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Pour présenter synthétiquement les récentes avancées de ma recherche autour des Bonopéra issus de Jean Bonopéra…

04mai

Afin de présenter de manière un peu synthétique les récentes avancées de ma recherche,

voici un courriel un peu explicatif, à Cécile Bonopéra, du 4 mai 2021, à 14h 47…

Voici d’abord la moisson des récents articles de mon blog (à partir du 29 avril dernier),

consécutive à mes contacts avec votre tante Aline Bonopéra,
ainsi qu’une plus lointaine cousine (par alliance), Mme Claude Petit, qui vit en Corrèze, près de Brive :
Votre tante Aline Bonopéra ne m’a pas appris grand chose que je ne sache déjà,
sinon une tradition familiale (?) qui fait de l’ancêtre Luigi-Nicola Bonopéra un sicilien qui serait né à Palerme…
J’ignore sur quel témoignage ou document repose cette tradition…
Surtout, à nul moment, je n’ai eu contact avec votre oncle Jean-Pierre (né le 2 novembre 1934) ; je n’ai eu au téléphone que son épouse Aline, née Lafet, en 1939. J’espère que votre oncle va bien…
La seule personne de cet âge de votre famille avec qui j’ai pu échanger un peu au téléphone, est Huguette Bonopéra (épouse _ séparéede Gérard Dubois), et qui vit à Montpellier, l’une des 2 filles jumelles d’Auguste Bonopéra-fils et son épouse Antoinette Gallera, née à Orléansville le 3 mai 1933.
C’est elle, Huguette Bonopéra, qui m’a appris le nom de sa grand-mère paternelle : Isabelle Vives, l’épouse d’Auguste Bonopéra-père _ celui que j’appelle le cafetier de la rue d’Isly à Orléansville.
Mais Huguette Bonopéra m’a dit que son père, Auguste Bonopéra-fils, avait été lui aussi cafetier…
Surtout, Huguette Bonopéra m’a dit que son arrière-grand-père Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),
le père des 6 fils Bonopéra Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges Bonopéra,
avait vendu ses propriétés de Rabelais, afin d’aider, par un partage, ses fils à s’installer, au cours de la première décennie du XXe siècle (vers 1905) ;
peut-être au noment de son troisième mariage, probablement à Orléansville _ et après sa brève union avec sa seconde épouse, à Rabelais : Marie-Jeanne-Virginie Claudet, en 1897… _ ;
le mariage avec celle qui deviendra, en 1916, « Madame Veuve Paul Bonopéra », et était née Confex _ dont j’ignore toujours l’identité précise et le parcours de vie…
Mais Huguette Bonopéra n’avait hélas pas souvenir de cette veuve de son arrière-grand-père…
Cette « Mme Vve Paul Bonopéra » était aussi la tante de l’orléansvillois Émile Wachter, fils de sa sœur aînée Elisabeth Confex, épouse Wachter ;
ainsi que la tante de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter », sœur d’Émile, et fille d’Elisabeth Confex (Marseille, 26 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter…
Huguette Bonopéra, cependant, était fatiguée, et je n’ai pas voulu abuser de sa gentillesse.
Huguette Bonopéra est aussi la grand-mère de Steve Dubois _ qui vit à Aups, dans le Var _,
qui m’a très gentiment remercié de lui en apprendre beaucoup sur l’histoire de ses ancêtres Bonopéra.
En revanche, je n’ai pas réussi à joindre au téléphone Claudette Bonopéra (veuve de Hans Haenni), la sœur jumelle de Huguette Bonopéra, qui vivait il y a encore peu de temps dans l’Hérault…
J’ignore cependant si Claudette  Bonopéra vit toujours…
D’autre part, 
