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Et puis reprise de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron (suite) » du samedi 12 décembre 2020

06nov

En poursuivant mes relectures (avec éventuelles retouches) de mes articles de décembre 2020,

je passe à l’article suivant,

celui du 12 décembre : « « ,

que re-voici _ avec mes retouches en rouge _ :

Au final de mon article d’hier (),

j’annonçais avoir avancé dans l’identification des enfants, au nombre de 10, de la petite-nièce aînée

_ fille aînée du second fils, Étienne-Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), du frère aîné, Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) _

de Louis Ducos du Hauron :

Étiennette-Marie-Augustine-Isaure Ducos du Hauron (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898, et décédée à Paris 6e, le 20 décembre 1996)

et de son mari _ leur mariage a eu lieu à Agen le 20 juillet 1920 : Louis Ducos du Hauron était présent ; il mourra, à Agen, au 56 de la rue Lamouroux, un mois et 11 jours plus tard, le 31 août suivant… _ Alfred-Henri-Abdon-Auguste Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris 7e, 1er décembre 1976).

Et cela, grâce à ma découverte d’une précieuse généalogie familiale mise au point par un des petits-fils de ce couple d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque,

Benoît Viennot, né en 1963 _ sans plus de précision _le fils aîné _ d’une fratrie de 5 _ d’une des filles _ la seconde de la fratrie des 10 _, d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, Geneviève-Thérèse-Raymonde Lamarque (Agen, 24 juillet 1923 – Rueil-Malmaison, 25 octobre 1998), épouse _ le mariage a eu lieu le 3 octobre 1953 à Reilly-Sur-Seine _ de Bernard Viennot (Paris 9e, 7 juin 1923 – Rochecorbon, 24 août 2016)…

A moins que l’auteur de cette très riche généalogie familiale ne soit, plutôt, l’épouse _ le couple s’est marié à Rueil-Malmaison _ de Benoît Viennot : Anne-Catherine Goulletquer _ qui vit, semble-t-il, dans la Mayenne, à Assé-le-Bérenger, et aime beaucoup l’île de Groix….

Ces 10 enfants _ nés au fil des postes successifs de leur père, qui gravira les plus hauts échelons de la carrière ferroviaire en France... _ d’Étiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque, sont :

_ Jacqueline Lamarque _ née à Agen en 1921 ou 1922 ; épouse de Jean Allard, elle décèdera à Paris le 15 février 2018  _

_ Geneviève Lamarque _ née à Agen le 24 juillet 1923 ; épouse, à Neuilly-sur-Seine, le 3 octobre 1953, de Bernard Viennot, elle décèdera à Rueil-Malmaison le 25 octobre 1998 _

_ Yves Lamarque _ né à Agen le 19 janvier 1925 _

_ Marie-Madeleine Lamarque _ décédée jeune _

_ Jean Lamarque

_ Xavier Lamarque

_ Marie-Odile Lamarque _ Mère Marie de Sienne, en religion _

_ Anne-Marie Lamarque _ épouse, puis divorcée, d’un M. Haudiquet _

_ Marguerite-Marie Lamarque

_ et Claude Lamarque, le dixième _ né en 1941…

Et il semble _ mais c’est plutôt mon ignorance qui pourrait bien s’égarer ici (oui !), faute d’appuis et de témoignages _ que, de ces 10 enfants Lamarque, seule Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque (née à Agen, le 24 juillet 1923 et décédée à Rueil-Malmaison, le 25 octobre 1998) ait eu une descendance,

via les 5 enfants, issus de son mariage, le 3 octobre 1953, à Neuilly-sur-Seine, avec Bernard Viennot (né à Paris 9e, le 7 juin 1923 et décédé à Rochecorbon, le 24 août 2016) :

_ Benoît Viennot

_ Emmanuel Viennot

_ Hubert Viennot

_ Anaïs Viennot

_ et Dominique Viennot, le cinquième et dernier.

