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Reprise de mon article « Construire un programme musical à propos de ce qui a été composé autour du mariage de Louis XIV à Saint-Jean-de-Luz le 9 juin 1660″ du 16 juin dernier, laissé alors inachevé…

28août

C’est la parution ce 28 août 2022, sur le site de ResMusica « Remarquable reconstitution musicale des noces de Louis XIV par Vincent Dumestre et ses musiciens« , sous la plume de Vincent Muñoz,

qui me fait aviser d’avoir bien malencontreusement laissé inachevé mon propre article «  » du 16 juin dernier,

probablement par un certain agacement à l’égard du travail de composition du programme de son CD « Les Noces royales de Louis XIV » par Vincent Dumestre. Je vais m’en expliquer.

Car, ainsi que je l’avais indiqué en mon article,

j’avais moi-même procédé _ j’étais alors Conseiller artistique de La Simphonie du Marais et Hugo Reyne _ à des recherches pointues sur ce que l’on pouvait découvrir, ou du moins, à défaut, inférer, des musiques qui avaient été interprétées, soit à Fontarabie, soit à Saint-Jean-de-Luz, pour les cérémonies religieuses de ce mariage du roi Louis XIV et l’Infante d’Espagne Marie-Thérèse…

Voici donc d’une part mon article laissé inachevé le 16 juin ;

puis, d’autre part, celui de ce jour sous la plume de Vincent Munoz.

 

Construire un programme musical à partir de ce qui a été composé autour du mariage de Louis XIV à Saint-Jean-de-Luz le 9 juin 1660 : deux réalisations, par Hugo Reyne en 2007, et par Vincent Dumestre en 2021…

La toute récente parution du CD de Vincent Dumestre et son Poème Harmonique pour le label Château de Versailles Spectacles,

soit le CD CVS 066 « Les Noces royales de Louis XIV » enregistré à la Chapelle Royale du Château de Versailles du 11 au 14 novembre 2021 _,

m’amène à venir repenser un peu la constitution d’un programme de musique, pour un concert ou pour un disque,

à la façon dont Hugo Reyne et La Simphonie du Marais ont pu s’y essayer dans les années 90 du siècle dernier _ à ce moment j’étais leur conseiller artistique, et ai procédé à d’ardentes passionnantes recherches, en particulier à Saint-Jean-de-Luz, auprès d’érudits locaux susceptibles de m’en ouvrir, peut-être, quelques menues pistes… _, et, à nouveau, en 2007, quand Hugo Reyne et sa Simphonie du Marais ont construit et réalisé un concert (pour Jean-Bernard Meunier, à Sablé-sur-Sarthe, le 23 mars 2007), et publié un double CD, intitulé « Musiques pour le mariage de Louis XIV« ,

soit l’album double Accord 442 9894 _ enregistré les 22 et 23 mars 2007 au Centre culturel Joël Le Theule, à Sablé-sur-Sarthe _,

quand il s’avère que les principales éventuelles sources documentaires directes (et les partitions in concreto utilisées alors) désespérément manquent, et cruellement font défaut ;

et que le projet esquissé doit alors s’efforcer, pour produire, malgré ce handicap, un concert ou un disque à la fois tant soit peu plausible, et surtout un brin satisfaisant, à la fois historiquement et musicalement, de trouver quelques palliatifs à ces manques décevants de la recherche aventureuse et méthodique…

 

Ce jeudi 16 juin 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retrouver l’ambiance musicale d’une cérémonie comme celle du mariage de Louis XIV à Saint-Jean-de-Luz, voilà un défi totalement réussi par Vincent Dumestre et son équipe. Une page d’histoire semble se dérouler devant nous, tant la réalisation est suggestive et vivante. 

Revivre en musique un évènement important de l’histoire de France, c’est ce que propose cet enregistrement. Suivant le déroulé de la cérémonie du mariage du jeune Louis XIV en l’église de Saint-Jean-de-Luz, l’auditeur peut ainsi se plonger dans ces instants marquants grâce à la musique qui lui sert de fil conducteur. Ainsi on assiste en introduction à des sonneries de trompette aux portes de l’église suivies d’un prélude à l’orgue. Lully, le compositeur officiel est très présent dès l’entrée, puis pour de courtes danses évoquant les espagnols et les basques. Avant d’aller plus avant, il est bon de se remémorer l’histoire de ce mariage et les raisons de cette union.