votre tante Aline Bonopéra m’a aussi parlé d’une lointaine cousine par alliance, Mme Claude Petit (née en 1944), qui l’avait contactée il y a quelques années,
et faisait des recherches à propos de la famille Bonopéra, à la recherche, notamment, de sa  cousine par alliance Claudette Bonopéra : 
Mme Petit, fille d’Eugène-Louis Petit (Orléansville, 3 septembre 1909 – Orléansville, 24 mai 1952) est la nièce de Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980) et de son époux Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977)…
Mme Claude Petit a essayé de rétablir le contact avec ses cousins germains Bonopéra, 
le fils, Paul (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000), et les 5 filles, Hélène, Jacqueline, Mireille, Stéphanie et Vivianne Bonopéra,
de sa tante _ sœur aînée de son père Eugène-Louis Petit _ Clémentine Petit et son époux Georges-Paul Bonopéra
_ ce dernier étant fils de Jean Bonopéra (né à Pontéba le 18 juin 1877), 
le fils aîné de Paul Bonopéra (1856 – 1916) et sa première épouse Joséphine Girot (1856 – 1892).
De ces 6 enfants de Georges-Paul Bonopéra (1902 – 1977) et son épouse Clémentine Petit (1907 – 1980),
ne vit plus aujourd’hui _ à Laparade, dans le Lot-et-Garonne _ que Mireille-Geneviève Bonopéra (née en 1947), épouse Heuer.
D’autre part, l’épouse de ce Paul Bonopéra (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000) était Jeannine-Adrienne Tudury (Saint-Eugène, 7 septembre 1929 – Toulon, 5 juin 2007) :
Paul Bonopéra et Jeannine Tudury ont eu, eux aussi, 6 enfants Bonopéra _ sans plus de précisions…
Et Mme Claude Petit a établi un contact avec au moins l’un des 6 enfants de Paul Bonopéra et son épouse Jeannine Tudury : Paul Bonopéra, qui vit à La Garde, dans le Var…
Peut-être sont frères de ce Paul Bonopéra, qui vit à La Garde :
Georges Bonopéra, né à Orléansville le 9 mars 1950, assez célèbre producteur de télévision parisien _ non : ce Georges Bonopéra-ci est fils de René Bonopéra (qui tenait le café de la gare à Affreville) et son épouse Arlette Cailliez (dont les parents étaient Henri Cailliez et son épouse Anna, de Pontéba ; René Bonopéra avait deux frères, Georges Bonopéra dit Coco, et Auguste Bonopéra ; et deux sœurs Yvonne et Hélène Bonopéra ;
et ceux-ci étaient les 5 enfants d’Auguste Bonopéra (dit le colonel) et son épouse Isabelle Vivès, qui tenaient le café de la rue d’Isly à Orléansville ;
et cet Auguste Bonopéra-là décèdera à la fin du mois de juin 1962 à Montpellier ; alors que son épouse Isabelle née Vivès était décédée à Orléansville en 1950 :
c’est ce que vient de me confier au téléphone ce jeudi 1er février 2024 Georges Bonopéra, né le 9 mars 1950 à Orléansville ; après que son fils Matthias Bonopéra (né à Paris 11e le 17 mai 1977), et ayant lu plusieurs articles de mon blog concernant la famille Bonopéra d’Orléansville, m’avait joint peu auparavant lui aussi au téléphone… _ ;
Roger Bonopéra, né en 1954 ;
et Jean-Stéphane Bonopéra, né à Orléansville le 5 décembre 1956 _ qui a un domicile au Lavandou ; et qui cherchait lui aussi à entrer en contact avec sa cousine Claudette Bonopéra…
Voilà pour ce jour.
Ce mardi 4 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouveaux aperçus sur quelques descendants Bonopéra issus de Jean Bonopéra, le fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : les 6 enfants de Georges-Paul Bonopéra (1902 – 1977) et son épouse Clémentine Petit (1907 – 1980)…

