Posts Tagged ‘« Mme Vve Paul Bonopéra »

De la prise de conscience de la proximité géographique de Menoncourt et Rougemont, à la découverte du mariage d’un François Wachter et d’une Marguerite Girot, les parents de Jean-Pierre Wachter, le cousin de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, et témoin au mariage de celui-ci avec Elisabeth Confex, le 26 mai 1857, à Mustapha

06mar

Alors que, hier, vendredi,

en la continuation de la poursuite de ma recherche de cette famille Girot dont pouvait être originaire Joséphine Girot (ou Giraud) _ née probablement en 1856 (la même année que son futur mari Paul Bonopéra), en Algérie ; et cela, d’après les âges de « 36 ans«  notés pour chacun des deux parents, « Bonopéra Paul«  et « Giraud Joséphine« , du petit Georges Bonopéra, né à Rabelais le 21 février 1892, sur le registre des naissances de la « commune de Rabelais, mixte de Ténès«  _l’épouse de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), et mère de leurs six fils (Jean, né à Pontéba le 18 juin 1877 ; Paul, né à Pontéba le 19 septembre 1878 ; Alphonse, né à Charon le 1er janvier 1881 ; Auguste, né à Orléansville le 3 avril 1883 ; Julien, né à Charon le 9 janvier 1887 ; et Georges, né à Rabelais le 21 février 1992),

je m’intéressais aux cousinages des Girot de Menoncourt avec les Girot de Roppe, et à leurs arrivées respectives en Algérie _ cf la série de mes articles des mercredi 3 mars, jeudi 4 mars et vendredi 5 mars :  ;   et _,

voilà que vient me surprendre _ Euréka ! _ la double idée

d’une part, du fait patent de la proximité géographique de ces deux villages de Menoncourt et de Roppe,

situés dans le département du Haut-Rhin, et qui deviennent parties du nouveau département du Territoire de Belfort, suite à la défaite de la France face à la Prusse en 1870, et à la perte de la plus grande partie de l’Alsace, à l’exception, justement, de ce bout de territoire alsacien-là, devenu le nouveau département du Territoire de Belfort ;

avec, aussi, le fait que ce sort qui vient affecter alors ces villages de Menoncourt _ d’ou venait la famille de Jean-Claude Girot, son épouse Marie-Catherine Herbelin, et leurs enfants Catherine Girot, Jean-Pierre Girot et Auguste Girot _ et de Roppe _ d’où venait la famille de Joseph Girot et son épouse Marie-Rose Blanc, et leurs enfants _, concerne tout autant le village lui aussi voisin _ devenant alors carrément frontalier, lui, de l’Allemagne _, de Rougemont-le-Château  _ le village (alsacien) d’origine de cette famille Wachter que j’ai rencontrée dans mes recherches antérieures sur le parcours algérien d’Amédéee Ducos du Hauron, notamment à Orléansville… _ ;

et, d’autre part, l’intuition qui m’est venue de la possibilité _ une hypothèse à mettre bien sûr à l’épreuve ! tel serait donc le nouveau défi à affronter… _  d’une éventuelle parenté de ces Girot, tant ceux de Roppe que ceux de Menoncourt _ dont l’idée m’était venue, tout d’abord ,que pourrait en être issue cette Joséphine Girot (née en 1856) dont l’identité continue de m’intriguer… _,

avec ces Wachter, en particulier, bien évidemment, ceux d’Orléansville _ par exemple la famille d’Emile Wachter, ou celle de sa sœur Marie-Emélie, épouse (puis veuve, le 18 décembre 1927) d’Albert Ferrand, à Alger… _,

apparentés par le mariage _ j’en ignore la date _ d’une Wachter orléansvilloise _ j’ignore encore son identité et sa place exacte au sein de la constellation familiale des Wachter _ avec Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ dont elle va devenir la veuve (« Mme Vve Louis Gentet« ) au décès de celui-ci, ce 9 août 1906, à Orléansville… _, le tuteur, à Orléansville même _ à partir des décès successifs le 5 juillet 1886, puis le 28 janvier 1890 (à Oran) de leurs deux parents Rey et Gentet _ des sœurs Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, les deux filles d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855, Oran, 5 juillet 1886) et Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 janvier 1845  – Oran, 28 janvier 1890) :