En juin 1660, la paix est signée entre les rois de France et d’Espagne au terme de longues négociations. Cela rend possible le mariage entre le jeune roi de France et l’infante d’Espagne Marie-Thérèse. La cour est présente, tout s’organise dans la maison « Lohobiague Enea » et l’église, proches l’une de l’autre. Reprenons le cours de l’enregistrement de Vincent Dumestre, au moment où le cortège arrive à l’église et où les délégations entrent solennellement. La cérémonie débute réellement par une célébration de la paix avec une pièce de Jean Veillot sur l’hymne de Pâques O filii et filiae, célébrant la résurrection du Christ, musique alléluiatique remplie de jubilation, parfaitement adaptée ici pour cette précieuse paix retrouvée. La pièce est belle, très développée sur ce thème pourtant si court et si simple. La polyphonie vocale à laquelle se joignent les instruments est festive et s’enroule telle une litanie. Lully une nouvelle fois se retrouve ici avec un Motet pour la paix Jubilate Deo en cinq parties, qui prépare de manière appuyée l’ambiance de l’union à suivre.

Le mariage proprement dit peut alors commencer. L’orgue se fait entendre par deux versets de Guillaume-Gabriel Nivers qui fût le premier organiste du roi à la chapelle de Versailles. Une courte Sinfonia de l’italien Salomone Rossi introduit le Magnificat. En l’occurrence il s’agit ici de celui de Francesco Cavalli, compositeur vénitien, célèbre pour ses opéras. Il compose un unique Magnificat à sept voix en 1650. La musique est joyeuse, flamboyante et réjouissante pour un grand mariage, elle célèbre la gloire de Marie. Sans nul doute, cette œuvre est le sommet de cet enregistrement, riche de onze sections suivant de près le texte latin du Magnificat. Dans cette musique réunissant pleinement les deux ensembles du Poème harmonique et du Chœur de la compagnie La Tempête en évoquant largement les fastes de Saint-Marc de Venise, les interprètes déploient magnifiquement leurs qualités tout particulièrement supérieures dans cette performance grâce à Vincent Dumestre et Simon-Pierre Bestion.

Après cette partie sacrée de la cérémonie, les réjouissances se poursuivent avec une dernière évocation musicale consacré au Ballet des nations. Un extrait de Xerse, opéra de Cavalli, nous gratifie d’un Lasciamente morire en forme de passacaille. Viennent ensuite deux airs français évoquant la paix retrouvée et la gloire de la France. Le mariage s’achève enfin en une évocation de l’Espagne avec une danse endiablée de Juan de Hidalgo Dos Zagalan venian où se font entendre quelques percussions typiques tant par leur nature que par leurs rythmes aux accents de fête villageoise, permettant d’achever la cérémonie de mariage dans le bien-être, nourri par la paix et l’amour.

La collection Château de Versailles spectacles continue de nous enchanter par l’originalité des albums qui se concrétisent en belles découvertes, comme ici cette musique à programme, interprétée de manière exceptionnelle. Sans nul doute un des volumes les plus aboutis de la série.

Jean-Baptiste Lully (1632-1687) :

Sonneries pour les trompettes du Roi ; Entrée pour la maison de France ; Les espagnols ; Les basques ; Motet pour la paix « Jubilate Deo ».

Louis Couperin (ca. 1626-1661) :

Prélude n° 46.

Jean Veillot (ca. 1600-1662) :

O filii et filiae.

Guillaume-Gabriel Nivers (ca. 1632-1714) :

Plein-jeu et Récit de cromorne du troisième ton.

Salomone Rossi (1570-1630)

 Sinfonia grave.

Francesco Cavalli (1602-1676) :

Magnificat ; Lasciatemi morire (Xerse).

André de Rosiers (actif 1634-1672) :

Après une si longue guerre.

Nicolas Métru (ca. 1605-ca. 1663) :

Ô France.

Juan Hidalgo (1614-1685) :

Dos zagalas venian (Celos aun del aire matan).

Chœur de la compagnie la tempête (chef de chœur : Simon-Pierre Bestion) ;

Le Poème Harmonique, direction : Vincent Dumestre.

1 CD Château de Versailles Spectacles.

Enregistré du 11 au 14 novembre 2021 en la chapelle royale du château de Versailles.

Livret en français, anglais et allemand.

