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Quelques pistes, encore imprécises, à propos de certains descendants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné

15mar

En cherchant,

j’ai découvert quelques noms de descendants _ en l’occurrence deux arrière-petits-fils _ du fils aîné de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot,

je veux dire descendants de Jean Bonopéra, l’époux de Louise-Marie Hulné.

Et cela à travers quelques indications _ mais hélas pas assez précises _ concernant

d’une part le fils peut-être aîné _ il est né le 25 juin 1902 _ de ce Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné,

je veux parler, ici, de Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977),

époux de Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, Var, 1985),

ainsi que des six enfants _ Paul (né à La Ferme, le 31 juillet 1926 ; et décédé à Toulon, le 9 janvier 1977), Hélène, Jacqueline (née à La Ferme, le 15 janvier 1944 ; et décédée à Limoux, le 17 janvier 2016), Mireille, Stéphanie et Vivianne (née à Saint-Cyprien des Attafs, le 20 octobre 1951 ; et décédée à Hyères, le 7 janvier 1997)_ Bonopéra de ce couple ;

et d’autre part celle qui est _ peut-être : ignorant sa date de naissance, j’ignore forcément aussi sa place au sein de la fratrie… _ la seconde _ en tout cas, elle fait partie, avec ses frères Claude et Georges-Paul, des trois aînés des 6 enfants de cette fratrie _ des enfants de Jean et Louise-Marie,

je veux parler, ici, de Joséphine Bonopéra (? – ?),

épouse de Kléber Défillon (? – ?),

ainsi que des _ peut-être _ deux enfants _ Simone et, peut-être, un frère _ Défillon de ce couple…

Car ces pistes de recherche m’ont été fournies par au moins deux arbres généalogiques qui demeuraient hélas muets sur les identités des membres des plus jeunes générations de descendants…

Cf aussi cet autre arbre généalogique frustrant, concernant la descendance d’un autre (après Joséphine et Georges-Paul) des au moins six enfants de Jean Bonopéra et son épouse Louise-Marie Hulné :

cette fois, Jeanne Bonopéra (Orléansville, 10 mars 1913 – Kindsbach, 25 mai 1949), épouse de Marcel-Auguste Louyot (Metz, 3 mars 1910 – Fontaine-Les-Dijon, 13 décembre 1997) _ parents de 4 enfants Louyot, dont l’aînée est Josianne-Catherine-Marie (née à Oued Fodda, le 27 décembre 1935 ; et décédée à Pessac, le 5 juin 1994) _,

dont je suis aussi en recherche de descendants, qui seraient susceptibles d’apporter de bienvenus témoignages sur leurs ascendants Bonopéra… 

Ces arbres généalogiques auxquels je suis redevables ont été réalisés par Marie-Carmelle Broussy, Claude Petit, Joëlle Brun, ainsi que Violaine Giannini-Hulné…

Il me faut donc forcément me contenter, pour le moment du moins, des renseignements (surtout deux noms _ l’un deux, surtout, ayant déclaré chercher à retrouver sa cousine Claudette, petite-fille d’Auguste-le-cafetier… _ ) que j’ai pu obtenir par là ;

et continuer à rechercher le reste des noms qui ont été remplacés, en ces arbres généalogiques, par des points de suspension… 

À suivre…

Ce lundi 15 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les questions qui demeurent sur l’identité précise de « Madame Veuve Paul Bonopéra » : combien d’épouses a eues ce « Paul Bonopéra »-là (Miliana, 10 janvier 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) ?..

