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Un premier essai de synthèse sur les membres de la famille Echepare apparentés à la famille de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel ; et leurs domiciliations à Ciboure…

25nov

En gardant à l’esprit la remarquable lettre _ à la page 266 de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel publiée par Manuel Cornejo aux Editions Le Passeur, en octobre 2018 _ de Maurice Ravel à son amie luzienne Marie Gaudin, en date du 22 juin 1911, 

lettre dans laquelle Maurice Ravel prie sa chère amie luzienne de bien vouloir trouver un logement de vacances à Ciboure pour sa mère, lui-même, et aussi, au moins un moment, son frère Edouard Ravel :

« Vous avez bien voulu vous charger de nous trouver un logement à Ciboure. Je vous demanderai donc de vous en occuper de suite, si vous en avez le temps. (…) Donc, si c’était possible, nous irions là-bas à partir du 15 juillet, et resterions 3 mois. (…) Il faut 2 chambres, dont l’une puisse contenir 2 lits. Bien entendu, pension comprise : je ne veux pas que maman fasse autre chose que se reposer. Nous préfèrerions que ce soit chez des parents. Les repas pris en commun seraient moins embêtants que chez des étrangers. Cherchez donc pour commencer chez Sabadin Quinior, si elle vit encore ; chez Eslonta Maicourné (c’est comme ça que ça s’écrit ?), chez Marie-Dominique Anchochoury ; chez les Goyenague… ou bien autre part. Inutile de vous dire qu’une simplicité économique nous conviendra particulièrement. Aussitôt que vous aurez trouvé quelque chose, vous serez bien gentille de nous écrire. Il faut que nous ayons le temps de consulter le budget et de préparer le départ. Sans doute à bientôt.« 

À part le nom bien connu des cousins Goyenague _ Paul (Ciboure, quartier de la Place, maison Ganichicarrenia n° 139, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1929) et son épouse Nicolasse (Ciboure, Bordagain, maison n° 38, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945) ; Paul, le fils de Simon Goyenague (Ciboure, rue Pocalet, n° 117, 24 novembre 1821 – Ciboure, rue du quai n° 6, 18 avril 1890), le cousin qui a tenu Maurice Ravel sur les fonts baptismaux de l’église Saint-Vincent de Ciboure, le samedi 13 mars 1875 _,

ainsi que celui, bien connu, lui, aussi de Marie-Dominique Anchochoury _ née à Ciboure, rue du quai, n° 28, le 19 avril 1888 _,

nous ignorons encore quelles personnes figurent ici sous ces deux noms plutôt étranges _ retranscrits par Maurice Ravel de ce qu’il percevait un peu difficilement de la prononciation de sa mère… _ de « Sabadin Quinior » et de « Eslonta Maicourné » ;

et qui tous sont indiqués ici par Maurice Ravel comme étant des « parents« …

Et surtout, jusqu’ici,

le patronyme d’Etchepare ne figure pas dans l’index des noms répertoriés par Manuel Cornejo en son édition de la Correspondance connue jusqu’ici de Maurice Ravel…

Maurice Ravel ne parle donc pas explicitement d’eux, tout au moins dans sa correspondance accessible jusqu’ici…

Voilà donc pour le socle-préambule de ce premier essai de synthèse concernant les membres de la famille Etchepare apparentés à la famille de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel ; ainsi que les domiciliations de chacun d’entre eux…

À suivre, donc…

Ce jeudi 25 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et puis un aperçu sur quelques domiciliations, à Ciboure, de membres de la vaste famille des Larrea, apparentés à des Delouart et à des Goyenague…

16nov

En forme de transition vers une amorce d’inventaire de domiciles, à Ciboure, de certains membres de la famille Etchepare apparentés à des Delouart _ de la famille cibourienne de Marie Delouart (1840 – 1917) et Maurice Ravel (1875 – 1937)… _,

je commencerai par un premier regard un peu rapide sur quelques domiciliations, à Ciboure, de certains membres de la vaste famille cibourienne des Larrea, qui sont apparentés, par mariage, à certains des Delouart et certains des Goyenague…

Deux membres importants de cette vaste famille cibourienne des Larrea, et qui sont épouses

la première, le 30 avril 1823, d’un Delouart,

en l’occurrence Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872), fils de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, 24 novembre 1752 – Ciboure, 27 février 1845),

et l’autre, le 23 avril 1856, d’un Goyenague,

en l’occurrence Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, 22 novembre 1886), fils de Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – 20 novembre 1849) et son épouse Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872),

sont,

d’abord, Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844),

fille de Jean Larrea (Ciboure, 6 octobre 1772 – Ciboure, ? ) et son épouse Marie Mignagoren (Ciboure, 30 octobre 1767 – Ciboure, 22 février 1837) _ ils se sont mariés à Ciboure le 19 février 1797 ; et ont eu 6 enfants Larrea :