Durée : 65:18

 

Ce dimanche 28 août 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ce qu’a changé, ou pas, le mariage de la cousine de Ravel Magdeleine Hiriart avec Charles Gaudin, le 28 septembre 1901 à Saint-Jean-de-Luz, sur la position de Maurice Ravel au sein de la famille Bibal-Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dans laquelle la grand-tante et marraine du petit Maurice, Gachucha Billac, était domestique-gouvernante des enfants Gaudin, de 1875 à son décès en 1902…

18août

En forme de suite à mon article d’hier « « ,

cette réflexion-ci sur la diversité un peu contrastée des regards portés rétrospectivement sur Maurice Ravel, sa personnalité, ou encore son œuvre, par ses amis luziens de la famille Gaudin…

Et je me place à ce moment charnière du 28 septembre 1901, quand, par le mariage de sa cousine au 3e degré Magdeleine Hiriart avec Charles Gaudin, le fils aîné d’Edmond Gaudin et Annette Bibal, Maurice Ravel, âgé alors de 26 ans, et reçu depuis bien longtemps dès son enfance en cette maison des Dupous-Bibal-Gaudin du 41 rue Gambetta, s’est trouvé devenir ainsi apparenté à la famille Gaudin au sein de laquelle sa grand-tante Gachucha Billac était depuis 1875 la domestique-gouvernante des enfants…

Les regards des « amis » Gaudin-Bibal-Dupous, à Saint-Jean-de-Luz, sur le petit Maurice Ravel, né à Ciboure le 7 mars 1875, ont ainsi forcément « évolué« 

le jour, ce 28 septembre 1901, donc, où le petit Maurice _ âgé alors de 26 ans _ n’a plus été seulement le petit-neveu et filleul de la domestique de la maison Gaudin qui faisait office de gouvernante des enfants _ Charles (1875 – 1910), Marie-Pascaline (1876 – 1877), Pierre (1878 – 1914), Marie (1879 – 1976), Jane (1880 – 1979), Pascal (1883 – 1914) et Louis (1886 – 1899) Gaudin _ d’Annette Bibal et son époux Edmond Gaudin, Gachucha Billac (Ciboure,  15 mai 1824 –  Saint-Jean-de-Luz, 17 décembre 1902), laquelle était la sœur de la grand-mère maternelle de Maurice, Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874),

quand la cousine au 3e degré de Maurice, Magdeleine Hiriart (née à Saint-Jean-de-Luz le 11 mars 1875) _ fille de Dominique Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 28 janvier 1849 – Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre 1926), petite-fille de Marie Etcheverry (Saint-Jean-de-Luz, 21 juin 1817 – Saint-Jean-de-Luz, 27 décembre 1850), arrière-petite-fille de Marie-Baptiste Delouart (Ciboure, 17 octobre 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842) ; laquelle était la sœur de Marie-Baptiste Delouart (Ciboure, 29 juin 1782- Ciboure, 23 août 1855), l’arrière grand-mère de Maurice Ravel _, a épousé Charles Gaudin (né à Saint-Jean-de-Luz le 19 novembre 1875), le fils aîné des 7 enfants d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-deLuz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920) et son épouse Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 28 avril 1845 – 21 novembre 1936 _ lesquels s’étaient mariés le 27 janvier 1875 à Saint-Jean-de-Luz.

On peut probablement s’interroger aussi, au passage, déjà sur la position qu’avait occupée _ en tant que domestique ?.. en tant qu’amie de jeunesse ?.. _ la mère de Maurice Ravel, Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), auprès de la famille Bibal-Dupous (et notamment auprès d’Annette Bibal, née à Saint-Jean-de-Luz le 28 avril 1845), avant le voyage et le séjour, en 1871 ou 72 _ les données biographiques demeurent ici confuses ! _ que Marie Delouart a fait en Espagne, pour accompagner et assister _ précisément en remplacement d’Annette Bibal, qui avait alors dû, cette année-là, demeurer à Saint-Jean-de-Luz afin de veiller sur son fiancé Edmond Gaudin, encore mal remis de blessures reçues lors de la guerre contre la Prusse en 1870 _ la modiste parisienne Madame Félix allant présenter à Madrid sa collection annuelle de chapeaux _ comme Annette Bibal l’avait fait les années précédentes _ ; voyage et séjour madrilènes au cours desquels Marie Delouart allait faire la rencontre _ peut-être dans les jardins d’Aranjuez… _ de Pierre-Joseph Ravel (19 septembre 1832 – Paris, 13 octobre 1908), qu’elle épouserait peu après, à Paris, le 30 avril 1873…   

De petit-neveu et filleul de la domestique de la maison Dupous-Bibal-Gaudin qu’était sa grand-tante Gachucha Billac, que le petit Maurice était jusqu’alors, 

ce 28 septembre 1901-là Maurice Ravel devenait en effet aussi un parent _ certes un peu éloigné dans les degrés de cousinage… _ de la famille Gaudin en tant que cousin au 3e degré de la belle-fille de la maison Dupous-Bibal-Gaudin _ au 41 rue Gambetta _, Magdeleine Hiriart-Gaudin,

la bientôt mère du premier petit-fils de cette maison Gaudin, le petit Edmond, qui allait naître à Saint-Jean-de-Luz le 30 mai 1903.