13fév

Les questions de mes deux précédents articles  et ,

ouvertes à partir de l’article qui les précédait ,

et qui portent sur l’identification précise de celle qui deviendra la veuve de Paul Bonopéra, le 18 janvier 1916, à Orléansville _ ainsi que, par exemple, à quelle date a eu lieu leur mariage ? _,

demeurent pendantes…

Et ma tâche de ce samedi 13 février consiste à tâcher de faire des progrès dans l’identification de celle qui allait ainsi devenir, ce 18 janvier 1916, « Madame Veuve Bonopéra« , « Madame Veuve Paul Bonopéra«  ;

et même, à partir du 3 novembre 1930, toujours à Orléansville, au décès du second fils de son défunt mari Paul Bonopéra, second fils qui portait lui aussi ce même nom de « Paul Bonopéra« , et qui était le boulanger d’Orléansville (né à Pontéba le 19 septembre 1878, et décédé à Orléansville le 3 novembre 1930), « Madame Veuve Paul Bonopéra mère » ;

comme cela apparaît dans l’expression du faire-part de décès, paru dans L’Écho d’Alger du 8 octobre 1935, de son petit-neveu Georges Morand de la Genevray,

le troisième fils (Orléansville, 21 février 1888 – Orléansville, 7 octobre 1935) de sa nièce Augustine Morand de La Genevraye, la fille aînée de sa belle-sœur Marguerite Bonopéra _ et épouse d’Auguste Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904, maire d’Orléansville _, qui était sa belle-sœur, parce qu’elle était la sœur aînée (née le 22 janvier 1849, à Miliana) de son mari Paul Bonopéra (né le 1er octobre 1856, à Miliana)…

Il me reste à faire un peu de lumière sur de qui m’apparaît, du moins à ce jour, compte tenu des données éparses que j’ai pu recueillir sur l’histoire matrimoniale pas encore assez claire de ce Paul Bonopéra, né à Miliana le 1er octobre 1856 et décédé à Orléansville le 18 janvier 1816, et conseiller municipal d’Orléansville depuis les élections municipales complémentaires du 17 juillet 1907 _ par 239 voix/274 ; Paul Bonopéra était alors âgé de 51 ans: ce qui confirme l’année 1856 de sa naissance, à Miliana ; de même que Le Progrès d’Orléansville qui donne l’âge de Paul Bonopéra à sa mort au mois de janvier 1916 : 60 ans, confirme là encore la concordance des dates de l’existence de ce même Paul Bonopéra, entre 1856 et 1916 _ :

_ père d’au moins six enfants Bonopéra _ je compte ici seulement, pour le moment, les garçons, dont j’ai pu avoir accès aux livrets militaires… _, en 1877 (Jean), 1878 (Paul), 1881 (Alphonse), 1883 (Auguste), 1887 (Julien) et 1892 (Georges), dont la mère est Joséphine Giraud _ ou Girot, l’orthographe varie… _ ;

_ père d’un autre garçon, nommé Marie-André Bonopéra, né le 5 juin 1897 à Rabelais, et décédé 20 jours plus tard, toujours à Rabelais, dont la mère est Marie-Jeanne-Virginie Claudet ; brièvement seconde épouse, dont Paul Bonopéra obtiendra le divorce à la date du 28 juillet 1897, par un jugement du tribunal d’instance d’Orléansville, « aux torts et griefs de Marie Claudet » _ pour des raisons qui n’apparaissent pas (et pourraient avoir partie liée, d’une façon ou d’une autre au décès de ce bébé, Marie-André, le 25 juin 1897, âgé de 20 jours, à Rabelais _

_ enfin, il apparaît encore que cette « Madame Veuve Bonopéra » serait, elle, »née Confex« , puisque c’est sous cette appellation qu’elle paraît dans l’avis de décès de celle qui est affirmée là être sa sœur : Elisabeth, « Madame Veuve Wachter, née Confex« , décédée à Alger le 30 mars 1925 _ née à Marseille le 28 décembre 1836, et fille aînée (née avant mariage) de Jean-Baptiste-Pierre Confex (Marseille, 28 décembre 1811 – Mustapha, 28 mai 1887) et de son épouse (leur mariage a eu lieu à Alger le 22 août 1837, huit mois après la naissance de cette petite Elisabeth-Joséphine-Baptistine) Marie-Claire-Joseph Vidal (Marseille; 22 septembre 1815 – Mustapha, 6 juillet 1869. Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex épousera à Mustapha le 26 mai 1857 Jean-Baptiste-Antoine Wachter (né à Rougemont, Haut-Rhin, le 5 février 1827).