01mai

Pour commencer la révélation des découvertes révélées (ou suscitées) par mon récent contact avec la nièce Claude Petit

de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977) _ fils du fils aîné de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) : Jean Bonopéra (né à Pontéba le 18 juin 1877), et de l’épouse de dernier : Louise Hulné (Rabelais, 6 mai 1881 – Affreville, 1963) _ et son épouse Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980) _ dont le mariage a eu lieu à Orléansville le 4 août 1925 _,

je me penche ce soir sur de nouvelles précisions concernant les 6 enfants _ nés entre 1926 et 1951 _ de ce couple de Georges-Paul Bonopéra et Clémentine Petit.

Si j’ignore toujours le lieu et la date du mariage de leur fils aîné Paul-Pierre-Julien-Auguste Bonopéra (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000) avec son épouse Jeannine-Adrienne Tudury (Saint-Eugène, 7 septembre 1929 – Toulon, 5 juin 2007),

je sais désormais que Paul et Jeannine ont eu 6 enfants Bonopéra _ j’y reviendrai, bien sûr, ultérieurement… _ ;

le deuxième enfant du couple de Georges-Paul Bonopéra et Clémentine Petit, est Hélène-Clémentine Bonopéra (La Ferme, 4 avril 1928 – ?, 16 mars 1927), qui a épousé Roland Legros (?, ??, ?), dont elle a eu 4 enfants Legros _ dont, pour le moment, j’ignore tout _ ;

leur troisième enfant est Jacqueline-Georgette Bonopéra (La Ferme, 15 janvier 1944 – Limoux, 17 janvier 2015),

qui a épousé en 1960 Alexandre-Jean-Marie Pelous (Monestrol, Haute-Garonne, 2 décembre 1937 – Carcassonne, 11 novembre 2012 _ le couple était domicilié à 11240 Routier (Aude) _ ; de son mariage, Jacqueline Bonopéra a eu 5 enfants Pelous : Bernadette, en 1960 ; Martine, en 1964 _ épouse de Pascal Buart, et qui sont domiciliés à Saint-Polycarpe (Aude) ; ils sont parents de 5 enfants Buart : Cédric, Gwénaëlle, Yoann, Laurie et Manon) _ ; Jean-Michel (en 1966) ; Patrick-Louis (Limoux, 27 août 1968 – Routier, Aude, 28 septembre 2001) ; et Sylvie (en 1969 _ domiciliée à Limoux) _ information de n.pelous, en date du 1er mai 2013.

leur quatrième enfant est Mireille-Geneviève Bonopéra (née le 24 décembre 1947, et qui vit actuellement en Lot-et-Garonne) ; de son mariage, elle a eu 2 enfants _ dont je ne sais presque rien… _

leur cinquième enfant est à nouveau une fille, prénommée Stéphane (mais dite Stéphanie), née en 1949, mais décédée jeune, par noyade accidentelle dans un canal, à Orléansville ;

et leur sixième et dernier enfant est Vivianne-Marie-Véronique Bonopéra (Saint-Cyprien-des-Attafs, 20 octobre 1951 – Hyères, 7 janvier 1997), qui s’est mariée à deux reprises, mais semble ne pas avoir eu d’enfants…

Voilà pour ce soir, et pour commencer ;

et à suivre…

Ce samedi 1er mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

De nouveaux aperçus, à venir, sur d’autres membres de la famille Bonopéra d’Orléansville…

30avr

De fait, le contact envisagé en mon article d’hier  a merveilleusement fonctionné :

conversation de près de 50′ ce matin avec cette personne membre de la famille Petit,

mais dont la tante paternelle, née Petit, est l’épouse d’un membre de la famille Bonopéra d’Orléansville. 

Voici une grande partie de mon courriel de cet après-midi, afin de prolonger un peu cette conversation, en vue de quelques nouvelles précisions… 

il précise aussi qui sont les 6 fils (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges) de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 16 janvier 1916) et sa première épouse Joséphine Girot (ou Giraud : Ténès, ca. 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892).
Cf aussi un merveilleux message, extrêmement touchant, d’un petit-fils, Steve Dubois, de Huguette Bonopéra,

J’ai retrouvé aussi le contact que vous avez eu _ dis-je aussi à ma correspondante _,

suite à votre appel du 12 août 2016 sur le site AlgerieMesRacines.com (http://www.algeriemesracines.com/perdu-de-vue/recherche.php?id_perdu=1021),

avec Jean-Stéphane Bonopéra _ que j’aimerais aussi contacter _ ,
petit-fils de Georges Bonopéra et Clémentine Petit, et fils de Paul Bonopéra et Jeanine Tudury.
Voici ces échanges :
Si vous avez connu la famille BONOPERA Georges et PETIT Clémentine et leurs enfants PAUL HELENE JACQUELINE MIREILLE STEPHANIE VIVIANE, rentrés en FRANCE d’ORLEANSVILLE après le tremblement de terre de 1954, soyez gentil de me rappeler, ces personnes sont mes ONCLE et TANTE, cousin et cousines, perdus de vue depuis cette année-là.
Ils se sont probablement rapatriés dans le VAR, région de La FARLEDE, LA GARDE, TOULON, MEOUNE-LES-MONTRIEUX…. ?, d’après mes renseignements.

