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Reprise de mes recherches en archives sur les cousinages cibouriens de Maurice Ravel : les Delouart, les Goyenague, les Cerciat, les Etchepare, etc.

01mar

Mon récent _ bref _ séjour luzien

m’a permis de reprendre le chemin des archives de la mairie de Ciboure,

après une interruption depuis le mois de novembre,

due à des difficultés de mobilité.

Toujours à la recherche des cousinages cibouriens de Maurice Ravel,

à partir des descendants des quatre enfants

de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798)

et Sabine Laxague (Ciboure, 24 novembre 1752 – Ciboure, après avril 1823) :

soient les descendants des trois sœurs Marie Delouart

n°1 (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 28 août 1855)

_ dont Maurice Ravel lui-même (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) _,

n°2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842)

_ dont Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1988) _,

n°3 (Ciboure, 7 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872)

_ dont Paul Goyenague (Ciboure, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1929)

et pas mal de Passicot… _

et les descendants de leur frère Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 23 septembre 1872)

_ soient des Delouart, des Cerciat, des Etchepare, etc.

Ces recherches de généalogie concernant les cousinages cibouriens de Maurice Ravel

doivent être menées très méthodiquement _ et très patiemment _ sur place,

à la mairie de Ciboure,

où ces précieuses archives sont conservées.

Il faut les lire très attentivement année par année

_ et cela prend beaucoup de temps, et exige la plus parfaite attention aux moindres détails _,

qu’il s’agisse des naissances, des mariages, ou des décès.

Et en tirant les plus petits renseignements annexes _ si précieux _ possibles

à propos des déclarants des divers actes d’état civil, des parents, des témoins, etc.

Ainsi vendredi dernier,

me suis-je borné _ faute de disposer d’assez de temps _ aux naissances et mariages _ sans regarder les décès _ du recueil des annnées 1853 à 1862,

dans l’intention d’y recueillir les données des familles Delouart, Cerciat et Etchepare

issues du mariage _ à Ciboure le 30 avril 1823 _ de Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 23 septembre 1872) et Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844),

via leurs enfants

Sabine Delouart (Ciboure, 24 juin 1825 – Ciboure, 23 septembre 1874),

Marie Delouart (Ciboure, 30 juin 1827 – ?)

et Jean Delouart (Ciboure, 1833 _ sans plus de précision jusqu’ici _ – Ciboure, 26 novembre 1888)

_ pour commencer (et peut-être a-t-il existé un quatrième enfant de ce couple…) ;

sans en excepter, bien sûr, d’éventuelles découvertes annexes ;

ainsi ai-je pu relever au passage la naissance de 3 enfants de Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1822 – Ciboure, 22 novembre 1886) et son épouse Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832 – Ciboure, 9 novembre 1895) dont j’ignorais jusqu’ici l’existence :

Simon (Ciboure, 18 juin 1860 – Ciboure, 14 janvier 1874), Gratieuse (Ciboure, 15 juillet 1866 – Ciboure, 16 août 1950) et Josèphe Goyenague (Ciboure, 12 juin 1868 ; j’ignore à ce jour la date de son décès) ;

de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea, je connaissais seulement Nicolasse (Ciboure, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945 : l’épouse, le 20 août 1890 à Ciboure, de son cousin Paul Goyenague) et Alexandre Goyenague (Ciboure, mai 1872 – Ciboure, 19 juillet 1872)…

Cette Sabine Delouart-là _ née à Ciboure le 24 juin 1825 _

a épousé à Ciboure le 12 août 1852

le cibourien Bernard Cerciat (Ciboure, 18 octobre 1824 – en mer, 9 mars 1868).

Et le couple a eu au moins 3 enfants :

Jean-Baptiste Cerciat (Ciboure, 20 septembre 1854 – Ciboure, 26 novembre 1914),

Jean Cerciat (Ciboure, 19 avril 1859 – ? _ possiblement à Nouméa, Nouvelle Calédonie ; où il s’est marié le 24 juillet 1893 _)

et Jeanne Cerciat (Ciboure, 20 février 1864 – Saint-Jean-de-Luz, 27 septembre 1947).