Toutefois, il ne semble pas _ mais je peux bien sûr faire erreur ! _ que l’arrière petit-neveu qui s’est rendu dernièrement, le 31 août 2020, à Agen pour les cérémonies du centenaire du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, décédé à Agen le 31 août 1920,

et qui se nomme Louis Allard,

soit issu de cette branche Lamarque-là des petits-neveux de l’inventeur _ mais si ! je fais ici erreur !! Louis Allard étant un des 3 enfants, avec Anne-Elisabeth Allard et François Allard, de Jean Allard et son épouse Jacqueline Lamarque, laquelle est l’aînée de la fratrie des 10 enfants d’Étiennette Ducos du Hauron et son époux Alfred Lamarque… _ ;

si, comme je le suppose _ mais peut-être tout à fait à tort ! À tort : très effectivement !!! _ aucun des 9 frères et sœurs de Geneviève Thérèse Raymonde Lamarque, n’a eu d’enfant _ au contraire, Claude Lamarque m’a confié en une très riche communication téléphonique, le 19 décembre 2020, avoir un nombre important de neveux et nièces : 27 neveux et nièces et 43 petits-neveux et petites-nièces, précisément… _ ;

je vois donc mal comment Louis Allard pourrait être un descendant d’un des enfants Lamarque…

Peut-être Louis Allard est-il issu de la descendance de la sœur cadette d’Étiennette, dont j’ignore toujours à ce jour le prénom _ Simone _,  ainsi que le lieu et la date de naissance :  probablement pas à Saint-Mandé _ mais à Saint-Maurice-sur Seine _,  et entre 1899 _ sa sœur aînée Etiennette est née à Saint-Mandé le 28 décembre 1898 _ et 1902 _ leur mère, Edmée de Lamarque, est décédée, à Saint-Mandé, le 22 février 1902. Simone Ducos du Hauron est née à Saint-Maurice-sur-Seine le 20 mai 1900.

De même que j’ignore toujours le nom de son mari _ Jacques Engelhard _ainsi que de leurs deux filles _ non, une fille et un fils : Nadine Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) et Philippe Engelhard (né le 24 février 1942, et toujours de ce monde, m’a confiée dernièrement Annie Boulanger (« Bonjour, Amie de Philippe ENGELHARD, je suis très intéressée par cette généalogie familiale dont il m’a beaucoup parlé. Philippe ENGELHARD, fils de Marie Madeleine (Simone), est en fait né le 24 février 1942 et est toujours bien vivant ! Je vais lui transmettre votre blog dont je ne crois pas qu’il ait eu connaissance. Cordiaux remerciements. Annie« )… 

Tout ce que je sais, à ce jour _ du 12 décembre 2020 _, concernant la sœur cadette _ Simone _ d’Étiennette Ducos du Hauron,

je l’ai appris de la lettre de Marie-Alice Ducos du Hauron (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1971) du 6 août 1948 à Monsieur Lacroix (cf le post-scriptum de mon article du 6 décembre dernier : …) :

« elle _ Simone Ducos du Hauron, épouse Engelhard _ est depuis 4 ans _ soit 1944 _ paralysée à l’âge de 48 ans _ ce qui ferait remonter l’année de sa naissance à 1900 ! Et elle est effectivement née le 20 mai 1900 _, et ma sœur _ Marguerite-Jeanne Ducos du Hauron (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 22 avril 1971) : la tante et la nièce ayant un écart d’âge d’à peu près 21 ans… _ ne la quitte jamais.« 

Ce pourrait alors être d’elle _ non _ (et de son mariage avec un Monsieur Allard) qu’est né l’arrière petit-neveu Louis Allard

venu à Agen le 31 août dernier pour les commémorations du centième anniversaire, jour pour jour, du décès de son arrière-grand-oncle Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920…

Sur la photo ci-dessous,

Charles Sarion, le président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , assiste au dévoilement de la plaque de la rue Ducos du Hauron (à l’angle du Boulevard Carnot), par le maire d’Agen, Jean Dionis du Séjour, et son adjointe à la Culture, Marie Claude Iachemet, ce 31 août 2020.

Dévoilement de la plaque Louis Ducos du Hauron, inventeur de la photo couleur.

