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Quid du cousin Auguste Bonopéra (Mustapha, 5 juillet 1894 – Alger, 13 février 1946), de ses ascendants, et de ses descendants ?

19mar

Jusqu’ici,

je ne me suis pas penché sur le cousin Auguste Bonopéra (Mustapha, 5 juillet 1894 – Alger, 13 février 1946)

_ je veux dire cousin des 6 fils de Paul Bonopéra et sa première épouse Joséphine Girot : Jean, Paul, Adolphe, Auguste, Julien et Georges Bonopéra _ ;

fils de Jean-Baptiste-Nicolas Bonopéra _ cuisinier _ (et d’Antoinette Mélisse, Veuve Poulin),

le frère de Paul Bonopéra et de sa sœur Marguerite Bonopéra

_ sont tous trois nés à Miliana, Marguerite (le 22 janvier 1849), Jean-Baptiste-Nicolas (le 19 février 1851) et Paul Bonopera (le 1er octobre 1856).

Et menuisier de profession, est-il indiqué sur son livret militaire, lors de son passage au conseil de révision, en 1914, à Alger.

Le 7 mai 1921, à Alger, Auguste Bonopéra épouse Marie-René Devoize,

née à Blida le 20 mars 1900,

fille de Claude Devoize, âgé de 32 ans, cultivateur, et de Aimée Lefour, 27 ans, sans profession. 

Il est aussi assez probable que cet Auguste Bonopéra et son épouse Marie-Renée,

soient les parents de plusieurs enfants Bonopéra ayant effectué leur scolarité à Alger dans les années trente :

_ à l’école de garçons de la rue Daguerre : Claude Bonopéra ;

_ à l’école de filles du Chemin Fontaine-Bleue : Renée Bonopéra.

Il se pourrait aussi que l’Auguste Bonopéra et le Roger Bonopéra qui sont membres du bureau de la section d’Alger de la Fédération Nationale des Mutilés et Invalides du Travail, appartiennent, eux aussi, à cette branche devenue algéroise de la famille Bonopéra.

Cependant, jusqu’ici,

je n’ai à aucun moment rencontré un seul document attestant de relations familiales un peu suivies entre ces Bonopéra d’Alger et les Bonopéra d’Orléansville et sa région (La Ferme, Oued Fodda, Duperré, etc.) ;

ces Bonopéra auxquels m’intéresse ma recherche de l’identité de cette « Mme Vve Paul Bonopéra » qui apparaît à quelques reprises sur des faire-part d’événements familiaux importants concernant aussi les Ducos du Hauron, les Gadel, les Gentet, les Wachter, sur lesquels se focalise mon enquête principale...

Ce vendredi 19 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point provisoire sur mon essai de classement des dates et lieux de naissance de l’ensemble des petit-enfants de Paul Bonopéra et sa première épouse, Joséphine Girot

14mar

Forcément, les « taches aveugles » qui continuent de résister dans mon effort d’établir un panorama le plus complet possibles des deux prémières générations, au moins, des descendants (c’est-à-dire les enfants et les petits-enfants) de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) et sa première épouse, Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892),

laissent un légèrement dérangeant petit goût d’insatisfaction…

Mais je demeure optimiste ;

ne serait-ce que par les récents précieux apports informatifs ponctuels de quelques descendants de ces deux générations de descendants-là, qui sont venus mettre fin à quelques points restés jusqu’alors aveugles :

des descendants de Paul Bonopéra-fils, le boulanger de la rue d’Isly à Orléansville (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930)

ainsi que des descendants de son frère Auguste Bonopéra, le cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville (Orléansville, 3 avril 1883 – ?).

Et si j’ai bien identifié deux arrière-petits-fils de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – ?),

l’un né à Alger en 1949,

et l’autre né à Orléansville en 1956 _ et qui cherchait l’année dernière à entrer en contact avec une de ses cousines d’Orléansville _,

je ne dispose pour l’instant d’aucune coordonnée téléphonique ou d’adresse électronique me permettant de chercher, au moins, à les joindre,

eux qui résident dans deux départements _ le Gard et le Var _ du Midi…

J’ai aussi noué de très précieux (et fructueux) contacts avec plusieurs descendants de Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – ?), la sœur aînée de Paul..

