jean-de-Luz

le mariage de Baptiste Saint-Lanne, 30 ans, laboureur, né à Saint-Jean-de-Luz le 20 novembre 1816, fils de François Saint-Lanne, laboureur, et de Gana Berrouet

et Marthe Hiriart, 29 ans, née à Saint-Jean-de-Luz, le 16 décembre 1826, fille de Jean Hiriart, laboureur, et de feue Jeanne Barnètche, décédée à Saint-Jean-de-Luz le 4 mai 1843.

Et je passe ici sur les liens des Camicas et des Barnètche avec les Hiriart et les Berduqueu.

Pour le moment, je bute sur les liens des Capdepon et des Mathieu

avec les Hiriart-Gaudin-Bibal…


Ce dimanche 18 août 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche d’autres parentés avec les Hiriart de Saint-Jean-de-Luz : les Campet (de Bayonne), les Ribis (de Biarritz)…

15août

En continuant de rechercher les parentés avec les Hiriart et Gaudin de Saint-Jean-de-Luz, à partir des noms présents _ tel celui de Campet, ou celui de Ribis, ou celui de Laborde _ sur les faire-parts de décès des familles Hiriart, Bibal, Gaudin, de Saint-Jean-de-Luz,

en 1910, 1920, 1932 et 1936,

je viens de découvrir un mariage bayonnais, le 9 décembre 1895,

entre Eugène Campet, 29 ans, né à Bayonne le 7 juillet 1870, colleur de papiers, fils de feu Pierre Campet, décédé à Bayonne le 4 mars 1887, et de Marie Lafargue ;

et Elisabeth Hiriart, 22 ans, née à Bayonne le 20 novembre 1873, fille de feu Jean Hiriart, décédé à Bayonne le 30 avril 1882, et de Marianne Celhaya, marchande.

Une fille leur était née un peu auparavant, le 12 novembre 1895, prénommée Marianne Marcelle.

Étaient parmi les témoins de ce mariage bayonnais,

Jean Campet, 37 ans, frère de l’époux,

et Emmanuel Hiriart, 24 ans, charpentier de marine, frère de l’épouse.

J’ignore à ce jour quels liens existent entre ces Hiriart bayonnais et les Hiriart luziens…

Sans lien direct, cette fois aux Hiriart,

est décédée en son domicile à Biarritz, le 18 avril 1941, Madame Louis Ribis, née Marguerite Aguerregaray.

Je suppose que cette Marguerite Aguerregaray biarrote

a des liens de parenté avec les Aguerregaray bayonnais

parents aux Bordes, Dupouy, Manes… et Dougier ;

mais j’ignore encore lesquels précisément…


Je poursuis mes recherches ;

qui demandent un peu de temps, de patience ;

et un minimum de chance…


Ce jeudi 15 août 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouvelles avancées dans les recherches des familles apparentées aux Bibal et Gaudin de Saint-Jean-de-Luz, autour des Dougier : les deux Marie Aguerregaray…

13août

Quelques progrés dans mes recherches de liens de parenté de diverses familles avec les Bibal et Gaudin _ et Hiriart : un point demeuré assez largement aveugle jusqu’ici dans la mémoire familiale généalogique des Gaudin, semble-t-il… _ de Saint-Jean-de-Luz,

sinon les Hiriart, Imatz et Harispe _ dans mon intuition de direction de recherche à mener _ ;

et autour des Dougier _ sur les noms desquels Madame Gaudin-Lenoir aspirait, m’a-t-elle confié, à quelques éclaircissements…

C’est via le mariage, à Bayonne le 14 mars 1863,

de Marie Bordes (Bayonne, 24 juin 1841 – j’ignore la date et le lieu de son décès : fille des bayonnais Jean Bordes _ Bayonne, 10 mars 1817 – Bayonne, 17 septembre 1862 _ et Marie Aguerregaray _ Bayonne, 27 juin 1819 – Bayonne, 22 février 1882 _) _

et de Jean-Baptiste Dougier (Magnac-Laval, Haute-Vienne, 29 octobre 1825 – Soustons, Landes, 14 septembre 1866)

que certains des membres de la famille _ limousine (autour de Saint-Junien) _ Dougier vont résider désormais dans le Sud-Ouest.