Jean Stephane BONOPERA a apporté sa contribution mercredi 27 mai 2020 à 16h 45 :

Bonjour Claude, 
je suis Jean BONOPERA, né le 5 Décembre 1956 à Orléansville (Algérie), le fils de Paul et Jeanine BONOPERA née TUDURY. Georges et Clémentine BONOPERA née PETIT étaient mes grands-parents. Après le rapatriement en France, mes parents sont venus vivre à La Farlède (Var), au 34 rue du 4 septembre ; mes grands-parents aussi, dans une maison voisine, puis à Solliès-Pont. De toutes mes tantes, il ne reste que Mireille ; je te dirai comment prendre contact avec elle. Je suis vraiment heureux de retrouver un membre de la famille PETIT, car je n’en connais aucun. Prends vite contact avec moi, j’ai laissé mon adresse e-mail sur le site. J’espère que tu n’auras pas de problème à me joindre, sinon laisse-moi un message sur le site. Je suis aussi impatient de connaître Claudette née BONOPERA ; je suppose que tu as du prendre contact avec elle.
Merci de me répondre vite, j’ai beaucoup de choses à dire.

Claudette a apporté sa contribution lundi 29 août 2016 à 17h 56 :

Je suis la petite fille de Bonopéra Auguste qui tenait le café à Orléansville ; je me souviens très bien de vos parents, et de Paul et Hélène. Ce que je peux vous dire c’est que malheureusement je n’ai jamais eu de leurs nouvelles. Cela m’a fait plaisir de voir le nom Bonopéra, je vous embrasse

Voilà.

Claudette Bonopéra vit dans l’Hérault. Et elle a un fils qui habite le même village qu’elle.
Et sa jumelle Huguette Bonopéra habite Montpellier. J’ai échangé quelques mots avec Huguette au téléphone. Et c’est elle qui m’a appris le nom de sa grand-mère paternelle, l’épouse d’Auguste-le-cafetier : Isabelle Vivès.
Les jumelles Huguette et Claudette Bonopéra sont nées à Orléansville le 3 mai 1933 ;
elles sont les filles d’Auguste Bonopéra et son épouse Antoinette Galléra ;
les petites-filles d’Auguste Bonopéra-le-cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville, et son épouse Isabelle Vivès ;
et les arrière-petites-filles de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 1892).
Demain, je commencerai à indiquer ce que j’ai déjà appris de cette conversation d’aujourd’hui sur plusieurs membres de la famille Bonopéra d’Orléansville, sur lesquels mes connaissances demeuraient jusqu’ici très limitées.

Et j’essaierai d’entrer en contact avec quelques uns de ces Bonopéra-là, ou de leurs descendants ;

toujours dans l’espoir quasi inespéré (!) d’en apprendre davantage sur cette « Madame Veuve Paul Bonopéra » qui m’intrigue depuis pas mal de temps déjà…

….

Ce vendredi 30 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une nouvelle piste à explorer : les descendants de la famille Petit d’Orléansville

29avr

Un récent contact, membre de la famille Bonopéra d’Orléansville _ de la branche issue du second fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot : Paul Bonopéra (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) _,

faute de pouvoir m’aider à répondre à mes questions à propos de « Madame Veuve Paul Bonopéra mère«  _ c’est-à-dire la troisième et dernière épouse de Paul Bonopéra (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 16 janvier 1916), après Joséphine Girot (Ténès, ca. 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892) et Marie-Jeanne-Virginie Claudet ; cf mon article du 13 février dernier : _,

m’a orienté sur la piste de Madame Claude Petit,

dont une tante, Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980), avait épousé à Orléansville le 4 août 1925, Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977), le fils aîné de Jean Bonopéra (Pontéba, 18 juin 1877 – ?, ?) _ lui-même l’aîné des 6 fils (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges) de Paul Bonopéra et sa première épouse Joséphine Girot (ou Giraud).