Mes recherches se poursuivent…

Ce dimanche 14 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La question des dates et lieux de naissance de l’ensemble des petits-enfants de Paul Bonopéra (et sa première épouse Joséphine Girot) : un point sur la question

12mar

Dans mon essai de reconstitution de la généalogie _ surtout en aval _ de la famille de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),

demeurent encore pas mal de « taches aveugles » ;

ne serait-ce même _ et pour commencer _, que l’assurance d’avoir correctement repéré _ sans en avoir « oublié » un ! _ l’ensemble exhaustif _ jusqu’ici j’en compte 13 (6 + 2 + 4 + 1)… _ des petits-enfants de Paul Bonopéra et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892).

Tel est ce jour le premier objectif que je me fixe,

en espérant que le tableau _ le plus exhaustif possible en l’état présent de mes connaissances, forcément… _ des lieux et dates de naissance des petits-enfants de Paul Bonopéra,

m’aidera un peu dans le repérage de son propre parcours, à lui, de Rabelais _ où Paul Bonopéra était déjà « propriétaire«  _, à Orléansville _ où, également « propriétaire », il siègera constamment au conseil municipal (parmi les membres de la liste républicaine : celle de Paul Robert, Louis Clément et Joseph Robert), élu la première fois, à l’occasion d’une « élection municipale complémentaire » (pour 6 sièges vacants) le 17 juillet 1907.

Et après, j’espère y voir un peu plus clair…

De  la descendance du fils aîné de Paul Bonopéra et sa première épouse, Joséphine Girot,

c’est-à-dire la descendance de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – j’ignore ses date et lieu de décès) et de son épouse Louise-Marie Hulné (Relizane, 5 mai 1881 – Affreville, 1963) _ cf mon article du 15 février dernier :  ; ainsi que la mention, inscrite sur son livret militaire, spécifiant que Jean Bonopéra a pu bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, le libérant du service actif en tant que père de famille nombreuse : dans son cas, père de « 6 enfants«  _,

et faute de contact, jusqu’ici, avec aucun de leurs descendants _ et il en existe… _,

je dois dire que la connaissance dont je dispose à ce jour de ces au moins 6 enfants _ d’après l’inscription du livret militaire de Jean, donc, qui en indiquait « 6 de vivants«  à la date du 13 mars 1917 : c’est là une information assurément bien précieuse… _ de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné,

demeure hélas incomplète.

De ces 6 enfants-là de Jean Bonopéra, j’ignore, déjà, et pour commencer, le prénom de l’un d’entre eux ! ainsi que _ forcément _ tout le reste de lui !!!

Cela fait déjà beaucoup !

Ensuite, j’ignore quasiment tout de celui (ou celle ; je pense qu’il s’agit d’un garçon) qui se prénomme Claude, Claude Bonopéra,

à commencer par sa place dans la fratrie _ est-il (ou elle), ou non, l’aîné(e) ?.. Je l’ignore aussi.

Cela fait décidément beaucoup d’ignorances…

Pour les quatre autres enfants _ qui étaient vivants à cette date du 13 mars 1917, et dont l’existence a permis à Jean Bonopéra de quitter le service militaire d’active, et de regagner ses foyers : d’abord à Orléansville, rue de Rome (et peut-être, provisoirement, alors, en un domicile de M. Morand de la Genevraye…), est-il noté ;

mais à peine un mois plus tard, à la date du 12 avril 1917, le livret militaire relève que c’est maintenant à Oued Fodda que se trouve alors domicilié Jean Bonopéra… _,

et qui sont Joséphine, Georges-Paul, Aimée, et enfin Jeanne,

voici l’état présent de mes connaissances.

De Joséphine Bonopéra, j’ignore le lieu et la date de naissance _ je sais seulement qu’elle épousera, à Duperré, le 30 janvier 1923 (quel âge pouvait-elle donc avoir ce jour-là ?) Kléber Défillon ; probablement, et vue la date de ce mariage en 1923, Joséphine est-elle née un peu avant Georges-Paul (né, lui, en 1902, et qui se marie, à l’âge de presque 23 ans, en 1925) et Aimée (née, elle, en 1905, et qui se marie, à l’âge d’environ 20 ans, en 1925, elle aussi) ; j’ignore aussi les date et lieux de décès de Joséphine Bonopéra, épouse Défillon… ;

à propos de cette famille Défillon, j’ai apprécié de pouvoir lire un intéressant avis de décès (de M. Fidèle Défillon, en date du 24 juin 1934), qui situe la place de Mme Kléber Défillon (née Joséphine Bonopéra), son époux, Kléber, ainsi que leurs enfants, au sein de cette famille Défillon… ; famille à laquelle appartient aussi (et c’est important de le découvrir !) le directeur du Progrès d’Orléansville, M. Camille Gajac, fils de Marie Défillon et son époux Michel Gajac… J’y reviendrai quand je me focaliserai sur l’histoire politique, un peu agitée, des maires successifs d’Orléansville : ainsi le maire Paul Robert (progressiste) sera-t-il tué en duel à Alger- Hussein Dey par un adversaire politique, André Houbé (réactionnaire), le 7 avril 1910… _ ;

