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« Goliarda Sapienza, croix et délices » : deux pages consacrées aux « Carnets » de Goliarda dans Le Monde des Livres de ce vendredi 1er mars

01mar

Le Monde des Livres de ce jeudi 1er mars 2019

consacre deux pleines pages

aux extraordinaires Carnets de Goliarda Sapienza :

d’abord un article de l’écrivaine cinéaste _ assez trash _ Virginie Despentes,

intitulé Goliarda Sapienza, croix et délices,

assorti de cette précision liminaire :

 

« Les Carnets de l’écrivaine italienne, morte en 1996, auteure de L’Art de la joie, révèlent une femme pudique et intense, d’une vitalité indestructible.

Virginie Despentes les a lus« .

Mais de Goliarda Sapienza, Virginie Despentes reconnaît aussi

qu’elle n’avait lu jusqu’ici que L’Université de Rebibbia _ sur le séjour de Goliarda en prison…

Et un entretien de Florence Noiville

avec l’éditeur français de Goliarda Sapienza,

Frédéric Martin :

« Frédéric Martin, à la tête des Éditions du Tripode,

entretient un intense rapport avec l’œuvre de Goliarda Sapienza, dont il dirige la parution en français » :

« Les Carnets,

cette force vitale qui passe à travers la langue »

_ Frédéric Martin n’étant guère disert sur la part cruciale de la reconnaissance (universelle ! Italie comprise : mais oui…) du génie de Goliarda par sa traductrice (et véritable découvreuse !!!) en français.

Cf aussi mes embryons d’articles précédents

des 4 et 5 janvier derniers :

et

Et surtout

ma proposition d’Index _ utile ! _ pour ces sublimes Carnets,

le 10 janvier suivant :

 

Et je salue au passage

Nathalie Castagné,

la traductrice _ en français _ si remarquable

de l’œuvre entier de Goliarda Sapienza

_ ainsi que sa révélatrice au monde entier !

y compris même en Italie !!! Il faut y insister…  _,

avec laquelle j’aurai le très insigne plaisir de m’entretenir chez Mollat

le mardi 9 avril prochain :

retenez bien cette date ! 

Ce vendredi 1er mars 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

En guise d’introduction à la lecture des extraordinaires « Carnets » de Goliarda Sapienza, un très éclairant article de René de Ceccatty

04jan

En guise d’introduction

à la lecture

des extraordinaires Carnets de Goliarda Sapienza

_ qui paraissent ce jour aux Éditions du Tripode,

en une traduction merveilleuse de Nathalie Castagné _,

découvrir ce très éclairant article de René de Ceccatty,

paru le 10 juin 2015 dans Les Lettres françaises,

à propos de

L’Université de Rebbibia 

et Les Certitudes du doute,

de, déjà, les deux, de Goliarda Sapienza,

ainsi que de l’essai Goliarda Sapienza telle que je l’ai connue,

de son mari (et premier éditeur) Angelo Pellegrino,

article intitulé Les Prisons de Goliarda.

À suivre…

Ce vendredi 4 janvier 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’éblouissement immédiatement irradiant des sublimes Carnets de Goliarda Sapienza

22déc

L’ami René de Ceccatty

vient de me faire adresser

par les Éditions du Tripode

les Carnets

de Sapienza Goliarda,

à paraître le mois prochain

_ le 3  janvier _,

et qu’a traduits en français l’amie de si longtemps

_ de leurs années de lycée à Montpellier _ et toujours, de René,

Eilathan,

Nathalie Castagné.

Dès la lecture

de la présentation liminaire de l’éditeur lui-même,

Frédéric Martin

_ cf le podcast de mon entretien avec lui le 25 novembre 2015 pour son édition du sublime Vie ou Théâtre ? de Charlotte Salomon : Frédéric Martin, Vie ? ou Théâtre ? de Charlotte Salomon (61’) le 25-11-2015 ;

ainsi que mon article du 29 novembre 2015 :   _,

aux pages 5 à 10 de ces Carnets,

puis le résumé très éclairant des péripéties complexes, et très souvent tragiques, de la vie (Catane, 19 mai 1924 – Gaeta, 30 août 1996) de Goliarda Sapienza

_ l’écriture lui sera donc aussi, du moins parfois, secours !

sinon la publication même,

et encore moins le baume éventuel de la reconnaissance du succès _,

aux pages 466 à 475 de ces Carnets

et surtout, forcément,

les premières pages _ sublimes !!! _ de ces Carnets

à l’écriture stupéfiante et renversante de justesse,

de force

et de beauté,

on reste confondu de bonheur

de pareille stupéfiante illuminante _ de la vie, de toute vie _ lecture !

Car Goliarda

entame en 1976 la rédaction de ces Carnets

afin d’essayer de survivre à la cessation de l’écriture de son grand œuvre désormais achevé,

L’Art de la joie

On comprend que cette force-là

de l’écriture

ait pu faire peur

aux éventuels éditeurs,

et en Italie d’abord…

puisque L’Art de la joie, terminé en 1976, n’aura pas connu la publication

du vivant de son auteur,

décédée en 1996…

Ce sera en effet l’obstination fidèle d’Angelo Pellegrino,

le compagnon puis mari très aimant de Goliarda ;

puis le succès en France de l’œuvre traduite par Nathalie Castagné,

et publiée, en 2005, aux Éditions Viviane Hamy,

qui fera reconnaître universellement

la grandeur magnifique de l’écriture

et de la personne

de Goliarda Sapienza !

Ce samedi 22 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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