Marie-Louise, l’épouse, et Aimée-Laurence, la belle-sœur _ future veuve Gadel : c’est à Alger qu’est décédé, le 30 mars 1930, Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, né au Grand Serre le 8 juillet 1872 ; lui dont la mère, née Marie-Eugénie-Hortense Rey (née au Grand Serre le 21 mars 1848), était la sœur de Jean-Anatole-Firmin Rey, né au Grand Serre le 11-juin 1845) : Aimée-Laurence Rey, fille d’Anatole, et Victor Gadel, fils d’Hortense Rey, étaient donc cousins germains… _ de cet Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935), l’aîné de ces trois neveux _ Amédée et Gaston Ducos du Hauron, et Raymond de Bercegol _, de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 31 août 1921), qui m’intéressent…   

Rougemont-le-Château est en effet le village _ autrefois situé dans le département du Haut-Rhin, et depuis 1870, dans le département du Territoire de Belfort _ d’où venaient plusieurs membres de ces familles Wachter venues en Algérie :

d’abord, Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont-le Château, le 5 février 1827 _ et dont j’ignore, hélas, le lieu et la date du décès, en Algérie _), accompagné de ses deux parents, son père François-Antoine-Humbert Wachter (Rougemont, 29 août 1794 – probablement Mustapha, entre 1857 et 1870 : entre la date du mariage de son fils et la date du décès de sa veuve) et sa mère, née Marie-Françoise Chevillot (Le Val, 12 février 1792 – Mustapha, 8 septembre 1870) ;

et qui épousera, à Mustapha, le 26 mai 1857, Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925),

avec laquelle il aura au moins 5 _ et peut-être 6 _ enfants Wachter :

_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter, née à Médéa, le 9 mars 1858 ;

_ Aimée-Marie Wachter, née à Mustapha, le 2 septembre 1859 ;

_ Louis-Jules Wachter, né à Orléansville, le 29 juillet 1866

_ qui épousera, à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo _ ;

_ Emile Wachter, né à Mustapha, le 15 mai 1869

_ qui épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet _ ;

_ Marie-Emélie Wachter, née en 1874 ou 75 _ je ne dispose ni du lieu, ni de la date précise de cette naissance _, peut-être à Orléansville

_ qui épousera (j’ignore à quelle date et en quel lieu) son cousin germain Albert-Philippe-Joseph Ferrand (1869 – Alger, 18 décembre 1927), qui était le fils de sa tante, une des sœurs d’Elisabeth Confex, Aimée-Justine-Marie Confex (née à Alger le 7 février 1839) ; laquelle, Aimée Confex, était l’épouse, à Alger, le 18 juin 1868, de Philippe Ferrand (Fleurey-lès-Lavencourt, Haute-Saône, 1 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889) _ ;

_ et probablement encore une autre fille Wachter _ dont j’ignore pour le moment, et l’identité précise, et la place au sein de la constellation familiale des Wachter _ :

épouse, puis veuve, le 9 août 1906, de Louis Gentet, l’oncle et tuteur des sœurs Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, les deux filles d’Adélaïde Gentet, sa sœur, décédée à Oran le 5 juillet 1886

_ et il faut relever aussi que c’était ce même Louis Gentet, accompagné de son frère aîné Frédéric, qui était allé déclarer à la mairie d’Oran le décès de leur beau-frère Anatole Rey, décédé à Oran le 28 janvier 1890 _ :

ce couple Wachter-Gentet par lequel s’effectue _ et c’est bien là un nœud décisif de notre enquête ! _ l’apparentement des Rey-Gentet, Ducos du Hauron et Gadel, avec les Wachter-Gentet, Confex, et Bonopéra ;

dans la mesure où « Mme Vve Bonopéra« , l’épouse _ en quelque sorte finale… _ de Paul Bonopéra, est une sœur de « Mme Vve Wachter, née Confex » (Elisabeth de son prénom, et veuve du rougemontais Jean-Baptiste-Antoine Wachter) : une sororité révélée par l’avis du décès d’Elisabeth Confex, veuve Wachter, paru dans Le Progrès d’Orléanville du 2 avril 1925 _ un décès survenu à Alger le 30 mars 1925 _ :