Georges-Paul Bonopéra est né à Rabelais le 25 juin 1902 _ il épousera, le 25 mai 1925, à La Ferme, Clémentine-Eugénie-Hélène Petit ; et il décèdera, à Toulon, le 9 janvier 1977, à l’âge de 74 ans _ ;

Aimée Bonopéra est née à Rabelais le 13 novembre 1905 _ en 1925, elle épousera Dominique Villanova ; puis, le 2 septembre 1950, à Orléansville, André-Kléber Riquier ; Aimée Bonopéra décèdera à Fréjus le 22 novembre 1993, à l’âge de 88 ans _ ;

et enfin Jeanne Bonopéra _ apparemment la benjamine de Jean Bonopéra (qui, à sa naissance, le 10 mars 1913, avait 35 ans) et de son épouse Louise-Marie Hulné (qui, à sa naissance, avait 31 ans) _ est née à Orléansville le 10 mars 1913 _ elle épousera à Oued Fodda le 22 septembre 1934 Marcel-Auguste Louyot ; et elle décèdera à Kindsbach (en Allemagne) le 25 mai 1949, à l’âge de 36 ans _ ;

Ensuite,

de la descendance de Paul Bonopéra _ le second des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot _ (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et de son épouse Marie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, département de la Lozère, 12-1-1881 – j’ignore son lieu et sa date de décès),

leurs deux enfants sont bien connus :

Pauline Bonopéra (Rabelais, 5 juin 1901 – Nice, 8 février 1974), demeurée célibataire ;

et Marcel Bonopéra (Renault, 10 janvier 1907 – Nice, 1er décembre 1992) _ le 6 juillet 1932, à Orléansville, Marcel Bonopéra épouse Odette Sanchez, née à Orléansville le 23 novembre 1911, fille de M. Antoine Sanchez, et son épouse née Marie-Françoise (dite Jeanne) Gays.

Marcel Bonopéra et son épouse Odette auront deux fils, tous deux nés à Orléansville : Paul-Jean-Antoine Bonopéra, né le 5 mai 1933 ; et Jean-Pierre, né le 2 novembre 1934.

Après,

de la descendance d’Auguste Bonopéra (Orléansville, 3 avril 1883 – j’ignore le lieu et la date de son décès), et de son épouse Isabelle Vivès (je n’en sais pas davantage sur elle ; ni sur la date de leur mariage…),

le livret militaire d’Auguste Bonopéra indique que « père de 4 enfants vivants » à la date du 19 février 1915, et en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, Auguste Bonopéra a pu quitter l’armée d’active pour les services de réserve de l’armée territoriale, et regagner Orléansville, et son domicile de la rue d’Isly _ cf mon article du mardi 16 février :  … 

Ces « 4 enfants vivants » _ en février 1915 _ d’Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès,

sont, et probablement nés dans cet ordre :

Hélène-Isabelle (née à La Ferme le 20 mai 1905),

Auguste-fils, dit Yoyo (??),

Yvonne (née à Orléansville le 9 avril 1912)

 

et le petit Georges (tout juste né, à Orléansville, au tout début du mois de février 1915).  

Enfin,

Julien Bonopéra (Charon, 9 juillet 1887 – après 1943) et son épouse Lucie Besse (??) _ leur mariage a eu lieu à Alger le 29 juillet 1913 ; cf mon article du jeudi 18 février :  … _,

ont eu un seul enfant :

Paulette-Charlotte Bonopéra (7 juillet 1914 – Auterive, 29 mars 2007) _ dont je ne sais pas grand chose, à vrai dire, jusqu’ici… 

À suivre…

Ce vendredi 12 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ce que nous apprend, à propos de Joséphine Girot, la mère des six fils de Paul Bonopéra, l’arbre généalogique réalisé par son petit-fils, Marcel Bonopéra…

07mar

Et voici que ce dimanche matin,

je reçois un courriel de la petite-fille de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),

qui, très aimablement, m’adresse une copie d’un arbre généalogique de ses ancêtres Bonopéra, réalisé par son grand-père Marcel.

C’est un très précieux _ et très émouvant _ document.