Bordes et Aguerregaray sont les noms qui vont ici aimanter ma recherche ; auxquels vont se greffer les noms de Dupouy et de Manes _ et bien sûr de Dougier ! _,  tous présents _ je l’ai constaté : ce sont là des pistes de recherche… _ sur les quatre faire-part de décès des familles Bibal, Gaudin et Hiriart, au détail _ très précieux : ce sont des fils à dévider… _ desquels j’ai eu jusqu’ici accès :

celui de Charles Gaudin, décédé le 13 septembre 1910; celui d’Edmond Gaudin, décédé le 20 décembre 1920 ; celui de Marianne Imatz, la veuve de Dominique Hiriart, décédée le 9 juillet 1932 ; et celui d’Annette Bibal, la veuve d’Edmond Gaudin, décédée le 21 novembre 1936. 

À San Sebastián,

où les Dougier créent _ au tournant du XIXe et du XXe siècle ; cf le travail de Amaia Apraiz Sahagun et Ainara Martinez Matia : La Otra cara de la bella Easo : las industrias donostiarras, aux pages 442 à 445 _  une usine de miroirs (la Fábrica de espejos y Biselados Dougier & Cía, 38 Calle San Martin),

se marient le 8 avril 1901 _ c’est à noter _ Jean-Baptiste François Marie « Henri » Dougier (Bayonne, 23 juillet 1864 – j’ignore la date et le lieu de son décès _ fils unique de Jean-Baptiste Dougier (décédé, lui, précocement le 14 septembre 1866 : son fils avait à peine deux ans) et Marie Bordes _ et Caroline Ballé-Gourdon (originaire, semble-t-il, de Monein, en Béarn).

Henri Dougier et son épouse Caroline auront trois fils :

Jean _ qui épousera Suzanne Texereau : ils auront à leur tour trois fils, Jacques, Patrick et Philippe Dougier _,

Henri _ dit « Riquito » chez les Gaudin à Saint-Jean-de-Luz ; lui-même appelait « Madelon » Magdelaine Hiriart-Gaudin, la grand-mère de Maylen Gaudin-Lenoir, m’a confié celle-ci, qui l’a connu et se souvient de lui _, qui épousera _ la limousine, de Saint-Junien _ Marie-Anne Dussoulier _ ils auront quatre enfants : Germaine (décédée à l’âge de 10 ans, en 1943), Henry, Catherine et François Dougier ; Henry Dougier (né le 27 septembre 1936) est le créateur de la Revue et des Éditions Autrement ; cf son passionnant cycle d’entretiens « Henry Dougier, l’indocile activiste«  dans l’émission À voix nue sur France-Culture… _,

et Edouard Dougier _ qui épousera Thérèse Lefèbvre ; ils auront un fils : Pierre Dougier.

Mais c’est via le mariage

_ deux générations en amont de celles d’Henri Dougier et Caroline Ballé-Gourdon, et de Jean-Baptiste Dougier et Marie Bordes _,

à Bayonne le 27 novembre 1840 des parents _ bayonnais _ de Marie Bordes,

soient Jean Bordes (Bayonne, 10 mars 1817 – Bayonne 17 septembre 1862) et Marie Aguerregaray (Bayonne, 27 juin 1819 – Bayonne, 22 février 1882),

que se noue la parenté qui nous intéresse entre la famille Hiriart-Gaudin-Lenoir et les familles _ dont les noms sont présents sur divers faire-part de décès des Hiriart, Bibal et Gaudin : notamment celui de Charles Gaudin, décédé le 13 septembre 1910, celui d’Edmond Gaudin, décédé le 20 décembre 1920, celui de son épouse Annette Bibal-Gaudin, décédée le 21 novembre 1936 ; cf respectivement mes précédents articles du mardi 16 juillet, du mercredi 10 juillet, du samedi 8 juin :  ;  ; … Sur le faire-part du décès de Marianne Imatz, veuve de Dominique Hiriart, décédée le 9 juillet 1932, ne sont pas détaillés (hélas pour nous aujourd’hui) les noms des familles parentes et allées :  _ Laborde, Dupouy, Aguerregaray, Dougier et Manes ; ainsi que Ribis et Campet.

