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Mieux comprendre certaines filiations : par exemple celle de Paul-Henri Ducros, né à Aumale le 22 septembre 1921

12jan

Dans ma recherche de certaines filiations au sein de la famille Ducos du Hauron,

et cela en amont comme en aval du mariage d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey _ mariage dont j’ignore encore à ce jour et le lieu (à Orléansville ?) et la date (un peu avant ou un peu après 1896, quand Amédée décide de demeurer en Algérie, alors que ses parents, son frère et son oncle Louis retournent en France ; et peut-être aussi à un moment où Amédée y est, soit déjà, soit encore, en poste de rédacteur à la sous-préfecture…) _,

je m’interroge sur la naissance, au mois de septembre 1921, à Aumale,

où son père Henri Ducros _ très vraisemblablement le mari à venir d’Éveline Ducos du Hauron (dont j’ignore toujours aussi le lieu et la date de ce mariage…), plutôt que son père, prénommé lui aussi Henri, et, auquel père, nommé donc Henri-Bavolet Ducros lui aussi, survivra sa mère, née Philomène Roussel ; cf le significatif et bien intéressant faire-part de décès de celle-ci, « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru, sous un intitulé « Azazga – Port-Gueydon« , dans le numéro du 24 juillet 1931 de L’Écho d’Alger : j’y reviendrai bien vite pour en donner tout le détail… _

était alors _ entre 1919 et 1923 (1919 : après son poste à Azazga, dans la commune mixte du Haut-Sébaou ; et 1923 : avant son poste à Trézel, dans la commune mixte du Djebel Nador) _ « administrateur-adjoint« ,

de Paul-Henri Ducros.

Et voici in extenso le détail de ce qu’annonçait un bref entrefilet de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 :

« Naissances.

Nous avons le grand plaisir d’apprendre la naissance d’un superbe petit garçon, fils de Mme et de M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale.

Mme Ducros est fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef du trafic à la Compagnie Générale Transatlantique.

Quant au bébé, il s’appelle Paul-Henri. Nous lui souhaitons bonne et longue vie.« 

Et maintenant voici, lui aussi in extenso, le détail du faire-part de décès de « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru _ dix ans plus tard que cette naissance, à Aumale, du petit Paul-Henri Ducros _ dans L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931 :

« AVIS DE DÉCÈS.
Azazga – Port-Gueydon.

Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri et leurs familles _ soient les familles Ducos du Hauron (Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri-Bavolet Ducros, est la mère de leurs enfants Yves-Henri-Marie et Raymond Ducros) et Bure (Gilberte Bure, décédée au mois de septembre 1929, en Suisse, était l’épouse d’Alphonse Ducros, et la mère de leur fils Jean-Pierre Ducros ; cf le faire-part de son décès dans le numéro du 10 septembre 1929, de L’Écho d’Alger ; ou l’avis de décès paru le 19 septembre 1929 dans Le Progrès d’Orléansville)_, ont la douleur de vous faire part du décès de leur mère, grand’mère et parente

Madame Veuve Henri DUCROS

née ROUSSEL Philomène

décédée le 19 juillet 1931, à Azazga,à l’age de 71 ans« 

La question que me pose cette énumération des Ducros faisant part du décès de leur mère et grand-mère Philomène Ducros, née Roussel _ née, elle, en 1860 _, est celle des rapports de filiation entre les membres de cette famille :

si les petits Yves (ou Yves-Henri-Marie) et Raymond Ducros sont bien les enfants de Henri-Bavolet Ducros et son épouse Éveline Ducos du Hauron,

et si le petit Jean-Pierre Ducros est bien le fils d’Alphonse-Léon Ducros et de sa défunte épouse née Gilberte Bure,

de qui le jeune Paul-Henri Ducros est-il exactement, lui, l’enfant ?

lui qui se trouve à la quatrième place des descendants de la défunte, Madame Veuve Henri Ducros, née Philomène Roussel,

après 1) Henri-Bavolet Ducros, son épouse et leurs deux fils Yves et Raymond Ducros,

2) Edmond Ducros _ apparemment demeuré, lui, célibataire _,

3) Alphonse Ducros _ veuf de son épouse Gilberte née Bure _ et son fils Jean-Pierre ?