1) Martin, le 9 juillet 1797, rue de Pocalette, maison Pilarbaita ; 2) Marguerite, née le 18 décembre 1798, Pocalette, maison n°  31 ; 3) Martin, le 19 août 1800, et qui décèdera à l’âge de 15 mois le 1er novembre 1801,  ; 4) Pierre, le 11 décembre 1802 ; 5) Martin, le 23 septembre 1806, quartier Pocalette section B, maison n° 163, et qui décèdera en mer, sur le paquebot Bordelais n° 4, le 23 septembre 1827, à l’âge de 21 ans ; et 6) Jean Larrea, le 14 janvier 1808, quartier de Pocalette, section B, maison n° 163  _,

épouse de Jean Delouart ;

puis, Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832 – Ciboure, 9 septembre 1895), épouse de Jacques Goyenague.

Penchons-nous d’un peu près sur ce que nous pourrons constater des diverses domiciliations, au cours de l’existence de chacune d’elles _ 18 décembre 1798 – 30 septembre 1844 ; et 9 octobre 1832 – 3à septembre 1895 _,

de ces deux membres de la vaste famille Larrea de Ciboure, mariées la première à un Delouart, et la seconde à un Goyenague.

D’abord,

Marguerite Larrea, est née à Ciboure le 18 décembre 1798, rue de Pocalette, maison n° 31.

Elle a épousé Jean Delouart le 30 avril 1823.

Le couple de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea a eu 7 enfants :

1) Jacques Delouart, à Ciboure le 12 novembre 1823, rue Pocalette, maison n° 163 _ j’ignore la date et le lieu du décès de ce Jacques Delouart, non répertoriés dans les actes d’état-civil accessibles de Ciboure… 

2) Sabine Delouart, née à Ciboure le 24 juin 1825, rue de Pocalette, maison n° 133 _ Sabine Delouart épousera à Ciboure le 12 août 1852 Bernard Cerciat (Ciboure, 18 octobre 1824 – en mer, 9 mars 1868) ; le couple aura 3 enfants Cerciat, qui ont une nombreuse descendance… ; j’ignore la date et le lieu du décès de cette Sabine Delouart, épouse et veuve Cerciat…

3) Marie Delouart, née à Ciboure le 30 juin 1827, quartier de Pocalette, maison n° 133 _ Marie Delouart épousera à Ciboure le 21 décembre 1853 Guilhen Etchepare (Ciboure, 18 juillet 1826 – Ciboure, 22 mai 1872) ; il semble que ce couple n’a pas eu d’enfant…

4) Pierre Delouart, à Ciboure le 26 décembre 1830, rue de Pocalette, maison n° 139. Le petit Pierre Delouart décèdera, à l’âge de 18 jours, le 11 janvier 1831, rue Pocalette, maison n° 147.

5) et 6) Jean et Jean-Savin Delouart, jumeaux, nés, Jean, puis Jean-Savin, à une demi-heure d’écart, à Ciboure le 3 juin 1833, rue Pocalette, maison n° 139. Le petit Jean-Savin décèdera, à l’âge de 47 jours, le 22 juillet 1833, rue Pocalette, maison n° 139 _ quant au jumeau Jean Delouart, il épousera à Ciboure le 13 novembre 1861, la sœur cadette de son beau-frère Guilhen Etchepare :  Dominique Etchepare (Ciboure, 13 décembre 1828 – Ciboure, 16 avril 1897) ; leur couple aura 2 filles, Etiennette Delouart (Ciboure, 4 mai 1866, quartier de Pocalette, maison n° 161 – Ciboure, 18 novembre 1870, rue Pocalette, maison n° 48) et Sabine Delouart (née à Ciboure le 24 juin 1870, quartier Pocalette, maison n°48)…

et enfin 7) Marianne Delouart, née à Ciboure le 20 février 1838, quartier de Pocalette, maison n° 159 _ j’ignore la date et le lieu de son décès.

