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A propos d’interprétations séduisantes de l’un peu austère « Art de la Fugue » de Jean-Sébastien Bach : retour à quelques impressions passées…

31août

En réfléchissant aux diverses interprétations discographiques de L’Art de la Fugue (BWV 1080) qui ont pu jusqu’ici retenir mon attention,

et peut-être même me toucher _ voire me séduire… _,

je retrouve un ancien article mien, daté du 2 mai 2019,

intitulé 

Il se trouve que cet article présente à mes yeux le mérite d’une fraîcheur je dirais non calculée, à l’égard d’une œuvre que je trouve personnellement plutôt austère dans pas mal d’interprétations, pour le moins ; une œuvre vers laquelle rien ne me pousse beaucoup

_ un peu comme L’Offrande musicale

Re-voici donc cet article d’il y a 2 ans :

Arrive-t-il parfois à Bach

de nous être ennuyeux ?

En tout cas certainement pas dans l’interprétation de L’Art de la Fugue que nous donne ces jours,

en un tout simplement miraculeux CD AEolus  AE – 10154,

Bob van Asperen

_ avec l’appoint de Bernhardt Klapprott sur un second clavecin pour les deux pièces finales _,

sur un merveilleux clavecin de Christian Zell, de 1741..!

Quel jeu confondant de poésie !

Et quelle lumineuse prise de son !

C’est le propre des très grands interprètes

de nous présenter l’expérimentation bachienne

comme un miracle sublime de la plus tendre poésie !

Simplement, un immense merci !

Ce jeudi 2 mai 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà !

Il nous revient, bien sûr, d’affiner toujours _ avec un profond idéal de justesse et humilité… _ notre écoute…

C’est un indispensable absolu de la sensibilité…

Ce mardi 31 août 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

En découvrant divers CDs

17fév

En découvrant, ce samedi, divers CDs,

je fais le point sur mes premières impressions :

_ le CD Vivaldi du flûtiste Stefan Temmingh, avec le Capricornus Consort Basel (CD Accent ACC 24332), me paraît « pas assez italien » de goût, un peu trop germanique, pour exprimer la pleine italianité du divin prêtre roux vénitien : sa sprezzatura, son chant, sa danse, l’étourdissante gaîté de ses allegros, comme la tendresse grave sublime de ses adagios…

_ en revanche, l’album Frédéric Chopin Late piano works d’Edoardo Torbanielli (CD Glossa GCD 922517)

me séduit infiniment, tant par le choix des œuvres (d’entre 1841 et 1846), que par le jeu ultra-sensible et merveilleusement subtil de l’interprète, dont il y a bien longtemps, en 2003, j’avais fait l’éloge pour un CD Clementi (CD Pan Classics 10171) _ « Un très intéressant, et plein de charme « Late Works for Pianoforte » de Muzio Clementi (compositeur injustement décrié…) par Edoardo Torbianelli, très en verve : Vladimir Horowitz n’avait pas nécessairement mauvais goût ; en tout cas, un tel enregistrement nous oblige à mieux repenser l’histoire et l’esthétique du clavier, au tournant d’un certain classicisme: ce n’est déjà pas rien…« 

Clementi: Late works for pianoforte

_ le CD Johann Sebastian Bach Consolatio du Ricercar Consort, que dirige Philippe Pierlot, avec notamment le superbe chant du ténor Hans-Jörg Mammel, consacré aux cantates BWV 22, 75 & 127,

est un miracle de justesse, dans l’expression de joie piétiste qu’expriment ces très belles cantates, composées par Bach pour son arrivée à Leipzig (CD Mirare MIR 332).

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Ce samedi 17 février 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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