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Revenir se pencher sur les liens entre les Ducos du Hauron de la branche algérienne, à partir d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey, et les Bonopéra d’Orléansville…

04fév

Suite à deux merveilleux coups de fil jeudi dernier 1er février de deux membres _ fils (né à Paris le 17 mars 1977,) et père (né à Orléanville le 9 mars 1950)… _ de la famille Bonopéra qui ont réussi à capter certains de mes articles du blog « En cherchant bien »  _ alors que le lien à ce blog a disparu du site de la Librairie Mollat, et cela ans que j’en sois informé, et que m’en aperçoive aussitôt… ; mais mon blog, bien sût, se poursuit, et quotidiennement !!! Et j’adresse mes articles à qui je pense pouvoir s’y intéresser, et le dialogue avec eux se poursuit… _, en faisant des recherches, simplement via Google, sur leur famille Bonopéra, et qui ont pris sur eux de me téléphoner, à Bordeaux,

Et suite à mes 2 très récentes reprises, le 1er et le 2 février 2024 derniers, corrigées et augmentées, de 2 précédents articles « « 

et « « 

d’articles en date, donc, des 4 mai 2021 et 16 février 2021,

je me suis décidé à prendre le taureau par les cornes, en tâchant de répondre un peu précisément à la question posée, le lendemain de notre contacr téléphonique, qui est la suivante :

_ « Je crois avoir compris que le lien familial _ des Bonopéra d’Orléansville _ avec M. _ Louis _ Ducos du Hauron _ (Langon, 1837 – Agen, 1920) le génial inventeur de la « photographie de couleurs« , à Lectoure (Gers) en 1868 _ se ferait, d’après vos recherches passionnantes, à partir de la sœur de Paul Bonopera père (et père d’Auguste, lui-même père de mon grand-père René), à savoir Marguerite _ Bonopéra, épouse d’Auguste Morand de La Genevraye _), et concernerait les fils du frère _ Alcide _ de Louis Ducos Du Hauron, notamment Amédée ? Ai-je bien compris ? _ oui, parfaitement ! Et alors, de quelle nature serait cette parenté entre les deux familles ? »…

Et c’est bien sûr là une très pertinente question !

Voici donc mon début de réponse et précisions :

Messieurs et chers amis,

voici d’une part mon article du 1er mars 2021 «  » 
qui pointe ma découverte de l’articulation entre
d’une part mes recherches de la généalogie algérienne des Ducos des Hauron, à partir d’Amédée Ducos du Hauron (Agen 29 mars 1867 – Alger 15 juillet 1935),
_ fils d’Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 30 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et neveu de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), l’inventeur de la photographie de couleurs à Lectoure en 1868 _
et son épouse Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933)
_ fille de Jean-Anatole-Firmin Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845  – Oran, 28 janvier 1890)  et son épouse Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) _ ;
et d’autre part ma découverte des liens (indirects : par alliances de collatéraux, via 2 dames Confex ou issues de Confex, l’une, née Confex _ Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1838  – Alger, 30 mars 1925) _, et épouse et veuve (en 1916) de Paul Bonopéra, et l’autre, née Wachter mais de mère Confex _ sa mère est cette même Élisabeth Confex… _, épouse et veuve (en 1906) de Louis Gentet…) de ces Ducos du Hauron d’Algérie, via Marie-Louise Rey, épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
avec votre famille des Bonopéra d’Orléansville
_ Orléansville où la famille de Paul Bonopéra s’est installée vers 1902-1903, en provenance du village de Rabelais, mais la sœur aînée de Paul, Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849), et épouse d’Auguste Morand de La Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), résidait déjà depuis longtemps à Orléansville ; et son mari était à son décès, le 25 mai 1904, maire d’Orléansville ; cf mon article du 10 février 2021«  » 
Amédée Ducos du Hauron ayant rencontré puis épousé Marie-Louise Rey à Orléansville, où il se trouvait en poste dans l’administration,
une ville qu’il quitte de son poste de rédacteur à la sous-préfecture (d’Orléansville) le 31 janvier 1901, pour un poste d’administrateur « adjoint » à la commune mixte de L’Ouarsenis ;
mais le livret militaire d’Amédée indique bien qu’il résidait déjà à Orléansville à la date du 18 avril 1895
_ et sur la carrière administrative en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron est aussi intéressant et significatif mon article du 2 décembre 2021«  »
Voici, ensuite, un précieux et très émouvant document (rédigé par son grand-père Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992), instituteur de profession) que m’a adressé le 7 mars 2021 la niçoise Cécile Bonopéra :
concernant la généalogie de ses ancêtres Bonopéra
Celle que les documents après 1916 nomment « Mme Vve Paul Bonopéra »,
puis,
après le 3 novembre 1830, au décès du second fils, Paul Bonopéra – junior (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930), le fils de son mari Paul Bonopéra-senior et sa première épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892),
« Mme Vve Paul Bonopéra – mère »,
est en réalité la 3ème épouse (et veuve) de Paul Bonopéra – senior, décédé à Orléansville le 18 janvier 1916 ; 