Même si les absences successives (en 1809 , puis en 1840) de pères légitimes connus pour les naissances d’enfants en cette famille Delouart _ dans la généalogie de la branche maternelle Delouart de Maurice Ravel, sa mère Marie Delouart, née en 1840, et sa grand-mère Sabine Delouart, née en 1809, sont toutes deux nées de père inconnu : le premier père légitime identifié remonte au cibourien Gratien Delouart (1748-1798), le père de Marie-Baptiste Delouart (1782 – 1855), l’arrière-grand-mère maternelle de Maurice Ravel… _ ne facilitaient pas la reconnaissance en des milieux en pleine ascension sociale tels que les Bibal et les Gaudin (et aussi les Hiriart) à Saint-Jean-de-Luz au XIXe siècle…

Entre-temps _ c’est-à-dire entre le mariage de Charles Gaudin et Magdeleine Hiriart le 28 septembre 1901 et la naissance de leur fils unique le petit Edmond Gaudin le 30 mai 1903 _, et en cette même maison du 41 rue Gambetta, décèdera le 17 décembre 1902 la domestique-gouvernante des enfants Gaudin, Gachucha Billac, âgée de 78 ans ; puis, deux semaines après le 30 mai, le 16 juin 1903, c’est la maîtresse de la maison du 41 rue Gambetta, Victoire Dupous-Bibal (née à Saint-Jean-de-Luz, le 9 juin 1822 ; et veuve de Pierre Bibal depuis le 12 septembre 1855), qui disparaît à l’âge de 81 ans.

Le statut de Maurice Ravel, qui devenait ces années-là, et c’est à relever, un musicien de mieux en mieux reconnu, a-t-il pour autant vraiment changé au sein de la maison Gaudin du 41 rue Gambetta ? Du fait de la position de sa cousine au 3e degré Magdeleine au sein de cette famille Gaudin, Maurice Ravel est-il désormais regardé comme un parent _ le cousin qu’il est… _ au sein la famille Gaudin ?..

Au regard de la correspondance conservée et accessible _ in l’indispensable Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel publiée par Manuel Cornejo aux Éditions Le Passeur _ de Maurice Ravel avec des membres de la famille Gaudin, cela n’est certes pas flagrant !..

Un ami, oui ; un cousin éloigné, non.

Pour un tel dossier à ouvrir, nous ne disposons en tout et pour tout jusqu’ici que de deux lettres de condoléances (en date des 8 octobre 1910 _ « Ma chère cousine« , à la page 246.. _ et 24 novembre 1914 _ « Mon cher Maurice«  « Votre cousine, Madeleine« , à la page 403… _) échangées entre Maurice Ravel et sa cousine Magdeleine Hiriart-Gaudin à l’occasion des décès du mari de Magdeleine, Charles Gaudin, disparu en mission diplomatique noyé sur le fleuve Oubangui le 12 septembre 1910, puis des deux beaux-frères de Magdeleine Pierre et Pascal Gaudin, tués ensemble par un même obus à leur arrivée sur le front, le 12 novembre 1914…

Et il nous faut aussi considérer que beaucoup de lettres, en particulier avec la très aimable Marie Gaudin, ont hélas disparu, ou ne nous sont pas accessibles… C’est fort dommage…

Et nous ne disposons pas non plus d’autres lettres échangées entre Maurice Ravel et sa cousine Magdeleine Hiriart-Gaudin…

Mais le regard de la famille Gaudin sur Ravel et sa personnalité n’a pas évolué non plus dans ce qui demeure présent de la mémoire familiale transmise dans la famille Gaudin et la famille Courteault, aux témoignages développés et fort aimables des conversations détaillées que j’ai pu avoir, à plusieurs reprises, avec Maylen Gaudin-Lenoir, fille d’Edmond Gaudin, et son cousin Pascal Courteault, fils de Pierre Courteault…

À l’exception bien affirmée de la personnalité chaleureuse et ouverte et joyeuse de la très fidèle amie de toutes leurs vies, Marie Gaudin (1879 – 1976), ainsi que de la charmante Annie Courteault (1913- 1994),

il semble bien que le regard dominant porté sur Maurice Ravel, homme discret, humble et pudique, au sein de la famille Gaudin, est demeuré pour l’essentiel celui porté à l’origine sur le petit-neveu de la domestique Gachucha Billac, auquel, enfant, étaient réservées les assiettes ébréchées… ;

y compris, et bien plus tard _ et même musicalement ! _, de la part d’Edmond Gaudin (1903 – 1988) et de son cousin Pierre Courteault (1910 -2006), pour lesquels Maurice Ravel ne ménageait pas son affectueuse attention.