Que voici :

Généalogie des Bonopéra

 

1ère génération : 1a Nicolas Louis Bonopéra

                                    1a1 Jacinta Minguella

 

2e génération :      2a : Juan Dionis Francisco Bonopéea

                                    né en 1814 à Tarragone (Catalogne), décédé 

                                    à Pontéba (près d’Orléansville) en 1876, époux de

                                    2a1 : Marguerite Saura, dcédée à Pontéba en 1876

 

3e génération :      3a : Marguerite Bonopéra

                                     3b : Paul Bonopéra, né à Miliana le 10-1-1856

                                     décédé à Orléansville le 18-1-1916

                                     3c : Jean Bonopéra,, décédé à Alger

 

4e génération :      3b : Paul Bonopéra, époux de

                                    3b1 : Joséphine Giraud, née à Ténès, décédée à

                                        Orléansville le 11-7-1892 ; ont eu six enfants :

                                    4a : Jean ; 4b : Paul ; 4c : Alphonse ; 4d : Auguste ;

                                    4e : Julien ; 4 f : Georges.

 

5e génération :      4b : Paul Bonopéra, né à Pontéba le 13-9-1878,

                                     décédé à Orléansville le 2-11-1930 et

                                    4b1 : Marie, Marguerite, Léonie Cathébras, née 

                                       le 12-1-1881 à Saint Sauveur de Ginestoux (Lozère) ;

                                        ont eu deux enfants :

                                     5a : Pauline Bonopéra, née à Rabelais (Alger)

                                      le 5-6-1905, décédée à Nice le 8-2-1974.

                                      5b : Marcel Bonopéra, né à Renault (Oran) le 10-1-1907.

 

6e génération :        6a : Paul Jean Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5-5-1933

                                       6b : Jean Pierre Bonopéra, né à Orléansville

                                       le 2-11-1934

                                       sont les enfants de Marcel Bonopéra et de Odette

                                       Sanchez, née à Orléansville le 23-12-1911, et décédée à Nice                                     

Ce sont principalement les données qui concernent Joséphine Girot, la première épouse de Paul Bonopéra, qui attirent, bien sûr, pour commencer, ma première attention.

Car dorénavant je connais, sinon la date exacte de la naissance _ je savais que c’était durant l’année 1856 _ de Joséphine Girot (orthographiée ici Giraud), du moins le lieu de la naissance de celle-ci : Ténès _ mais Rabelais faisait aussi partie, administrativement, de la commune mixte de Ténès…

Ce qui cadre _ même si rien n’y fait ici explicitement référence _ avec mon hypothèse de la très probable filiation de Joséphine Girot avec la famille _ alsacienne _ de Jean-Claude-Girot et son épouse, Marie-Catherine Herbelin, famille venue de Menoncourt, un village alsacien, situé alors dans le département du Haut-Rhin (et qui fera partie, après 1970, du nouveau département, créé tout spécialement alors, du Territoire de Belfort).

Et mieux encore, Joséphine Girot semble bien être la fille _ née, donc, à Ténès, en 1856 _ de Jean-Pierre Girot _ le second fils de Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin _, qui, alors qu’il était dit (dans l’acte de son mariage) être domicilié, en 1854, à Orléansville, a épousé à Ténès le 1er août 1854 la demoiselle _ orpheline de mère (sa mère, Claire-Marguerite-Pascale Hermite, était, en effet, décédée à Ténès le 24 janvier 1846), et déclarée « née de père inconnu«  _ Marie-Magdelaine-Augustine Hermite (née à Alger, le 18 février 1838). 

Et je découvre aussi le lieu : Orléansville ; ainsi que la date : le 11 juillet 1892, du décès de Joséphine Girot_ soit assez peu de temps après la naissance (moins de six mois), à Rabelais (centre qui faisait partie de la commune de Ténès), de son sixième et dernier fils, Georges Bonopéra : il était né, à Rabelais, le 21 février 1892.

Au passage, j’apprends aussi le lieu : Pontéba ; et la date des décès des parents de Paul Bonopéra _ né à Miliana le 1er octobre 1856 _ et de sa sœur Marguerite _ née à Miliana le 22 janvier 1849 _,

soient Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814), et son épouse Marguerite Saura (née à Santa-Maria-de-Mahon, dans l’île de Minorque, le 21 mars 1820) :

durant l’année 1876.