et non pas la mère des 6 fils (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges, nés respectivement en 1877, 1878, 1881, 1883, 1887 et 1892),
qui est Joséphine Girot (ou Giraud), née à Ténès en 1856 et décédée à Orléansville le 11 juillet 1892.
Cette veuve de Paul Bonopéra – senior est en effet née Confex
_ cf mon article du 1er novembre 2021 : «  » ; la Vve Bonopéra (à partir du 18 juillet 1916) née Confex, et la Vve Gentet (à partir du 9 août 1906) née Wachter _ ;
de même que se trouve être une des filles d’Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et de son époux (leur mariage a eu lieu à Mustapha, le 26 mai 1857) Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – en Algérie , ?), celle qui, née donc Wachter, est l’épouse (et la veuve à, partir du 9 août 1906) de Louis Gentet, le presque beau-père d’Amédée Ducos du Hauron, 
_ cf ce même passionnant article du 1er novembre 2021,
C’est ce Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906), donc, qui se trouve être le tuteur légal et effectif , depuis le 28 janvier 1890, des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey de sa sœur Adélaïde Gentet (née à Orléansville en 1855 et décédée à Oran le 5 juillet 1886) et de son beau-frère Anatole Rey (né au Grand-Serre le 11 juin 1845, et décédé à Oran le 28 janvier1890) ; et les deux sœurs Rey vivent donc désormais à Orléanville
les 2 sœurs que sont Marie-Louise Rey, future épouse d’Amédée Ducos du Hauron, 
et Aimée-Laurence Rey, future épouse, le 9 mars 1905 à Orléansville, de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (né le 8 juillet au Grand-Serre, et qui décèdera à Alger le 30 mars 1930)…
Les Gentet étant citoyens d’Orléansville depuis 1848
 
Et il se trouve que Elisabeth Confex, épouse Wachter, a longtemps vécu à Orléansville, auprès de plusieurs de ses enfants qui y étaient installés ; dont, notamment, Émile Wachter, j’y reviendrai plus tard
Vous me pardonnerez probablement les efforts de lecture que nécessitent ces divers articles,
qui rejoignent mes propres efforts pour, moi-même, me retrouver en leurs connexions entre eux,
issus qu’ils sont, au jour le jour, de ma patiente, longue et lente, mais tenace, recherche, au fil et rebondissements de mes successives découvertes…
Et, en leur rédaction, j’ai toujours privilégié la précision des faits découverts à l’élégance de la rédaction
et à une lisibilité aisée des articles pour les lecteurs.
Dans mon esprit, il s’agit d’abord et avant tout ici d’une patiente et assez ardue recherche,
avec ses aléas, ses pauses ou impasses j’espère bien provisoires,
et surtout ses formidables merveilleuses surprises de découvertes progressives ;
de même que l’incroyable joie de rencontrer des lecteurs qui y trouvent leur désintéressé profit de connaissance de points jusqu’alors ignorés d’eux de leur histoire familiale ;
telles des bouteilles miennes lancées à la mer et ayant miraculeusement trouvé leurs destinataires…
En toute humilité,
Bien à vous deux, Messieurs Bonopéra,
Francis Lippa, à Bordeaux
..
P. s. :
en sachant d’ores et déjà que vous allez pouvoir corriger certaines de mes erreurs (de rédaction), et il y en a ;
et surtout quelques points demeurés jusqu’ici aveugles dans l’effort d’établissement des données généalogiques de votre famille,
comme m’y ont aidé surtout vos cousines et cousins Françoise Pons, Cécile Bonopéra, André Raymond,
ainsi que divers membres, aussi et bien sûr, de la famille Ducos du Hauron…

Début du message réexpédié :
De: CECILE BONOPERA 
Objet: Généalogie des Bonopéra, établie par mon grand-père
Date: 7 mars 2021 à 10:17:57 UTC+1
À: Francis Lippa

 

Bonjour Monsieur,

J’ai retrouvé le document manuscrit de mon grand-père Marcel Bonopéra, établissant la généalogie des Bonopéra. Je ne sais pas comment il l’a établie. Mais vous constaterez que l’identité de la veuve qui vous intrigue y apparaît et semble différer des hypothèses de vos recherches. En tout état de cause, je serai heureuse d’en recevoir le résultat quand vous le jugerez abouti. De la même façon, je me perds dans les liens entre les Bonopéra et les Morand de la Genevray, et vos recherches m’éclaireraient.
Bon Dimanche, très cordialement,
Cécile BONOPÉRA