On peut aussi, via un article de Sud-Ouest du 2 novembre dernier, intitulé « Culture : Ducos du Hauron mis en vedette par France 3« ,

regarder le riche et très intéressant extrait (entre 12′ 25 et 19′ 27) du film du reportage réalisé à Agen par Éric Perrin pour France 3,

nous présentant, avec Charles Sarion, l’actif et efficace président des « Amis de Louis Ducos du Hauron« , à la fois les sites agenais photographiés par Louis Ducos du Hauron _ en 1877 est ainsi réalisée, à Agen, la toute première photographie au monde de paysage en couleurs ! _et les très précieuses acquisitions par le Musée d’Agen d’œuvres (photos, pellicules originales, mais aussi divers appareils photographiques…) de Louis Ducos du Hauron ;

le Musée d’Agen qui consacre désormais deux salles aux extraordinaires réalisations de cet inventeur de génie et illustre _ méconnu jusqu’ici… _ agenais…

Ce samedi 12 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour cette reprise _ avec correctifs, précisions et ajouts a posteriori _ de l’article du 12 décembre 2020…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise (avec menues corrections) de l’article « A la recherche des neveux et nièces (et leurs descendants) de Louis Ducos du Hauron, du côté de son frère Alcide et de sa soeur Berthe… »

06nov

Ce samedi 6 novembre 2021,

je commence par relire, afin d’éventuellement lui apporter des correctifs, précisions et ajouts,

mon article du vendredi 11 novembre 2020 :

Voici _ en rouge _  ce que donnent mes menues corrections, précisions et ajouts à cet article d’il y a 11 mois :

Bien sûr, je continue mes recherches concernant l’identification des neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

tant du côté de son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909)

que du côté de sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – après 1907 _ ou 1912… _ …), épouse de Fabien-Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896).

J’ai  découvert plusieurs indications de résidence de Raymond de Bercegol, le fils _ peut-être unique, je l’ignore encore… _ de Berthe et Fabien-Onézime, à Joinville-le-Pont ; et c’est à partir du moment où, le 8 mars 1903, Raymond indique changer son métier de « commissaire spécial des chemins de fer«  _ apparemment, mais c’est vérifier !, son dernier poste se trouvait à Marseille auprès de la compagnie PLM _ pour celui de « chimiste«  : cette mention apparaît en effet désormais dans les actes d’État-Civil de son mariage, le 4 juin 1907 à Bordeaux, avec sa seconde épouse, la bordelaise Marguerite-Yvonne Marinier ; puis dans les actes d’État-Civil des deux décès successifs en septembre et novembre 1912 : d’abord à Paris 13e _ au 108 Avenue d’Ivry : j’ai découvert que c’était là l’adressse de l’hôpital Marie Lannelongue ; cf une photo de cet hôpital prise, précisément, l’année 1910 _, puis à Joinville-le-Pont _ au domicile de ses parents, Raymond et Marguerite Yvonne, cette fois : 26 Route de la Brie _, de ses deux filles : d’abord Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, décédée  le 7 septembre 1912, à l’âge de 3 ans et 3 mois _ elle était née à Joinville-le-Pont le 13 mars 1910 _puis Marie-Henriette de Bercegol, décédée le 15 novembre 1912, à l’âge de 13 ans et 10 mois  _ elle était née à Bélaye, au château de Floyras, le 6 janvier 1899.

 

Je relève au passage que la mention du décès de la petite Simone-Camille-Jeanne-Marie _ décédée à l’hôpital Marie Lannelongue _ a été retranscrite le 26 novembre 1912 sur le registre des décès de la commune de Joinville-le-Pont, du registre des décès de Paris 13e, soit l’arrondissement parisien dans lequel l’enfant était décédée le 7 septembre précédent _ au 108 de l’Avenue d’Ivry… J’ignore les raisons _ administratives ? _ de ces démarches-là…

Mais j’ai trouvé aussi ceci :

« C’est en 1882 que fut fondée par Joseph Jougla, alors âgé de 35 ans, la Société Anonyme des Plaques, Pellicules et Papiers photographiques. Installée à Nogent, puis au Perreux, elle se fixe définitivement à Joinville, au 15 avenue de l’Horloge _ du quartier de Polangis _ en 1901. “Avec les plaques Jougla, j’opère à toute heure”, telle était la publicité pour l’appareil “SINNOX” que fabriquait Jougla à Polangis, 40 000 plaques par jour sortaient également de cette usine. Occupant jusqu’à 600 ouvriers, la société est établie sur un immense terrain de 20 000 m2, dont 4 000 sont couverts« ,

en un article consacré aux réalisations de l’industriel Joseph Jougla à Joinville-le-Pont…