Paul Bonopéra, devenu donc veuf ce 11 juillet 1892, s’est ensuite remarié, une première fois, à Rabelais, avec Marie-Jeanne-Virginie Claudet ;

dont il a eu un fils, Marie-André, né à Rabelais le 5 juin 1897, et décédé vingt jours plus tard, le 25 juin, toujours à Rabelais, au domicile de son grand-père César-Florentin-Armand Claudet-Fricand _ né le 27 août 1844 à Bannans (département du Doubs) ; et qui décèdera en 1913. Son épouse était Marie-Séraphine-Julie Laignier, née le 7 mai 1873, elle aussi à Bannans ; et décédée avant 1882.

De cette seconde épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet,

Paul Bonopéra a très vite _ un mois tout juste après le décès de leur fils, le petit Marie-André Bonopéraobtenu le divorce, « aux torts exclusifs de son épouse« , par un jugement du tribunal de première instance d’Orléansville, en date du 25 juillet 1897 _ aidé en cela par les services de l’avoué, résidant à Orléansville, Georges d’Apreval, neveu par alliance de Paul Bonopéra (car Georges d’Apreval a été l’époux, successivement, des deux filles de Marguerite Bonopéra, sa sœur, et de son mari Auguste Morand de la Genevraye, son beau-frère : Augustine, puis Angèle Morand de la Genevraye)…

Puis, après ce divorce de 1897, Paul Bonopéra s’est à nouveau remarié _ j’ignore à quelle date _ :

avec cette future « Madame Veuve Paul Bonopéra » (« née Confex« ) qui m’intéresse _ cf mon article d’hier : _,

parce qu’elle est apparentée, via le mariage d’une de ses parentes _ côté Confex… _, née demoiselle Wachter _ fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (natif de Rougemont : tout près de Menoncourt…) et de son épouse Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (native de Marseille) _, avec Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ dont, devenue veuve de son époux Louis Gentet, cette ancienne demoiselle Wachter est devenue « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« .

Or ce Louis Gentet n’est autre que l’oncle maternel _ puis tuteur, à Orléansville à partir des décès successifs, à Oran, de leurs parents, la sœur de Louis Gentet, Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son beau-frère Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845, Oran, 28 janvier 1890) ; Anatole Rey, pharmacien, avait été maire d’Orléansville en 1880-1881, puis, au moment de son décès, il était un très remarqué adjoint au maire d’Oran… _ des petites Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey :

Marie-Louise, l’épouse (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) ainsi que Aimée-Laurence, la belle-sœur _ future « Mme Vve Gadel » à la date du 30 mars 1930, la date du décès de son mari (et cousin germain) Victor Gadel, à Alger _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), ce génial inventeur de « la photographie de couleurs« , qui a suscité mon enquête sur l’importance _ affective, intellectuelle et matérielle _ de son entourage familial…

Je poursuivrai demain l’inventaire des apports à ma recherche de ce très précieux document généalogique,

œuvre de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),

instituteur de son métier ;

fils de Paul, le boulanger d’Orléansville _ rue d’Isly _ (Pontéba, 19 décembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930)

et de son épouse Marie-Marguerite-Léonie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, Lozère, 12 janvier 1881 – j’ignore le lieu et la date de son décès ) ;

 

et petit-fils de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916)

et son épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892)…

À suivre…

Ce dimanche 7 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

De la prise de conscience de la proximité géographique de Menoncourt et Rougemont, à la découverte du mariage d’un François Wachter et d’une Marguerite Girot, les parents de Jean-Pierre Wachter, le cousin de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, et témoin au mariage de celui-ci avec Elisabeth Confex, le 26 mai 1857, à Mustapha

06mar

Alors que, hier, vendredi,

en la continuation de la poursuite de ma recherche de cette famille Girot dont pouvait être originaire Joséphine Girot (ou Giraud) _ née probablement en 1856 (la même année que son futur mari Paul Bonopéra), en Algérie ; et cela, d’après les âges de « 36 ans«  notés pour chacun des deux parents, « Bonopéra Paul«  et « Giraud Joséphine« , du petit Georges Bonopéra, né à Rabelais le 21 février 1892, sur le registre des naissances de la « commune de Rabelais, mixte de Ténès«  _l’épouse de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), et mère de leurs six fils (Jean, né à Pontéba le 18 juin 1877 ; Paul, né à Pontéba le 19 septembre 1878 ; Alphonse, né à Charon le 1er janvier 1881 ; Auguste, né à Orléansville le 3 avril 1883 ; Julien, né à Charon le 9 janvier 1887 ; et Georges, né à Rabelais le 21 février 1992),

je m’intéressais aux cousinages des Girot de Menoncourt avec les Girot de Roppe, et à leurs arrivées respectives en Algérie _ cf la série de mes articles des mercredi 3 mars, jeudi 4 mars et vendredi 5 mars :  ;   et _,