Ensuite,

pour ce qui concerne les diverses domiciliations de Catherine Larrea, née à Ciboure le 9 octobre 1832, rue Bordagain, maison n°17ainsi que de son époux, Jacques Goyenague _ ils se sont mariés à Ciboure le 23 avril 1856 _, et de leurs enfants Goyenague,

c’est demain mercredi 17 novembre que je poursuivrai cet aperçu des domiciliations à Ciboure de membres de la vaste famille des Larrea de Ciboure apparentés aux Delouart, Goyenague, et Passicot, de la famille de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel, … 

À suivre, donc…

Ce mardi 16 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Recension de domiciles, à Ciboure, de divers membres de la famille Goyenague, apparentés aux Delouart : de Michel Goyenague (1790 – 1849), époux de Marie Delouart n° 3 (1786 – 1872), à son petit-fils Paul Goyenague (1854 – 1929), époux de sa cousine Nicolasse Goyenague (1864 – 1945)…

15nov

J’ai consacré l’essentiel de ce lundi 15 novembre 2021,

à la recension _ et suivant la chronologie des événements familiaux : naissances, mariages et décès… _ de logements où ont été domiciliés, ou bien ont été propriétaires, à Ciboure, divers membres de la famille Goyenague,

depuis Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849) _ fils de Simon Goyenague (décédé à l’âge de 45 ans le 12 novembre 1800) et son épouse Catherine Dargaignaratz (décédée le 27 février 1814, à l’âge de 63 ans : en son domicile de la rue Pocalette, n° 142) _, et son épouse Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872),

jusqu’à Paul Goyenague (Ciboure, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1829), époux de sa cousine _ fille de son frère Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, 22 novembre 1886) et son épouse Catherine Larrea (Ciboure, 9 octobre 1832 – Ciboure, 9 novembre 1895) _ Nicolasse Goyenague (Ciboure, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945 )…

À la naissance de leur fils Simon, le 29 novembre 1821, Michel Goyenague et son épouse Marie Delouart sont domiciliés à Ciboure rue Pocalette au n° 19 ; ils y demeurent toujours à la naissance de leur fils Bertrand, le 6 mars 1832.

Et à son décès, le 20 novembre 1849, Michel Goyenague est dit domicilié à la maison Petimentenia, n° 153, quartier de Pocalette.

Simon Goyenague, né le 29 novembre 1821 au n° 19 de la rue Pocalette, est dit domicilié à la maison Maloënia, dans le quartier de Pocalette, le jour de son mariage, le 15 novembre 1853 avec Josèphe Joachine Albistur.

Le fils aîné de Simon Goyenague et son épouse Josèphe Joachine Albistur, Pierre Paul Bernard Goyenague, naît, lui, le 19 août 1854 dans la maison Ganichicarrenia, au n° 139 du quartier de la Place.

Et lors de son mariage, le 23 avril 1856, à Ciboure, avec Catherine Larrea, le frère de Simon, Jacques Goyenague _ qui était né le 16 octobre 1823, mais la maison de sa naissance n’était pas indiquée, cette fois-là, dans l’acte d’état-civil… _ est dit domicilié, lui, maison Dolhorenia, quartier de Pocalette n° 144.

Ensuite, à leur naissance, tous les enfants de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea,  soient Marie (le 16 avril 1857), Simon (le 18 juin 1860), Nicolasse (le 11 juillet 1864), Gracieuse (le 14 juillet 1866), Josèphe (le 12 juin 1868) et Alexandrine-Elisabeth-Sabine (le 5 juin 1872), naissent dans le quartier de Bordagain, dans la maison Calebaita, au n° 158 ; à l’exception, toutefois, de Jean-Baptiste, qui naît, lui, le 31 juillet 1862, à la maison Sopitenia, au n° 158 du quartier de Pocalette.

En cette même maison Calebaita, n° 38, du quartier de Bordagain, et de cette famille de Jacques Goyenague,

décèderont les enfants Marie (le 18 décembre 1861), Josèphe (le 2 mai 1870), Alexandrine (le 19 juillet 1872) et Simon Goyenaue (le 14 janvier 1874) ;

ainsi que Jacques Goyenague lui-même, âgé de 63 ans, le 22 novembre 1886 ; puis sa veuve, Catherine Larrea, âgée de 63 ans, le 8 novembre 1895 _ fille de Martin Larrea et son épouse Silvestre Chourito, Catherine Larrea était née le 9 octobre 1832, dans la maison n° 17, du quartier de Bordagain.

