Posts Tagged ‘Pauline Langlois de Swarte

Combler certains blancs dans les généalogies accessibles des Langlois

11juin

Et voici que ce vendredi matin 11 juin, à 8 h 40,

je viens de parvenir à combler certains des blancs sur lesquels je peinais encore hier soir, à propos des arbres généalogiques des Langlois accessibles sur le Web ;

cf mon article

Ce qui, en l’occurrence, me permet de relier le tableau de parenté _ réalisé par Bertrand Langlois _ dans lequel prend place _ après quelques opérations un peu délicates d’identification de blancs... _ Hervé Langlois _ ainsi que son grand-père Robert Langlois (Sèvres, 16 février 1900 – Montreuil-aux-Lions, Aisne, août 1944) _,

et celui _ réalisé par Manuel-Raymond Protat, pour la descendance d’Appolinaire Mantelet (Lignières, Aube, 7 mai 1832 – Lignières, 1er février 1905) _ dans lequel figure bien en clair Bertrand Langlois _ mais hélas sans liens d’ascendance accessibles qui auraient permis de le situer, lui, Bertrand Langlois, par rapport à la famille des Langlois ! 

Or il se trouve que,

dans la fratrie des 4 enfants du fils unique _ sans prénom identifié _ de Robert Langlois et son épouse Denise Dubourg (Rambouillet, 20 mai 1904 – Château-Thierry, Aisne, septembre 1944) et son épouse _ encore sans prénom identifié non plus… _ née Kuntz,

l’ainé des 4 est Bertrand Langlois _ époux de Sylvie Poinsot et père de leurs 3 fils : Thibault, Matthieu et Xavier Langlois _ ;

et qu’il s’avère être le frère du quatrième et dernier de la fratrie : Hervé Langlois _ époux en secondes noces de Bertille de Swarte, et père de leurs 2 enfants : Pauline et Théotime Langlois de Swarte.

La seconde de la fratrie est une fille Langlois, mariée et sans enfants ;

et si le troisième est bien lui aussi un garçon Langlois, il n’a que deux enfants, et ne peut donc pas être Hervé Langlois ;

ce garçon Langlois qui a bien eu un premier enfant d’une première épouse ; puis deux autres enfants d’une seconde épouse _ en l’occurrence Bertille de Swarte, divorcée de son premier mari, Pierre Sartre… _, ainsi que le schéma de Bertrand Langlois le présente très effectivement, a toutes chances d’être bien notre Hervé Langlois… 

Ainsi voilà donc une première boucle bouclée !

Et à suivre, bien sûr !

En me demandant, aussi, la raison de ces blancs dans cette généalogie des Langlois _ originaires, bien en amont de la ville natale de Sèvres, de Robert Langlois (né à Sèvres le 16 février 1900) ; originaires, donc, de Pont de l’Arche, dans l’Eure, en Normandie ; et cela depuis un précédent Robert Langlois (1591 – 1666), déjà natif de Pont-de-l’Arche : ces Langlois-ci, de même que bien d’autres Langlois, sont donc d’ascendance normande. Et la résidence sévrienne de cette famille Langlois originaire de Pont-de-l’Arche, remonte au mariage de Polyclès Langlois (né à Pont-de-l’Arche le 29 septembre 1814, et décédé à Sèvres le 30 novembre 1872, avec la sévrienne Amable-Ursule Landry (Sèvres, 19 mai 1825 – Sèvres, 7 février 1898)… _ réalisée ainsi, avec ces divers blancs, par Bertrand Langlois…

J’y reviendrai… 

Ce vendredi 11 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ainsi que des nouveautés (encore partielles) sur l’ascendance Langlois de Pauline et Théotime Langlois de Swarte…

09juin

Et voilà qu’en ma recherche concernant la descendance de Pierre Sartre

ainsi que celle _ en partie commune : pour Sylvain, Alexis et Camille Sartre _ de son épouse Bertille de Swarte,

je viens de découvrir un embryon d’arbre généalogique me permettant de situer le second compagnon, après Pierre Sartre, de Bertille _ Marie-Thérèse-Françoise _ de Swarte : Hervé Langlois _ ou Hervé-Alexandre-Yves Langlois, pour être complet _,