Généalogie des Bonopéra

1ère génération : 1a Nicolas Louis Bonopéra

                                    1a1 Jacinta Minguella

2e génération :      2a : Juan Dionis Francisco Bonopéea

                                    né en 1814 à Tarragone (Catalogne), décédé 

                                    à Pontéba (près d’Orléansville) en 1876, époux de

                                    2a1 : Marguerite Saura, dcédée à Pontéba en 1876

3e génération :      3a : Marguerite Bonopéra

                                     3b : Paul Bonopéra, né à Miliana le 10-1-1856

                                     décédé à Orléansville le 18-1-1916

                                     3c : Jean Bonopéra,, décédé à Alger

4e génération :      3b : Paul Bonopéra, époux de

                                    3b1 : Joséphine Giraud, née à Ténès, décédée à

                                        Orléansville le 11-7-1892 ; ont eu six enfants :

                                    4a : Jean ; 4b : Paul ; 4c : Alphonse ; 4d : Auguste ;

                                    4e : Julien ; 4 f : Georges.

5e génération :      4b : Paul Bonopéra, né à Pontéba le 13-9-1878,

                                     décédé à Orléansville le 2-11-1930 et

                                    4b1 : Marie, Marguerite, Léonie Cathébras, née 

                                       le 12-1-1881 à Saint Sauveur de Ginestoux (Lozère) ;

                                        ont eu deux enfants :

                                     5a : Pauline Bonopéra, née à Rabelais (Alger)

                                      le 5-6-1905, décédée à Nice le 8-2-1974.

                                      5b : Marcel Bonopéra, né à Renault (Oran) le 10-1-1907.

6e génération :        6a : Paul Jean Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5-5-1933

                                       6b : Jean Pierre Bonopéra, né à Orléansville le 2-11-1934

                                       sont les enfants de Marcel Bonopéra, décédé à Nice le 1-12-1992

                                       et de Odette Sanchez, née à Orléansville le 23-12-1911, décédée à Nice                                   



Le 3 mars 2021 à 08:22, Francis Lippa a écrit :

je viens de rajouter in extenso le faire-part de décès (paru dans L’Écho d’Alger du 31 mars 1930) de M. Victor Gadel,
le mari de Laurence-Aimée Rey,
la sœur cadette de Marie-Louise Rey et belle sœur d’Amédée Ducos du Hauron ;
sur lequel faire-part 
_ malencontreusement déchiré, d’ailleurs, dans la reproduction de la page du journal accessible : j’ai dû rétablir en rouge les éléments manquants !  _
j’ai pu lire pour la première fois la mention du nom de « Bonopéra »
en un document concernant des membres de la famille Ducos du Hauron :

« Mme Vve Victor Gadel ;

M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie,

Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ;

M. Georges Gadel ;

Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ;

Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ;

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet ;

les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ;

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

À comparer avec le faire-part de décès, plus succinct, de « Madame Henri Ducros, née Éveline Ducos du Hauron »,
la fille aînée d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse née Marie-Louise Rey, 
paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939
_ et dans lequel ne figure plus le nom de « Bonopéra » : « Mme Vve Bonopéra » était-elle décédée entretemps ?.. Probablement… _ :
M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ;
MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ;
Mme Jacquet ;
Mme Vve Gadel et ses enfants ;
les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure,
vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron.
Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939.
À suivre !
Francis Lippa

 

Voilà pour ce premier éclairage, j’espère un peu utile.
Vous me pardonnerez probablement, j’espère aussi, les efforts de lecture que nécessitent ces divers articles,
qui rejoignent mes propres efforts pour, moi-même le premier, tâcher de me retrouver en leurs complexes et riches connexions entre eux,
issus qu’ils sont, au jour le jour, de ma patiente, longue et lente, mais tenace, recherche, au fil et rebondissements de mes successives découvertes…
Et, en leur rédaction, j’ai toujours privilégié la précision et justesse des faits découverts, à l’élégance de la rédaction
et à une lisibilité aisée, facilitée, des articles pour les lecteurs.
Dans mon esprit, il s’agit d’abord et avant tout ici d’une patiente et assez ardue recherche,
avec ses aléas, ses pauses ou impasses j’espère bien provisoires,
et surtout ses formidables merveilleuses surprises de découvertes progressives ;
de même que l’incroyable joie de rencontrer quelques lecteurs qui y trouvent un désintéressé profit de connaissance de points jusqu’alors ignorés d’eux de leur histoire familiale ;
telles des bouteilles miennes lancées à la mer et ayant miraculeusement trouvé leurs destinataires…
En toute humilité,
Bien à vous deux, Messieurs Bonopéra,
Francis Lippa, à Bordeaux
..
P. s. :
en sachant d’ores et déjà que vous allez pouvoir corriger certaines de mes erreurs (de rédaction), et il y en a ;
et surtout quelques points demeurés jusqu’ici aveugles dans l’effort d’établissement des données généalogiques de votre famille,
comme m’y ont aidé vos cousines et cousins Françoise Pons, Cécile Bonopéra, André Raymond,
ainsi que divers membres, aussi, de la famille Ducos du Hauron…
Ce dimanche 4 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques précisions sur un des objets de ma recherche, à Orléansville, dans les années 20 et 30 : mieux approcher, peut-être enfin, l’identité de « Madame Veuve Paul Bonopéra mère », née Confex…