« Nécrologie. Nous avons appris avec peine le décès à Alger à l’âge de 89 ans, de Mme Wachter née Confex, mère de notre ami M. Emile Wachter, d’Orléansville, et sœur de Mme Vve Bonopéra. Très estimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte ne laisse que de très bons souvenirs à tous ceux qui l’on connue« « 

En revanche, j’ignore encore la date et le lieu précis _ à Mustapha, entre 1857 et 1870 _ du décès du père de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, et époux de sa mère Marie-Françoise Chevillot : François-Antoine-Humbert (ou Hubert) Wachter ;

même si je sais que celui-ci a fait, avec son épouse et son fils, le voyage d’Algérie ; et qu’il y est effectivement décédé ;

ce François-Antoine-Humbert Wachter était cultivateur de profession, à Rougemont ;

il était né à Rougemont le 29 août 1794 ;

il avait épousé, à Rougemont, le 29 octobre 1814, Marie-Françoise Chevillot (née au Val _ autre village proche… _ le 12 février 1792 ; laquelle, devenue veuve, décèdera à Mustapha le 8 septembre 1870) ;

et leur couple aura eu 8 enfants, tous nés à Rougemont :

_ François Wachter, né le 2 août 1812 ;

_ Marie-Françoise Wachter, née en 1815 ;

_ Julie Wachter, née en 1817 ;

_ Marie-Catherine Wachter, née le 31 janvier 1819 ;

_ Jean-Claude Wachter, né le 20 mai 1821 ;

_ Sophie Wachter, née le 29 janvier 1824 (qui épousera à Birmandreis, en Algérie, le 4 avril 1857, François-Martin Molbert (né à Chaux, Haut-Rhin, le 9 décembre 1825, et qui décèdera à Mustapha le 22 juin 1884) ; Sophie Wachter décèdera à Courbet, en Algérie, le 9 mai 1897. Et ce couple aura eu trois enfants Molbert, Louise (née en 1858 à Birmandreis), Pierre (né vers 1860) et Charles, né en 1863, à Mustapha _ auxquels il faut ajouter un tout premier enfant, une fille aînée, née (à Rougemont, en Alsace, le 18 août 1853) avant mariage de ses parents, et reconnue seulement le jour du mariage de ceux-ci, à Birmandreis, en Algérie, le 4 avril 1857 : Sophie Wachter, et qui devient alors Sophie Molbert (Rougemont, 18 août 1853 – Courbet, 1er février 1938).

_ Jean-Baptiste-Antoine Wachter, né le 5 février 1827 ; et c’est lui qui, le 26 mai 1857, a épousé, à Mustapha, Elisabeth Confex _ l’aînée des 7 enfants Confex (dont la future « Mme Vve Paul Bonopéra« , « née Confex » !) de Jean-Baptiste-Pierre Confex (Marseille, 28 décembre 1811 – Mustapha, 28 mai 1887) et son épouse Marie-Claire-Joseph Vidal (Marseille, 22 septembre 1815 – Mustapha, 6 juillet 1869 ; les cinq autres enfants Confex de ce couple sont : Aimée-Justine-Marie (née à Alger le 7 février 1839 et future épouse de Philippe Ferrand, né à Fleurey-lès-Lavoncourt le 7 août 1828, et qui décèdera à Alger le 2 décembre 1889), et qui aura pour fils Albert-Philippe Ferrand (1869 – Alger, 18 décembre 1827) futur époux de sa cousine Marie-Emélie Wachter… ; Marius-Ernest-Jules (né à Alger le 19 février 1841) ; Marius-Etienne (né à Alger le 29 novembre 1843 ; et qui décèdera à Relizane-Renault le 30 décembre 1894) ; Marie-Léontine (née à Alger le 28 mars 1846) et Zoé-Marie-Thérèse (née à Alger le 19 août 1852) _ ;

et enfin _ François-Antoine-Humbert Wachter, né le 1er février 1830.

Mais il me reste le principal à révéler,

car de Rougemont-le Château, venait aussi un autre Wachter, et « cousin » de ce Jean-Baptiste-Antoine Wachter qui a épousé à Mustapha Elisabeth-Joséphine-Augustine Confex :

Jean Pierre Wachter (Rougemont, 24 mars 1801 – El Biar, 20 janvier 1871).