Galerie

Galerie

Ce que confirme

et ceci :

« Le SINNOX » de la Société JOUGLA

« Le brevet initial du SINNOX a été déposé en 1899 _ non : le 21 octobre 1898 ; cf ci-dessous… _ par de BERCEGOL. Il en a cédé les droits en 1902 _ oui : le 16 janvier 1902 _ à la S.A. P.P.P.P. JOUGLA qui a elle-même déposé cette année-là des additions au brevet. L’appareil proposé ici est construit selon les critères de perfectionnement de ce second brevet de 1902. Il autorise un chargement en lumière du jour, « Sine nocte ». Un système d’accroche à aiguille permet de retenir la plaque impressionnée lors de l’escamotage. Cette dernière est toujours au foyer grâce à un dispositif interne qui positionne automatiquement la chambre à chaque changement de plaque. Notre appareil possède un chargeur pour film et un autre pour plaques.« 
Jougla Sinnox

et encore cela,

ce décret de cession de brevet d’invention de l’appareil photographique dénommé le Sinnox, en date du 4 mai 1902 :

« est décrétée 8°

la cession enregistrée au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, le 16 janvier 1902, faite suivant acte en date du 21 décembre 1901, à la société anonyme dite « Plaques, pellicules et papiers photographiques J. Jougla », ayant son siège à Paris, Avenue Victoria n°8, par les sieurs Raymond-Camille-Marie de Bercegol, demeurant à Albi (Tarn) _ je relève l’information _, et Louis Sueur, demeurant à Saint-Maurice (Seine), Grande-Rue n° 87, de leurs droits au brevet d’invention de quinze ans, pris, le 21 octobre 1898, par le sieur de Bercegol _ voilà ! _, pour un appareil photographique dénommé le Sinnox« 

À ce jour, vendredi 11 décembre,

manquent à ma documentation, les lieux et dates du décès de Raymond de Bercegol :

il vivait en effet, et à Joinville-le-Pont, en novembre 1912 _ ainsi qu’en témoignent les Actes d’État-Civil, au moment des décès successifs,

le 7 septembre 1912, au n° 108 de l’Avenue d’Ivry, à Paris 13e (adresse de l’hôpital Marie Lannelongue) ; puis le 15 novembre, au domicile personnel cette fois de Raymond de Bercegol et sa seconde épouse Yvonne Marinier, à Joinville-le-Pont, au n° 26 de la Route de la Brie,

des deux filles de Raymond de Bercegol : Simone-Camille-Jeanne-Marie de Bercegol, née à Joinville-le-Pont le 14 juin 1910 ; et Marie-Henriette, née au château de Floyras, à Bélaye, le 16 janvier 1899 _ ;

ainsi que les lieux et dates du décès de sa mère, Berthe Ducos :

celle-ci était mentionnée comme résidant à Joinville-le-Pont à la date du 4 janvier 1907, lors de l’Acte d’État-Civil du second mariage de son fils Raymond, avec Yvonne Marinier ; et le domicile indiqué pour le fils et sa mère à Joinville, est au n° 17 de l’Avenue Pauline

J’ai cherché dans les registres d’État-Civil de Joinville-le-Pont accessibles en ligne _ et ils ne le sont pas tous… _, mais jusqu’ici je n’ai rien trouvé concernant ni Raymond de Bercegol, ni sa mère Berthe Ducos…

J’ai seulement découvert que Raymond de Bercegol était venu lui-même témoigner du décès, toujours à Joinville-le-Pont, de son beau-père _ né à Blaye (Gironde) le 8 février 1836 _, le Lieutenant-Colonel Michel-Camille Marinier, décédé en son domicile personnel du n° 20 de l’Avenue Joyeuse, à Joinville-le-Pont, le 17 septembre 1909, à l’âge de 73 ans ;

ce dernier, ainsi que sa veuve, Marguerite-Camille Dufréchou _ née en 1852 _, étaient venus résider auprès de leur fille Yvonne et de sa famille, à Joinville-le-Pont.

