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Et parution, aussi, d’un CD « Les Concerts royaux » de François Couperin, par Patrick Cohën-Akenine et Les Folies françaises : le terrible défi de réussir à « attraper » la toute simple confondante magie du très discret François Couperin…

28oct

Comme en une suite à la récente parution du très beau CD « François Couperin L’âme en peine – Pièces pour clavecin » de Michèle Dévérité (le CD sonamusica SONA2305)

_ cf mon article «  » d’avant-hier jeudi 26 octobre _,

paraît aussi maintenant, pour le label Château de Versailles Spectacles, un CD « Couperin les Concerts royaux _ Issus du Troisième Livre de pièces de clavecin, 1722« , le CD CVS099, par Les Folies françaises et son chef, Patrick Cohën-Akenine :

quatre « Concerts » qui sont rien moins qu’un des sommets absolus de toute la musique française ;

pas moins !..

Que penser alors de cette nouvelle interprétation de tels chefs d’œuvre de François Couperin ?

_ le CD a été enregistré au Musée instrumental de Provins, où est conservé le somptueux clavecin de Pierre Donzelague (Lyon 1711), du 27 au 29 juillet 2021…

Après une recherche rapide dans l’ordre incertain des rangées et piles de ma discothèque _ quelques autres CDs de ces quatre « Concerts royaux«  ayant probablement échappé à mon regard ; et je ne possède pas l’enregistrement de Christophe Rousset Aparté AP 196 (paru le 19 avril 2019, il a dû échapper à ma vigilance)… _,

j’ai mis la main sur quatre CDs comportant ces quatre « Concerts royaux« -ci de François Couperin :

 

_  enregistré en 1973, le CD Séon – RCA Victor GD 71960, dirigé par Sigiswald Kuijken ;

 

_ enregistré en 1975, le CD Archiv 427 119-2, dirigé par Heinz Holliger ;

_ enregistré en 1986, le CD ASV Gaudeamus CD GAU 101 du Trio Sonnerie, dirigé par Monica Huggett ;

_ et enregistré en 2004 _ du 6 au 10 septembre 2004 à l’abbaye de Saint-Michel-en-Thiérache _, le CD Alia Vox AVSA 9340 du Concert des Nations, dirigé par Jordi Savall, avec Manfredo Kraemer au violon, Marc Hantaï à la flûte traversière, Alfredo Bernardini, au hautbois, Josep Borras au basson, et Bruno Cocset à la basse de violon, Jordi Savall à la basse de viole, Xavier Diaz-Latorre au théorbe et à la guitare, et Guido Morini au clavecin…

 Ce CD Alia Vox de 2004 est tout simplement merveilleux de finesse, grâce et justesse :  nous voicis introduits dans l’intimité même du cabinet de musique du roi Louis XIV, auxquels ces sublimissimes « Concerts royaux » de François Couperin étaient tout spécialement destinés, en 1714 et 1715 :  « Ces pièces étaient exécutées par Messieurs Duval, Philidor, Alarius et Dubois _ respectivement au violon, au hautbois, à la viole de gambe et au basson… _ ; j’y touchais le clavecin« , en a rapporté François Couperin lors de leur publication, en 1722…

En comparaison,

le récent bien tristement poussif CD des Folies françaises, a l’allure d’une première lecture tâtonnante, et pas du tout en place, de déchiffrage…

Et c’est hélas par son absence qu’y brille la resplendissante délicate magie de François Couperin…

Réussir à vraiment « attraper » la stupéfiante toute simple _ absolument dénuée d’artifices _ magie de François Couperin est décidément bien difficile…

 

 Ce samedi 28 octobre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un petit détour lumineux par trois « Royal Odes » de Henry Purcell par le Banquet céleste de Damien Guillon : un charme délicieux tout simplement ravissant…

24oct

Un vif désir de lumineuse élégance _ très simple et sans tapage : écoutez et regardez ceci _ m’a conduit au CD « Purcell Royal Odes » du Banquet Céleste de Damien Guillon, le CD Alpha 780, paru le 4 mars 2022, et que j’avais jusqu’ici sottement négligé