Madame Claude Petit ayant réalisé un très précieux arbre généalogique de sa propre famille Petit.


À suivre…

Ce jeudi 29 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Jean Bonopéra…

15fév

Ce lundi 15 février, j’ai poursuivi mes recherches sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Rabelais _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possibles, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en commençant par l’ainé, Jean Bonopéra.

Ce n’est qu’assez tardivement que j’ai pris conscience que ce Jean Bonopéra _ dont j’ignore pour le moment la date et le lieu (Oued Fodda ?) de décès _ est devenu, à un moment de sa vie, agent, puis brigadier, puis inspecteur de police : à Oued Fodda, entre 1932 et 1939 ; après avoir été garde-champêtre à Masséna, puis Lamartine, en 1913.

Avec son épouse née Louise-Marie Hulné (Renault (= Relizane), 5 mai 1881 – Affreville, 1963) _ j’ignore où et quand Jean et Louise-Marie Hulné se sont mariés ; Louise-Marie Hulné est née le 5 mai 1881 à Renault-Relizane ; fille de Joseph-Charles Hulné (né à Breitenbach, Haut-Rhin, et décédé à Ténès le 30 janvier 1932) et de Joséphine-Marie-Apolline Bailly (née à Pussey, Haute-Saône, le 27 avril 1863, et décédée à Hussein Dey après 1932), c’est six mois après sa naissance à Renault-Relizane que Louise-Marie Hulné a été reconnue par son père le jour du mariage de ses parents, Jean-Charles Hulné et Joséphine-Marie-Apolline Bailly, à Renault, le 26 novembre 1881… _,

Jean Bonopéra et Louie-Marie Hulne ont eu au moins 6 enfants _ à la date du 13 mars 1917, il est en effet consigné sur le livret militaire de Jean Bonopéra qu’il a 6 « enfants vivants«  ; en vertu de quoi Jean Bonopéra a pu être renvoyé de la réserve de l’armée territoriale, en ses foyers ; et il se retire alors à Orléansville, rue de Rome, est-il précisé, le 24 mars 1917 _ :

 _ 1) Georges-Paul, apparemment l’ainé de cette fratrie des 6 enfants de Jean Bonopéra, est né à Rabelais le 25 juin 1902, et épousera _ probablement à La Ferme _ le 25 mai 1925 Clémentine-Eugénie-Hélène Petit (née à Duperré le 20 janvier 1907 ; et qui décèdera à La Garde, Var, en 1985) ; Georges-Paul Bonopéra et son épouse Clémentine auront eux-mêmes 6 enfants :

Paul-Pierre-Auguste est né à La Ferme le 31 juillet 1926 (et décèdera à Toulon le 8 juillet 2000) _ son épouse Jeannine-Adrienne Tudury est née à Saint-Eugène le 7 septembre 1929, et décèdera à Toulon le 5 juin 2007 ; et ils auront plusieurs enfants, dont Jean-Stéphane Bonopéra, né le 5 décembre 1956 à Orléansville ; et peut-être aussi un Roger Bonopéra ; ainsi que Georges Bonopéra, né à Orléansville le 9 mars 1950… _ ;

Hélène ;

Jacqueline est née à La Ferme le 15 janvier 1944 (et décèdera à Limoux le 17 janvier 2016) ;

Mireille ;

Stéphanie ;

et Vivianne est née à Saint-Cyprien des Attafs le 20 octobre 1951 (et décèdera à Hyères le 7 janvier 1997).

Et Georges-Paul Bonopéra, le père de ces 6 enfants _ et fils aîné de notre Jean Bonopéra _, décèdera à Toulon le 9 janvier 1977.

_ 2) Aimée _ probablement la seconde de la fratrie des au moins six enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulne _ est née, comme son frère aîné Georges-Paul, à Rabelais : le 13 novembre 1905.