voilà que vient me surprendre _ Euréka ! _ la double idée

d’une part, du fait patent de la proximité géographique de ces deux villages de Menoncourt et de Roppe,

situés dans le département du Haut-Rhin, et qui deviennent parties du nouveau département du Territoire de Belfort, suite à la défaite de la France face à la Prusse en 1870, et à la perte de la plus grande partie de l’Alsace, à l’exception, justement, de ce bout de territoire alsacien-là, devenu le nouveau département du Territoire de Belfort ;

avec, aussi, le fait que ce sort qui vient affecter alors ces villages de Menoncourt _ d’ou venait la famille de Jean-Claude Girot, son épouse Marie-Catherine Herbelin, et leurs enfants Catherine Girot, Jean-Pierre Girot et Auguste Girot _ et de Roppe _ d’où venait la famille de Joseph Girot et son épouse Marie-Rose Blanc, et leurs enfants _, concerne tout autant le village lui aussi voisin _ devenant alors carrément frontalier, lui, de l’Allemagne _, de Rougemont-le-Château  _ le village (alsacien) d’origine de cette famille Wachter que j’ai rencontrée dans mes recherches antérieures sur le parcours algérien d’Amédéee Ducos du Hauron, notamment à Orléansville… _ ;

et, d’autre part, l’intuition qui m’est venue de la possibilité _ une hypothèse à mettre bien sûr à l’épreuve ! tel serait donc le nouveau défi à affronter… _  d’une éventuelle parenté de ces Girot, tant ceux de Roppe que ceux de Menoncourt _ dont l’idée m’était venue, tout d’abord ,que pourrait en être issue cette Joséphine Girot (née en 1856) dont l’identité continue de m’intriguer… _,

avec ces Wachter, en particulier, bien évidemment, ceux d’Orléansville _ par exemple la famille d’Emile Wachter, ou celle de sa sœur Marie-Emélie, épouse (puis veuve, le 18 décembre 1927) d’Albert Ferrand, à Alger… _,

apparentés par le mariage _ j’en ignore la date _ d’une Wachter orléansvilloise _ j’ignore encore son identité et sa place exacte au sein de la constellation familiale des Wachter _ avec Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ dont elle va devenir la veuve (« Mme Vve Louis Gentet« ) au décès de celui-ci, ce 9 août 1906, à Orléansville… _, le tuteur, à Orléansville même _ à partir des décès successifs le 5 juillet 1886, puis le 28 janvier 1890 (à Oran) de leurs deux parents Rey et Gentet _ des sœurs Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, les deux filles d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855, Oran, 5 juillet 1886) et Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 janvier 1845  – Oran, 28 janvier 1890) :

Marie-Louise, l’épouse, et Aimée-Laurence, la belle-sœur _ future veuve Gadel : c’est à Alger qu’est décédé, le 30 mars 1930, Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, né au Grand Serre le 8 juillet 1872 ; lui dont la mère, née Marie-Eugénie-Hortense Rey (née au Grand Serre le 21 mars 1848), était la sœur de Jean-Anatole-Firmin Rey, né au Grand Serre le 11-juin 1845) : Aimée-Laurence Rey, fille d’Anatole, et Victor Gadel, fils d’Hortense Rey, étaient donc cousins germains… _ de cet Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935), l’aîné de ces trois neveux _ Amédée et Gaston Ducos du Hauron, et Raymond de Bercegol _, de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 31 août 1921), qui m’intéressent…   

Rougemont-le-Château est en effet le village _ autrefois situé dans le département du Haut-Rhin, et depuis 1870, dans le département du Territoire de Belfort _ d’où venaient plusieurs membres de ces familles Wachter venues en Algérie :

d’abord, Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont-le Château, le 5 février 1827 _ et dont j’ignore, hélas, le lieu et la date du décès, en Algérie _), accompagné de ses deux parents, son père François-Antoine-Humbert Wachter (Rougemont, 29 août 1794 – probablement Mustapha, entre 1857 et 1870 : entre la date du mariage de son fils et la date du décès de sa veuve) et sa mère, née Marie-Françoise Chevillot (Le Val, 12 février 1792 – Mustapha, 8 septembre 1870) ;

et qui épousera, à Mustapha, le 26 mai 1857, Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925),

avec laquelle il aura au moins 5 _ et peut-être 6 _ enfants Wachter :

_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa, le 9 mars 1858 ;

_ Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha, le 2 septembre 1859 ;

_ Louis-Jules Wachter, né à Orléansville, le 29 juillet 1866

_ qui épousera, à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo _ ;