_ et cela alors que souvent je me plains du bien faible niveau de la plupart des interprétations purcelliennes depuis au moins vingt ans…

À l’appui,

cet article-ci, en date du 28 juin 2022, de Christophe Steyne sur l’excellent site Crescendo :

Panel d’odes royales de Purcell, par un angélique Banquet céleste

LE 28 JUIN 2022 par Christophe Steyne

Royal Odes. Henry Purcell (1659-1695) : From those serene and rapturous joys, Z. 326. Fly, bold rebellion, Z. 324. Why are all theses muses mute, Z. 343. Céline Scheen, Suzanne Jerosme, soprano. Damien Guillon, Paul-Antoine Bénos-Djian, contre-ténor. Nicholas Scott, Zachary Wilder, ténor. Benoît Arnould, Nicolas Brooymans, basse. Le Banquet céleste. Marie Rouquié, Paul Monteiro, violon. Deirdre Dowling, alto. Julien Barre, violoncelle. Thomas de Pierrefeu, contrebasse. André Heinrich, luth. Kevin Manent-Navratil, orgue. Brice Sailly, clavecin. Février 2021. Livret en français, anglais, allemand ; paroles en anglais traduit en français. TT 63’02. Alpha 780

Ces trois odes datent de 1683-1685, alors que Purcell venait d’être nommé organiste à la Chapelle royale, et avant qu’il ne brille dans le genre opératique. Les « chants de bienvenue » honoraient le retour de la famille régnante _ Stuart _ dans le Palais de Whitehall, après leur séjour estival à la campagne. From those serene and rapturous joys est une de ces welcome odes ; dans la symphonia introductive, l’abrupte transition de ré mineur à majeur évoque-t-elle le rétablissement de la monarchie après le Commonwealth ? Fly, bold rebellion Illustre un complot déjoué contre Charles II. D’un langage tout aussi ingénieux, Why are all theses muses mute fait aussi allusion à cette tentative de régicide, et s’inscrit dans le contexte de la disparition de Charles II, déploré par un arioso empreint d’affliction.

L’équipe du Banquet céleste, dont voici le premier album consacré à l’Orpheus Britannicus _ Henry Purcell (1659 – 1695) _, tourne actuellement en concert (Poitiers, Rennes…) avec ces royal odes. Il y a une trentaine d’années, Robert King et son consort avaient gravé les vingt-quatre dans une série sous étiquette Hyperion qui fit date en tant qu’intégrale, mais était minée par un dramatisme déficient et une rigueur routinière. Le retour du musicien anglais pour le label Vivat à l’automne 2020 manifeste peu de changement esthétique, et ces bijoux du jeune Henry restent _ désespérément… _ à l’affût d’interprètes capables d’en restituer l’éloquence et le génie formel. La principale vertu de l’ensemble rennais _ Le Banquet céleste, de Damien Guillon _ réside dans le raffinement _ oui _ vocal comme instrumental, fidèle à la vocation chambriste de ces pages qui, pour être dédiées au souverain, s’enchâssent néanmoins dans une expression intime _ tout à fait.

Des voix fraîches et finement dosées cisèlent _ sans nulle affectation _ toute l’émotion du texte, à l’instar de Paul-Antoine Bénos-Djian dans le Rivers from their channel turned. Les figuralismes ne sont pas trahis, ni par le style ni par la technique (Nicolas Brooymans dans la redoutable tessiture d’abysse du Acursed Rebellion). Quelle magnifique conclusion offerte au Z. 326 : un With trumpets and shouts, introduit par un exultant Nicholas Scott (les crescendos après 0’32 !) et rejoint par un chœur resplendissant. Certes l’accompagnement instrumental semble parfois lisse et timide, quelques numéros restent sur une gracile réserve. Mais un délicat esprit _ voilà : sans se pousser du col… _ règne sur l’ensemble de cette réalisation, au point que Purcell s’entend rarement servi avec pareille subtilité _ oui. Quelle souplesse dans le Come then, change your notes d’une exquise cambrure rythmique ! Quel tact dans le For majesty moves et But heaven has now dispelled those fears ! Quel frémissement dans Welcome to all those wishes fulfilled ! Tissée par un Banquet rien moins que céleste, effectivement, cette musique paraît moins commandée par l’apparat de cour qu’elle n’est dictée par la lyre des anges. Au sein de la discographie : un témoignage infiniment précieux, qui va droit à l’âme et aiguise notre appétence pour une suite _ oui, oui, oui.