Cette Marie Delouart-là _ née à Ciboure le 30 juin 1827 _,

 

a épousé à Ciboure le 21 décembre 1853

le cibourien Guilhen Etchepare (Ciboure, 18 juillet 1826 – Ciboure, 22 mai 1872)…

Mais j’ignore à ce jour si ce couple a eu ou pas des enfants…

Quant à ce Jean Delouart-là (Ciboure, 1833 _ sans plus de précision à ce jour… _ – Ciboure, 26 novembre 1888),

il épouse à Ciboure le 13 novembre 1861

la cibourienne Dominique Etchepare (Ciboure, 1831 _ sans plus de précision à ce jour… _ – Ciboure, 16 avril 1897),

sœur cadette de Guilhem Etchepare

_ je relève aussi que Guilhen Etchepare (Ciboure, 18 juillet 1826 – Ciboure, 22 mai 1872) est témoin de son autre sœur, Jeanne (dite Jeanne-Baptiste) Etchepare (née à Ciboure le 26 mai 1837), au mariage de celle-ci, à Ciboure le 4 janvier 1865, avec Pierre Cerciat (né à Ciboure le 28 septembre 1836), frère de Bernard Cerciat (Ciboure, 18 octobre 1824 – en mer, 9 mars 1868), l’époux, à Ciboure le 12 août 1852, de Sabine Delouart (Ciboure, 24 juin 1825 – Ciboure, 23 déccembre 1874).

Les Delouart, Cerciat, Etchepare ont ainsi tissé de forts liens de parenté entre leurs familles.

Je note aussi qu’une Jeanne-Marie Etchepare (née à Ciboure le 8 novembre 1826), épouse de Martin Pucheu (né à Ciboure le 17 novembre 1822), a donné naissance, à Ciboure, à plusieurs enfants Pucheu :

Pierre-Paul Pucheu, le 9  janvier 1858 ; Marie Pucheu, le 12 décembre 1860 ; Gracie Pucheu, le 8 février 1864 ; Catherine et Marianne Pucheu, le 12 juillet 1867 ; Martin Pucheu, le 27 juillet 1869.

Et encore qu’une Marie Etchepare, née à Ciboure le 19 novembre 1823 (de Martin Etchepare et Etiennette Dignargue), a épousé à Ciboure, le 21 décembre 1853, Pasteur Marin, né à Fontarabie le 20 août 1817… 

Et le couple a eu au moins _ à ma connaissance à ce jour _ 2 enfants :

Etiennette Delouart (Ciboure, 5 mai 1866 – Ciboure, 8 novembre 1870)

et Sabine Delouart (Ciboure, 26 avril 1868 – Saint-Jean-de-Luz, 25 février 1952)

_ j’ignore à ce jour si cette Sabine Delouart-là s’est mariée et a eu, ou pas, des enfants…


Il est possible que Sabine Delouart et Bernard Cerciat ait eu,

en plus de Jean-Baptiste, Jean et Jeanne Cerciat,

au moins un quatrième enfant :

Jean-Noël Darrobers a écrit, en effet, que le vieux Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 23 septembre 1872),

s’est réfugié, très âgé, chez une de ses filles, devenue veuve,

et mère de 4 enfants :

or, jusqu’ici, je n’ai découvert que deux filles nées de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea,

et devenues veuves du vivant de leur père :

Sabine Delouart, devenue veuve de Bernard Cerciat, péri en mer le 9 mars 1868 ;

et Marie Delouart, devenue veuve de Guilhen Etchepare le 22 mai 1872.

De Sabine Delouart épouse Cerciat,

je n’ai relevé jusqu’ici que 3 enfants (Jean-Baptiste, Jean et Jeanne Cerciat) ;

et de Marie Delouart épouse Etchepare,

j’ignore encore si elle a eu ou pas des enfants !