En revanche,

et même si je ne suis pas encore parvenu _ mais cela va bientôt venir _ à identifier les deux filles _ non, un garçon et une fille : Philippe-Adrien Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017) et Marie Bernadette Gemma Etiennette Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019) _ de la sœur d’Étiennette Ducos du Hauron,

non plus que le prénom _ Simone : Marie-Simone-Madeleine-Adrienne _ de celle-ci (!), ainsi que le nom _ Jacques-Antoine Engelhard _ de son mari _ Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard se sont mariés à Paris 7e le 27 janvier 1932 _ (et les prénoms de leurs enfants) ;

en revanche, j’ai réalisé pas mal de progrès concernant la descendance d’Étiennette _ Étiennette-Marie-Isaure _ Ducos du Hauron la fille aînée (née à Saint-Mandé, le 26 décembre 1898 et décédée à Paris 6e, le 20 ou le 26 décembre 1996) d’Étienne-Gaston Ducos du Hauron (né à Agen, le 16 juin 1870 et décédé à Savigny-sur-Orge, le 3 avril 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (née à Poitiers, le 8 janvier 1876 et décédée à Saint-Mandé, le 22 février 1902) _ et de son mari Alfred Lamarque _ né à Angers, le 30 juin 1898 et décédé à Paris 7e, le 1er janvier 1976 _ : Étiennette et Alfred, se sont mariés à Agen le 20 juillet 1920, à peine un mois et onze jours avant le décès, à Agen, au 58 de la rue Lamouroux, du grand-oncle d’Étiennette, Louis Ducos du Hauron, le 31 août 1920 ;

à commencer par les prénoms de leurs 10 enfants…

À suivre…

Ce vendredi 11 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc cette reprise avec de menues corrections…

Ce samedi 6 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Reprise (avec ajouts) de l’article « Dates de naissance et de décès de la « chère Tante Gachuch » de Maurice Ravel » : les avancées d’une recherche

06sept

À des fins d’amélioration de la lisibilité,

et, plus encore, de complétude _ eu égard à la suite de mes recherches (et découvertes !) _,

je viens de procéder à une ré-écriture de mon article du 21 septembre 2019

en mettant en évidence aussi les fruits ultérieurs de ma recherche.

Dates de naissance et de décès de la « chère Tante Gachuch » de Maurice Ravel

— Ecrit le samedi 21 septembre 2019 dans la rubrique “Histoire, Musiques”.

Pour faire un point sur mes nouvelles découvertes aux archives d’état-civil de Ciboure et Saint-Jean-de Luz vendredi 20 septembre,

ceci,

soit un courriel adressé à Manuel Cornejo :