Par lui, j’allais en effet découvrir la parenté, dès les années du XVIIIème siècle, à Rougemont, des Wachter et des Girot :

via le mariage _ j’en ignore la date et le lieu : probablement ailleurs qu’à Rougemont ; peut-être au Val… _ de François Wachter (né à Rougemont le 11 mars 1754, fils de Marc Wachter et Marie-Anne Blaisy ; et qui décèdera à Rougemont le 5 mai 1807 ; il était teinturier de profession), avec Marguerite Girot (née au Val, le 20 août 1767 ; et qui décèdera à Rougemont le 19 décembre 1840) ;

François-Antoine Wachter et Marguerite Girot _ fille de Germain Girol, du Val (et qui signe Girot) et son épouse Anne-Marie Sonet, qui s’étaient mariés à Angeot le 17 février 1756… _ sont, eux, les parents, notamment _ comme cela est inscrit dans l’acte de décès de celui-ci, en date du 20 janvier 1871, à El Biar _ de ce Jean-Pierre Girot (Rougemont, 24 mars 1801 – El Biar, 20 janvier 1871 ; chevalier de la Légion d’honneur ; « garde comptable d’artillerie« ), qui se déclarera « cousin » du marié, Jean-Baptiste-Antoine Wachter ; et sera un des quatre témoins assistant les mariés Jean-Baptiste-Antoine Wachter et Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex, lors de leur mariage, à la mairie de Mustapha, le 26 mai 1857.

Il faut donc bien reconnaître que des Wachter, déjà apparentés à des Girot, sont présents en Algérie à ce moment _ 1856 _ de la naissance, à Ténès, de Joséphine Girot.

Et il est tout à fait dans l’ordre du possible qu’à Orléansville Joséphine Girot _ qui a accouché, là, de son quatrième fils, Auguste Bonopéra, le 3 avril 1883 _, ait fréquenté certains des membres de la famille Wachter qui y résidaient ; en plus de membres des familles Girot de Menoncourt et de Roppe, qui résidaient eux aussi dans la région, par exemple à Ténès ;

Ténès où s’est marié, le 1er août 1854 _ avec une demoiselle Hermite _, Jean-Pierre Girot : l’assez probable père de notre Joséphine… 

C’est que l’installation en Algérie des nouveaux arrivants ne concernait pas seulement des individus isolés, mais aussi des familles,

et élargies assez souvent à des cousins…

La solidarité _ en l’occurrence familiale _ pouvant avoir une importance vitale.

À suivre...

Ce samedi 6 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et un effort de synthèse à propos de l’identité encore cachée de « Mme Vve Paul Bonopéra » (née Confex) ; mais aussi « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter »…

02mar

Voici le courriel de présentation un peu synthétique, mais nécessairement très précis, que je viens d’adresser à ma sympathique correspondante

afin de lui présenter l’articulation _ complexe (et « à tiroirs« …) _ de mes présentes recherches autour des Bonopéra et des Morand de la Genevraye, d’Orléansville,

aux Ducos du Hauron de ma recherche de départ ;

du fait de l’articulation de la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, à partir du mariage d’Amédée Ducos du Hauron avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey, et des apparentements de cette famille Rey-Gentet, à d’autres familles orléansvilloises, telles que les familles Wachter, Ferrand, et donc Bonopéra…

Madame,
… 
D’abord un immense merci
pour notre si riche échange téléphonique d’hier après-midi.
… 
Voici un très bref aperçu des emboîtements successifs qui ont conduit ma recherche
de la famille agenaise des Ducos du Hauron
aux familles orléansvilloises des Bonopéra et Morand de la Genevraye :
… 
en partant, en ce bref aperçu, de Paul Bonopéra (Miliana, 1-10-1856 – Orléansville, 18-1-1916) ;
 …
lui dont la veuve (née Confex), est apparentée, par Mme Vve Louis Gentet, née Wachter
dont j’ignore encore l’identité précise, pour elle aussi… _,
aux Gentet et aux Rey,
les grands-parents Gentet et parents Rey de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9-2-1866 – Alger, 15-7-1935),
le neveu du génial inventeur de la « photographie de couleurs », à Lectoure en 1868 : Louis Ducos du Hauron (Langon, 8-12-1837 – Agen, 31-8-1920), dont on va célébrer cet été à Agen la mémoire, à l’occasion du 101ème anniversaire de son décès.