Des questions qui continuent de me travailler…

À suivre…

Ce jeudi 18 août 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un commode tableau des liens de parenté (Delouart) de Maurice Ravel (1875 – 1937) et Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), mère d’Edmond Gaudin (1903 – 1988) ; et du cousinage (Bibal) de ce dernier avec Pierre Courteault (1910 -2006) ; descendants des ancêtres Gratien Delouart (1748 – 1798) et Jean Bibal (1725 – 1795)

17août

À ce moment de ma recherche concernant les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel,

j’éprouve le besoin,

pour des raisons de commodité de synthèse des rapports familiaux bien effectifs entre Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937), les Hiriart et les Gaudin, 

et cela via le mariage à Saint-Jean-de-Luz le 28 septembre 1901 de Magdeleine Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 19 juin 1968) avec Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 19 novembre 1875 – Bimbo, 13 septembre 1910) _ avec, aussi, l’attache des Gaudin aux Bibal, par le mariage à Saint-Jean-de-Luz, le 27 janvier 1875, d’Annette Bibal (Saint-Jean-de Luz, 28 avril 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 21 novembre 1936) avec St-Martin-Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920) _,

de résumer-figurer la généalogie familiale, issue d’une part de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798), le cibourien, et d’autre part de Jean Bibal (1725 – 23 mai 1795) _ père de l’haspandar Baptiste Bibal (Hasparren, 1768 – Saint-Jean-de-Luz, 21 mai 1825) _tous deux ancêtres communs, à la cinquième génération, d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1989).

Ne descendant pas de Gratien Delouart (1748 – 1798) _ et donc non cousin avec Maurice Ravel qui lui en descend à la quatrième génération (Marie-Baptiste Delouart, Sabine Delouart et Marie Delouart, la mère de Maurice Ravel _mais descendant _ par sa mère Jane Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 16 octobre 1880 – Saint-Jean-de-Luz, 28 mars 1979), fille d’Annette Bibal, fille de Pierre Bibal, fils de Baptiste Bibal, fils de Jean Bibal _ de Jean Bibal (1725 – 1795),

Pierre Courteault (Paris, 21 avril 1910 – Ascain, 15 décembre 2006)

est cousin germain d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1989) _ dont le père, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 19 novembre 1875 – Bimbo, 13 septembre 1910), est le frère aîné de Jane Gaudin, la mère de Pierre Courteault.

Edmond Gaudin (1910 – 1988) a donc pour ancêtres et Gratien Delouart et Pierre Bibal ; tandis que Pierre Courteault (1910 – 2006) a pour ancêtre Pierre Bibal, mais pas Gratien Delouart.

Ce qui a pour implication la parenté effective d’Edmond Gaudin et ses descendants _ dont sa fille Maylen Gaudin _ avec Maurice Ravel ;

alors que ce n’est pas le cas de Pierre Courteault et de ses descendants _ dont son fils Pascal Courteault.

Voici l’arbre de la succession des générations que cela donne _ en rouge, les personnes sans descendance connue _ :

                                                     Gratien Delouart (1748-1798)                                       

Marie-Baptiste Delouart (1782-1855)      Marie-Baptiste Delouart (1784-1842)

Sabine Delouart (1809-1874)                      Marie Etcheverry (1817-1850)

Marie Delouart (1840-1917)                         Dominique Hiriart (1849-1926)

Maurice Ravel (1875-1937)                           Magdeleine Hiriart (1875-1968)

                                                                                 Edmond Gaudin (1903-1988)                

                                                                                 Maylen Gaudin (1942)                

                                                             Jean Bibal (1725-1795)

                                                             Baptiste Bibal (1768-1825)

                                                             Pierre Bibal (1806-1855)

                          Annette Bibal (1845-1936)                                  Pascal Bibal (1847-1898)

Charles Gaudin (1875-1910)  Jane Gaudin (1880-1979)    François-Ignace Bibal (1878-1944) 

Edmond Gaudin (1903-1988) Pierre Courteault (1910-2006)

Maylen Gaudin (1942)               Pascal Courteault (1944)

Annette Bibal (1845-1936)        Pascal Bibal (1847-1898)       Bernardine Bibal (1855-1943)

                  François-Ignace Bibal (1878-1944) Grégoire Bibal (1882-?)