21avr

Suite à notre échange téléphonique _ avec Madame Aline Bonopéra _,

je vous confirme la recherche que je mène à propos de la veuve de Paul Bonopéra
(né à Miliana le 10 janvier 1856 et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916, Paul Bonopéra – père fut conseiller municipal d’Orléansville de 1908 à son décès, en 1916),
qui fut donc la veuve de l’arrière-grand-père de Jean-Pierre Bonopéra, fils de Marcel et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville…
 
« Mme Vve Paul Bonopéra mère » est présente dans divers faire-part de mariage ou de décès,
notamment de divers membres de la famille d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey ; famille à laquelle je m’intéresse,
à partir de l’inventeur de la « photographie de couleurs », Louis Ducos du Hauron…
 
 
Au décès de Georges Morand de la Genevraye, le 7 octobre 1935
(celui-ci étant le troisième des fils d’Auguste Morand de la Genevray _ qui fut maire d’Orléansville _ et de son épouse Marguerite Bonopéra, la sœur aînée de Paul Bonopéra),
« Madamme Veuve Paul Bonopéra mère » figure sur le faire-part de décès de son neveu Georges : elle vit donc toujours en 1935…
Marie-Louise Rey et sa jeune sœur Aimée-Laurence, elles, étaient filles d’Anatole Rey (1845 – 1890), qui fut lui aussi maire d’Orléansville, en 1880-1881, et de son épouse Adélaïde Gentet (1855 – 1886),
membre d’une famille Gentet présente à Orléansville depuis 1852 _ Tocqueville raconte avoir rencontré Laurent Gentet en 1837, du côté de Constantine…
 

Suite aux décès successifs de leurs parents Anatole Rey et Adélaïde Gentet en 1886 et 1890,
Marie-Louise Rey et sa sœur Aimée-Laurence ont été recueillies par leur oncle maternel Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 1906 ; qui fut lui aussi conseiller municipal d’Orléansville),
et son épouse, née Wachter (j’ignore encore son prénom) : celle-ci étant une des filles de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 1836 – Alger, 1925).
 
Or cette dame « Veuve Louis Gentet, née Wachter » avait pour tante maternelle « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère », née Confex :
au décès d’Elisabeth Confex, veuve Wachter, à Alger, le 30 mars 1925, « Madame Veuve Paul Bonopéra » est en effet qualifiée de « sœur de la défunte » ! 
 
De « Madame Veuve Paul Bonopéra », veuve donc de Paul, l’arrière-grand-père de J.-P. Bonopéra _ lequel, né à Orléansville le 2 novembre 1934, est fils de Marcel (1907 – 1992) et petit-fils de Paul-le-boulanger d’Orléansville (1878 – 1930) _,
j’ignore aussi, à ce jour, le prénom, la date et le lieu de naissance, ainsi que la date et le lieu de décès : après 1935, donc…
 
Peut-être M. Bonopéra peut-il m’aider en cette recherche d’identification de la veuve de son arrière-grand-père paternel…
 
 
Cette dame « Veuve Paul Bonopéra » n’était pas la mère des 6 fils de Paul Bonopéra (Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges)
_ laquelle, mère effective, était Joséphine Girot (ou Giraud), née à Ténès en 1856 et décédée à Orléansville le 11 juillet 1892 ;
Mais, même si j’ignore encore à ce jour la date de son mariage avec Paul Bonopéra, cette dame, née Confex, fut bien sa veuve…
De même qu’après le décès de Georges Bonopéra, le 9 mars 1918, à Arbouans, près de Montbéliard, celle-ci est qualifiée _ improprement _ de « mère » du défunt ; du moins n’est-elle pas, en effet, sa mère biologique…
Car Georges Bonopéra, né à Rabelais le 21 février 1892, avait perdu très tôt sa mère Joséphine Girot : le 11 juillet 1892 ;
 
Voilà un résumé déjà un peu compliqué de l’objet de mon appel à M. Jean-Pierrre Bonopéra : m’éclairer peut-être sur sa mémoire familiale des Bonopéra d’Orléansville…
Et essayer d’identifier peut-être enfin
et  « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex »,
et sa nièce « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter »…
 
Ma recherche avait pour objet, à son départ, au mois de décembre 2020, d’apprendre à connaître et comprendre l’environnement familial _ très aidant et réellement coopératif _ de l’inventeur, en 1868, à Lectoure, de la « photographie de couleurs », l’agenais Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) ;
mais peu à peu je me suis plongé avec un très vif plaisir dans le labyrinthe de la vie, en Algérie, de son neveu Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937),
et plus précisément, en même temps qu’un peu plus largement, dans le microcosme chaleureux de la vie à Orléansville, la ville des Rey et des Gentet, entre 1870 et 1940,
moi qui ne suis jamais allé en Algérie.