Ma recherche en est donc encore à ses débuts…

Ce dimanche 1er mars 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nouvelles questions ravéliennes autour des Delouart et Billac de Ciboure, et Gachucha Billac

24sept

Le samedi 13 juillet dernier,

un correspondant-ami, le musicien Philippe Hattat, m’a signalé que la date de la naissance, le 2 juin 1819, d’une petite Engrâce Billac au foyer de Jacques Billac et son épouse Marie Delouart à Ciboure
ne pouvait convenir pour la chère « Tante Gachuch » de Maurice Ravel,
car le lendemain de cette naissance, le 3 juin 1819, cet enfant nouveau-né avait été déclaré « décédé à l’âge d’un jour » ;
et qu’il fallait préférer à cette date de naissance du 2 juin 1819, la date du 15 mai 1824 à laquelle naît une Gracieuse Billac au foyer de ces mêmes parents, Jacques Billac et Marie Delouart…
Ce que m’a en effet confirmé l’acte de naissance consulté aux archives de Ciboure vendredi après-midi dernier :
15 mai 1824, Ciboure : naissance de Gracieuse Billac,
fille de Jacques Billac, 52 ans, marin,
et de Marie Delouart, 35 ans, poissarde…
Ce qui indique une différence de 17 ans entre les deux parents _ Jacques et Marie-Baptiste _ de cette enfant : Gracieuse…
Et l’acte de naissance de celle que j’ai nommée ailleurs la Marie Delouart n°1 _ soit l’arrière-grand-mère de Maurice Ravel _ que j’ai pu consulter lui aussi à la mairie de Ciboure
déclare que celle-ci, fille _ aînée, semble-t-il _ de Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague _ leur mariage a eu lieu à Ciboure le 28 janvier 1778 _, est née à Ciboure le 29 juin 1782.
Ce qui supposerait,
si l’on se fie à cette différence de 17 ans d’âge entre Jacques Billac et Marie Delouart indiquée ici,
que Jacques Billac serait né vers 1765
Un acte de pension de reversion, en date du 16 novembre 1840,
dont la bénéficiaire est la veuve du quartier-maître Jacques Bilac (sic), décédé le 11 mars 1839,
indique que celle-ci, Marie Delouart, est effectivement née le 29 juin 1782.
Mais n’est _ hélas _ pas indiquée ici la date de naissance de Jacques Billac,
seulement celle de son décès, survenu le 11 mars 1772,
et de l’ouverture, ainsi, des droits de reversion de sa demi-pension de quartier-maître pour sa veuve.
Mais un précédent document de pension, en date du 14 juillet 1838, établit l’existence d’une pension de quartier-maître de manœuvre à 36 francs en faveur de ce même Jacques Bilac (re-sic) né à Ciboure le 5 septembre 1772, et domicilié à Ciboure, pour avoir atteint sa 65éme année.
Voici donc la date de naissance de Jacques Billac, le mari (le 14 septembre 1814, à Ciboure) de la première Marie Delouart,
et père (le 15 mai 1824) de Gracieuse Billac, la future « Tante Gachuch » de Maurice Ravel…
La différence réelle d’âge entre Jacques Billac (né le 5 septembre 1872) et Marie Delouart (née le 29 juin 1782) est donc de presque dix ans : 9 ans, 10 mois et 6 jours…
Sur un autre très intéressant document
_ à décrypter très soigneusement ! _,
Jacques Billac, marin, habitant la maison Moutanearguinenia,
est indiqué comme ayant à cette date « 40 ans » ;
et son épouse, Marie Deloirte (sic), « 24 ans » :
soit cette fois un écart d’âge de 16 ans
Ce qui impliquait une date de naissance de Jacques Billac vers 1766
Comme on a pu le lire dans l’article de mon blog
que j’ai publié avant-hier dimanche,
ma visite vendredi dernier aux archives municipales de Saint-Jean-de-Luz