                                                                                         ?

À suivre…

Ce mercredi 17 août 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

« Le Quai Ravel » (à Ciboure), oeuvre (en 1923) de François-Xavier Bibal (1878 – 1944), mise en vente (aux enchères) à Bordeaux le 22 septembre prochain ; et les liens de Maurice Ravel avec les Bibal et les Gaudin, via sa cousine (côté Delouart) Magdeleine Hiriart…

16août

« Le Quai Ravel » _ à Ciboure _,

une petite huile sur panneau de 24 cms sur 33,5, disposée en un cadre de chêne et bois peint, datée de 1923, et signée François-Xavier Bibal (Saint-Jean-de Luz, 17 septembre 1878 – Saint-Jean-de-Luz, 26 mai 1944),

sera mise aux enchères _ lot 33 _ à Bordeaux le 22 septembre prochain.

On sait la proximité _ durant toute sa vie : Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) _ de Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) avec les familles Gaudin et Bibal de Saint-Jean-de-Luz.

 

Et mes recherches ont permis d’établir la parenté très effective de Magdeleine Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 19 juin 1968) avec son cousin bien réel Maurice Ravel.

L’époux de Magdeleine Hiriart, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 9 novembre 1875 – Bimbo, 13 septembre 1910),

étant le fils aîné d’Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 28 avril 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 21 novembre 1936) et son époux St-Martin-Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920) _ leur mariage a eu lieu à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875 _

il se trouve que le fils unique de Charles Gaudin et Magdeleine Hiriart, Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1988), lui-même ami _ et chauffeur en leurs virées automobiles de par le pays basque à la fin des années 20 et début des années 30 ; cf cet indispensable outil de connaissance sur Ravel que constitue la Correspondance de Maurice Ravel publiée par Manuel Cornejo !.. _ de Maurice Ravel,

était,

par sa grand-mère paternelle Annette Bibal et son grand-oncle, frère cadet d’Annette, le peintre Pascal Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 12 juin 1847 – Bilbao, 2 avril 1898),

cousin germain de François-Xavier Bibal, le peintre qui nous intéresse ici,

auteur de ce « Quai Ravel« , en 1923… 

Dans la correspondance jusqu’ici retrouvée de Maurice Ravel,

les noms des peintres Pascal Bibal et son fils aîné François-Ignace Bibal ne sont pas jusqu’à ce jour apparus.

Et pourtant François-Ignace Bibal,

très proche affectivement de ses tantes Annette Bibal-Gaudin et Bernardine Bibal  _ la « Tante Bibi » de la famille Gaudin de la Correspondance de Maurice Ravel _ (Saint-Jean-de-Luz, 22 août 1855 – Saint-Jean-de-Luz, 28 février 1943),

et Maurice Ravel _ son quasi cousin par alliance, via Magdelaine Hiriart, son époux Charles Gaudin, la belle-mère de Magdelaine Annette Bibal-Gaudin, et le frère de celle-ci (et père de François-Ignace Bibal), Pascal Bibal… _

devaient forcément croiser leurs pas lors des divers séjours à Saint-Jean-de-Luz de Maurice Ravel :

que ce soit au 41 rue Gambetta, puis _ à partir du mois de juillet-août 1924 _ à la Villa Mirentxu, rue du Midi et au 5 Place Maréchal-Foch,

je veux dire aux domiciles des Gaudin (Annette Bibal-Gaudin, Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 3 mars 1879 – Saint-Jean-de-Luz, 8 décembre 1976) _ la meilleure (et plus proche) amie luzienne de Maurice Ravel ! _, Jane Gaudin-Courteault (Saint-Jean-de-Luz, 18 octobre 1880 – Saint-Jean-de-Luz, 28 mars 1979), qui reviendra vivre à Saint-Jean-de-Luz après le décès de son mari Henri Courteault (Pau, 26 août 1869 – Paris, 2 novembre 1937),

ou aux domiciles des Bibal

_ ou encore aux toutes proches rue Garat, ou rue Tourasse _, le centre de Saint-Jean-de-Luz étant grand comme un mouchoir de poche… 

Ce mardi 16 août 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un complément généalogique à l’entreprise amorcée de ma présente recherche de l’ascension sociale (et immobilière) des Gaudin à Saint-Jean-de-Luz au XIXe siècle avant 1880 : la branche des Gaudin issue de Charles Gaudin (1841 – 1897) et son épouse Louisa Schlaegel (1850 – 1929)…