Voici, pour un rappel un peu commode, l’intégralité de ces quatre faire-part,

en 1910, 1920, 1932 et 1936 :

_ celui pour le décès de Charles Gaudin,
décédé le 13 septembre 1910, à Bimbo (Congo français) :

Madame Charles GAUDIN ;

Monsieur Edmond GAUDIN ;

Monsieur et Madame Edmond GAUDIN, Monsieur et Madame Dominique HIRIART 

Monsieur Pierre GAUDIN ; Mademoiselle Marie GAUDIN, Monsieur Henri COURTEAULT, archiviste aux Archives Nationales, et Madame Henri COURTEAULT ; Monsieur Pascal GAUDIN ; Mademoiselle Marie HIRIART ;

Monsieur Pierre COURTEAULT ;

Monsieur Pierre GARMENDIA ; Madame Charles GAUDIN ; Madame Pascal BIBAL ; Mademoiselle B. BIBAL ;

Monsieur et Madame Paul GAUDIN ; Mademoiselle Marie GAUDIN ; Monsieur Eugène GAUDIN ; Monsieur l’Abbé Jean GAUDIN ; Mademoiselle Thérèse GAUDIN ; Messieurs Marcel et Henri GAUDIN ; Monsieur Paquito BIBAL ; Mesdemoiselles Marie et Élise BIBAL ; Monsieur et Madame Grégoire BIBAL ; Monsieur Pepe BIBAL ; 

Monsieur et Madame Martin ZOZAYA ;

Les familles GAUDIN, ANDURANDÉGUY, ELISSALT, MESNARD,

LABORDE, DUPOUY, BORDES, AGUEREGARAY,

LARROULET, SAINT-GLAN, MATHIEU et CAPDEPON ;

Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de

Monsieur Martin-Marie-Charles GAUDIN

Capitaine au long cours

leur époux, père, fils, gendre, frère, beau-frère, oncle, neveu, cousin-germain, cousin et petit-cousindécédé accidentellement le 13 septembre 1910, à Bimbo, territoire de Bangui (Congo français), à l’âge de trente-quatre ans.

Priez Dieu pour Lui !

_ celui pour le décès d’Edmond Gaudin,
décédé le 20 novembre 1920, en son domicile, à Saint-Jean-de-Luz :

Madame Edmond GAUDIN ;

Mademoiselle Marie GAUDIN, Monsieur Henri COURTEAULT, Conservateur adjoint aux Archives Nationales, et Madame Henri COURTEAULT, Madame Charles GAUDIN ;

Monsieur Edmond GAUDIN, Monsieur Pierre COURTEAULT, Mademoiselle Anne-Marie COURTEAULT ;

Madame Charles GAUDIN, Mademoiselle B. BIBAL, Madame Pascal BIBAL ;

Monsieur et Madame Paul GAUDIN, Mademoiselle Marie GAUDIN, Monsieur Eugène GAUDIN, Monsieur l’Abbé Jean GAUDIN, Monsieur et Madame Marcel GAUDIN et leurs enfants, Mademoiselle Thérèse GAUDIN, Monsieur Henri GAUDIN, Monsieur et Madame François BIBAL, Mesdemoiselles Marie et Elise BIBAL, Monsieur et Madame Grégoire BIBAL, Monsieur Joseph BIBAL ;

Les familles LABORDE, DUPOUY, BORDES, AGUEREGARAY, DOUGIER et MANES ;

Ont l’honneur de vous faire-part de la perte douloureuse qu’ils viennent d’éprouver en la personne de

Monsieur Edmond GAUDIN,

leur époux, père, beau-père, grand-père, beau-frère, oncle, grand-oncle, cousin et petit-cousin décédé le 20 décembre 1920, en son domicile, à Saint-Jean-de-Luz, rue Gambetta N° 41, dans sa 77e année, muni des Sacrements de l’Eglise.

PRIEZ POUR LUI !