m’a permis de découvrir _ sans le moindre doute possible _ la date de décès de la « chère Tante Gachuch » de Maurice Ravel ;
un décès survenu au domicile familial des Gaudin 41 rue Gambetta à Saint-Jean-de-Luz :
le 17 décembre 1902.
Les déclarants de ce décès sont _ en effet _ Charles, « capitaine au long cours, âgé de vingt-sept ans », et Pierre Gaudin, « employé âgé de vingt-quatre ans » _ indiqués dans l’acte comme « voisins » de la défunte _
deux des enfants de la maisonnée Gaudin que Gachucha a très grandement contribué à élever 
_ Engrâce Billac est dite ici « domestique » dans cet acte signé par le maire de Saint-Jean-de-Luz, Dominique Larrea.
C’est donc bien de la « chère Tante Gachuch » de Maurice Ravel qu’il s’agit ici, en cet acte officiel de décès ;
elle qui fut le lien premier et majeur de Ravel avec les Gaudin, amis luziens de toute sa vie
_ existe aussi, ne la négligeons pas, l’amitié de jeunes filles entre Annette Bibal (née à Saint-Jean-de Luz le 28 avril 1845) et Marie Delouart (née à Ciboure le 24 mars 1840), avant leurs mariages respectifs en 1873 les deux, avec Edmond Gaudin et Joseph Ravel… 
Engrâce et Gracieuse sont des prénoms équivalents en français, 
et leur diminitutif basque est bien « Gachucha » ou encore « Gachuch ».
Maurice Ravel parlait très couramment basque,
avec sa mère Marie, avec sa grand-tante et marraine Gachucha, avec ses amis luziens Gaudin,
comme me l’a encore confirmé vendredi Madame Maylen Gaudin-Lenoir à Saint-Jean-de-Luz.
Si la date de naissance de la défunte Engrâce Billac n’est hélas pas indiquée dans cet acte d’état-civil de décès du 17 décembre 1902,
est mentionné cependant son âge : « quatre-vingt-trois ans »…
Ce qui donne comme année de naissance … 1819 !
Encore un point qu’il faudra éclaircir…
Comment cette date de 1819 a-t-elle pu être indiquée par Charles et Pierre Gaudin ?..
Enfin, l’acte de naissance de Maurice Ravel établi le 8 mars 1875 par le maire de Ciboure Joseph Besselère,
l’a été sur la déclaration de Gracieuse Billac 
_ au domicile de laquelle a accouché sa nièce Marie-Delouart-Ravel la veille, le dimanche 7 mars _,
« âgée de cinquante ans, marchande de poissons, domicilée dans cette commune » (de Ciboure).
Ce qui fixe la naissance de Gachucha Billac en 1824, ou du moins avant le 8 mars 1825…
Ce qui concorde bien avec l’acte de naissance de Gracieuse Billac du 15 mai 1824.
Me reste donc à revenir aux archives de la mairie de Ciboure
rechercher l’acte de naissance de Pierre Billac :
plutôt qu’en 1765 ou 66 comme j’avais pu le supposer,
le 5 septembre 1772…
Je le vérifierai.
Avant de découvrir bientôt le document officiel de l’acte de naissance de Jacques Billac,
je savais jusqu’ici seulement _ par le document de l’acte de son mariage avec Marie Delouart le 14 septembre 1814 à Ciboure _ que Jacques Billac était fils d’un Pierre Billac et d’une Sabine dont je n’arrivais pas à lire le nom : quelque chose comme Malac… : en fait Sabine Recalde ! Ou plutôt Errecalde,
ainsi que me l’indique très gentiment Philippe Hattat…
Et à essayer de recenser le plus complètement possible, dans les registres des naissances conservés dans l’armoire des archives d’état-civil, à la mairie de Ciboure,
les divers enfants Delouart et Billac nés à Ciboure entre 1778 _ l’année de mariage de Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague _ et 1830 _ Marie Delouart atteignant là ses 48 ans _ : beaucoup d’enfants mouraient alors à la naissance ou en bas-âge ;