Et ce couple d’Elisabeth Confex et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter auront au moins 5 enfants Wachter :

Elisabeth-Marie-Louise, née le 9 mars 1858 à Medea ; Aimée-Marie, née le 2 septembre 1859 à Mustapha ; Louis-Jules, le 29 juillet 1866, à Orléansville ; Émile, le 15 mai 1869, à Mustapha ; et Marie-Amélie, en 1874 ou 75, probablement à Orléansville.

Mais je dois aussi ajouter ici que, après leur petite Elisabeth, née à Marseille, les époux Confex auront en Algérie au moins 5 autres enfants Confex :

Aimée-Justine-Marie, le 7 février 1839, à Alger (future épouse le 18 juin 1868, à Alger, de Philippe Ferrand) ; Marius-Ernest-Jules, le 19 février 1841 (futur époux, le 26 août 1876, à Saint-Eugène, de Marie-Augustine Cremonini) ; Marius-Étienne, le 29 novembre 1843, à Alger (futur époux, le 5 mai 1870, à Oran, de Félicité-Adélaïde Tauriac) ; Marie-Léontine, le 28 mars 1846, à Alger ; et Zoé-Marie-Thérèse, le 19 août 1852, à Alger (future épouse, le 13 mai 1876, à Mustapha, de Henry-Anastas Clément. Mais manque dans cette énumération celle que le faire-part de décès de « Mme Vve Wachter, née Confex«  paru dans Le Progrès d’Orléansville du 2 avril 1925, qualifiait de « sœur » de la défunte, « Mme Vve Bonopéra« … ; lisons :

« Nécrologie. Nous avons appris avec peine le décès à Alger à l’âge de 89 ans, de Mme Wachter née Confex, mère de notre ami M. Émile Wachter, d’Orléansville, et sœur de Mme Vve Bonopéra. Très estimée à Orléansville où elle avait demeuré de très nombreuses années, la défunte ne laisse que de très bons souvenirs à tous ceux qui l’on connue« 

Soit un document essentiel et décisif pour notre recherche concernant le défunt (le 18 janvier 1916) mari, Paul Bonopéra, de cette désormais, en 1925, « Mme Vve Bonopéra« , ou « Mme Vve Paul Bonopéra«  : Paul Bonopéra, né à Miliana le 1er octobre 1856 ; et décédé à Orléansville le 18 janvier 1916.

L’absence des registres d’État-civil d’Orléansville, disparus lors des tremblements de terre d’Orléansville, continue de peser sur les frustrations de ma recherche…

Et les pistes de recherches que j’ai explorées ce jour, sur les dames Joséphine Giraud _ ou Girot _ et Marie-Jeanne-Virginie Claudet ayant vécu en Algérie, à Rabelais, ou bien à Pontéba, Charon ou Ténès, en plus d’Orléansville, n’ont rien donné pour le moment.

Je dois donc concevoir d’autres pistes de recherche.

Et tout cela prend du temps. Il faut être patient et tenace : j’essaie de l’être. Des portes finiront par s’ouvrir, avec un peu de chance, la sérendipité aidant.

…`

À suivre.

Ce samedi 13 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point sur la collection de mes articles raveliens révisés : les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel (suite)

07juin

Au fur et à mesure des découvertes

de ma recherche des cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel,

doit être opérée de temps en temps une révision des articles,

qui tienne compte des connaissances nouvelles

venant permettre de corriger des erreurs,

ou de combler des ignorances,

antérieures ;

de même qu’afin de procéder à des synthèses claires et commodes

d’information.