Ce Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), dont m’intéresse tant de découvrir l’identité précise de la veuve _ « née Confex«  _,

« Mme Vve Bonopéra« , ou « Mme Vve Paul Bonopéra« , puis, à partir de 1930, « Mme Vve Bonopéra mère » _ en l’avis de décès paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, de M. Georges Morand de la Genevraye _, « née Confex« , donc en un avis de décès de sa sœur aînée, Elisabeth Confex, « Mme Vve Wachter, née Confex » paru dans Le Progrès, d’Orléanville, le 2 avril 1925 _ ;

apparentée qu’elle est, par cette filation Confex, aux Wachter d’Orléansville,

et par là apparentée surtout à ces Gentet d’Orléansville, et en l’occurence précise à « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ dont j’ignore aussi l’identité précise !!! _,

dont le défunt mari Louis Gentet, décédé le 9 août 1906, à Orléansville, a été nous y voilà ! _ le tuteur,

aux décès de leurs parents Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son époux Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890) cet Anatole Rey qui avait été maire d’Orléansville en 1880-1881 ; cf mon article du 30 décembre 2020 :  ; et celui du 2 janvier 2011 :  _,

des deux sœurs orléansvilloises Marie-Louise Rey et Aimée-Laurence Rey :

l’aînée, Marie-Louise, est l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935),

lui-même l’aîné des trois neveux qui ont secondé, en ses travaux, leur oncle, le génial inventeur en 1868, à Lectoure _ de la « photographie de couleurs« , Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) ;

et la cadette, Aimée-Laurence belle-sœur d’Amédée Ducos du Hauron _, épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 10 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930),

dont le faire-part de décès, paru dans L’Écho d’Alger le 31 mars 1930 cf mon article (du 28 janvier 2021) récapitulatif de la lecture de ce faire-part de décès de Victor Gadel :  _

comporte ce nom de « Mme Vve Bonopéra », qui m’a mis sur la piste de ces Bonopéra d’Orléansville…

Voilà un bref résumé de l’historique des emboîtements de mes recherches généalogiques :

des Ducos du Hauron, aux Rey ;

des Rey (et Gadel) aux Gentet, à Orléansville  ;

des Gentet aux Wachter, à Orléansville ;

des Wachter aux Confex ;

et des Confex aux Bonopéra et Morand de la Genevraye, à Miliana, Rabelais et Orléansville…

À suivre… 

 
Voilà pour présenter rapidement les articulations d’une recherche qui a commencé le 2 décembre dernier,
centrée, au départ, sur les trois neveux de Louis Ducos du Hauron, qui, tous les trois, ont collaboré aux travaux de leur génial oncle inventeur…
 …
Amédée Ducos du Hauron,
resté en Algérie en 1896 quand tous les autres membres de sa famille sont repartis en France,
a participé à l’organisation d’une exposition des inventions de son oncle Louis, au Casino d’Alger, en février – mars 1927…
… 
Cf mon article du 15 décembre dernier : 
… 
Avec cette retranscription alors, par L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, d’un article qui venait de paraître dans un journal parisien :
… 
« Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.
Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle »
… 
En espérant rencontrer aussi la curiosité de M. Raymond, je vous dis : à bientôt !
Francis Lippa, à Bordeaux
Avec aussi, en plus, ce soir, cette sorte de post-scriptum :