_ Emile Wachter, né à Mustapha, le 15 mai 1869

_ qui épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet _ ;

_ Marie-Emélie Wachter, née en 1874 ou 75 _ je ne dispose ni du lieu, ni de la date précise de cette naissance _, peut-être à Orléansville

_ qui épousera (j’ignore à quelle date et en quel lieu) son cousin germain Albert-Philippe-Joseph Ferrand (1869 – Alger, 18 décembre 1927), qui était le fils de sa tante, une des sœurs d’Elisabeth Confex, Aimée-Justine-Marie Confex (née à Alger le 7 février 1839) ; laquelle, Aimée Confex, était l’épouse, à Alger, le 18 juin 1868, de Philippe Ferrand (Fleurey-lès-Lavencourt, Haute-Saône, 1 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889) _ ;

_ et probablement encore une autre fille Wachter _ dont j’ignore pour le moment, et l’identité précise, et la place au sein de la constellation familiale des Wachter _ :

épouse, puis veuve, le 9 août 1906, de Louis Gentet, l’oncle et tuteur des sœurs Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, les deux filles d’Adélaïde Gentet, sa sœur, décédée à Oran le 5 juillet 1886

_ et il faut relever aussi que c’était ce même Louis Gentet, accompagné de son frère aîné Frédéric, qui était allé déclarer à la mairie d’Oran le décès de leur beau-frère Anatole Rey, décédé à Oran le 28 janvier 1890 _ :

ce couple Wachter-Gentet par lequel s’effectue _ et c’est bien là un nœud décisif de notre enquête ! _ l’apparentement des Rey-Gentet, Ducos du Hauron et Gadel, avec les Wachter-Gentet, Confex, et Bonopéra ;

dans la mesure où « Mme Vve Bonopéra« , l’épouse _ en quelque sorte finale… _ de Paul Bonopéra, est une sœur de « Mme Vve Wachter, née Confex » (Elisabeth de son prénom, et veuve du rougemontais Jean-Baptiste-Antoine Wachter) : une sororité révélée par l’avis du décès d’Elisabeth Confex, veuve Wachter, paru dans Le Progrès d’Orléanville du 2 avril 1925 _ un décès survenu à Alger le 30 mars 1925 _ :

« Nécrologie. Nous avons appris avec peine le décès à Alger à l’âge de 89 ans, de Mme Wachter née Confex, mère de notre ami M. Emile Wachter, d’Orléansville, et sœur de Mme Vve Bonopéra. Très estimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte ne laisse que de très bons souvenirs à tous ceux qui l’on connue« « 

En revanche, j’ignore encore la date et le lieu précis _ à Mustapha, entre 1857 et 1870 _ du décès du père de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, et époux de sa mère Marie-Françoise Chevillot : François-Antoine-Humbert (ou Hubert) Wachter ;

même si je sais que celui-ci a fait, avec son épouse et son fils, le voyage d’Algérie ; et qu’il y est effectivement décédé ;

ce François-Antoine-Humbert Wachter était cultivateur de profession, à Rougemont ;

il était né à Rougemont le 29 août 1794 ;

il avait épousé, à Rougemont, le 29 octobre 1814, Marie-Françoise Chevillot (née au Val _ autre village proche… _ le 12 février 1792 ; laquelle, devenue veuve, décèdera à Mustapha le 8 septembre 1870) ;

et leur couple aura eu 8 enfants, tous nés à Rougemont :

_ François Wachter, né le 2 août 1812 ;

_ Marie-Françoise Wachter, née en 1815 ;

_ Julie Wachter, née en 1817 ;

_ Marie-Catherine Wachter, née le 31 janvier 1819 ;

_ Jean-Claude Wachter, né le 20 mai 1821 ;

_ Sophie Wachter, née le 29 janvier 1824 (qui épousera à Birmandreis, en Algérie, le 4 avril 1857, François-Martin Molbert (né à Chaux, Haut-Rhin, le 9 décembre 1825, et qui décèdera à Mustapha le 22 juin 1884) ; Sophie Wachter décèdera à Courbet, en Algérie, le 9 mai 1897. Et ce couple aura eu trois enfants Molbert, Louise (née en 1858 à Birmandreis), Pierre (né vers 1860) et Charles, né en 1863, à Mustapha _ auxquels il faut ajouter un tout premier enfant, une fille aînée, née (à Rougemont, en Alsace, le 18 août 1853) avant mariage de ses parents, et reconnue seulement le jour du mariage de ceux-ci, à Birmandreis, en Algérie, le 4 avril 1857 : Sophie Wachter, et qui devient alors Sophie Molbert (Rougemont, 18 août 1853 – Courbet, 1er février 1938).