Son : 8,5 – Livret : 9 – Répertoire : 10 – Interprétation : 9,5

Christophe Steyne

Quel charme délicieux et ravissant !!!

Ce mardi 24 octobre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis écouter et comparer, pour le plaisir, de la « Danse roumaine » Op. 8a BB 56, Sz 43 n°1 de Bela Bartok (en 1910), les podcasts du CD Artalinna ATL A027 de Benedek Horvath avec sa vidéo de ce même opus prise en concert le 10 novembre 2018…

22oct

Dans la continuité de mes articles des 19, 20 et 21 octobre _ «  « , «  » et « «  _,

voici ce dimanche 12 octobre 2023 de quoi comparer deux interprétations données à Paris au mois de novembre 2018 par Benedek Horvath, de la « Danse roumaine » Op. 8a, BB 56, Sz 43 n°1, de Bela Bartok (de 1910) :

_ d’une part, les podcasts des deux mouvements 1 (Allegro vivace – Lento – Tempo primo) et 2 (Poco Allegro – Piu mosso – Molto vivace – Vivacissimo), d’une durée respective de 4′ 50 et de 4′ 27, du CD Artalinna ATL A-027, qui paraît maintenant…  ;

et

_ d’autre part la vidéo du premier mouvement de cette même « Danse roumaine » Op. 8a, BB 56, Sz 43, d’une durée de 4′ 34

_ avec en bonus,  cette autre vidéo prise le même jour, le 10 novembre 2018, lors du même concert de Benedek Horvath, du sublime « Dans les brumes » (de 1913) de Leos Janacek, d’une durée de 13′ 23…

Pour le plaisir de tout ressentir d’une œuvre à jamais étonnante, puissante et magnifique…

Ce dimanche 22 octobre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ré-écouter et re-comparer diverses interprétations du chef d’oeuvre « Dans les brumes » de Leos Janacek, au regard, aujourd’hui, de la poésie si intense et juste du piano ultra-sensible et fort de Benedek Horvath…

20oct

Dans la poursuite des réflexions de mon article d’hier «  » à propos de mon émerveillement pour le piano justissime de Benedek Horvath _ né à Budapest en 1989, Benedek Horvath avait donc 27 ans lors de l’enregistrement, à Paris, au mois de novembre 2018, de son merveilleux CD « Bartok, Janacek & Kurtag » Artalinna ATL 025 _,

je me décide ce matin à comparer, à l’écoute des divers CDS, son sublime « Dans les brumes« , ce chef d’œuvre transcendant de Leos Janacek, avec les interprétations précieusement thésaurisées de ma part en ma discothèque personnelle de

_ Rudolf Firkusny (à Munich en 1971, pour Deutsche Grammophon, et à New-York en 1989, pour RCA),

_ Radosval Kvapil (à Paris en 1989 pour Adda),

_ Alain Planès (à Aulnay-sous-Bois en 1994 pour Harmonia Mundi),

_ Leif Ove Andsnes (à Snape – Suffolk en 1995 pour Virgin Classics),

_ Cathy Krier (à Luxembourg en 2013 pour CAvi-Music)

_ ou encore Lars Vogt (à Cologne en 2020 pour Ondine)…

Ce qui incidemment me renvoie aussi à un article mien du 13 mars 2022 : «  » :

Ecouter et comparer diverses interprétations de « Dans les Brumes » de Leos Janacek…