Saint-Jean-de-Luz, 41 rue Gambetta, Paris, 7 rue Denis-Poisson

_ celui pour le décès de Marianne Imatz, veuve de Dominique Hiriart,
décédée le 9 juillet 1932, en son domicile, à Saint-Jean-de-Luz :
Madame Veuve GAUDIN, née Hiriart ;
Mademoiselle Marie HIRIART ;
Monsieur Edmond GAUDIN ;
Madame Veuve ZOZAYA, née Dargaignaratz ;
Les parents et alliés
Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu’ils viennent d’éprouver en la personne de
Mme Dominique HIRIART
née Marianne IMATZ
Leur mère, grand-mère et cousine, décédée, munie des sacrements de l’Eglise, le 9 juillet 1932, dans sa 88éme année, en son domicile, 30 rue Gambetta, à Saint-Jean-de-Luz.
En vous priant de bien vouloir leur faire l’honneur d’assister aux Obsèques qui auront lieu le Lundi 11 courant, à 10 heures très précises, à l’église de Saint-Jean-de-Luz.
On se réunira à la maison mortuaire à 9 heures trois-quart.


_ celui pour le décès d’Annette Bibal, veuve d’Edmond Gaudin,
décédée le 21 novembre 1936, en son domicile, à Saint-Jean-de-Luz :

Mademoiselle Marie GAUDIN, Monsieur Henri COURTEAULT, Directeur des Archives, Officier de la Légion d’Honneur, et Madame Henri COURTEAULT, Madame Charles GAUDIN ;

Monsieur Edmond GAUDIN, Ingénieur Agricole, Géomètre Expert, et Madame Edmond GAUDIN, Monsieur Pierre COURTEAULT, Avocat à la Cour de Paris, et Madame Pierre COURTEAULT, Mademoiselle Anne-Marie COURTEAULT ;

Mademoiselle Bernardine BIBAL, Madame Charles GAUDIN ;

Monsieur et Madame François BIBAL, Mesdemoiselles Marie et Elise BIBAL, Monsieur et Madame Grégoire BIBAL, Monsieur Joseph BIBAL, Monsieur et Madame Paul GAUDIN, Mademoiselle Marie GAUDIN, Monsieur et Madame Marcel GAUDIN et leurs enfants, Monsieur l’Abbé Jean GAUDIN, Mademoiselle Thérèse GAUDIN, en religion Sœur Thérèse du Christ, Monsieur et Madame Henri GAUDIN et leur fille ;

Mademoiselle Jenny BORDES ;

Madame Marie DUPOUY, Dame du Sacré Cœur ;

les familles CAMPET, DOUGIER, MANES et RIBIS,

Ont l’honneur de vous faire part de la perte douloureuse qu’ils viennent d’éprouver en la personne de

Madame Edmond GAUDIN,

née Annette BIBAL,

leur mère, belle-mère, grand-mère, sœur, belle-sœur, tante, grand-tante et cousine, pieusement décédée en son domicile, le 21 novembre 1936, dans sa 92e année, munie des Sacrements de l’Eglise.

Priez Dieu pour elle !

Saint-Jean-de-Luz, Villa Mirentchu,

Paris, 60, rue des Francs-Bourgeois, Paris (3e),

Paris, 11, rue du Cherche-Midi (6e).

Si à ce jour je n’ai pas encore découvert un lien clairement affirmé entre les Dougier et les Gaudin, néanmoins existe une très forte présomption de lien de parenté entre les Hiriart et les Aguerregaray _ du moins ceux de Saint-Jean-de-Luz, sinon ceux de Bayonne : les liens entre ces divers Aguerregaray mériteraient assurément d’être éclairés… _ :

du fait de la très probable fraternité entre Alexandre Hiriart (j’ignore ses dates de naissance et de décès ; époux d’Isabelle Berastéguy, dont j’ignore aussi les dates de naissance et décès _ tous deux, probablement luziens, sont probablement décédés avant 1800 _) et Michel Hiriart (1744 – 23 février 1814 ; époux de Marie Duhamel) ainsi que Jeanne Hiriart (1754 – 1er mars 1814 ; épouse de M. Saint-Martin) ;