_ Jean-Baptiste-Antoine Wachter, né le 5 février 1827 ; et c’est lui qui, le 26 mai 1857, a épousé, à Mustapha, Elisabeth Confex _ l’aînée des 7 enfants Confex (dont la future « Mme Vve Paul Bonopéra« , « née Confex » !) de Jean-Baptiste-Pierre Confex (Marseille, 28 décembre 1811 – Mustapha, 28 mai 1887) et son épouse Marie-Claire-Joseph Vidal (Marseille, 22 septembre 1815 – Mustapha, 6 juillet 1869 ; les cinq autres enfants Confex de ce couple sont : Aimée-Justine-Marie (née à Alger le 7 février 1839 et future épouse de Philippe Ferrand, né à Fleurey-lès-Lavoncourt le 7 août 1828, et qui décèdera à Alger le 2 décembre 1889), et qui aura pour fils Albert-Philippe Ferrand (1869 – Alger, 18 décembre 1827) futur époux de sa cousine Marie-Emélie Wachter… ; Marius-Ernest-Jules (né à Alger le 19 février 1841) ; Marius-Etienne (né à Alger le 29 novembre 1843 ; et qui décèdera à Relizane-Renault le 30 décembre 1894) ; Marie-Léontine (née à Alger le 28 mars 1846) et Zoé-Marie-Thérèse (née à Alger le 19 août 1852) _ ;

et enfin _ François-Antoine-Humbert Wachter, né le 1er février 1830.

Mais il me reste le principal à révéler,

car de Rougemont-le Château, venait aussi un autre Wachter, et « cousin » de ce Jean-Baptiste-Antoine Wachter qui a épousé à Mustapha Elisabeth-Joséphine-Augustine Confex :

Jean Pierre Wachter (Rougemont, 24 mars 1801 – El Biar, 20 janvier 1871).

Par lui, j’allais en effet découvrir la parenté, dès les années du XVIIIème siècle, à Rougemont, des Wachter et des Girot :

via le mariage _ j’en ignore la date et le lieu : probablement ailleurs qu’à Rougemont ; peut-être au Val… _ de François Wachter (né à Rougemont le 11 mars 1754, fils de Marc Wachter et Marie-Anne Blaisy ; et qui décèdera à Rougemont le 5 mai 1807 ; il était teinturier de profession), avec Marguerite Girot (née au Val, le 20 août 1767 ; et qui décèdera à Rougemont le 19 décembre 1840) ;

François-Antoine Wachter et Marguerite Girot _ fille de Germain Girol, du Val (et qui signe Girot) et son épouse Anne-Marie Sonet, qui s’étaient mariés à Angeot le 17 février 1756… _ sont, eux, les parents, notamment _ comme cela est inscrit dans l’acte de décès de celui-ci, en date du 20 janvier 1871, à El Biar _ de ce Jean-Pierre Girot (Rougemont, 24 mars 1801 – El Biar, 20 janvier 1871 ; chevalier de la Légion d’honneur ; « garde comptable d’artillerie« ), qui se déclarera « cousin » du marié, Jean-Baptiste-Antoine Wachter ; et sera un des quatre témoins assistant les mariés Jean-Baptiste-Antoine Wachter et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex, lors de leur mariage, à la mairie de Mustapha, le 26 mai 1857.

Il faut donc bien reconnaître que des Wachter, déjà apparentés à des Girot, sont présents en Algérie à ce moment _ 1856 _ de la naissance, à Ténès, de Joséphine Girot.

Et il est tout à fait dans l’ordre du possible qu’à Orléansville Joséphine Girot _ qui a accouché, là, de son quatrième fils, Auguste Bonopéra, le 3 avril 1883 _, ait fréquenté certains des membres de la famille Wachter qui y résidaient ; en plus de membres des familles Girot de Menoncourt et de Roppe, qui résidaient eux aussi dans la région, par exemple à Ténès ;

Ténès où s’est marié, le 1er août 1854 _ avec une demoiselle Hermite _, Jean-Pierre Girot : l’assez probable père de notre Joséphine… 

C’est que l’installation en Algérie des nouveaux arrivants ne concernait pas seulement des individus isolés, mais aussi des familles,

et élargies assez souvent à des cousins…

La solidarité _ en l’occurrence familiale _ pouvant avoir une importance vitale.

À suivre...

Ce samedi 6 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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