Assiste comme témoin à la déclaration de la naissance de cette petite Aimée Bonopéra, en la mairie de Rabelais, le cousin germain du père du bébé, Jean Bonopéra, Alphonse Morand de la Genevraye (Orléansville, 7 juin 1872 – Orléansville, 19 mars 1922), le fils aîné de Marguerite Bonopéra (1849 – ?) et d’Auguste Morand de la Genevraye (1844 – 1904), c’est-à-dire le fils aîné de la sœur et du beau-frère de Paul Bonopéra (1856 – 1916), le père de Jean (1878 – ?) et grand-père de la petite Aimée (1905 – 1993).

En 1925, Aimée Bonopéra épousera Dominique Villanova, sous-officier au 1er régiment de Tirailleurs, en garnison à Orléansville ; puis, en un second mariage, le 2 septembre 1950, à Orléansville, André-Klébert Riquier.

Aimée Bonopéra décèdera à Fréjus le 22 novembre 1993 _ j’ignore si elle a eu une descendance Villanova ou Riquier.

_ 3) Claude _ c’est tout ce que je sais pour le moment de cet enfant.

_ 4) Joséphine, qui le 30 janvier 1923 _ d’après Le Progrès d’Orléansville, du 1er février 1923 _ épouse Kléber Defillon _ employé au P.L.M. à Affreville en 1929, d’après L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929.

Et il me faut ici noter un accident qui affectera, en gare de Tlemcen, le 6 novembre 1929, Kléber Defillon, alors employé au P.L.M. à Affreville, et Aimé Jouvence, sergent au 6e Tirailleurs à Tlemcen, tel qu’il est rapporté par L’Écho de Tlemcen du 12 novembre 1929 : « Les nommés Defillon Kléber et Jouvence, ont été victimes d’un accident. Le cheval qui traîne la voiture qui assure le service postal de Tlemcen-ville à Tlemcen-gare, a versé en arrivant à la gare, quand le cheval a pris le mors aux dents. Le sieur Defillon a été atteint de plaies au genou gauche et de luxation au bras gauche ; le sergent Jouvence a été atteint de plaies aux genoux« . En effet, Kléber Defillon et Aimé Jouvence sont tous deux des gendres ou futurs gendres de Jean Bonopéra (cf l’annonce par L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, de la naissance, à Oued-Fodda de « Claude Jouvence, au foyer de M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs à Fez, et de Mme, née Bonopéra _ j’ignore le prénom de cette fille de Jean Bonopéra, épouse d’Aimé Jouvence, et bientôt mère, en décembre 1932, du petit Claude Jouvence. Compliments aux heureux parents, ainsi qu’au grand-père Jean Bonopéra, notre sympathique agent de police locale »).

_ 5) Jeanne, qui est née à Orléansville le 10 mars 1913 (et décèdera à Kindsbach, en Allemagne, le 25 mai 1949) ; le 22 septembre 1934, à Oued-Fodda, elle épousera Marcel-Auguste Louyot _ alors sous-officier au 9éme Régiment de Tirailleurs Algériens : né à Metz, le 3 mars 1910, Marcel Louyot décèdera à Fontaine-Les-Dijon le 13 décembre 1997 _ ; et ils auront _ au moins _ une petite Josianne Louyot, née à Oued-Fodda au mois de janvier 1936.

_ et 6) peut-être, né à Orléansville au mois de février 1915, un petit Georges Bonopéra, si ce dernier est bien le fils de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné… Peut-être, en effet, sont-ce bien Jean Bonopéra et son épouse née Louise-Marie Hulné qui sont les parents du bébé Georges né en février 1915, dont a bien laconiquement parlé Le Progrès d’Orléansville du 11 février 1915 : « M. et Mme Bonopéra ont aussi un bébé, Georges » _ qui porterait alors le même prénom que son frère aîné Georges-Paul, né à Rabelais le 25 juin 1902. Et cela pourrait justifier l’indication du livret militaire de Jean Bonopéra, déclaré le 24 mars 1917, « père de 6 enfants vivants » ; une constatation ayant permis à ce père de famille de 6 enfants vivants, de se retirer à Orléanville, rue de Rome… _ mais cela fait tout de même un peu difficulté…