Pour ce qu’il en est du fond de la recherche (soit le parcours algérien d’Amédée Ducos du Hauron, puis de ses descendants ainsi qu’apparentés),
vous pouvez vous faire une petite idée de la complexité _ à emboîtements _ de ma recherche ;
en particulier du fait de l’accès très partiel _ et assez fortement handicapant pour les progrès de cette recherche  _ aux données d’État-civil d’Orléansville et de sa région.
Ce qui explique mon ignorance encore à ce jour de l’identité précise
1) de cette « Madame Veuve Paul Bonopéra » (« née Confex ») ;
2) de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter » ;
3) de beaucoup d’éléments concernant la fille aînée d’Amédée Ducos du Hauron : Eveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros…
Etc., etc…
Cela dit, l’aventure même, depuis trois mois, de cette recherche sur l’entourage familial de Louis Ducos du Hauron, est déjà, en elle-même, absolument passionnante.
Et tout spécialement le volet concernant cette branche algérienne dont Amédée Ducos du Hauron est la racine,
avec son mariage _ j’en ignore encore l’année _ avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ; ainsi que les parentés de celle-ci avec les Gentet, à Orléansville ; puis les Wachter, les Ferrand, les Wachter,
ainsi que les Confex, dont le nom _ il est le lien (d’apparentement ert filiation) quasi invisible ! _ ne m’était apparu sur aucun faire-part accessible de ces familles…
Par ailleurs, j’ai aussi un peu l’impression d’accéder à quelque chose de l’existence de ces Français qui s’étaient construit une vie en Algérie depuis 1830, avec ses spécificités chaleureuses…
À suivre…
Et merci de votre très aimable attention,

Ce mardi 2 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouvelles (en direct) de descendants Bonopéra : des mémoires qui s’estompent…

27fév

Après avoir consacré l’essentiel de ma journée à réviser l’ensemble des articles que j’ai consacré à mes recherches sur la famille Bonopéra _ et leurs itinéraires : Alger, Blida, Miliana, Rabelais, Orléansville, depuis leur arrivée en Algérie au moins avant 1835 _,

et suite à un coup de fil d’un des leurs, me procurant très aimablement les contacts de quelques autres,

j’ai pu joindre ce jour un troisième descendant de la famille orléansvilloise des Bonopéra,

qui, à son tour, a répondu à quelques unes de mes interrogations _ même si la mémoire du passé commence à s’estomper…

Mais je n’ai pas pu découvrir qui était cette « Mme Vve Bonopéra« , née Confex _ la veuve de ce Paul Bonopéra décédé à Orléansville le 18 janvier 1916 (il était né à Miliana le 1er octobre 1856) _, dont aucun de mes correspondants Bonopéra, jusqu’ici, n’a gardé un souvenir…

Même si cette « Madame Veuve Paul Bonopéra-mère » a vécu au moins quelques années _ j’ignore jusqu’ici la date de son décès : après le 7 octiobre 1935… _ dans la décennie des années 30 du XXème siècle :

elle figure dans l’avis de Remerciements, paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, consécutif aux obsèques de son neveu par alliance _ elle, était née Confex ; c’était son mari Paul qui était un Bonopéra ; et ce neveu était le troisième fils de sa belle-sœur Marguerite Bonopéra… _, Georges Morand de la Genevraye, né à Orléansville le 21 février 1888, et décédé à Orléansville, à l’âge de 47 ans, le 7 octobre 1935.

Il me paraît donc assez intéressant de comparer avec le contenu de ces Remerciements (en 1935) consécutifs aux obsèques de Georges Morand de La Genevraye, le contenu du faire-part de décès, paru dans L’Écho d’Alger du 23 mars 1922, du frère aîné de Georges, Alphonse-Jean Morand de La Genevraye (Orléansville, 7 juin 1872 – Orléansville, 19 mars 1922), décédé à Orléansville, à l’âge de 49 ans, le 19 mars 1922.

« Avis de Remerciements.

Mme Vve Alphonse Morand de la Genevraye ;

Mme Georges d’Apreval, née Morand de la Genevraye, M. Georges d’Apreval, et leurs enfants ;

M. et Mme Jules Morand de la Genevraye, et leurs enfants, de Rabelais ;

M. et Mme Georges Morand de la Genevraye, et leur fils, de Rabelais ;

M. et Mme Auguste d’Apreval, et leurs enfants, d’Alger ;

M. Alphonse Maréchal, et sa fille Jenny, d’Oran ;

M. et Mme Martin Tourrenc, de Saïda ;

Mme Vve Ermain Carrière, née Tourrenc, de Renault ;

M. et Mme Marius Tourrenc, et leurs enfants, de Renault ;

M. et Mme René Tourrenc, et leur fille, de Flinois ;

Mme Edouard Rousseau, née Tourrenc, et M. Rousseau, de Flinois ;