J’ajoute au passage, que, alors que c’est le 8 novembre 1895 qu’est décédée Catherine Larrea, la veuve de Jacques Goyenague _ et fille de Martin Larrea et son épouse Silvestre Chourito _c’est en 1892, dans un jardin appartenant à Paul Larrea, qu’a été édifiée la maison Larrea, situé au n° 63 de l’actuel Quai Maurice Ravel…

Alors que la maison voisine de l’actuel n°61, la maison Sopitenia, a appartenu, elle, à un Jean-Baptiste Larrea _ probablement le frère (né le 9 janvier 1836, lui aussi maison n° 117 (Callebaita) du quartier de Bordagain, issu des mêmes Martin Larrea et Silvestre Chourito) de Catherine Larrea, l’épouse de Jacques Goyenague… _ ; et que, en 1923, après le décès de Melle Larrea _ sans plus de précisions, à la page 37 du numéro 94 de la revue Jakintza… _, l’abbé Vincent Recalde acheta cette maison Sopitenia, celle-là même où était né, le 31 juillet 1862, le petit Jean-Baptiste Goyenague, fils de Jacques Goyenague et son épouse Catherine Larrea…

Fin de l’incise Larrea.

Le 18 avril 1890, c’est le frère aîné de Jacques Goyenague, Simon Goyenague, qui était né le 29 novembre 1821 dans la maison n° 117 de la rue Pocalette

qui décède, à l’âge de 68 ans, dans la maison « Kustorronea«  du n° 6 de la rue du Quai à Ciboure _ cette maison qu’il avait achetée le 20 mars 1864 à Jean Larralde, cordonnier à Saint-Jean-de-Luz.

Et le 20 août suivant, le fils de Simon Goyenague, Pierre Paul Bernard Goyenague _ qui a hérité de son père décédé le 18 avril précédent, de cette maison du n° 6 de la rue du Quai (et n° 6 de la rue Pocalette) _, épouse sa cousine _ fille de son oncle Jacques Goyenague _ Nicolasse Goyenague.

Il ne semble pas, en l’état présent du moins de mes connaissances, que Paul Goyenague et son épouse Nicolasse _ ceux-là même que dans sa lettre à Marie Gaudin du 22 juin 1911 Maurice Ravel nomme « ses parents«  cibouriens « les Goyenague« , qu’il prie son amie luzienne de bien vouloir leur demander s’ils accepteraient de le loger ainsi que sa mère les trois mois d’été qui viennent à partir du 15 juillet… _ aient eu des enfants ;

Paul Goyenague est décédé à Ciboure le 6 mars 1929, et son épouse Nicolasse, le 1er juin 1945, à Ciboure. 

Après eux,

les propriétaires de la maison du n° 6 de la rue du Quai, qui se sont succédé, ont été _ sans plus de précision de date, ni d’identité des personnes de la part des rédacteurs du numéro 94 de la revue Jakintza _, des Dasconaguerre, Petit de Meurville, Elissalde et Marichalar…

Il me faut ajouter que c’est à la maison du n° 6 de la rue Pocalette (dont la façade principale est au n° 6 de la rue du Quai) que décède le 15 décembre 1872, la veuve de Michel Goyenague _ décédé, lui, le 20 novembre 1849 dans la maison Petimentenia du n° 153 du quartier Pocalette _, Marie Delouart _ née le le 17 août 1786 _, au domicile de son fils aîné Simon Goyenague, devenu propriétaire de cette maison le 20 mars 1864…

Ce lundi 15 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Post-scriptum,

en date du mercredi 17 novembre 2021 :

En travaillant, deux jours plus tard, soit mercredi 17 novembre, sur les domiciliations de  la famille de Catherine Larrea et de son époux Jacques Goyenague,

et déçu de ne pas découvrir, sur l’acte d’état-civil de naissance de celui-ci, le domicile dans lequel Jacques Goyenague est né, le 16 octobre 1823 _ probablement dans la maison n° 117 de la rue de Pocalette _,

j’ai été amené à reprendre et passer en revue, afin de les comparer, les diverses domiciliations  de naissance de ses frères et sœurs, les divers enfants de Michel Goyenague et son épouse Marie Delouart.