 

Ce mercredi 21 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A propos des connexions Ferrandès-Gentet-Sanchez-Sautier à Orléansville en 1939…

23mar

Ce mardi,

j’ai essayé d’avancer dans le défrichement des connexions entre les familles orléansvilloises des Ferrandès, Gentet _ quelle surprenante résurgence ! _, Sanchez et Sautier ;

avec de minces résultats…

D’abord à propos de l’identité précise du Ferrandez (ou Ferrandès) assez récemment décédé à la date du 4 juillet 1939 pour mériter l’hommage de la municipalité d’Orléanville, par la voix de son maire, M. Auguste Rencurel, ainsi que le rapporte l’article « Conseil municipal«  de L’Écho d’Alger du 15 juillet 1939…

Apparemment, en l’état de mes présentes recherches, le plus récent décès d’un membre de la famille Ferrandès d’Orléansville  à la date de ce 4 juillet 1939, concerne M. François Ferrandès, survenu à la date du 25 mai précédent _ soit un mois et dix jours plus tôt… _, en sa 69e année _ le défunt était donc né en 1870 _ ;

et de ce défunt l’avis de décès, paru dans L’Écho d’Alger du 26 mai 1939, signalait « la nombreuse famille, parents et alliés« …

Et le 11 juin 1924, à Oued Fodda, un certain François Ferrandès, fils de Madame et Monsieur François Ferrandès, entrepreneurs et propriétaires à Orléansville, avait épousé Mademoiselle Suzanne Léger, fille et belle-fille de Madame et Monsieur Xicluna Marius, propriétaires à Oued Fodda…

Le seul membre de la nombreuse famille des Ferrandès dont j’ai pu découvrir un apparentement avec un membre des familles orléansvilloises des Gentet, Sanchez et Sautier,

est Gabriel Ferrandès, qui le 19 janvier 1929 a épousé « dans la plus stricte intimité » Mademoiselle Élise Sautier, ainsi que le rapporte un très sobre entrefilet paru dans Le Progrès d’Orléansville du 24 janvier 1929.

Et il se trouve  que Mademoiselle Elise Sautier est la fille de Madame et Monsieur Achille Sautier, propriétaires,

ainsi que l’indiquait un précédent article paru dans Le Progrès d’Orléansville du 29 décembre 1927, qui rapportait les fiançailles _ cette fois-là _ de « Mademoiselle Élise Sautier, fille de Madame et Monsieur Achille Sautier, propriétaires, avec Monsieur Marcel David, fils de Madame et Monsieur Casimir David, propriétaires« …

Deux enfants au moins sont nés au foyer de Madame et Monsieur Gabriel (Gaby) Ferrandès, entrepreneur :

_ au mois de juin 1930, la petite Liliane Ferrandès ; le journal Le Progrès adressant ses compliments aux heureux parents ; ainsi que ses félicitations aux grands-parents : Mme et M. François Ferrandès, et Mme et M. Achille Sautier…

_ et au mois de mai 1933, la petite Gaby Ferrandès…

Le Progrès d’Orléansville du 11 mai 1933, en un article intitulé « Au G.S.O.« , félicitait conjointement Gaby Ferrandès et Marcel Bonopéra pour les récentes naissances de la petite Gaby Ferrandès et du petit Paul Bonopéra : « Le Comité est heureux de féliciter les camarades Gaby Ferrandès et Marcel Bonopéra à l’occasion de la naissance de leur petite héritière et héritier, qui a déjà, paraît-il, signé une licence au G.S.O.«  _ le Groupe Sportif Orléansvillois, dont Gaby Ferrandès et Marcel Bonopéra étaient de très actifs membres…

En revanche, si les noms de Ferrandès et Sanchez ont pu apparaitre plusieurs fois juxtaposés en tant que membres du club hippique d’Orléansville,

je n’ai nulle par découvert une quelconque association des noms de membres des familles Ferrandès et Gentet : ce que bien sûr je recherchais…

À suivre…

Ce mardi 23 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une question : l’énigme des raisons de l’association des familles Gentet, Sanchez et Sautier, à l’hommage à « la mémoire de M. Ferrandez », par M. Rencurel, le maire d’Orléansville, le 15 juillet 1939…