M. Maurice Tourrenc, de Renault ;

Mme Vve Reder, née Morand de la Genevraye, d’Affreville, et sa famille ;

Mme Vve Roesch, née Morand de la Genevraye, de Ferryville, et sa famille ;

Mme Vve Bader, née Morand de la Genevraye, d’Affreville ;

Mme Vve Paul Bonopéra, et sa famille, d’Orléansville ;

MM. Adrien et Marcel Morand de la Genevraye, d’Affreville ;

M. et Mme André Gugès, et leur famille, de Renault ;

M. Baptiste Tourrenc, et sa famille, de Blida ;

Mme Vve Pauly, et sa famille, de Rabelais ;

les familles Tourrenc, Dourdil, Magalon, Saint-Jevin, Chauvet, Sèves, Anglade, Herman et Carrière,

remercient (…) à l’occasion du décès de M. Alphonse MORAND DE LA GENEVRAYE, Propriétaire, Chevalier du Mérite Agricole,

leur époux, frère, beau-frère, oncle, cousin, parent et allié,

décédé à Orléansville le 19 mars 1922.« 

« Avis de décès.

Mme Vve Georges Morand de la Genevraye, et son fils Jean ;

Mme Georges d’Apreval, née Morand de la Genevraye, M. Georges d’Apreval ;

M. et Mme Jules Morand de la Genevraye, et leurs enfants, Robert et Suzanne ;

Mme Vve Alphonse Morand de la Genevraye ;

M. Auguste d’Apreval, et son fils ;

M. et Mme René d’Apreval, et leurs enfants ;

M. et Mme Lucien d’Apreval, et leurs enfants ;

M. et Mme Etienne Lauprêtre, née Morand de la Genevraye, et leurs enfants ;

M. et Mme René Raymond, née Morand de la Genevraye, et leurs enfants ;

M. Alphonse Maréchal, et sa fille Jenny ;

Mme Vve Paul Bonopéra mère ;

Mme Vve Roesch, née Morand de la Genevraye ;

Mme Vve Bader, née Morand de la Genevraye ;

Mme Vve Jean Peyrat ;

M. et Mme Eugène Ehrmann ;

M. et Mme Adolphe Ehrmann ;

M. et Mme Marc Samie, et leur fils Christian ;

les familles Morand de la Genevraye, d’Affreville, Reder, Bonopéra, Ferrand ;

M. Albert Attard,

vous font part (…) de Monsieur Georges MORAND DE LA GENEVRAYE,

leur époux, frère, beau-frère, oncle, neveu, parent, allié et ami,

décédé à Orléansville le 7 octobre 1935 . »

On pourra s’intéresser à comparer ces deux documents ;

ainsi que les ordres de préséance qu’ils comportent…

Ce samedi 27 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Faire un point provisoire sur les taches aveugles qui persistent en mon enquête sur la constellation familiale des apparentés à la branche algérienne des Ducos du Hauron

24fév

Depuis pas mal de temps maintenant,

je passe beaucoup de temps à enquêter, un peu tous azimuts, autour de la constellation familiale de la branche « algérienne – algéroise » de la famille Ducos du Hauron, à partir du moment où _ j’ignore à quelle date, mais probablement à Orléansville _ Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1966 – Alger, 15 juillet 1935) a décidé de ne pas rentrer avec ses parents Alcide (Coutras, 29 juin 1930 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et Césarine-Marie (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, mai 1923), son frère Gaston (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), et son oncle Louis (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), en France, mais de demeurer en Algérie, le pays où vivait celle qu’il a épousée _ un peu avant ou un peu après _, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).


La parenté « algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron et des siens _ autour et puis issus de lui _, est ainsi constituée du terreau des filiations en amont et des apparentements, en Algérie, de son épouse Marie-Louise Rey, et de la sœur de celle-ci, sa belle-sœur par conséquent, Aimée-Laurence Rey, bientôt épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ; et en amont de ces deux sœurs Rey, leurs oncles et tantes Gentet, et d’abord leur grand-mère Anne-Marie Schwartz, à Orléansville d’abord.