Mais de fait il s’avèrera que ce petit Georges Bonopéra né au mois de février 1915, n’est pas le fils de Jean Bonopéra et de son épouse Louise-Marie Hulné, mais le fils de son frère Auguste et de son épouse _ dont j’ignore toujours le prénom et le nom de naissance…

Il me faut donc continuer de rechercher quel est le sixième des enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné _ aux côtés de ses frères et sœurs Georges-Paul, Aimée, Claude, Joséphine et Jeanne Bonopéra _ et qui a pu permettre au père de famille nombreuse qu’était Jean Bonopéra de regagner ses foyers, et rejoindre sa famille, en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905, libérant des obligations du service actif les pères de famille d’au moins 4 enfants (Jean Bonopéra ayant déclaré, lui, avoir alors six enfants « vivants« ) ; et son livret militaire indiquant qu’à la date du 24 mars 1917, Jean Bonopéra regagne un domicile situé à Orléansville, rue de Rome…

Quant au parcours professionnel de Jean Bonopéra _ né, je le rappelle, à Pontéba le 18 juin 1877 _,

son livret militaire livre quelques très intéressantes informations, au moins sur quelques unes de ses domiciliations, jusqu’en 1917 :

_ au moment du conseil de révision de 1898, Jean Bonopéra, né à Pontéba, réside à Rabelais, et est « agriculteur« …

_ à la date du 13 avril 1913, il est dit résider à Masséna (commune-mixte du Chéliff)…

_ à la date 13 juin 1913, il réside à Lamartine, et y exerce, est-il précisé, l’office de garde-champêtre…

_ à la date du 12 avril 1917, il réside à Oued-Fodda…

_ et à la date du 2 novembre 1918, il se trouve à Duperré _ qu’y fait-il ?..

_ mais le 24 mars 1917, passé quatre jours plus tôt dans la réserve de l’armée territoriale, Jean Bonopéra, qui avait été renvoyé dans ses foyers en qualité de père de six enfants vivants, est dit se retirer à Orléansville, rue de Rome…

Le 2 avril 1925, Le Progrès d’Orléansville annonce les « fiançailles de Melle Aimée Bonopéra, fille de Mme et M. Jean Bonopéra, cafetier à Orléansville, avec M. Dominique Villanova, sous-officier au 1er Régiment de Tirailleurs en garnison à Orléansville« . 

Et au moment de l’annonce, le 28 mai suivant, toujours en 1925, par Le Progrès d’Orléansville, du prochain mariage de son fils Georges-Paul avec Melle Clémentine Petit, Jean Bonopéra, le père du futur marié, est encore dit être « cafetier à Orléansville« , ce qui ne laisse pas de surprendre un peu : il me semblait, en effet, que c’était plutôt Auguste Bonopéra, son frère né à Orléansville le 3 avril 1883, qui tenait le « Grand Café » Bonopéra de la rue d’Isly _ ce que confirmera l’information, par Le Progrès d’Orléansville du 1er juillet 1926, d’une réunion de Médaillés militaires d’Orléansville au « Café Bonopéra Auguste«  ; et je ne compterai pas les mentions dans la presse d’expressions telles que « M. Auguste Bonopéra, cafetier à Orléansville » (par exemple le 21 janvier 1932) ; ou « M. Auguste Bonopéra, propriétaire du Café d’Isly » (le 23 juin 1932)… _ ; à moins que la direction de ce Café était jusqu’alors conjointe entre les frères Auguste et Jean Bonopéra…

Et le 3 décembre 1925, c’est le mariage, cette fois, de « Melle Aimée Bonopéra, fille de Mme et M. Jean Bonopéra, cafetier à Orléansville, avec M. Dominique Villanova, sous-officier au 1er Tirailleurs« , qu’annonce Le Progrès d’Orléansville. Est-ce là une erreur de prénom _ Jean mis à la place d’Auguste, le cafetier du « Grand Café » de la rue d’Isly _ du père de la mariée ?..