Et c’est alors que,

d’une part, j’avais tout à fait « oublié » de (re-)prendre en compte la naissance, le 27 juillet 1827, de la petite Marie Goyenague, pour la bonne raison, que dans l’acte d’état-civil de son mariage, le 17 juillet 1850, avec Martin Passicot, la nouvelle épouse est mentionnée sous le nom de « Marie D’Oyenhart » _ domiciliée à Ciboure « habitant le quartier de Pocalette, maison Miquelenia n° 183«  _, et son père, Michel, sous celui de « feu Michel D’Oyenhart, décédé dans cette commune (de Ciboure) le vingt novembre 1849« , alors que sa mère, Marie Delouart, est, elle, correctement mentionnée comme « âgée de cinquante neuf  ans » _ ce qui correspond à l’âge effectif de celle-ci, à cette date du 17 juillet 1850, puisque Marie Delouart est bien née, à Ciboure, le 17 août 1786… Ce qui m’a permis de rechercher et retrouver vite l’acte d’état civil de la naissance de cette « Marie d’Oyenhart« , en date du 27 juillet 1827, à Ciboure, au quartier de Pocalette, dans la maison n° 117 ;

et, d’autre part, j’ai complément découvert, cette fois, l’existence _ que j’avais ignorée jusqu’ici _ d’une autre enfant du couple formé par Michel Goyenague et Marie Delouart : « Nicolasse Doyhenard« , d’après l’orthographe de l’acte d’état-civil de naissance de celle-ci, en date du 19 juin 1829, accompagnée de la mention de son père « Michel Doyhenard, marin, absent sur mer » ainsi, bien sûr, que de sa mère : « Marie Delouart, âgée de 44 ans », « accouchée aujourd’hui à neuf heures du matin dans la maison n° 37, rue de Pocalette« 

Soient trois bienvenus compléments de domiciliation de membres de la famille Goyenague-Delouart,

dans le quartier (et la rue) de Pocalette :

« maison n° 117″, le 27 juillet 1827, pour Marie Goyenague et « maison n° 37« , le 19 juin 1829, pour Nicolassa Goyenague, les jours de leur naissance à Ciboure ;

et « maison Miquelenia, n° 183″, le 17 juillet 1850, pour Marie Goyenague, le jour de son mariage avec Martin Passicot.

Un courriel programmatique, ce soir, adressé à Jakintza, à propos de maisons dont des cousins de Marie Delouart (1840 – 1917) et son fils Maurice Ravel, des Goyenague, des Etchepare et des Cerciat, ont été des propriétaires, à Ciboure…

14nov

Simplement,

pour ce dimanche soir 14 novembre 2021,

voici le bref et simple courriel que je viens d’adresser à l’Association Jakintza, de Ciboure,

et à certains de ses membres qu’il m’est arrivé d’amicalement, et à diverses reprises, rencontrer :

Voici l’article que, 
suite aux très riches apports du numéro 94 (« Ciboure – Ziburu : la rue du Quai ») de Paul Badiola et Guy Lalanne, 
je viens à l’instant de peaufiner et achever :
concernant les domiciles à Ciboure de personnes portant,
telle Marie Delouart (1840 – 1917), la mère de Maurice Ravel (1875 – 1937),
le patronyme de Delouart ;
et issues, comme elle, son arrière-petite-fille, du cibourien Gratien Delouart (1748 – 1798).
Je me pencherai, en suivant,
sur le repérage des domiciles de familles apparentées à ces Delouart,
au premier chef desquels les cousins Goyenague,
que Maurice Ravel cite nommément (« les Goyenague« ) dans sa lettre à Marie Gaudin du 22 juin 1911,
au moment où Maurice Ravel cherche pour lui-même et la cibourienne que demeure sa mère, un logement commode et situé à Ciboure (« Nous préfèrerions que ce soit chez des parents. Les repas pris en commun seraient moins embêtants que des repas pris chez des étrangers« ), pour une période de trois mois « à partir du 15 juillet« 
(la maison de Paul Goyenague et son épouse (et cousine) Nicolasse Goyenague se trouve 6 rue du Quai !) ;
puis les cousins Etchepare et les cousins Cerciat,
effectivement propriétaires, eux aussi, de maisons à Ciboure,
d’après le récent excellent numéro 94 de la revue de l’Association Jakintza, consacré à la rue du Quai (et au quartier de la rue Pocalette),
sous la double signature de Paul Badiola et Guy Lalanne.
Ce serait assurément bien agréable de rencontrer un retour de la part de Cibouriens de l’Association Jakintza, telle une relecture, des précisions, des rectifications à mes recherches…
Bien à vous, et fidèlement,
Francis Lippa à Bordeaux (et Saint-Jean-de-Luz)