mon séjour hier à Saint-Jean-de Luz et Ciboure m’a permis de passer _ avec profit ! _ un peu de temps aux archives municipales de ces deux cités _ procéder à partir des données documentaires (même sérieuses) du web comporte des limites : elles demeurent lacunaires. Et la recherche est infinie.
Voici pour commencer _ d’autres documents bien intéressants aussi suivront ! _ de quoi rectifier les erreurs (de paresse de recherche) d’un bon auteur,
à propos de Gachucha Billac, la « chère grand-tante » maternelle de Maurice Ravel
(demi-sœur de sa grand-mère Sabine Delouart, née, elle aussi à Ciboure, le 11 mars 1809 _ de Marie Delouart et d’un père demeuré inconnu _),
cet acte de décès (n° 76) d’ »Engrâce Billac, décédée le 17 décembre, rue Gambetta, 41, (83 ans), célibataire« ,
en date du 17 juin 1902, à onze heures du matin :
L’an 1902, et le dix-sept décembre à onze heures du matin,
Par devant nous Dominique Larrea, maire, Officier de l’État Civil de la ville de Saint-Jean-de-Luz, département des Basses-Pyrénées, sont comparus en notre Mairie, Charles Gaudin, capitaine au long cours, âgé de vingt-sept ans, et Pierre Gaudin, employé, âgé de vingt-quatre ans, domiciliés en cette ville, voisins _ sic _ de la défunte,
lesquels nous ont déclaré que ce jour, à quatre heures du matin, Engrâce Billac, domestique, célibataire, âgée de quatre-vingt-trois ans, née à Ciboure
_ en réalité, c’est à l’âge de 78 ans, et non 83, que Gratieuse (et non Engrâce) Billac, née le 15 mai 1824 à Ciboure, décède à Saint-Jean-de-Luz le 17 décembre 1902 ; Gratieuse Billac ne doit pas être confondue avec sa sœur Engrâce, qui, née des mêmes parents Marie-Baptiste Delouart et Jacques Billac, à Ciboure, le 2 juin 1819, serait décédée, ce 17 décembre 1902, à l’âge de 83 ans, …seulement si c’était bien d’elle qu’il s’était agi ici ! ; mais, en réalité, cette petite Engrâce Billac est décédée, à Ciboure, à l’âge d’un jour, le 3 juin 1819 ! La confusion d’âge de la défunte qui marque le témoignage de Charles et Pierre Gaudin, a donc quelque chose d’un peu étrange ; de même que la substitution du prénom, Gratieuse, par Engrâce, même si ce sont là deux manières de signifier le même prénom, dont le dimininutif est Gachucha, ou Gachuch… _,
domiciliée en cette ville, fille de feu Jacques Billac _ âgé de 52 ans à la naissance de Gratieuse, marin : Jacques Billac est né à Ciboure le 5 septembre 1772 ; et il est décédé à Ciboure le 11 mars 1839 _ et de feue Marie Delouart, son épouse _ 41 ans, à la naissance de Gratieuse, poissarde : Marie Delouart est née à Ciboure le 29 juin 1782 ; et elle est décédée à Ciboure le 28 août 1855 _,
est décédée à la rue Gambetta, numéro quarante et un,
ainsi que nous nous en sommes assuré, et ont les déclarants
signé avec nous le présent Acte de Décès après qu’il leur en a été fait lecture.
Ont donc déclaré à la mairie de Saint-Jean-de-Luz le décès de Gachucha Billac
Charles Gaudin, capitaine au long cours, âgé de 27 ans _ né le 19 novembre 1875, à Saint-Jean-de-Luz, Grand’Rue n° 41 _,
et Pierre Gaudin, employé, âgé de 24 ans _ né le 7 février 1878, à Saint-Jean-de-Luz, Grand’Rue n° 41 _
« voisins de la défunte » _ et beaucoup plus que cela : Gratieuse-Gachucha avait pris la place la plus active à leur éducation quotidienne. Les enfants de la maisonnée Gaudin (Charles et Pierre étant les deux aînés) du 41 rue Gambetta, tenaient donc beaucoup, beaucoup à elle…
Suivront deux photos _ de simple confirmation des faits déjà reconnus ; cf mon article du 15 juillet dernier : _ de l’acte de naissance (à Ciboure, le 15 mai 1824) de Gracieuse Billac.
C’est la confusion _ d’où a-t-elle bien pu surgir ? Qu’est ce qui a donc pu la susciter ?.. _ par ce bon auteur de cette « Tante Gachuch » Billac avec la « Tante Bibi » des Bibal
qui a entraîné vos affectations à Gachoucha Billac, aux pages 764, 1250 et 1646 de votre magnifique Correspondance,
de ce qui revenait en réalité à Bernardine Bibal (née à Saint-Jean-de-Luz le 22 août 1855 ; je n’ai _ hélas _ pas pensé à rechercher aux archives municipales de Saint-Jean le document établissant la date de son décès ! _ ce que j’ai fait un mois plus tard, le 25 octobre suivant : Bernadine Bibal, célibataire, est décédée à Saint-Jean-de-Luz en son domicile, 5 Place Maréchal Foch, le 28 février 1943, à l’âge de 86 ans _)…
Un simple calcul d’âge, et, d’abord, une vérification des dates de naissance et de décès de ces deux personnes, Grâcieuse Billac et Bernardine Bibal,
auraient permis d’éviter cette ridicule confusion _ que j’ai déjà relevée ; mais maintenant je dispose de la date effective (et significative de tout ce qui nous manque (!) en fait de documents de la présence de Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz et Ciboure avant 1901) du décès de Gachucha, le 17 décembre 1902 _ ; développée hélas dans le livre de cet auteur un peu trop négligent sur ses sources (et leur vérification)…