Pourrait-il être, lui aussi, un frère des frères Henri-Bavolet, Edmond et Alphonse-Léon Ducros ?

Lui, Paul-Henri Ducros, que l’annonce de sa naissance dans L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 déclarait être le fils de « Mme et de M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale« …

Se pourrait-il qu’un autre Henri Ducros que le futur époux d’Éveline Ducos du Hauron,

cet « administrateur-adjoint » des « communes mixtes » d’Algérie, dont nous avons pu retracer les étapes de la carrière de novembre 1912 à janvier 1939 _ 1) classé à la suite du concours du 26 novembre 1912, M. Henri Ducros est nommé en date du 4 janvier 1913, administrateur-adjoint stagiaire, et désigné pour la commune mixte de Sidi-Aïssa (en remplacement de M. Ducos du Hauron) 2) appelé en date du 13 décembre 1915 dans la commune-mixte d’Azazga (c’est-à-dire celle du Haut-Sébaou) 3) appelé en date du 12 novembre 1919 à Aumale 4) nommé _ la date ne m’est pas connue _ à la commune mixte du Djebel Nador 5) appelé en date du 3 février 1923, et à titre provisoire, à la commune mixte d’Azeffoun (en résidence à Port-Gueydon) 6) nommé _ fin décembre 1936 – début janvier 1937 _ à la commune-mixte de Cherchell (en résidence à Dupleix) _,

ait pu être le père de ce petit Paul-Henri Ducros ?

À commencer par le propre père d’Henri-Bavolet, soit Henri-Joseph Ducros, l’époux de sa mère Philomène Roussel ?.. 

Mais de toutes les façons,

et qu’il s’agisse de M. Henri-Bavolet Ducros-fils, ou de M. Henri-Joseph Ducros-père _ et des deux, j’ignore hélas à ce jour les dates de naissance _ le 25 juin 1887 pour Henri-Bavolet, comme me l’apprendra plus tard la lecture de son livret militaire _, de décès comme de mariage(s) ; ce qui ne m’aide pas !.. _,

fait importante difficulté pour nous, en cette information de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 à propos de la naissance du petit Paul-Henri Ducros, dont le père, M. Henri Ducros, est dit se trouver alors en poste d’administrateur-adjoint à Aumale _ pourrait-ce donc être un autre que ce Henri Ducros dont nous venons de retracer la carrière administrative ? Henri Ducros fils ?.. _,

le fait que soit donnée pour la mère de l’enfant (et épouse de l’administrateur-adjoint d’Aumale, M. Henri Ducros),

une dame née Gibal, « fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef du trafic à la Compagnie Générale Transatlantique« …

M. Henri Ducros aurait-il été marié en premières noces avec cette dame née Gibal ?

Très vraisemblablement !

Et dans ce cas, que serait devenue cette première épouse ?..

Nulle part ailleurs je n’en ai trouvé quelque mention..

De même que j’ai déjà fait état en un précédent article _ en date du 15 décembre dernier : _ d’un possible, mais plutôt étrange, premier mariage de sa seconde (?) épouse, Éveline Ducos du Hauron, avec un certain François Perez (d’après un sibyllin Avis paru dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :

« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme, née Éveline Ducos du Hauron. Dont acte« …

Enfin,

dans deux autres faire-part de décès survenu en cette famille Ducros _ une famille originaire du Gard, et comportant des parents résidant à Aigues-Mortes ; et installée à Azazga depuis les années 80 du XIXe siècle (la commune mixte du Haut-Sébaou, dont le centre principal est Azazga, a été constituée par un décret du 25 août 1880) ; cf aussi ce très détaillé document de Jean-Yves Thorrignac sur l’histoire d’Azazga… _, le décès de Madame Alphonse-Léon Ducros, née Gilberte Bure, paru, le premier, le 10 septembre 1929 dans L’Écho d’Alger, et un autre le 19 septembre suivant, dans le Progrès d’Orléansville, il est intéressant de détailler les deux longues listes des personnes faisant part de ce décès qui affecte au premier chef les familles Ducros _ la famille du veuf, Alphonse-Léon Ducros, et de l’orphelin, Jean-Pierre Ducros _ et Bure _ la famille de la défunte Gilberte Bure _ :