Ce dimanche 14 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Recension de domiciles à Ciboure de membres de la famille Delouart, dont est issue Marie Delouart (1840 – 1917), la mère de Maurice Ravel : du 21 août 1798 (décès de Gratien Delouart) au 25 novembre 1888 (décès de Jean Delouart, cousin-germain de Sabine Delouart (1809 – 1874), la grand-mère maternelle de Maurice Ravel…

14nov

Avant de recenser les domiciles de ces propriétaires cibouriens que furent les cousins Goyenague, Etchepare et Cerciat, de Maurice Ravel,

dont les noms figurent comme tels dans la revue des maisons de la rue du Quai (et son arrière rue Pocalette) à Ciboure,

telle que l’effectuent méthodiquement Paul Badiola et Guy Lalanne dans leur superbe numéro 94 intitulé « Ciboure – Ziburu Rue du Quai » de la rcvue Jakintza,

je commence par repérer déjà les domiciles cibouriens des membres de la famille Delouart, cette famille dont est issue Marie Delouart, la mère de Maurice Ravel,

tels que, du moins, ces domiciles apparaissent dans les actes d’état civil (naissances, mariages, décès) concernant ces Delouart :

entre la date du décès, le 21 août 1798, à Ciboure _ Maison Churruenea, dans le quartier du Nord _, de l’ancêtre Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798), de Maurice Ravel _ Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), la mère de Maurice, étant l’arrière-petite-fille de ce Gratien Delouart, marin… _ ;

et la date du décès, le 25 novembre 1888, à Ciboure _ dans la maison Etchepare de la rue Pocalette : l’épouse de ce Jean Delouart-là étant Dominique Etchepare (Ciboure, 13 décembre 1828 – Ciboure, 16 avril 1897) _ de Jean Delouart (Ciboure, 1833 – Ciboure, 25 novembre 1888), cousin germain de Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874),

la mère de Marie Delouart et la grand-mère maternelle de Maurice Ravel.

En préambule,

il me faut indiquer que concernant ce quartier de la rue Pocalette de Ciboure,

le dimanche 14 avril 2019 j’ai consacré un article intitulé  ,

dans lequel je plaçais un très précieux (et bien utile) lien à ce document,

qui, maison par maison de ce quartier, recensait les moindres habitants de chacune de ces maisons, selon des orthographes, tant pour les noms des personnes, que pour les noms mêmes de ces maisons (!), qui procédaient de la prononciation perçue par les oreilles des enquêteurs, et retranscrites ainsi…

Et je dois ajouter que ma propre lecture des documents d’archives auxquels j’accède, que ce ce soit in vivo, à Ciboure, ou sur les photographies des archives accessibles sur le net,

se heurte à mes difficultés à bien lire ce qui a été rédigé par les graphies des scripteurs de cette époque déjà lointaine, et en fonction, aussi, de la qualité parfois problématique du cliché photographique réalisé pour mettre en ligne ce document…

Ainsi, par exemple, pour le nom de la mère de Jacques Billac (l’époux le 14 septembre 1814 à Ciboure, de Marie-Baptiste Delouart), j’avais lu le nom _ bien peu basque, et j’en avais conscience… _ de Sabine Malac, là où j’aurais dû déchiffrer Sabine Recalde… Et c’est le musicien Philippe Hattat qui m’a très gentiment permis de rectifier cette lecture déficiente de ma part… Cf mon article du 30 septembre 2019 :

Voici donc,

pour commencer,

la liste de ces domiciliations de divers membres de la famille Delouart à Ciboure,

dont les noms de personnes apparaissent grâce _ et eu égard  _ à certains actes d’état-civil (naissances, mariages, décès) précisément datés,

qui fournissent ces informations à qui les recherche… :

_ 21 juillet 1798 : décès  à Ciboure, quartier du Nord, maison Churruenea, de Gratien Delouart, 50 ans ; sa veuve est Sabine Laxague, qui décèdera à l’âge de 100 ans _ selon l’acte d’état-civil ! _ le 27 février 1845, à Ciboure, quartier de la Place, maison Lamarsenia… ;

_ 6 février 1808 : décès à Ciboure, quartier de Bordagain, maison Fitterenbaita, de Marie Delouart, 85 ans, veuve de Marsans Desparmet ;

_ 11 mars 1809 : naissance à Ciboure, quartier de Bordagain, maison n° 17, de Sabine Delouart, fille naturelle de Marie-Baptiste Delouart, l’aînée des enfants de Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague, et future mère _ le 24 mars 1840, à Ciboure, rue Pocalette, maison Bourbouillonbaita _ de Marie Delouart, et  grand-mère, à Ciboure _ le 7 mars 1875, dans la belle maison San Estebania, sur le Quai _ de Maurice Ravel…