à la fois

eu égard à l’ascendance de celui-ci par rapport à ses grands-parents paternels _ Langlois : il s’agit de Robert Langlois et son épouse Denise Dubourg ; mais je n’en sais guère davantage, sinon que Robert Langlois a eu un frère prénommé Paul, et une sœur prénommée Yvonne... J’ignore le prénom du père d’Hervé Langlois, ainsi que le nom de sa mère ; mais j’ai appris de cet embryon d’arbre généalogique comportant si peu de noms donnés en clair, que Hervé Langlois était le quatrième d’une fratrie de quatre ; et en cliquant sur la case xx représentant la seconde épouse de Hervé Langlois, si je n’ai pas obtenu le nom de celle-ci, j’ai obtenu le nom de Sartre (avec une erreur de prénom : Marc, au lieu de Pierre) comme étant le père de Sylvain Sartre, ainsi que d’« une fille Sartre » et « un garçon Sartre«  _ ;

et par rapport, aussi, à sa descendance _ Langlois, puis Langlois de Swarte… _,

constituée d’abord d’un premier enfant Langlois, né d’une première union _ le nom de cette première épouse n’est pas donné ; pas plus que le prénom ni même le sexe de l’enfant… _ ;

puis de Pauline-Marie-Béatrice Langlois de Swarte _ pour une obtention des prénoms complets des membres de la famille Rendu et leurs apparentés (notamment les de Swarte issus du mariage entre Geneviève-Marie-Elisabeth Rendu et son époux Alain-Yves-Marie-Joseph de Swarte), consulter cette généalogie-ci, la plus détaillée sur l’onomastique des prénoms… _ et de son frère cadet Théotime Langlois de Swarte,

issus, eux de la seconde union de Hervé Langlois, celle avec Bertille de Swarte…

Pauline et Théotime Langlois de Swarte ont ainsi trois frères et sœurs Sartre _ Sylvain, Alexis et Camille Sartre_,

ainsi qu’un frère ou une sœur Langlois _ dont j’ignore pour l’heure tant le sexe que le prénom…

Alors que Sylvain, Alexis et Camille Sartre ont deux frères Sartre _ Adrien et Clément Sartre _,

ainsi qu’un frère et une sœur Langlois de Swarte _ Pauline et Théotime Langlois de Swarte…

À suivre :

rechercher demande pas mal de patience _ et de capacité mémorielle (ainsi qu’imaginative) de connexions _ dans l’effort…

Ce mercredi 9 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de données chronologiques un peu précises concernant la très active présence de Bertille de Swarte (et de ses enfants) en Roussillon (Suite)…

06juin

Dans la continuation du questionnement qui ouvrait mon article du 29 mai dernier  _ « je me suis demandé ce qui a pu occasionner la résidence de la sœur d’Alain de Swarte, Bertille de Swarte, dans les Pyrénées-Orientales : à Perpignan, à Céret, ou à Canet-en-Roussillon«   _,

ainsi que de la poursuite de mon effort de préciser la chronologie de la présence de Bertille, ainsi que des membres les plus proches de sa famille en Roussillon _ déjà, les deux derniers de ses enfants, Pauline et Théotime, sont nés dans le département des Pyrénées-Orientales _,

il m’est nécessaire de faire ici un point chronologique le plus précis possible sur cette résidence roussillonnaise de Bertille de Swarte, et de ses cinq enfants…

Pas mal de données chrono-biographiques concernant Bertille de Swarte me manquent pour le moment ;

notamment, et d’abord, sa date de naissance _ entre 1956,  l’année qui suit celle de la naissance de Thibault, son frère aîné (né à Neuilly-sur-Seine le 3 mars 1955), et 1961, l’année qui précède celle de la naissance de sa soeur Béatrice (née le 29 mars 1962) _ ;

de même que la date de son mariage avec Pierre Sartre, le père de ses trois premiers enfants, Sylvain _ né, mais j’ignore où, le 28 août 1979 _, Alexis et Camille Sartre _ j’ignore les lieux et dates de leur naissance.