— Ecrit le dimanche 13 mars 2022 dans la rubriqueMusiques

Je me suis demandé à laquelle des interprétations de « Dans les brumes » de Leos Janacek (Hukvaldy, Moravie, 3 juillet 1854 – Ostrava, Moravie, 2 août 1928) que ma discothèque comporte, allait ma préférence :

Rudolf Firkusny (en 1971 et 1989) ? Radoslav Kvapil (en 1989) ? Leif Ove Andsnes (en 1990) ? Alain Planès (en 1994) ? Cathy Krier (en 2013) ?

Ou bien à la plus récente d’entre elles (en 2021) : celle de Lars Vogt ?..

Le génie si idiosyncrasique de Leos Janacek est terriblement malaisé à « attraper » par les interprètes qui osent se frotter à sa musique…

Pour ma part, déjà, je préfère le quelque chose de plus légèrement râpeux de Radoslav Kavpil (Brno, Moravie, 15 mars 1934) à l’élégance irrépressible et magnifique de Rudolf Firkusny (Napadjedl, Moravie, 11 février 1912 – Staatsbourg, New-York, 19 juillet 1996) ;

et tous deux sont eux aussi moraves…

Dans mon article du 10 janvier 2018 (« « ), j’avais exprimé une certaine admiration pour le talent très probe et vif de Cathy Krier (Luxembourg, 17 janvier 1985), dans son double album Janacek…

….

Et j’aime aussi beaucoup l’art toujours très juste d’Alain Planès (Lyon, 20 janvier 1948) : en son CD Janacek, également… 

Et Leif Ove Andsnes (Karmøy, 7 avril 1970) est vraiment très bien lui aussi, assez proche de l’élégance rêveuse, morave, de Rudol Firkusny…

Mais Lars Vogt (Düren, 8 septembre 1970) est absolument fidèle à l’idiosyncrasie incisive, à l’occasion râpeuse, et tendre sans le moindre pathos, de Leos Janacek…

Ce dimanche 13 mars 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un article d’il y a 18 mois qu’il me faut, à la réécoute aujourd’hui de ces diverses interprétations, et comparativement au jeu absolument justissime de Benedek Horvath,

nécessairement revoir et ajuster…

Et je dois dire que l’interprétation live, de novembre 2018, de Benedek Horvath touche le cœur le plus intime de la poésie à la fois incisive et tendre, tragique aussi, de Leos Janacek : un vrai miracle d’intelligence et sensibilité du pianiste ;

nous frémissons à ressentir sur la peau les gouttelettes des brumes nimbant le paysage ouateux et mouvant des vallons et tourbières de Moravie…

Ce vendredi 20 octobre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une étincelante pépite Martinu : le double concerto pour violon, piano et orchestre (de 1953), par le violon de Josef Spacek, le piano de Miroslav Sekera et l’Orchestre Symphonique de Radio-Prague dirigé par Petr Popelka, un lumineux et profond CD Supraphon…

17oct

Une étincelante pépite Martinů :

le sublime « double concerto pour violon, piano et orchestre » (H. 342, composé à New-York _ et quelque part cela se ressent… _ en 1953), par le violon de Josef Špaček, le piano de Miroslav Sekera, et l’Orchestre Symphonique de Radio-Prague dirigé par Petr Popelka,

en un lumineux et profond CD Supraphon (SU 4330-2) _ avec la « Sonate pour violon n°3 » H. 303 (de 1944), et les « 5 Pièces brèves pour violon et piano » H. 184 (de 1930) de Martinů ; enregistré du 31 octobre au 2 novembre 2021 au Studio 1 de la Radio tchèque à Prague, pour le « double concerto« , et dans la salle Dvořák du Rudolfinum, du 11 au 14 mai 2020 pour la « Sonate n°3« , et le 23 octobre 2022 pour les « 5 pièces brèves«  _ :

voilà ma découverte éblouie de ce jour,

tout innocemment présent sur la table des nouveautés du rayon Musique de la librairie Mollat.