22mar

En poursuivant _ cf mon article d’hier : _ mes recherches sur les ascendances _ de qui Charles Zanot est-il le fils, le petit-fils, l’arrière-petit-fils ?du Dr Charles Zanot,

le mari de Paulette-Charlotte Bonopéra _ leur mariage a eu lieu à Orléansville fin janvier ou tout début 1938 _,

je suis tombé sur une nouvelle _ publiée le jour même, soit le 15 juillet 1939, et mieux encore ! au sein du même article (intitulé « Conseil Municipal« ) consacré à la réunion du conseil municipal d’Orléansville, de l’annonce, par le même journal, Le Progrès d’Orléansville, de la naissance d’un fils au foyer du docteur Charles Zanot et son épouse, née Paulette Bonopéra : en l’occurrence le petit Christian Zanot, né, en effet, le 21 juin 1939 : le prénom de l’enfant, Christian, n’y était pas indiqué ; je l’ai trouvé ailleurs : Christian Zanot, né à Orléansville le 21 juin 1939, décèdera à Saint-Paul-de-Fenouillet (Pyrénées-Orientales) le 1er janvier 2005… Le maire d’Orléansville, M. Auguste Rencurel, « adressa les vœux du conseil municipal à Mme (Lucie) et à M. (Julien) Bonopéra, conseiller municipal, et à Mme (Paulette) et à M. (Charles) Zanot, à l’occasion de la naissance de leur petit-fils et fils (Christian Zanot)« … _,

d’un hommage, par M. Auguste Rencurel, le maire d’Orléansville, en son conseil municipal,

_ né le 4 septembre 1896, à Oued Fodda et décédé le 19 janvier 1983 à Toulon, Auguste Rencurel (qui est un homme politique important dans l’histoire d’Orléansville ainsi que de l’Algérie, notamment au moment de la Libération de l’Algérie, en 1943),

époux de Léontine Bure, la fille aînée de Jean-Baptiste Bure et son épouse Agathe Seprey, est un des gendres de M. Jean-Baptiste Bure (Souma, 24 février 1868 – Alger 31 octobre 1934) ; et par là il est aussi le beau-frère de Robert-Victor-Eugène Gadel, époux, lui, d’Irène Bure ; lequel, lui, fils de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et son épouse Aimée-Laurence Rey, se trouve être aussi le neveu de Marie-Louise Rey et de son époux Amédée Ducos du Hauron, à la famille desquels nous nous intéressons… Cf mon article du mercredi 27 janvier 2021 :

J’y donne in extenso le décisif faire-part de décès de M. Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, l’époux d’Aimée-Laurence Rey, tel qu’il a été publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 : 

« Mme Vve Victor Gadel ; M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ; M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ; Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet ; les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami, survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans, et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robbe.P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71«

Un document majeur, comme on peut le constater une fois encore, pour notre recherche présente à propos de l’environnement familial de l’inventeur de la « photographie de couleurs« , en 1868, à Lectoure (Gers), Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920)… _,

 

un hommage rendu à « la mémoire de M. Ferrandez« ,

associé _ pour des raisons que je ne suis pas parvenu à élucider : d’apparentements de leurs familles, probablement… _ à des condoléances (de l’assemblée communale) « aux familles Gentet, Sanchez et Sautier« …

Bien sûr, ce nom de « Gentet« , et tout particulièrement à cette date de juillet 1939

_ cet Eugène Gentet, dont j’ai pu suivre quelques moments ou étapes de son parcours existentiel, ainsi que professionnel, ne résidant plus alors à Orléansville, mais à Alger, depuis le mois de mai 1939 _,

est venu solliciter ma mémoire de chercheur…

Cf mon article du samedi 23 janvier 2021,  :

« Petit-fils de Laurent Gentet (Satolas, Isère, 2 avril 1821 – ?, avant 1878) et son épouse Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean-Rohrbach, Moselle, 1822 – Orléansville, 27 décembre 1904),

fils de Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?avant juin 1906) et son épouse Marie-Emilie Brenner (Alger, 16 juin 1861 – ?avant juin 1906),

Eugène-Laurent Gentet, né à Alger le 20 septembre 1882, a épousé à Orléansville le 10 mai 1905 Henriette Rita Jeanne Lopès _ j’ignore si ils ont eu ou pas une descendance…

Eugène-Laurent Gentet a fait carrière au greffe d’Orléansville, en cette ville où, à la suite de ses parents Laurent-Jacques Gentet et Marie-Emilie Brenner, et ses grands-parents Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz, il était « propriétaire » ;

de même qu’il était aussi « propriétaire » à Malakoff, où il avait hérité de la ferme et de plusieurs terrains qui avaient appartenus à ses grands-parents Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz, puis à ses parents Laurent-Jacques Gentet et Marie-Emilie Brenner ;

une ferme (dite « Ferme Saint-Laurent« ) et diverses propriétés qu’il vendit le 18 février 1906 à M. Léon Dillenseger, qui avait été de 1878 à 1885 le gérant de cette ferme située à Malakoff, associé à la propriétaire, « Madame Veuve Gentet » (cf Le progrès d’Orléansville du 28 juin 1906) : des données qui nous apprennent qu’en 1878 Anne-Marie Schwartz était déjà veuve de Laurent Gentet.