et beaucoup portaient les mêmes prénoms (Marie, Marie-Baptiste, Sabine, Jean, Jean-Baptiste, Pierre, Jacques)…
En la maison Moutanearguinenia du quartier de Pocalette à Ciboure, selon un acte de recensement en date du 1er janvier 1806,
auprès de Jacques Billac et son épouse Marie Deloirte (sic),
demeuraient,
outre « Chabadin Lasaga » (= Sabine Laxague, la veuve de Gratien Delouart) _ indiquée ici comme « tante » : tante de qui ?.. _,
trois filles prénommées, pour deux d’entre elles, Marie _ sans précision de nom de famille _ et la troisième Marie-Baptiste _ celle-ci Deloirte _, âgées de 32, 25 ans et 1 an (soit nées en 1774, en 1781, et en 1805),
une fille prénommée Sabine _ sans précision de nom de famille _, âgée de 8 ans (soit née en 1798),
et un garçon prénommé Jean _ Deloirte _, âgé de 28 ans (soit né en 1798).
Ce sont ces dates de 1772, 1774, 1781 et 1798 qui m’ont fait douter de la validité de la date de ce recensement : 1806…
Et sur lesquelles dates je continue de fortement m’interroger…
Tout cela est à confronter à l’arbre généalogique que j’ai pu esquisser-établir de la descendance de Gratien Delouart et Sabine Laxague :
Marie-Baptiste Delouart, née le 29 juin 1782 ;
Marie-Baptiste Delouart, née le 17 juin 1784 ;
Marie Delouart, née le 17 août 1786 ;
Jean Delouart, né le 27 août 1788.
Reste aussi un Baptiste-Jean Delouart  _ dont parle Jean-Noël Darrobers _,
et dont je ne me suis pas encore occupé : petit dernier (semble-t-il) de la fratrie de ces enfants de Gratien Delouart ; il est né plus tard,
et semble ne pas avoir eu de descendance avec son épouse Gracieuse, née Casabon.
Gratien Delouart (né à Ciboure le 1er mai 1748, marié à Ciboure le 28 janvier 1778 à Sabine Laxague) est décédé, lui, à Ciboure le 21 août 1798.
Pour Sabine Laxague, mes références documentées sont encore lacunaires :
je n’ai pas réussi à identifier sa date de naissance (peut-être vers 1758), ni sa date de décès (semble-t-il après 1823 : elle est en effet présente au mariage de son fils Jean Delouart avec Marguerite Larrea, le 30 avril 1823 à Ciboure).
Mais voici que Philippe Hattat me propose pour date de décès de Sabine Laxague, l’épouse de Gratien Delouart, la date du 27 février 1845 : « à l’âge canonique de cent ans« .
Voilà deux autres dates à aller rechercher à lire dans les archives de la mairie de Ciboure…
Tout cela est aussi à confronter aux documents concernant les enfants nés de la première Marie Delouart, avec ou sans Jacques Billac (qu’elle a épousé à Ciboure le 14 septembre 1814)…
Le premier enfant né de cette première Marie-Baptiste Delouart, la fille aînée de Gratien Delouart et Sabine Laxague, est-il, ou pas, cette Sabine Delouart, née à Ciboure, le 11 mars 1809 _ et future grand-mère de Maurice Ravel _ ?
Et la dernière née de Marie-Baptiste Delouart, épouse de Jacques Billac, serait-elle la très chère « Tante Gachuch » de Maurice Ravel _ décédée à Saint-Jean-de-Luz le 17 décembre 1902 _, cette Gracieuse Billac née à Ciboure le 15 mai 1824 ?
Cela reste à établir documentairement. 
En espérant toucher si peu que ce soit la curiosité
de tous ceux qui s’intéressent à la biographie un peu singulière de ce créateur atypique et merveilleux qu’est Maurice Ravel
par ces découvertes et questionnements progressifs _ l’enquête, passionnante, avance _,
….
ce mardi 24 septembre 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
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