09août

En complément à l’entreprise amorcée de ma présente recherche de l’ascension sociale (et immobilière) des Gaudin à Saint-Jean-de-Luz au XIXe siècle avant 1880 (cf mon article d’hier lundi 8 août « « ),
voici ce mardi un petit récapitulatif concernant la branche Gaudin issue du frère aîné de Saint Martin Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 _ rue Neuve n° 38 _ – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920 _ 41 rue Gambetta _),
je veux dire la branche issue de Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 12 septembre 1841 _ rue Neuve n° 39 _ – Saint-Jean-de-Luz, 9 novembre 1897 _ Grand Rue n° 4 _) et son épouse Louisa Schlaegel (Hasparren, 28 janvier 1850 – Hasparren, 19 août 1929) ;
Charles Gaudin et son frère Saint-Martin Edmond étant les deux fils de Martin Gaudin (Ciboure, 9 octobre 1788 – Saint-Jean-de-Luz, 22 avril 1864 _ Grand Rue n° 4 _) et son épouse _ ils se sont mariés à Saint-Jean-de-Luz le 26 janvier 1831 _ Catherine Goyetche (Saint-Jean-de-Luz, 13 août 1799 _ Baraboure n° 200 _ – Saint-Jean-de-Luz, 24 juin 1875 _ Rue Neuve n°8 _).
À leurs décès, en avril 1864 et juin 1875, Martin Gaudin était propriétaire marineur, et sa veuve Catherine Goyetche, propriétaireétair marchande.

 

 

Charles GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz, 12 septembre 1841 _ Rue Neuve n° 39 _ – Saint-Jean-de-Luz, 9 novembre 1897 _ Grand Rue n° 4 _), épouse le 30 septembre 1874 à Hasparren (Pyrénées Atlantique) Jeanne-Marie-Françoise-Louise dite Louisa SCHLAEGEL (Hasparren, 28 janvier 1850 – Hasparren, 19 août 1929). Ils vivaient à Saint-Jean-de-Luz, au 9 rue Gambetta ou 8 rue Tourasse.

Charles et Louisa ont eu 7 enfants GAUDIN – SCHLAEGEL :

– 1)       Marie Justin Paul dit Paul GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz, 26 juillet 1875 _ Rue Neuve n°8 – ?) épouse le 19 juin 1902 au Mexique, à Hidalgo del Parral, Etat de Chihuahua, Marie-Salomée dite Salomé INARRA, espagnole (Vera de Bidasoa 28 octobre 1881 – ?). Pas d’enfant.

– 2)      Catherine-Louise-Marie dite Marie GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz, 9 décembre 1977 _ Rue Neuve n° 8 _ – Saint-Jean-de-Luz, 6 avril 1945)

– 3)      Jean-Marie-Eugène dit Eugène GAUDIN (Hasparren, 5 septembre 1880 – Magnac-sur-Touvre, 1er avril 1921, tombé d’un train)

– 4)      Charles-Marie-Jean dit Jean GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz, 8 septembre 1882 à Saint-Jean-de-Luz – ? 1940) prêtre

–  5)     Marcel-Marie dit Marcel GAUDIN (Hasparren, 4 septembre 1884 – Orthez, 24 novembre 1959) épouse au Mexique Maria della Concepcion, dite Concha LEGARDA, mexicaine (Hidalgo del Parral 14 août 1855 – ?)

3 enfants GAUDIN – LEGARDA :

o1)    Juliette dite Lilita GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz 1er janvier 1918 – Palm Beach, 7 juin 2011) épouse Josh HOWLAND, américain (Cleveland, 1er janvier 1912 – Cleveland, 22 novembre 1986)

3 enfants HOWLAND – GAUDIN :

001) Paul HOWLAND (Cleveland, 6 juillet 1947) épouse Amna SEIBOLT (Cleveland, 1957 – Grand Rapids, 5 décembre 2011)

4 enfants  HOWLAND – SEIBOLT :

0001) Christopher HOWLAND (Cleveland, 26 juillet 1983)

0002) Hayden HOWLAND (21 mars 1985 Grand Rapids)

0003) Merril HOWLAND (13 octobre 1985 (Grand Rapids)

0004) Paul HOWLAND (27 novembre 1990 Grand Rapids)

002) John HOWLAND (Cleveland, 28 décembre 1949) épouse Victoria GEISHEKER

2 enfants HOWLAND – GEISHEKER :