Compiler ne dispense pas de chercher aussi vraiment un peu et de penser toujours à vérifier (ou rectifier)…
Ce serait plus sérieux pour un travail aspirant à faire référence scientifique !
Précisions en forme de commentaire :
La première de ces 2 mentions par Maurice Ravel de Gachucha Billac, en une lettre à Jane Gaudin, en date du 16 octobre 1902 _ page 82 : « Donnez-moi bientôt de vos nouvelles, ma chère Jane, et en attendant, mes souvenirs affectueux à tous (comprenez dans ce tous la famille de votre tante _ Dorotea Uburuzqueta-Bibal (veuve de Pascal Bibal, frère de la grand-mère de Jane, Annette Bibal-Gaudin), ainsi que ses 6 enfants François-Ignace, Marie, Elise, Grégoire, Jeanne et Joseph Bibal… _ et les Hiriart _ la famille de Magdeleine Hiriart-Gaudin, l’épouse du frère aîné de Jane, Charles Gaudin : en l’occurrence, sa sœur Marie Hiriart, et ses parents Dominique Hiriart et Marie Dimatz _ ) sans oublier Mme Bibal _ Victoire Dupous-Bibal, qui décèdera le 16 juin 1903 _ et ma chère tante Gachuch«  _date de 2 mois et 1 jour avant le décès de Grâcieuse Billac, le 17 décembre 1902.

Jusqu’ici, nulle mention de ce décès _ et de ce qu’a pu en ressentir Maurice Ravel : mais tant de lettres ont disparu ! ou nous échappent !.. _ n’a été retrouvée dans la Correspondance conservée de Maurice Ravel
_ Madame Lenoir m’a répété hier qu’en un accès de rage une personne de sa parenté a (ou aurait) détruit (est-ce possible ???) toutes les lettres de Ravel que cette personne, qui en avait la détention après héritage) avait conservées en sa possession… Quelle terrible (et si absurde !) perte pour la connaissance !