Puis, les apparentements de cette famille Gentet, avec les Wachter, les Ferrand, les Confex ;

et un peu plus tard, à partir du mariage de la fille aînée d’Amédée et Marie-Louise, Eveline Ducos du Hauron, avec Henri Ducros, avec les Ducros, et leurs cousins Charavel et Ferrand, etc.

Avec cet enracinement orléansvillois des Gentet-Rey, je me suis donc intéressé aux apparentements, avec les Wachter, et les Bonopéra.

Au point d’être intrigué par la présence, en plusieurs faire-part de décès de ces familles, d’une certaine « Mme Vve Bonopéra« , voire  »Mme Vve Paul Bonopéra » ; ou même « Mme Vve Paul Bonopéra-mère« …

Surtout quand je me suis heurté à la difficulté _ encore non résolue _ de faire coïncider la parenté Confex de celle-ci avec « Mme Vve Wachter née Confex« , sa sœur ; avec le fait que la mère des six enfants du défunt mari, Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) de cette « Mme Vve Paul Bonopéra« , était une certaine Joséphine Girot (ou Giraud), comme cela apparaît dans les six actes de naissances, aux mairies de Pontéba, de Charon, d’Orléansville ou de Ténès-Rabelais, des six fils de ce Paul Bonopéra !!!

Et à cela sont venues se rajouter encore les méandres un peu confus des relations familiales compliquées de Marguerite Bonopéra, la sœur aînée de Paul, avec les Morand de la Genevraye, jusque dans les fils parfois confus de sa descendance _ en partie du fait de la destruction des archives d’Etat-civil de la ville d’Orléansville, lors des  terribles tremblements de terre de 1954 et 1980 ; ou des trous conséquents qui affectent aussi d’autres archives d’Etat-civil de diverses communes d’Algérie : ce serait trop simple, sinon…

Voilà !

Et tout cela demeure passionnant.

Et j’avance progressivement, jour après jour, patiemment, pas à pas…

Ce mercredi 24 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Dernier volet des des précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Alphonse Bonopéra (Charon, 1er janvier 1881 – Orléansville, 5 mars 1927)

20fév

Ce samedi 20 février, j’achève ma série de recherches sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Ténès _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possibles, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en terminant par le troisième de ces 6 frères, Alphonse Bonopéra (Charon, 1er janvier 1881 – Orléansville, 5 mars 1927), le garde-champêtre de diverses communes, dont Les Attafs et Orléansville.

Alphonse Bonopéra (Charon, 1er janvier 1881 – Orléansville, 5 mars 1927) est demeuré célibataire ; et l’essentiel des renseignements sur lui se trouvent contenus en son livret militaire.

Si, en 1902, alors qu’il réside à Rabelais, il indique comme profession « agriculteur« ,

ensuite, et en diverses localités des environs d’Orléansville, ainsi qu’à Orléansville même, Alphonse Bonopéra fera fonction de « garde-champêtre » : par exemple aux Attafs, en 1923 ; ou à Orléansville, en 1924.

Alphonse Bonopéra avait résidé aussi à Renault, en 1911 ; à Orléansville, chez son frère Auguste le cafetier, en 1912 ; ou encore à Paul-Robert, en 1919 _ comme c’est relevé sur son livret militaire.

Durant la Grande Guerre, rappelé à l’armée active par décret du 1er août 1914, c’est sur proposition de la commission de réforme du 14 avril 1915, qu’Alphonse Bonopéra sera classé au service auxiliaire : pour « éthylisme chronique« .

Et à son décès survenu le 5 mars 1927 à Orléansvillec’est tout spécialement à son plus jeune frère Julien (né en 1887), « notre sympathique conseiller municipal M. Julien Bonopéra« , que le journal L’Écho d’Alger adresse ses sincères condoléances _ probablement du fait de la situation de Julien Bonopéra au sein du Conseil municipal d’Orléansville… _ pour la disparition de l' »ancien garde-champêtre » de la ville…

L’avis du journal ne mentionnant alors ni sa mère, « Mme Vve Paul Bonopéra« , ni ses trois autres frères : Jean (né en 1877), Paul (né en 1878) et Auguste (né en 1883).

Une autre forme de destin.

Ce samedi 20 février 2020, Titus Curiosus -Francis Lippa

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