_ 14 septembre 1814 : mariage à Ciboure de Marie-Baptiste Delouart _ la Marie-Baptiste Delouart n° 1 de mes articles (cf par exemple l’article du 12 avril 2019 : …) _ (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 23 août 1855), 32 ans, avec Jacques Billac (Ciboure, 5 septembre 1772 – Ciboure, maison Bourbouillonbaita, 11 mars 1839), futurs-parents de Gachucha Billac (Ciboure, 15 mai 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1902), la grand-tante et marraine de Maurice Ravel…

_ 28 février 1821 : mariage à Ciboure de Marie Delouart _ la Marie Delouart n° 3 de mes articles… _ (Ciboure, 17 août 1775 – Ciboure, 15 décembre 1872), avec Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – 20 novembre 1849) : elle a 34 ans et lui, 31 ans.

_ 30 avril 1823 : mariage à Ciboure de Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872) _ fils de Gratien Delouart (1748 – 1798) et son épouse Sabine Latxague (1745 (ou 1752 – 27 février 1845) ; et frère des trois Marie Delouart… _, 34 ans, avec Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844) _ fille de Jean Larrea (Ciboure, 6 octobre 1772 – Ciboure, 2 septembre 1807) et son épouse Marie Mignagorren (Ciboure, 30 octobre 1767 – Ciboure, 29 août 1810) _, 24 ans ;

_ 12 novembre 1823 : naissance à Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 163, de Jacques Delouart, fils aîné de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea ; 

_ 12 juin 1825 : décès à Ciboure, quartier d’Agorette, maison n° 195, de Marie Delouart, 80 ans (Ciboure, 1745 – Ciboure, 12 juin 1825), veuve de Bernard Mignagoren (Ciboure, 1744 – Ciboure, 21 novembre 1791, rue d’Agorette, maison Martinonbaita)  ; et sœur aînée de Gratien Delouart ;

_ 24 juin 1825 : naissance à Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 133, de Sabine Delouart, fille de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea ;  

_ 30 juin 1827 : naissance à Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 133 , de Marie Delouart, fille de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea ; 

_ 26 décembre 1830 : naissance à Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 139, de Pierre Delouart, fils de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea ; 

_ 11 janvier 1831 : décès à Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 147, du petit Pierre Delouart, à l’âge de 18 jours ;

_ 3 juin 1833 : naissance à Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 139, des jumeaux Jean et Jean-Savin Delouart, fils de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea ; 

_ 22 juillet 1833 : décès à Ciboure, à l’âge de 43 jours, du petit Jean-Savin Delouart, au n° 139 de Pocalette

_ 20 février 1838 : naissance à Ciboure de Marianne Delouart, Pocalette n° 159, fille de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea ; 

_ 24 mars 1840 : naissance à Ciboure, dans la maison Bourbouillonbaita, Pocalette n° 118, de Marie Delouart  _ future mère, le 7 mars 1875, de Maurice Ravel _, fille naturelle de Sabine Delouart, elle-même fille naturelle de Marie-Baptiste Delouart… ;

_ 12 août 1852 : mariage à Ciboure de Sabine Delouart, 27 ans _ domiciliée maison Pilarbaita, n° 175, rue de Pocalette _, fille de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea, avec Bernard Cerciat, 28 ans ;

_ 21 décembre 1853 : mariage à Ciboure de Marie Delouart, 26 ans _ domiciliée maison Pilarbaita, n° 175, rue de Pocalette _, fille de Jean Delouart et son épouse Marguerite Larrea, avec Guilhen Etchepare, 27 ans ;

_ 23 août 1855 : décès à Ciboure, dans la maison Lamacenia, au quartier de la Place, de Marie-Baptiste Delouart _ ma Marie Delouart n° 1, la mère de Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874) et de Gachucha Billac (Ciboure, 15 mai 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 17 décembre 1902) ; grand-mère de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917) ; et future arrière-grand-mère de Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) … _, à l’âge de 74 ans, et veuve de Jacques Billac (Ciboure, 5 septembre 1772 – Ciboure, maison Bourbouillonbaita, 11 mars 1839)…

_ 13 novembre 1861 : mariage à Ciboure de Jean Delouart, 28 ans, fils de Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872) et son épouse Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844), avec Dominique Etchepare, 32 ans ; 

_ 4 mai 1866 : naissance à Ciboure, quartier de Pocalette, maison n° 161, d’Étiennette Delouart, fille de Jean Delouart et son épouse Dominique Etchepare ;