La seconde _ et dernière _ de ces deux mentions du nom de Gachucha Billac dans la Correspondance conservée et connue jusqu’ici de Maurice Ravel 
est très postérieure à ce décès _ du 17 décembre 1902 _, puisqu’elle se trouve dans une lettre adressée à Marie Gaudin, en date du 20 septembre 1916 _ pages 537-538 _ :
son occasion est une dysenterie survenue à Saint-Dizier provoquée par des melons,
ces melons qu’affectionnait tout particulièrement la chère tante Gachucha : « J’ai voulu réaliser le vœu de ma pauvre tante Gachucha, qui souhaitait mourir d’une indigestion de melon. Je m’en suis fourré pendant trois jours avec accompagnement de tomates crues, le tout additionné d’eau contaminée. Me voici depuis 5 jours couché dans ma chambre, avec la perspective d’être transporté à l’hôpital « …
Maurice s’est alors souvenu avec émotion de sa grand-tante et de son goût immodéré des melons…
Les élucubrations d’E. sur les « 64 ans » (« Gachoucha resta ensuite au service de ce couple Gaudin pendant soixante-quatre ans« , lit-on page 30 du livre d’E.) _ d’où peut donc sortir un tel nombre de 64 ? La référence n’en est bien sûr pas donnée…que Gachucha aurait passés au service des Gaudin (Annette Bibal _ née le 28 avril 1845, Grand’Rue n°21, à Saint-Jean-de -Luz  _ et Edmond Gaudin _ né le 17 novembre 1844, Rue Neuve n° 38, à Saint-Jean-de-Luz _ se sont mariés le 27 janvier 1875
_ et si avant ce mariage Bibal-Gaudin de 1875, cela avait été au service des parents d’Annette Bibal (soient Pierre Bibal, né le 5 septembre 1806, rue Saint-Jacques n° 24, à Saint-Jean-de-Luz ; et son épouse Victoire Dupous, née le 9 juin 1822, rue Saint-Jean, n°4, à Saint-Jean-de-Luz) qui s’étaient mariés, eux, le 26 avril 1843, à Saint-Jean-de-Luz), et pas des Gaudin… que Gachucha Billac aurait pu être domestique, à Saint-Jean-de-Luz _)
manquent du plus élémentaire bon sens : 1875 + 64 = 1939 ! _ et 1843 + 64 = 1907 ; ce n’est toujours pas cohérent…
Gachucha Billac, née à Ciboure le 15 mai 1824, aurait atteint en 1939 l’âge beaucoup plus que canonique de 115 ans…
Alors que Bernardine Bibal, née à Saint-Jean-de-Luz le 22 août 1855, était de 31 ans plus jeune que Gachucha Billac
_ pour rappel, cf mon article du 1er juin dernier :  ; et celui du 12 juillet : … C’est pas à pas que l’enquête progresse.
Enfin, si l’on retranche 64 ans (de situation de domestique) des 83 ans de vie de Gachucha Billac (1902 – 64 = 1838),
il se trouve que le résultat de 1838
implique que la cibourienne Gachucha Billac aurait été domestique dès l’âge de 14 ans, en 1838,
des luziens Gaudin-Bibal (mariés à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875) _ de janvier 1875 à décembre 1902, cela ne fait que 28 ans _ ;
ou, plus tôt, des luziens Bibal-Dupous (mariés le 26 avril 1843) _ d’avril 1843 à décembre 1902 (la patronne Victoire Dupous-Bibal, survivant de 7 mois à sa domestique Gachucha Billac, décèdera le 16 juin 1903), cela ne fait encore que 59 ans de domesticité de Gachucha au service de cette même famille des Dupous-Bibal-Gaudin du 41 rue Gambetta : le compte des 64 ans n’y est toujours pas ! _ ;
et même, plus en amont encore, des luziens Dupous-Benoît _ les parents de Victoire Dupous (9 juin 1822 – 16 juin 1903), soient Baptiste Dupous (Béhobie, 26 juin 1800 – Saint-Jean-de-Luz, Grand’Rue n° 41, 11 avril 1865) et Françoise Benoît (Saint-Jean-de-Luz, 2 octobre 1786 – Saint-Jean-de-Luz, Grand’Rue n° 20, 13 septembre 1855) _, qui se sont mariés, eux, le 17 septembre 1821, à Saint-Jean-de-Luz !
Afin de se repérer un peu dans l’histoire de la numérotation des maisons de la rue Gambetta, à Saint-Jean-de-Luz,
Ma recherche portant principalement sur les variations de numérotation de la maison des Dupous-Bibal-Gaudin, entre le 7 février 1843 (jour de la naissance, dans cette maison,au 21 Grand’Rue, de Jean-Baptiste Bibal, l’aîné des 9 enfants de Pierre Bibal et Victoire Dupous) et août 1924, quand Annette Bibal-Gaudin, devenue veuve de son mari Edmond Gaudin _ décédé le 28 décembre 1920 _, vend la trop grande désormais maison du 41 rue Gambetta, et part installer sa devenue restreinte famille luzienne _ réduite, en plus d’elle-même (elle a 79 ans), à sa sœur célibataire (âgée de 69 ans) Bernardine Bibal (dite « Tante Bibi« ), sa fille célibataire (âgée de 45 ans) Marie Gaudin (la grande amie de Maurice Ravel), et sa petite-fille, la petite (âgée de 10 ans) Annie Courteault, fille de Jane Gaudin et Henri Courteault ; laquelle Annie Courteault vit avec elles trois, Annette, sa grand-mère, Bernardine, sa grand-tante, et Marie, sa tante, à Saint-Jean-de-Luz, où Annie suit sa scolarité, alors que les parents de celle-ci, Jane et Henri Courteault, et son frère Pierre (il a alors 14 ans en août 1924) demeurent à Paris, où Henri Courteault est conservateur, chef du service administratif des Archives nationales (il en sera nommé Directeur en 1929) _ à la Villa Mirentxu, dans la proche rue du Midi…
Et il faut noter aussi que ce fut le 14 février 1883 que la Grand’Rue de Saint-Jean-de-Luz devint Rue Gambetta… 
La recherche, comme la publication, exigent un inlassable profond souci de la justesse
et un très grand sérieux !
Suivront d’autres précisions documentées : cette fois sur les Hiriart de la rue Gambetta…
Ce samedi 21 septembre 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ce dimanche 6 septembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

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