0001) Julia HOWLAND (11 septembre 1985)

0002) Spencer HOWLAND (9 septembre 1987)

003) Perry HOWLAND (Cleveland, 11 juin 1952) épouse Bonnie ASKAW (1955)

2 enfants HOWLAND – ASKAW :

0001) Kate HOWLAND (Cleveland, 20 novembre 1985)

0002) Anson HOWLAND (Cleveland, 14 décembre 1994)

o2)    Charles dit Carlitos GAUDIN (El Paso 29.8.1914 – ?) épouse Monica SEEVONN, amérindienne d’origine allemande

3 enfants GAUDIN – SEEVONN :

001) Dominic GAUDIN

002) Lilona GAUDIN

003) Victor GAUDIN

o2)    Jacques GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz 6 janvier 1916 – Pau 22 septembre 1993) épouse Simone LASSALE – CALES (Orthez 19 avril 1916 – Pau 15 avril 2017)

4 enfants GAUDIN – LASSALE-CALES :

001) Françoise GAUDIN (1941) épouse Jean VIDAL

002) Jean-Marie GAUDIN (Orthez, 14 juin 1942) épouse à Orthez le 15 juin 1968 Dominique DELAGE DE LUGET (Saint-Lô, 17 février 1944 – Bidos 18 mai 1996)

4 enfants GAUDIN – DELAGE DE LUGET :

0001) Benoît GAUDIN

0002) Olivier GAUDIN (16 février 1972) épouse le 2 août 2000 Sandrine TERONDEL (1978)

2 enfants GAUDIN – TERONDEL :

00001) Romane GAUDIN (6 octobre 2001)

00002) Jérôme GAUDIN (2004)

0003) Mayalène GAUDIN

0004) Maïder GAUDIN

003) Philippe GAUDIN (Orthez, 14 juin 1942) épouse Saveria DELAGE DE LUGET (Villeneuve-sur-Lot, 15 mars 1949)

4 enfants GAUDIN – DELAGE DE LUGET :

0001) Hélène GAUDIN (Tarbes, 1er avril 1975) épouse le 8 juin 2019 Jean-Luc CATOIRE

0002) Sabine GAUDIN (Tarbes, 6 janvier 1977)

0003) Julia GAUDIN (Orthez, 18 juillet 1978)

0004) Thomas GAUDIN (4 octobre 1988)

004) Marie-Hélène GAUDIN dite Chou GAUDIN

–  6)     Marie-Thérèse dite Thésée GAUDIN (Hasparren 2 décembre 1886Marseille 20 août 1986), religieuse carmélite

–  7)     Xavier-Joseph-Henri dit Henri GAUDIN (Hasparren 12.09.1889 – Saint-Jean-de-Luz 6 août 1953) épouse le 6 octobre 1923 à San Sebastian Donostia Jeanne DRAPER (Port-Vendres 26 juin 1890 – Saint-Jean-de-Luz 20 juin 1969)

Une fille GAUDIN – DRAPER :

o1)    Henriette GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz 9 juillet 1924 – Saint-Jean-de-Luz 1er novembre 2009) épouse Henri AGUILLON (Laruns-Les-Eaux-Chaudes 30 août 1920 – Versailles 6 août 2015)

7 enfants AGUILLON – GAUDIN :

001) Paul AGUILLON (Saint-Jean-de-Luz 23 février 1950 – Saint-Jean-de-Luz 23 février 1950)

002) Danielle AGUILLON

003) Françoise AGUILLON (5 mai 1952) épouse Bertrand DE CHERISEY

1 enfant DE CHERISEY – AGUILLON :

0001) Clara DE CHERISEY

004) Jean AGUILLON épouse Christine

005) Maité AGUILLON (1946) épouse Michel RICHONNIER (1943 – Bruxelles 25 février 2019)

…      

3 enfants RICHONNIER – AGUILLON :

0001) Gracianne RICHONNIER (Laeken)

0002) Guillaume RICHONNIER

0003) Delphine RICHONNIER (13 février 1973) épouse Jean Marc LE CAM

2 enfants LE CAM – RICHONNIER :

00001) Luann LE CAM (2006)

00002) Titouan LE CAM (2008)

006) Pierre AGUILLON épouse Zita SCHIRRU (   ) 

007) Catherine AGUILLON ( – 2010)

Voilà pour ce complément d’information généalogique concernant la branche des Gaudin issue de Charles Gaudin et son épouse Louisa Schlaegel.

Ce mardi 9 août 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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