Puis, L’Écho d’Alger du 12 mai 1939 signale le « départ d’Orléansville de M. Gentet, secrétaire au parquet d’Orléansville, conseiller municipal, nommé secrétaire général au parquet général d’Alger«  » :

ce qui nous révèle qu’à cette date du 15 juillet 1939 de l’hommage du conseil municipal d’Orléansville à M. Ferrandez _ sans davantage de précisions sur son identité et ses liens familiaux _associé aux condoléances aux « familles Gentet, Sanchez et Sautier« ,

Eugène-Laurent Gentet avait cessé d’être orléansvillois pour devenir algérois : il venait d’être nommé « secrétaire général au parquet général d’Alger« …

De cette « famille Gentet » _ installée à Orléansville dès le tout début des années 1850 : 1852… _

sont issues, par leur mère, née Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886),

Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), l’épouse _ j’en ignore la date _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935),

et sa sœur Aimée-Laurence Rey (Orléansville, ??, ?), l’épouse _ à Orléansville, le 11 mars 1905 _, puis veuve, de son cousin _ la mére de Victor, Hortense Rey, étant, en effet, la sœur du père d’Aimée-Laurence, Anatole Rey _ Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930).

Et de cette « famille Sanchez« ,

est issue Odette Sanchez (Orléansville, 23 novembre 1911 – Nice, ?), fille d’Antoine Sanchez et son épouse Marie-Françoise Gays ;

laquelle Odette Sanchez est l’épouse _ à Orléansville, le 6 juillet 1932 _ de Marcel Bonopéra (Renault, 10 janvier 1907 – Nice, 1er décembre 1992), le fils de Paul Bonopéra (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et son épouse Marie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, 12 janvier 1881 – ? – ?) ;

ainsi qu’elle est la mère de Paul et Jean-Pierre Bonopéra, nés à Orléansville les 5 mai 1933 et 2 novembre 1934…

Enquête à suivre,

en remerciant les surprises des connexions bienvenues de la sérendipité…

Ce lundi 22 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ce que nous apprend, à propos de Joséphine Girot, la mère des six fils de Paul Bonopéra, l’arbre généalogique réalisé par son petit-fils, Marcel Bonopéra…

07mar

Et voici que ce dimanche matin,

je reçois un courriel de la petite-fille de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),

qui, très aimablement, m’adresse une copie d’un arbre généalogique de ses ancêtres Bonopéra, réalisé par son grand-père Marcel.

C’est un très précieux _ et très émouvant _ document.

Que voici :

Généalogie des Bonopéra

 

1ère génération : 1a Nicolas Louis Bonopéra

                                    1a1 Jacinta Minguella

 

2e génération :      2a : Juan Dionis Francisco Bonopéea

                                    né en 1814 à Tarragone (Catalogne), décédé 

                                    à Pontéba (près d’Orléansville) en 1876, époux de

                                    2a1 : Marguerite Saura, dcédée à Pontéba en 1876

 

3e génération :      3a : Marguerite Bonopéra

                                     3b : Paul Bonopéra, né à Miliana le 10-1-1856

                                     décédé à Orléansville le 18-1-1916

                                     3c : Jean Bonopéra,, décédé à Alger

 

4e génération :      3b : Paul Bonopéra, époux de

                                    3b1 : Joséphine Giraud, née à Ténès, décédée à

                                        Orléansville le 11-7-1892 ; ont eu six enfants :

                                    4a : Jean ; 4b : Paul ; 4c : Alphonse ; 4d : Auguste ;

                                    4e : Julien ; 4 f : Georges.

 

5e génération :      4b : Paul Bonopéra, né à Pontéba le 13-9-1878,

                                     décédé à Orléansville le 2-11-1930 et

                                    4b1 : Marie, Marguerite, Léonie Cathébras, née 

                                       le 12-1-1881 à Saint Sauveur de Ginestoux (Lozère) ;

                                        ont eu deux enfants :

                                     5a : Pauline Bonopéra, née à Rabelais (Alger)

                                      le 5-6-1905, décédée à Nice le 8-2-1974.

                                      5b : Marcel Bonopéra, né à Renault (Oran) le 10-1-1907.

 

6e génération :        6a : Paul Jean Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5-5-1933

                                       6b : Jean Pierre Bonopéra, né à Orléansville

                                       le 2-11-1934

                                       sont les enfants de Marcel Bonopéra et de Odette

                                       Sanchez, née à Orléansville le 23-12-1911, et décédée à Nice                                     

Ce sont principalement les données qui concernent Joséphine Girot, la première épouse de Paul Bonopéra, qui attirent, bien sûr, pour commencer, ma première attention.

Car dorénavant je connais, sinon la date exacte de la naissance _ je savais que c’était durant l’année 1856 _ de Joséphine Girot (orthographiée ici Giraud), du moins le lieu de la naissance de celle-ci : Ténès _ mais Rabelais faisait aussi partie, administrativement, de la commune mixte de Ténès…

Ce qui cadre _ même si rien n’y fait ici explicitement référence _ avec mon hypothèse de la très probable filiation de Joséphine Girot avec la famille _ alsacienne _ de Jean-Claude-Girot et son épouse, Marie-Catherine Herbelin, famille venue de Menoncourt, un village alsacien, situé alors dans le département du Haut-Rhin (et qui fera partie, après 1970, du nouveau département, créé tout spécialement alors, du Territoire de Belfort).