il se trouve que leurs enfants respectifs,

Bernard Hiriart (27 septembre 1778 – 16 mars 1852 ; époux _ à Saint-Jean-de-Luz le 17 septembre 1816 _ de Marie Aguerregaray, née à Saint-Jean-de-Luz le 30 mars 1781 et décédée à Saint-Jean-de-Luz le 7 avril 1861 tel est probablement là le lien familial originaire entre les Aguerregaray (du moins ceux de Saint-Jean-de-Luz, sinon ceux de Bayonne) et les Hiriart-Gaudin ! Reste à savoir quel est le lien de parenté entre la Marie Aguerregaray luzienne (1781 – 1861), épouse, le 17 septembre 1816, à Saint-Jean-de-Luz, du luzien Bernard Hiriart ; et la Marie Aguerregaray bayonnaise (1819 – 1882), épouse, le 14 mars 1863, à Bayonne, du bayonnais Jean Bordes… ; la Marie Aguerregaray luzienne était fille de Jean Aguerregaray et de Marie Foursans ; mais j’ignore pour le moment les noms des deuxs parents de la Marie Aguerregaray bayonnaise… _),

fils d’Alexandre Hiriart et son épouse Isabelle Berastéguy, d’un premier côté de ces Hiriart luziens ;

et Etienne Hiriart (13 mai 1784 – 10 août 1823 ; époux _ à Saint-Jean-de-Luz le 7 juin 1815 _ de Françoise Berduqueu), Pierre Hiriart (3 janvier 1783 – 16 septembre 1837 ; époux _ à Saint-Jean-de-Luz le 12 juin 1832 _ de Marie Camicas) et leur sœur Jeanne Hiriart (7 septembre 1791 – 21 octobre 1871 ; épouse _ à Saint-Jean-de-Luz le 21 octobre 1871 _ de Jean Cassan, lui-même fils de Jeanne Hiriart, née en 1754 et décédée le 1er mars 1814),

tous trois enfants de Michel Hiriart et son épouse Marie Duhamel, de l’autre côté de ces Hiriart luziens,

sont très probablement cousins germains.


Ce que vient confirmer le fait éminemment notable que lors du mariage, à Saint-Jean-de-Luz, le 10 janvier 1843, de Gérôme Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 17 août 1817 – Saint-Jean-de-Luz, 21 février 1866 ; fils de Bernard Hiriart et Marie Aguerregaray ; et conducteur de diligences) avec Dominica Plantié,

fait partie des quatre témoins de ce mariage

Jean-Baptiste Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 10 avril 1816 – Saint-Jean-de-Luz, 24 septembre 1859, époux _ quatre ans plus tard : le 10 novembre 1846, à Saint-Jean-de-Luz _ de Marie Etcheverry, fille de la seconde Marie Delouart ! _ cf mon article du vendredi 12 avril : … _, son très probable cousin germain…

Ce Jean-Baptiste Hiriart, tonnelier, qui est le père de Dominique Hiriart (néà Saint-Jean-de-Luz le 28 janvier 1849), et le grand-père de Magdeleine Hiriart-Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 15 juin 1968 : la cousine de Maurice Ravel !), elle-même la grand-mère paternelle de Maylen Gaudin-Lenoir.

Sont également témoins de ce mariage de Gérôme Hiriart et Dominica Plantié,

Dominique Hiriart, 25 ans, tonnelier, et Pierre Hiriart, 24 ans, boucher, frères de Jean-Baptiste Hiriart _ tous cousins germains du marié, donc.

Les liens familiaux sont donc étroits entre les branches luziennes de la famille Hiriart.

Reste à préciser le lien de parenté

entre les Aguerregaray de Saint-Jean-de-Luz,

apparentés aux Hiriart,

et les Aguerregaray de Bayonne,

dont sont issus, via des Bordes,

des Dupouy, des Manes, et des Dougier !

Et voilà comment,

à partir des Hiriart et de leurs liens _ à mieux étayer _ avec les Aguerregaray, les Bordes, les Dupouy et les Manes,

les présents Dougier sont apparentés aux présents Gaudin et Lenoir de Saint-Jean-de-Luz…


Ce mardi 13 août 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point sur la collection de mes articles raveliens révisés : les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel (suite)

07juin

Au fur et à mesure des découvertes

de ma recherche des cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel,

doit être opérée de temps en temps une révision des articles,

qui tienne compte des connaissances nouvelles

venant permettre de corriger des erreurs,

ou de combler des ignorances,

antérieures ;

de même qu’afin de procéder à des synthèses claires et commodes

d’information.