Ainsi ai-je passé ma journée d’hier _ et à nouveau celle du lundi 15 juillet _ à relire et corriger
l’ensemble de mes articles raveliens
en prenant en compte mes prises de connaissance successives,
et pour éliminer les erreurs et ignorances gênantes antérieures.
Et rendre chaque article (de ce work in progress) utilisable en lui-même, déjà, pour le lecteur.
Même si doivent probablement demeurer encore pas mal d’erreurs non repérées,
en plus de pas mal d’ignorances connues et reconnues.
Le travail n’est donc pas achevé ; même si il progresse…
Est-il d’ailleurs achevable ? Non. Il est améliorable à l’infini. Cependant il progresse.
Et je sais bien que de temps en temps j’aurai à procéder à des synthèses claires.
Ce matin même,
j’ai retouché le dernier d’entre ces articles, celui du 1er juin, à propos de la «Tante Bibi » de chez les Bibal-Gaudin…
Notamment à propos d’Annie Courteault, du fait de documents la concernant qui viennent de m’être adressés.
En voici donc la collection :
Tout cela, à partir de la lecture patiente de l’irremplaçable travail de Manuel Cornejo
en son indispensable édition de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel
À suivre :
bien des questions demeurent,
notamment sur les blancs _ pour ne pas dire ruptures, coupures ! _ des transmissions
tant de documents _ égarés, détruits, vendus on ne sait pas à qui,
et où ils pourraient être providentiellement lus, déchiffrés, mis à profit pour la connaissance _
que mémorielles ! _ ce qui est encore davantage énigmatique…
Outre le cousinage luzien Hiriart-Gaudin-Lenoir
(et aussi la fréquentation des Courteault, mais qui ne sont pas, eux, des cousins de Maurice Ravel, même si ils sont des cousins des Gaudin-Lenoir ; et des amis très proches eux aussi de Ravel),
très étroitement entretenu par Ravel, ce cousinage luzien,
existent aussi, moins visibles _ et surtout moins cultivés par Maurice Ravel lui-même _,
les cousinages cibouriens,
complètement délaissés eux _ après la venue et le séjour (de trois mois) à Ciboure de Marie Delouart-Ravel, trois mois de l’été 1911 : chez les apparentés (aux Delouart) Anchochury… _ par la critique,
faute d’avoir été si peu que ce soit cultivés par Maurice Ravel lui-même
après le décès de sa mère _ décès survenu pendant la Grande Guerre : une énorme coupure à tous égards ! _, le 5 janvier 1917,
lors des retours et séjours de celui-ci à Saint-Jean-de-Luz _ et plus jamais Ciboure, remarquons-le ! _,
après la guerre :
en 1921, 1923, 1924 : au 41 rue Gambetta, chez les Gaudin
_ je note au passage que c’est entre le 21 juin (une carte postale de Maurice Ravel à Annie Courteault a encore pour adresse le 41 rue Gambetta) et le 5 août 1924 (une carte postale de Maurice Ravel à Marie Gaudin, mentionne pour la première fois le domicile de la « Villa Mirentchu«  : « Il faudrait que mon boulot avançât fichtrement plus vite pour qu’il y eût une chance pour moi d’aller passer quelques jours à Mirenchu« ) que s’effectua le déménagement luzien des membres restants de la maisonnée Bibal-Gaudin de la maison du 41 rue Gambetta à la Villa Mirentchu, toute proche : Annette Bibal-Gaudin, sa sœur la fameuse « Tante Bibi«  Bibal, et la petite Annie Courteault, alors âgée de 11 ans, qui suivait les cours de la Pension Sainte-Odile, à Saint-Jean-de-Luz… _ ;
en 1927, 1928, 1929, 1930 : au 9 rue Tourasse _ ainsi qu’un peu à « Mirentchu » aussi, en 1929 _ ;
en 1932 : à l’Hôtel basque ;
en 1935, Ravel déjà bien malade, en compagnie de Léon Leyritz …
Que de pistes sont ainsi à ouvrir, ou rouvrir ;
ou même revisiter
les yeux un peu mieux ouverts
Ce vendredi 7 juin 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa
Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

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