Et mieux encore, Joséphine Girot semble bien être la fille _ née, donc, à Ténès, en 1856 _ de Jean-Pierre Girot _ le second fils de Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin _, qui, alors qu’il était dit (dans l’acte de son mariage) être domicilié, en 1854, à Orléansville, a épousé à Ténès le 1er août 1854 la demoiselle _ orpheline de mère (sa mère, Claire-Marguerite-Pascale Hermite, était, en effet, décédée à Ténès le 24 janvier 1846), et déclarée « née de père inconnu«  _ Marie-Magdelaine-Augustine Hermite (née à Alger, le 18 février 1838). 

Et je découvre aussi le lieu : Orléansville ; ainsi que la date : le 11 juillet 1892, du décès de Joséphine Girot_ soit assez peu de temps après la naissance (moins de six mois), à Rabelais (centre qui faisait partie de la commune de Ténès), de son sixième et dernier fils, Georges Bonopéra : il était né, à Rabelais, le 21 février 1892.

Au passage, j’apprends aussi le lieu : Pontéba ; et la date des décès des parents de Paul Bonopéra _ né à Miliana le 1er octobre 1856 _ et de sa sœur Marguerite _ née à Miliana le 22 janvier 1849 _,

soient Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814), et son épouse Marguerite Saura (née à Santa-Maria-de-Mahon, dans l’île de Minorque, le 21 mars 1820) :

durant l’année 1876.

Paul Bonopéra, devenu donc veuf ce 11 juillet 1892, s’est ensuite remarié, une première fois, à Rabelais, avec Marie-Jeanne-Virginie Claudet ;

dont il a eu un fils, Marie-André, né à Rabelais le 5 juin 1897, et décédé vingt jours plus tard, le 25 juin, toujours à Rabelais, au domicile de son grand-père César-Florentin-Armand Claudet-Fricand _ né le 27 août 1844 à Bannans (département du Doubs) ; et qui décèdera en 1913. Son épouse était Marie-Séraphine-Julie Laignier, née le 7 mai 1873, elle aussi à Bannans ; et décédée avant 1882.

De cette seconde épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet,

Paul Bonopéra a très vite _ un mois tout juste après le décès de leur fils, le petit Marie-André Bonopéraobtenu le divorce, « aux torts exclusifs de son épouse« , par un jugement du tribunal de première instance d’Orléansville, en date du 25 juillet 1897 _ aidé en cela par les services de l’avoué, résidant à Orléansville, Georges d’Apreval, neveu par alliance de Paul Bonopéra (car Georges d’Apreval a été l’époux, successivement, des deux filles de Marguerite Bonopéra, sa sœur, et de son mari Auguste Morand de la Genevraye, son beau-frère : Augustine, puis Angèle Morand de la Genevraye)…

Puis, après ce divorce de 1897, Paul Bonopéra s’est à nouveau remarié _ j’ignore à quelle date _ :

avec cette future « Madame Veuve Paul Bonopéra » (« née Confex« ) qui m’intéresse _ cf mon article d’hier : _,

parce qu’elle est apparentée, via le mariage d’une de ses parentes _ côté Confex… _, née demoiselle Wachter _ fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (natif de Rougemont : tout près de Menoncourt…) et de son épouse Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (native de Marseille) _, avec Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ dont, devenue veuve de son époux Louis Gentet, cette ancienne demoiselle Wachter est devenue « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« .

Or ce Louis Gentet n’est autre que l’oncle maternel _ puis tuteur, à Orléansville à partir des décès successifs, à Oran, de leurs parents, la sœur de Louis Gentet, Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son beau-frère Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845, Oran, 28 janvier 1890) ; Anatole Rey, pharmacien, avait été maire d’Orléansville en 1880-1881, puis, au moment de son décès, il était un très remarqué adjoint au maire d’Oran… _ des petites Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey :

Marie-Louise, l’épouse (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) ainsi que Aimée-Laurence, la belle-sœur _ future « Mme Vve Gadel » à la date du 30 mars 1930, la date du décès de son mari (et cousin germain) Victor Gadel, à Alger _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), ce génial inventeur de « la photographie de couleurs« , qui a suscité mon enquête sur l’importance _ affective, intellectuelle et matérielle _ de son entourage familial…

Je poursuivrai demain l’inventaire des apports à ma recherche de ce très précieux document généalogique,

œuvre de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),

instituteur de son métier ;

fils de Paul, le boulanger d’Orléansville _ rue d’Isly _ (Pontéba, 19 décembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930)

et de son épouse Marie-Marguerite-Léonie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, Lozère, 12 janvier 1881 – j’ignore le lieu et la date de son décès ) ;

 

et petit-fils de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916)

et son épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892)…

À suivre…

Ce dimanche 7 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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