Ce dimanche, j’ai réussi à découvrir un embryon d’arbre généalogique de la famille _ en partie bordelaise, d’ailleurs _ des Fizet – Arsene-Henry, qui vient m’apporter les prénoms des trois enfants que la fille de Pierre Sartre et Bertille de Swarte, Camille Sartre _ dont j’ignore toujours les lieu et date de naissance _ a eu de ses deux maris _ j’ignore aussi les dates de ces deux unions _ : Guillaume Touzet, puis Gaël de Swarte :

_ Romane Touzet ;

_ Louise et Martin de Swarte _ cependant, cette généalogie-ci ne m’apprend pas les lieux et dates de naissance de ces 3 enfants de Camille Sartre : pas plus pour ce qui concerne Romane, que pour ce qui concerne Louise et Martin…

Enfin, il va me falloir essayer d’estimer, faute de donnée plus précise, le moment important de la venue et installation de Bertille de Swarte en Roussillon ;

où elle donnera naissance à ses deux derniers enfants, issus de son union avec Hervé Langlois, professeur de chant, comme elle, qui sont Pauline Langlois de Swarte et Timothée Langlois de Swarte (ce dernier, à Céret, en 1995)…

C’est _ et c’est important à relever _ en 1988, qu’est créé à Perpignan l’IRVEM, l’Institut de de Recherche Vocale et d’Enseignement Musical Méditerranéen, dont Bertille de Swarte est une cheville-ouvrière.

De même qu’il faut relever aussi le décès à Prades, le 3 août 1990, de Pierre de Swarte, le grand-père-paternel de Bertille.

À suivre…

Ce dimanche 6 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le côté de L’Esparrou, ou le côté de Marie-Thérèse Sauvy, ou maintenant le côté de Bertille de Swarte…

05juin

La personne qui _ après sa grand-mère maternelle Marie-Thérèse Sauvy, épouse Renduva faire de ce « côté de L’Esparrou« , à Canet-en-Roussillon,

une sorte de pendant, voire de rival, en attractivité familiale, face au « côté de La Meynie« , à Trélissac, en Périgord

_ qui est le côté d’Alain de Swarte _,

ce va être _ mais à partir de quelle date ? c’est diffile à établir… _ la petite fille _ parmi 27 petits-enfants : 10 petits-enfants Dargent-Rendu ; 4 petits-enfants Sirol-Rendu ; 4 petits-enfants Rendu-Wasmer ; 4 petits-enfants de Swarte-Rendu ; et 5 petits-enfants Rendu-Hanin… _ de Marie-Thérèse Sauvy-Rendu :

Bertille de Swarte

seconde après Thibault, et avant Béatrice et Eymeric, des 4 enfants d’Alain de Swarte et Geneviève Rendu-Sauvy.

La difficulté d’établissement d’une chronologie de la présence de Bertille de Swarte en Roussillon,

procède d’abord de l’absence de précisions concernant les générations des descendants actuellement en vie, au sein des _ très précieux _ arbres généalogiques publiés et accessibles sur le web ;

qu’il s’agisse de l’arbre généalogique composé par le frère aîné de Bertille : Thibault de Swarte,

ou de ceux composés par les cousins éloignés,

d’une part, côté Rendu, Thibaut Bourillon,

et d’autre part, côté de Swarte, Philippe de Brancion.