À confronter aussi avec l’indication, rajoutée sur l’acte de naissance d’Aimée Bonopéra _ à Rabelais, le 13 novembre 1905, fille de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulne,   _ du mariage, en 1950 à Orléansville, d’Aimée Bonopéra avec André-Klébert Riquier…

L’histoire de ce « Grand Café » de la rue d’Isly _ véritable institution orléansvilloise ! _ mériterait, d’ailleurs, qu’on s’y attarde un peu… :

c’est en effet le 29 avril 1874 qu’un Jean Bonopéra _ lequel ? Son propre grand-père Juan-Dionis-Franscisco Bonopera (dit Jean Bonopéra ; né à Tarragone le 9 mars 1814) ? ou son oncle _ frère de son père Paul, né à Miliana le 10 janvier 1856 _ Jean-Baptiste-Nicolas Bonopéra (né à Miliana le 19 février 1851 ; et père du cousin Auguste Bonopéra _ né, lui, à Alger le 5 juillet 1894, et fils de ce Jean-Nicolas Bonopéra _) ? _ a été autorisé par un arrêté du sous-préfet de Miliana à ouvrir et exploiter un café rue d’Isly à Orléansville…

Plus tard, au début du XXe siècle, ce sera un Auguste Bonopéra qui tiendra ce Café de la rue d’Isly, à Orléansville :

très probablement le quatrième des six fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot (ou Giraud) : Auguste Bonopéra, né à Orléansville le 3 avril 1883 _ et qui aura au moins quatre enfants, dont l’un sera à son tour prénommé Auguste… _ ;

et bien moins probablement le cousin Auguste Bonopéra, né à Alger le 5 juillet 1894, et qui décèdera à Alger le 13 février 1946 ; et qui s’est déclaré, lui, de profession « menuisier« , lors de son conseil de révision en 1914 ; et qui est fils de Jean-Nicolas Bonopéra, cuisinier de profession, un autre des frères de Marguerite Bonopéra et Paul Bonopéra _ tous nés à Miliana : Marguerite, le 22 janvier 1849 ; Jean-Baptiste-Nicolas, le 19 février 1851 ; et Paul, le 1er octobre 1856 ; et enfants de Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814) et son épouse Margalida-Miguela Saura (née à Santa Maria de Mahon, Minorque, le 21 mars 1820)…

Cependant, le livret militaire de Jean Bonopéra indiquait pour l’adresse de celui-ci à Orléansville : « Boulanger. Orléansville, rue d’Isly » ; ce qui pourrait tout simplement signifier que Jean Bonopéra était alors hébergé, provisoirement à Orléansville, par son frère Paul, le boulanger de la rue d’Isly…

Mais c’est bien à Oued-Fodda que l’on rencontre des mentions de Jean Bonopéra (et de sa famille), tout au long des années trente :

d’abord comme agent de police ; par exemple pour l’annonce par L’Écho d’Alger du 3 décembre 1932, de la naissance, à Oued-Fodda de « Claude Jouvence, au foyer de M. Jouvence, sergent-chef au 3e régiment de Tirailleurs à Fez, et de Mme, née Bonopéra. Compliments aux heureux parents, ainsi qu’au grand-père Jean Bonopéra, notre sympathique agent de police locale » ; ou pour l’annonce, par L’Écho d’Alger du 23 juin 1933, des fiançailles, à Oued-Fodda, de « Melle Jeanne Bonopéra, fille de M. Jean Bonopéra, agent de police, avec M. Marcel Louyot, sergent au 9e régiment de Tirailleurs en détachement à Orléansville » ;

puis, comme brigadier de police ; par exemple pour l’annonce, par L’Echo d’Alger du 20 septembre 1934, du mariage prochain, à Oued-Fodda, de « Melle Jeanne Bonopéra, fille de Mme et M. Bonopéra Jean, brigadier de police de notre ville, avec M. Marcel Louyot, sous-officier  au 9e R.T. A. » ; ou encore pour l’annonce, par le Progrès d’Orléansville du 17 janvier 1936, de la « naissance de Josianne Louyot, au domicile de son grand-père, M. Bonopéra, notre sympathique brigadier de police« , à Oued-Fodda ;

et enfin comme inspecteur de police ; par exemple pour l’annonce, par L’Écho d’Alger du 23 mars 1939, de la « nomination de M. Jean Bonopéra, Brigadier, au grade d’Inspecteur de police, à Oued-Fodda« …

À suivre…

Ce lundi 15 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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