_ 24 juin 1868 : naissance à Ciboure, rue Pocalette, maison n°48, de Sabine Delouart, fille de Jean Delouart et son épouse Dominique Etchepare ;

_ 18 novembre 1870 : décès à Ciboure, rue Pocalette, maison n°48, d’Étiennette Delouart, à l’âge de 4 ans et demi, fille de Jean Delouart et son épouse Dominique Etchepare ;

_ 24 septembre 1872 : décès à Ciboure, rue Pocalette, maison n° 49, de Jean Delouart, 84 ans (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872) ; fils de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) et son épouse Sabine Latxague (Ciboure, 24 novembre 1758 – Ciboure, 27 février 1845), ; veuf de son épouse Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844) ; et père de 7 enfants Delouart (Jacques, en 1823 ; Sabine, en 1825 _ épouse de Bernard Cerciat en 1852 _ ; Marie, en 1827 _ épouse de Guilhen Etchepare, en 1853 _ ; Pierre, en 1830 ; les jumeaux Jean et Jean-Savin, en 1833 _ Jean, époux de Dominique Etchepare en 1861; et Marianne, en 1838) ;

_ 15 décembre 1872 : décès à Ciboure, rue Pocalette, maison  n°6, de Marie Delouart _ ma Marie Delouart n° 3 _, à l’âge de 86 ans ; veuve de Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849) ; mère des frères Simon Goyenague (Ciboure, 22 novembre 1821 – Ciboure, 18 avril 1890) et Jacques Goyenague (Ciboure, 16 octobre 1823 – Ciboure, 22 novembre 1886) ; et grand-mère des époux Paul Goyenague (Ciboure, 19 août 1854 – Ciboure, 6 mars 1929 ; fils de Simon) et Nicolasse Goyenague (Ciboure, 11 juillet 1864 – Ciboure, 1er juin 1945), les propriétaires de la maison « Kustorrenea« 6 rue du Quai…  Cf l’importante lettre de Maurice Ravel _ recherchant pour lui-même et sa mère cibourienne une résidence commode pour passer l’été (« à partir du 15 juillet, et resterions trois mois« ) à Ciboure : « Nous préfèrerions que ce soit chez des parents«  ; parmi lesquels « les Goyenague » , leurs cousins de la rue du Quai… _ à son amie luzienne Marie Gaudin, du 22 juin 1911, à la page 266 de l’édition par Manuel Cornejo de l’Intégrale de la Correspondance _ connue jusqu’ici _ de Maurice Ravel…

_ 22 décembre 1874 : décès à Ciboure, 12 rue du Quai, maison San Estebania, de Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874), à l’âge de 60 ans ; la mère _ célibataire _ de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917) ; et grand-mère maternelle de Maurice Ravel (Ciboure, maison San Estebania, 12 rue du Quai, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937). 

_ 25 novembre 1888 : décès à Ciboure, rue Pocalette, maison Etchepare, de Jean Delouart (Ciboure, 1833 – Ciboure, 25 novembre 1888), à l’âge de 55 ans ; le fils de Jean Delouart (Ciboure, 22 août 1788 – Ciboure, 24 septembre 1872) et le petit-fils de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) ;

ces Delouart d’où tire son patronyme de Delouart Marie Delouart, la mère de Maurice Ravel,

dont la mère Sabine et la grand-mère Marie-Baptiste (n°1) ont eu leurs filles de pères les deux fois inconnus…

Bien sûr, le numérotage _ parfois un peu étrange : ai-je su correctement lire ?.. Ou bien seraient-ce les scripteurs qui auraient été négligents ?_ des maisons de Ciboure ne laisse pas de maintenir ouvertes certaines questions : les personnes ont-elles parfois changé de demeures au sein, par exemple, de la même rue Pocalette ? En partie probablement oui. Ou bien le numérotage même des maisons a-t-il aussi connu quelques changements ? Probablement oui, encore ici aussi…

Il est un peu dommage pour la précision de la recherche, que dans les divers actes d’état-civil, n’aient pas été systématiquement associés le nom de la maison, et son numéro de repérage.. Même si l’on peut aussi supposer que les noms mêmes des maisons, ont pu, eux aussi, varier, au cours du temps…

Et c’est ici que j’aurai bien besoin de la science de cibouriens vraiment familiers de leur ville, et de son histoire pas si ancienne que cela…

À suivre, bien sûr !

Ce samedi 13 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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