Or, Bohuslav Martinů (Polička, 8 décembre 1890 – Liestal – Suisse, 28 août 1959) est un compositeur que depuis longtemps je porte au pinacle de même que j’adore pas mal de compositeurs tchèques et moraves, Antonín Dvořák, Josef Suk, Leoš Janáček, par exemple, dont la musique me parle tout spécialement…

Ce « Double Concerto pour violon, piano et orchestre » de Martinů qui n’est pas sans me rappeler d’une certaine façon le somptueux « Double Concerto pour violon, violoncelle et orchestre » (Op. 102, de 1887), de Johannes Brahms (1833 – 1897), que je viens de chroniquer avec une intense admiration aussi le 12 octobre dernier : « « …  

De cette œuvre admirable _ archivée H. 342 _ d’un Martinů de la maturité accomplie _ en 1953, le compositeur est dans sa 63e année de vie, et va bientôt revenir des États-Unis, pour résider à nouveau en cette France de son épouse Charlotte… _,

nous disposons aussi d’une splendide vidéo d’un enregistrement _ d’une durée de 27′ 07 _ en concert, en la salle Dvořák du merveilleux Rudolfinum de Prague, le 9 octobre 2021, par ces mêmes admirables interprètes, Josef Špaček, Miroslav Sekera, et l’Orchestre Symphonique de Radio-Prague dirigé par Petr Popelka, qui l’enregistreront bientôt en studio  _ en une durée de 26′ 10, au CD _ peu après : du 31 octobre au 2 novembre suivants…

Ma discothèque recèle aussi, en un coffret Hyperion de 4 CDS _ intitulé « The complete music fir violin and orchestra« , par Bohuslav Matousek, le Czech Philharmonic Orchestra, sous la direction de Christopher Hogwood, paru en 2019 ; cf mon article du 21 mars 2019 : « «  _, une autre interprétation _ elles ne sont pas nombreuses _ de ce même « double concerto pour violon, piano et orchestre » (H. 342, de 1953) de Bohuslav Martinů,

par Bohuslav Matoušek au violon, Karel Košarek au piano, et Christopher Hogwood dirigeant le Czech Philharmonic Orchestra…

Et d’autre part,

on peut aussi accéder ici même à une vidéo _ d’une durée de 26′ 47 _ d’un précédent et lui aussi merveilleux, très touchant, « double concerto pour violon, piano et orchestre » de Bohuslav Martinů, de 1910 cette fois _ Martinů n’avait même pas 20 ans… _, et archivé H 13, en une interprétation de Bohuslav Matoušek au violon et Petr Adamec au piano _ assez étrangement nulle part ne sont indiqués ni le nom de l’orchestre, ni celui du chef qui l’a dirigé ; et je ne possède hélas pas le précieux coffret de 4 CDs qui le comporte… _qui vient nous offrir une passionnante et très belle mise en perspective du parcours musical de Bohuslav Martinů, de 1910 à 1953…   

Enfin, il me faut aussi et bien sûr faire l’éloge du brillant violoniste très attachant de ce CD Supraphon de l’automne 2021 : Josef Špaček ; dont je possède déjà les belles interprétations du CD Supraphon SU 1482-2 « Dvořák, Suk, Janáček – Violin Concertos« , paru en 2015, avec l’Orchestre Philharmonique tchèque dirigé par le grand Jiří Bělohlávek…

On peut aussi découvrir Josef Špaček en cette brève vidéo (d’une durée de 3′ 21) de présentation, avec son compère violoncelliste  Tomáš Jamník, d’un très séduisant CD Supraphon SU 4304-2 « Paths« , de Duos pour violon et violoncelle de Leoš Janáček, Gideon Klein, Bohuslav Martinů et Ervín Schulhoff…  

Que de splendides musiques tchèques et moraves !

Et que de merveilleux interprètes idoines en ce si sensible et émouvant répertoire…

Ce mardi 17 octobre 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

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