 

dans ces deux listes, nulle mention de Paul-Henri Ducros ;

mais seulement, parmi les membres de la famille Ducros faisant part du décès de Madame Alphonse Ducros, née Gilberte Bure,

et outre la mention, en 3ème rang juste après le mari veuf et le fils orphelin de la défunte : « M. Alphonse Ducros, chevalier de la Légion d’Honneur, et son fils Jean-Pierre » ; et les père et mère de la défunte : « Mme et M. Bure Jean-Baptiste, Commandeur du Mérite agricole et propriétaire à Vauban » _ de « Mme Veuve Ducros, d’Azazga » _ elle décèdera le 19 juillet 1931, en son domicile d’Azazga _, la belle-mère de la défunte,

celle, au huitième rang, de « Mme et M. Henri Ducros, administrateur-adjoint » _ sans mention de nul enfant de leur couple, à ces dates des 10 et 19 septembre 1929 : de fait, le premier né de ce couple formé par Henri-Bavolet Ducros et son épouse Éveline Ducos du Hauon, Yves-Henri-Marie Ducros, ne naîtra que neuf mois tard : à Port-Gueydon, le 31 mai 1930…  _, ses beau-frère et belle soeur côté Ducros,

suivie de celle, au neuvième rang, de « M. Edmond Ducros, d’Azazga« , son autre beau-frère Ducros de la défunte née Gilberte Bure,

dans le faire-part de L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929 ;

et, pour le faire-part du Progrès d’Orléansville du 19 septembre suivant, et avec quelques ajouts (dont, juste avant une énumération de familles parentes et alliées, la mention, in extremis, de « Mme et M. Ducros, d’Aigues-Mortes« …),

on peut lire, en huitième rang : « Mme et M. Henri Ducros, Administrateur _ adjoint de la commune mixte du Haut-Sébaou _ à Azazga« 

_ ce qui ne laisse pas de me surprendre : en sa carrière d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie, Henri Ducros aurait-il, à ce moment de 1929, réintégré un moment ce poste à Azazga (en la commune mixte du Haut-Sébaou) ? Ou bien ne serait-ce pas là plutôt quelque inadvertance de la part d’un des membres de la famille Bure venu à Orléansville présenter sa proposition de faire-part du décès  de Gilberte Bure, épouse Ducros, à la rédaction du journal Le Progrès ?..  Sur la chronologie du parcours d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie de Henri Ducros, se reporter à mon article à venir du 2 décembre 2021 (ultérieur à celui-ci, en date, lui, du mardi 12 janvier 2021 !) : «  «  ; un ajout en date du vendredi 21 juillet 2023… _  ;

alors qu’a disparu ici la mention de « M. Edmond Ducros, d’Azazga« …

Voilà pour les recherches et questionnements de ce mardi 12 janvier 2021,

autour de quelques filiations et apparentements de la constellation des Ducos du Hauron, ainsi que, aussi, des Ducros, d’Algérie,

dans la première moitié du XXème siècle…

Ce mardi 12 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un point provisoire sur les acquis et les taches aveugles qui demeurent dans l’essai de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron

15déc

Afin d’être mieux à même de compléter la généalogie de la famille Ducos du Hauron, que j’essaie d’établir le plus exhaustivement possible,
voici en rouge, afin de bien les repérer, les éléments que je n’ai pas, à ce jour, réussi à identifier,
parmi la descendance d’Amédée-Jérôme-Mathias Ducos du Hauron (Bordeaux, 5 juin 1799 – Auch, 14 octobre 1863), époux à Coutras le 21 juin 1829, de Marguerite Zénaïde Boivin (Coutras, 6 octobre 1807 – Clermont-Ferrand, 18 janvier 1874),
 parents de 3 enfants :
Jean-Marie-Casimir-Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), époux au Temple-sur-Lot le 11 septembre 1864 de Cézarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen ? mai 1923),
Louis-Arthur-Montalembert du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), demeuré célibataire,
et Berthe Ducos du Hauron (Libourne, 23 janvier 1842 – ? ?), épouse à Agen le 11 février 1866 de Fabien-Marie-Alexandre-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).
J’ignore où et quand Berthe Ducos est décédée.
Alcide Ducos du Hauron et son épouse Cézarine-Marie de Fourcauld
sont les parents de 4 enfants :
Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935 ), époux _ où (à Alger ?) et quand ? _ de Marie-Louise Rey (? , ? 1879 – Agen, 20 septembre 1933) _ où et quand Marie-Louise Rey est-elle née ? _,
Etienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912 ), époux à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898, d’Edmée de Lamarque (Poitiers, 8 janvier 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902),
Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971), demeurée célibataire,

et Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) demeurée célibataire.   
Amédée Ducos du Hauron _ le fils aîné d’Alcide _ et son épouse Marie-Louise Rey
sont les parents d’au moins 5 enfants
_  c’est ce qu’indique du moins un intéressant (et précieux pour notre recherche) article de L’Écho d’Alger en date du 4 mars 1927, annonçant une exposition des « Anaglyphes«  de Louis Ducos du Hauron au Casino d’Alger, et se permettant de citer à cette occasion un article d’un quotidien parisien, que voici in extenso :
« Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.
Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle« .
Amédée Ducos du Hauron, désormais, en 1927, retraité (il est âgé de 61 ans) et domicilié à Rébeval (aujourd’hui Baghlia), en Kabylie, non loin de Tizi-Ouzou, est donc dit ici avoir à charge une famille de 5 enfants _,
parmi lesquels j’ai identifié les suivants :
_ Edmée Ducos du Hauron (Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, 8 juillet 1904 – ? ? ) _ j’ignore où et quand celle-ci est décédée _,
_ Gérard Yves Alcide Ducos du Hauron (Berrouaghia, 30 août 1909 – Avignon, 27 janvier 2000) _ je n’en sais guère davantage sur lui ; s’est-il marié ? Il semble bien que oui : le 25 novembre 1939, à Alger, Gérard Ducos du Hauron en effet s’est marié avec Célestine Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 janvier 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972), précédemment mariée, le 30 juillet 1927, à Lyon, avec Eugène Jacquet. Or n’est-ce pas une Mme Jacquet qui est présente sur le faire part de décès de Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron, dans l’édition du 2 janvier 1939 de L’Écho d’Alger, immédiatement après les frères Gérard et Roger Ducos du Hauron, et immédiatement avant Mme Vve Gadel et ses enfants ?.. Voilà qui est intéressant…
Voici in extenso ce faire-part : «  »M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants ; MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri Ducros, née Eveline Ducos du Hauron. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité le 1er janvier 1939« .
Mais j’ignore pour le moment les liens (attestés aussi dans d’autres faire-part de décès…) ayant pu exister entre les famille Ducros et Ducos du Hauron, et la famille Gadel…
Gérard Ducos du Hauron a-t-il une descendance ? C’est possible, mais cela paraît au premier abord un peu difficile ; puisque, si lors de ce mariage, en novembre 1939, avec Mme Jacquet, celle-ci, Célestine, est âgée de 46 ans ; il paraît assez peu probable (mais qui sait ?..) que celle-ci ait pu être, à 51 ans, en 1944, la mère de Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, qui est née à Alger le 4 avril 1944...
_ Roger Ducos du Hauron _ à part son existence, attestée, au même titre que celle de son frère Gérard, en l’avis de décès (publié le 2 janvier 1939) de Mme Henri Ducros née Eveline Ducos du Hauron _ c’est-à-dire leur sœur ! _, faute d’avoir trouvé jusqu’ici la moindre autre mention de lui, j’ignore encore presque tout de lui, à commencer par ses dates et lieux de naissance et de décès… _,
_ Eveline Ducos du Hauron : j’ignore sa date et son lieu de naissance ; mais je sais qu’Eveline, épouse de Henri Ducros _ j’ignore où et quand a eu lieu ce mariage ; de même que les lieux et dates de naissance de son époux, Henri Ducros, qui était administrateur-adjoint de Port-Gueydon en 1930 et 1933 ; puis de Dupleix en 1938-39… _ décèdera à Alger au cours des vacances de Noël, dans les derniers jours de décembre 1938, et non en son domicile de Dupleix _ aujourd’hui Damous _ en Kabylie, où son mari était administrateur civil adjoint…
Eveline a été mère d’une petite Raymonde Ducros, décédée à Port-Gueydon _ aujourd’hui Azzefoun _ au mois d’octobre 1933 (on trouve en effet mention de cette petite Raymonde Ducros dans  l’avis de son décès, paru dans L’Écho d’Alger du 23 octobre 1933). Le numéro de L’Écho d’Alger du 8 juin 1930 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Yves-Henri Ducros ; de même que le numéro de L’Écho d’Alger du 30 mai 1931 comporte le faire-part de la naissance, à Port-Gueydon, du petit Raymond Ducros. Yves-Henri Ducros et Raymond Ducros font très probablement partie des enfants _ y en a-t-il eu d’autres ? _ de Henri Ducros et son épouse Eveline Ducos du Hauron, qui faisaient part, le 2 janvier 1939, en compagnie de leur père Henri, du décès de leur mère Eveline, à Alger. Que sont devenus par la suite cet Yves-Henri et ce Raymond Ducros ? Ont-ils eu, ou pas, une descendance ?
D’autre part, Eveline Ducros du Hauron semble avoir été mariée auparavant à un certain François Perez, si l’on se fie à un étrange très bref entrefilet intitulé « Pour affaires personnelles« , publié dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :
« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme née Eveline Ducos du Hauron. Dont acte » : semble ainsi se profiler l’existence d’un précédent mariage d’Eveline Ducos du Hauron avec ce François Perez…
Je suppose donc qu’Eveline Ducos du Hauron fait partie des enfants d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (? 1879 – Agen, 1933) ; et qu’elle est une des sœurs de Gérard et Roger Ducos du Hauron, ainsi que d’Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _ le 8 juillet 1904 ; et cela, sauf si il s’avérait, in fine, qu’ « Edmée » n’est qu’un autre des prénoms de cette Eveline !..
Je relève aussi que ce prénom d’Eveline était déjà celui de la grand-mère d’Amédée Ducos du Hauron (1866 – 1935) _ probable père de cette Eveline d’Algérie, même si cela demeure à confirmer… _ : Eveline Céleste Albaret.