C’est donc ailleurs qu’il faut aller puiser _ en quelque sorte à l’épuisette _, et une par une, de minces données, le plus souvent trop partielles pour satisfaire pleinement la curiosité, concernant sinon Bertille elle-même, du moins ses proches, tels par exemple ses enfants, qui sont au nombre de 5 : Sylvain, Alexis et Camille Sartre ; et Pauline et Thimothée Langlois de Swarte…

 Et il va rapidement s’avérer que ces datas concernent rarement, sinon jamais, des circonstances de la vie familiale _ telles, par exemple, un mariage ou un faire-part de décès… _ mais des événements artistiques, et quasi exclusivement musicaux :

ou bien dans le cadre de l’IRVEM,

institut dans lequel, dès sa fondation, en 1988, Bertille de Swarte a été et demeure extrêmement active,

soit en tant que professeur de chant, soit organisatrice de concerts ;

 ou bien des concerts ou des réalisations discographiques de plusieurs de ses enfants, musiciens

tels Sylvain Sartre, le co-directeur du très bel Ensemble Les Ombres, et flûtiste baroque _ il a été élève de mon ami Philippe Allain-Dupré, je viens de le découvrir _  ;

Pauline Langlois de Swarte, pianiste, claveciniste et chanteuse ;

ou Thimothée Langlois de Swarte, brillant et merveilleux violoniste, et membre actif de l’Ensemble baroque Le Consort _ cf la série quotidienne de mes articles à partir de celui du 25 mai dernier : … 

Il me faut donc recollecter ces diverses données _ ponctuelles et éparses _ permettant de qualifier de « tropisme roussillonnais » le rayonnement attractif _ très au-delà de son cercle familial, bien vivant ! _ des activités _ musicales _ de Bertille de Swarte dans les Pyrénées-Orientales,

et au château de L’Esparrou…

Un rayonnement attractif assez comparable _ mais en un tout autre genre : musical, cette fois _ au rayonnement attractif _ environnemental, lui _ de son père Alain de Swarte, au Domaine de la Meynie, à Trélissac, en Périgord…

À suivre…

Ce samedi 5 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nature et culture, ou une tension de tropismes : le côté de La Meynie, en Périgord, et le côté de L’Esparrou, en Roussillon _ le choix d’un lieu où venir exister…

02juin

En recherchant à remplir les quelques blancs qui demeuraient en ma recollection des données généalogiques des branches de Swarte _ cf la généalogie réalisée par Thibault de Swarte_ et Sauvy _ cf la généalogie réalisée par Philippe de Brancion…  _ de la famille de Swarte,

je viens de tomber sur une troisième généalogie, celle des Rendu _ réalisée par Thibault Bourillon _, qui vient confirmer une de mes intuitions,

née du point de vue apparu à travers le témoignage d’Eymeric de Swarte, dans le très intéressant article de Sud-Ouest du 18 septembre 2013, intitulé « La Mémoire d’Alain de Swarte«  ;

témoignage complété et notablement enrichi par le passionnant et très éclairant article de Pierre Villot, du 26 décembre 2009, intitulé « Alain de Swarte, 40 ans de combats pour la nature« …

Je veux dire l’existence d’une tension entre deux puissants tropismes :

le tropisme périgourdin du Domaine de La Meynie, à Trélissac,

et le tropisme roussillonnais du château de L’Esparrou, à Canet-en-Roussillon.

Non seulement, cette troisième généalogie (des Rendu) réalisée par Thibault Bourillon m’a effectivement permis de combler pas mal de blancs laissés par les deux précédentes généalogies (celle de Thibault de Swarte, et celle de Philippe de Brancion),

et m’a révélé une nouvelle alliance, à une génération de différence, entre des de Swarte et des Sartre ;

mais elle est aussi, et surtout, venue confirmer mon intuition _ née de l’article La Mémoire d’Alain de Swarte _ d’une tension de tropismes entre d’une part le Domaine de La Meynie en Périgord _ à Trélissac (Dordogne) _, et d’autre part le château de L’Esparrou, en Roussillon _ à Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales) _, quant au choix d’un lieu où préférer venir et demeurer vivre… ;

qui est aussi une tension entre un tropisme vers la nature (l’environnement, les paysage, la flore et la faune sauvages : à sauvegarder)

et un tropisme vers la culture (la musique, les concerts : où s’accomplir et s’exalter)…

Choisir où venir exister…

Une tension riche de contrastes et de diversité d’intensités…


Ce mercredi 2 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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