Ainsi ai-je passé ma journée d’hier _ et à nouveau celle du lundi 15 juillet _ à relire et corriger
l’ensemble de mes articles raveliens
en prenant en compte mes prises de connaissance successives,
et pour éliminer les erreurs et ignorances gênantes antérieures.
Et rendre chaque article (de ce work in progress) utilisable en lui-même, déjà, pour le lecteur.
Même si doivent probablement demeurer encore pas mal d’erreurs non repérées,
en plus de pas mal d’ignorances connues et reconnues.
Le travail n’est donc pas achevé ; même si il progresse…
Est-il d’ailleurs achevable ? Non. Il est améliorable à l’infini. Cependant il progresse.
Et je sais bien que de temps en temps j’aurai à procéder à des synthèses claires.
Ce matin même,
j’ai retouché le dernier d’entre ces articles, celui du 1er juin, à propos de la «Tante Bibi » de chez les Bibal-Gaudin…
Notamment à propos d’Annie Courteault, du fait de documents la concernant qui viennent de m’être adressés.
En voici donc la collection :
Tout cela, à partir de la lecture patiente de l’irremplaçable travail de Manuel Cornejo
en son indispensable édition de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel
À suivre :
bien des questions demeurent,
notamment sur les blancs _ pour ne pas dire ruptures, coupures ! _ des transmissions
tant de documents _ égarés, détruits, vendus on ne sait pas à qui,
et où ils pourraient être providentiellement lus, déchiffrés, mis à profit pour la connaissance _
que mémorielles ! _ ce qui est encore davantage énigmatique…
Outre le cousinage luzien Hiriart-Gaudin-Lenoir
(et aussi la fréquentation des Courteault, mais qui ne sont pas, eux, des cousins de Maurice Ravel, même si ils sont des cousins des Gaudin-Lenoir ; et des amis très proches eux aussi de Ravel),
très étroitement entretenu par Ravel, ce cousinage luzien,
existent aussi, moins visibles _ et surtout moins cultivés par Maurice Ravel lui-même _,
les cousinages cibouriens,
complètement délaissés eux _ après la venue et le séjour (de trois mois) à Ciboure de Marie Delouart-Ravel, trois mois de l’été 1911 : chez les apparentés (aux Delouart) Anchochury… _ par la critique,
faute d’avoir été si peu que ce soit cultivés par Maurice Ravel lui-même
après le décès de sa mère _ décès survenu pendant la Grande Guerre : une énorme coupure à tous égards ! _, le 5 janvier 1917,
lors des retours et séjours de celui-ci à Saint-Jean-de-Luz _ et plus jamais Ciboure, remarquons-le ! _,
après la guerre :
en 1921, 1923, 1924 : au 41 rue Gambetta, chez les Gaudin
_ je note au passage que c’est entre le 21 juin (une carte postale de Maurice Ravel à Annie Courteault a encore pour adresse le 41 rue Gambetta) et le 5 août 1924 (une carte postale de Maurice Ravel à Marie Gaudin, mentionne pour la première fois le domicile de la « Villa Mirentchu«  : « Il faudrait que mon boulot avançât fichtrement plus vite pour qu’il y eût une chance pour moi d’aller passer quelques jours à Mirenchu« ) que s’effectua le déménagement luzien des membres restants de la maisonnée Bibal-Gaudin de la maison du 41 rue Gambetta à la Villa Mirentchu, toute proche : Annette Bibal-Gaudin, sa sœur la fameuse « Tante Bibi«  Bibal, et la petite Annie Courteault, alors âgée de 11 ans, qui suivait les cours de la Pension Sainte-Odile, à Saint-Jean-de-Luz… _ ;
en 1927, 1928, 1929, 1930 : au 9 rue Tourasse _ ainsi qu’un peu à « Mirentchu » aussi, en 1929 _ ;
en 1932 : à l’Hôtel basque ;
en 1935, Ravel déjà bien malade, en compagnie de Léon Leyritz …
Que de pistes sont ainsi à ouvrir, ou rouvrir ;
ou même revisiter
les yeux un peu mieux ouverts
Ce vendredi 7 juin 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
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