Eveline Céleste Albaret, qui était la belle-mère d’Alcide Ducos du Hauron (1830 – 1909), la mère de l’épouse de ce dernier, Cézarine-Marie de Fourcauld (1841 – 1923), et l’épouse, au Temple-sur-Lot, d’Antoine Martial Henry de Fourcauld (1817 – ?) _ mais j’ignore à ce jour les lieux et dates de naissance et décès d’Eveline Céleste Albaret…
Il est donc bien dommage (pour nous) que les prénoms des 5 enfants Ducos du Hauron évoqués dans ce bien intéressant article du 4 mars 1927 de L’Écho d’Alger, n’aient pas été spécifiés !
Ce qui fait que j’ignore ainsi si ces divers enfants d’Amédée et Marie-Louise _ enfants Ducos du Hauron tous très probablement nés (mais c’est bien sûr à vérifier !) en Algérie ;
cette Algérie qu’Amédée n’aura, lui, peut-être plus quittée lors du départ pour la France, en 1896, de ses parents Alcide et Cézarine-Marie, de son oncle Louis, ainsi que de son frère Gaston et de ses sœurs Marguerite et Alice : il faut cependant relever que l’épouse d’AmédéeMarie-Louise Rey, est décédée, elle, à Agen, le 20 septembre 1933 ! Et Amédée étant peut-être lui-même revenu parfois séjourner brièvement en France… _ se sont tous mariés, ou pas, et ont tous eu, ou pas, une descendance…
Ainsi ai-je relevé, par exemple, aussi, l’existence d’une Marie-José Sylvia Ducos du Hauron, née à Alger le 4 avril 1944, et décédée à Langrolaye-sur-Rance le 26 décembre 2009. Mais je n’en sais pas davantage sur celle-ci. Duquel des fils d’Amédée Ducos du Hauron _ Gérard ? Roger ? un autre ? _ Marie-José Sylvia Ducos du Hauron est-elle donc née en 1944  à Alger ?
Ce sont là de bien intéressantes données pour notre recherche… De même que l’histoire (algérienne) d’Eveline Ducos du Hauron…
Voilà donc un certain nombre de données factuelles qu’il serait intéressant d’éclaircir, afin de mieux connaître les divers membres de cette famille Ducos du Hauron ayant vécu _ à partir de 1883, quand, avec leur mère Cézarine-Marie, Amédée (âgé de 17 ans) et Gaston (âgé de 13 ans) ont rejoint à Alger leur père Alcide ; rejoints un an plus tard, en 1884, par Louis _ en Algérie…
Au retour en France, en 1896, de la plupart des membres de leur famille venus en Algérie, et cela à la possible, sinon probable, exception d’Amédée, Amédée, lui, qui a 30 ans, a donc choisi de demeurer en Algérie ; alors que son frère Gaston, qui a 26 ans, choisit de rentrer en France en compagnie de ses parents. J’ignore où et quand a eu lieu le mariage d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey (en Algérie, probablement… ; mais après tout je n’en sais rien, et j’ignore toujours, pour le moment, le lieu de naissance de Marie-Louise Rey, en 1879) ; en revanche, je sais que c’est le 7 janvier 1898, à Saint-Mandé, non loin de Paris, que Gaston Ducos du Hauron a épousé Edmée de Lamarque. Des enfants nés du mariage d’Amédée et Marie-Louise, le premier né, du moins à ma connaissance à ce jour, est Edmée, née à Lamartine _ aujourd’hui El Karimia _, près d’Orléansville, le 8 juillet 1904… Mais des autres enfants de ce couple d’Amédée et Marie-Louise, au nombre de 5 en 1927, au moment de la retraite à Rébeval _ aujourd’hui Baghlia _, d’Amédée, je ne connais jusqu’ici d’autre date de naissance que celle de Gérard : le 30 août 1909, à Berrouaghia … Et je viens de me lancer dans le recensement des divers postes de travail occupés dans l’administration de l’Algérie profonde, par Amédée Ducos du Hauron ; mais les données que je trouve à recueillir demeurent bien parcellaires…
Voilà donc pour la branche « algérienne » des Ducos du Hauron…
Et retour maintenant au frère cadet d’Amédée,
Gaston
Gaston Ducos du Hauron _ le second fils d’Alcide, et donc frère cadet d’Amédée _ et Edmée de Lamarque,
eux, sont les parents de 2 filles :
Etiennette Marie Augustine Isaure Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 26 décembre 1898 – Paris 6e, 20 décembre 1996), épouse, à Agen le 20 juillet 1920, de Marie-Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976)
ainsi que sa sœur ? (????), épouse à ? de ? (????).
Et, à ce jour, j’ignore presque tout de cette sœur cadette d’Etiennette,
sinon, et cela d’après la précieuse lettre d’Alice Ducos du Hauron à Joseph Lacroix (Agen, 14 juillet 1861 – Villeneuve-sur-Lot, 1949) ancien chef de laboratoire et ami fidèle de Louis Ducos du Hauron _, en date du 6 juillet 1948, que cette sœur cadette d’Etiennette pourrait être née en 1900 (mais pas à Saint-Mandé !), et serait devenue paralysée à l’âge de 44 ans, en 1944 ; et que Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron _ la sœur dAlice _ était demeurée dès lors en permanence auprès d’elle afin de la soigner… 
… 
Berthe Ducos du Hauron et Onézime de Bercegol 
sont les parents de
Raymond-Camille-Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – ? ? _ où et quand Raymond est-il décédé ? Je l’ignore à ce jour… _), époux à Bélaye, le 28 octobre 1896, de _ sa cousine _ Marie-Caroline-Emérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905),
puis époux à Bordeaux, le 4 juin 1907, de Marguerite-Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – ? ?) _ j’ignore la date et le lieu du décès d’Yvonne Marinier.
De même j’ignore si Raymond de Bercegol (déjà, était-il, ou pas, fils unique ?) a eu, ou pas, d’autres enfants que ses 2 filles, Marie-Henriette et Simone, décédées toutes deux en 1912…
… 
Raymond de Bercegol et Emérancie David sont les parents de
Marie-Henriette de Bercegol (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) ;
et Raymond de Bercegol et Yvonne Marinier sont les parents de
Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912).
 
Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque 
sont les parents de 10 enfants :
Jacqueline Lamarque
Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse, à Neuilly-Sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecourbon, 24 août 2016)
Yves Lamarque
Marie-Madeleine Lamarque
Jean Lamarque
Xavier Lamarque
Marie-Odile Lamarque
Anne-Marie Lamarque
Marguerite-Marie Lamarque
et Claude Lamarque, le 10ème de cette fratrie.
J’ignore si ces enfants (autres que Geneviève) se sont mariés, et ont eu, ou pas, une descendance :
probablement que oui,
ne serait-ce que si je prends en compte le fait que Louis Allard _ présent à Agen le 31 août 2020, aux diverses cérémonies de commémoration honorant son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, pour le centenaire de son décès, à Agen le 31 août 1920 _ a pour oncle un de ces 10 enfants d’Etiennette et Alfred Lamarque…
… 
J’ignore à ce jour le prénom de la sœur cadette d’Etiennette (ainsi que ses dates et lieux de naissance et de décès), le prénom et le nom de son mari (ainsi que ses dates et lieux de naissance et de décès)
ainsi que les noms et prénoms de leurs deux filles (ainsi que leurs dates et lieux de naissance, et éventuellement de décès) ;
et de même si elles se sont mariées, et ont eu elles aussi, ou pas des enfants, et une descendance
… 
Enfin, existe aussi  la descendance _ très bien documentée, elle _ de Geneviève Lamarque et Bernard Viennot, 
issue de leurs 5 enfants Viennot : 
Benoît Viennot (né en 1963), et son épouse Anne-Catherine Goulletquer _ laquelle a rédigé une gigantesque généalogie familiale, mais pas tout à fait exhaustive (ainsi, par exemple, ignore-t-elle la sœur d’Etiennette…) ; et comportant d’infimes erreurs de détail… _,
Emmanuel Viennot et son épouse Nicole Grégoire,
Hubert Viennot et son épouse Irène Alonso,
Agnès Viennot et son époux Jean-Michel Gazeau,
et Dominique Viennot et ses deux épouses successives : Valérie Garcia et Cécile Dupré.
 …
J’ai relevé les noms et prénoms des enfants de ces 5 enfants Viennot, à la génération suivante : 
Damien, Emeric, Amélie Viennot ;
Anaïs, Antoine, Romain et Maïté Viennot ;
Aurélien Gazeau ;
et Marion Viennot.
… 
Et encore, à la génération suivante : 
Clémence, Lucie et Elise Viennot ;
Paul, Céleste et Oscar Viennot ;
Mahaut, Juliette, Eloi, Zita et Louis Le Motheux de Chitray…
Voilà donc les taches aveugles qui demeurent à ce jour
dans mon effort de reconstitution de la généalogie des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis-Arthur-Montalembert Ducos du Hauron,
ainsi, surtout, que les questions que je me pose, maintenant, afin, bien sûr, de les dissiper…
Ce mardi 15 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa
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