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Reprise, avec compléments et ajouts, de mon article du 16 février 2021 : « Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra… »

02fév

Suite à deux passionnant séchanges téléphoniques hier soir avec Matthias Bobopéra, puis son père Georges Bonopéra, à la recherche de précisions sur l’histoire de leur famille Bonopéra,

voici, et pour continuer la reprise d’hier soir 1er février _ avec l’article « «  _,

cette fois la reprise de mon article du 16 février 2021 « « , concernant ici le 4éme des 6 fils de Paul Bonopéra, Auguste Bonopéra-le-père, né le 3 avril 1883 à Orléansville, et époux d’Isabelle Vivès,

et père, nons pas de 4 enfants, comme je l’avais supposé jusqu’ici, mais bien de 5 enfants, car à ses 2 sœurs Hélène-Isabelle et Yvonne, et ses 2 frères Georges (dit Coco) et Auguste (dit le fils) il me faut désormais adjoindre René Bonopéra dont j’avais jusqu’ici ignoré l’existence :

Suite de nouvelles précisions sur les fils (et belles-filles) de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1916) : Auguste Bonopéra…

Ce mardi 16 février _ 2021 ! _, je continue donc d’apporter des précisions sur chacun des six fils de Paul Bonopéra :

_ Jean Bonopéra, né le 18 juin 1877, à Pontéba _ cultivateur de profession, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1898 _ ;

_ Paul Bonopéra, né 19 septembre 1878, à Pontéba _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1899 _ ;

_ Alphonse Bonopéra, né le 1er janvier 1881, à Charon _ cultivateur, et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1902 ; puis, plus tard, garde-champêtre _ ;

_ Auguste Bonopéra, né le 3 avril 1883, à Orléansville _ boulanger (sic ; ce n’est que plus tard qu’il deviendra le cafetier de la rue d’Isly, à Orléansville…), et résidant à Rabelais, au moment du conseil de révision, en 1904 _ ;

_ Julien Bonopéra, né le 9 janvier 1887, à Charon _ commis des Postes et Télégraphes, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1908 _ ;

_ Georges Bonopéra, né le 21 février 1892, à Ténès _ employé, et résidant à Orléansville, au moment du conseil de révision, en 1913 _ ;

et vais tâcher de donner le plus de précisions possible, au vu de ce que je puis glâner, sur le parcours d’existence de chacun d’eux ;

en en venant ce soir au quatrième, Auguste Bonopéra (né à Orléansville le 3 avril 1883 _ j’ignore encore la date et le lieu de son décès : mais voici que son petit-fils Georges Bonopéra (né à Orléansville le 9 mars 1950), qui m’a joint hier soir au téléphone, vient de m’apprendre que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (et dit le colonel) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962 ; et que l’épouse de celui-ci, née Isabelle Vivès, était décédée à Orléansville en 1950… _), qui me pose quelques difficultés…

 

L’absence d’archives d’État-civil pour Orléansville demeure encore en effet une source permanente de difficultés et complications pour la recherche.

En effet, déjà, je ne suis pas parvenu _ jusqu’ici : c’était le 16 février 2021 _ à donner un nom à l’épouse d’Auguste Bonopéra-le-père _ à la différence de ce que j’ai pu réaliser pour ses frères Jean (dont l’épouse est Louise-Marie Hulne), Paul (dont l’épouse est Marie Cathébras) et Julien (dont l’épouse est Germaine-Jeanne-Lucie-Geneviève Besse) ; mais ayant pu joindre au téléphone Huguette Bonopéra, au mois d’avril 2021, celle-ci m’avait donné le nom de sa grand-mère paternelle (l’épouse d’Auguste-le-cafetier de la rue d’Isly à Orléansville) : Isabelle Vivès.

Et pour ses propres enfants aussi, pas mal d’éléments, aussi, me manquent encore ;

à commencer par leur nombre exact _ à la date du 19 février 1915, son livret militaire indique qu’il a alors « 4 enfants vivants« ; et c’est précisément ce qui autorise son départ de l’armée d’active, en vertu de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905…  _ ;  puis par leur ordre de naissance ;

jusqu’ici j’ai pu repérer, principalement dans la presse _ Le Progrès, d’Orléansville, ainsi que L’Écho d’Alger _, quelques événements familiaux, tels que naissances, mariages ou décès ; mais hélas aucun de ces _ bien précieux ! _ faire-part officiels qui permettent normalement _ quand ils sont suffisamment précis et détaillés _ de réunir l’ensemble de la constellation familiale…

Et cela alors que très sympathique _ et très estimé _ Auguste Bonopéra-le-père tenait un rôle central dans l’animation locale d’Orléansville, en tant que tenancier du principal Café de la cité : le Grand Café, rue d’Isly ;

et à ce titre son nom apparaît souvent dans la chronique de la vie locale et festive de l’Orléansville d’alors _ ainsi, le 29 août 1912, lors d’un bref début d’incendie du Café, heureusement très vite éteint grâce à l’aide des voisins aussitôt accourus…

Je suppose que l’aînée des _ au moins _ quatre enfants _ en fai ils sont cinq : le 5e d’entre eux (René ?) naîtra donc après le 15 février 1915… _ d’Auguste Bonopéra-le-père et de son épouse, née, donc, Isabelle Vives, est cette Hélène-Isabelle Bonopéra _ elle est née à La Ferme, le 29 mai 1905 ; et elle décèdera en 1950, m’a appris hier soir, 1er février 2024, son petit-fils Georges Bonopéra, né le 9 mars 1950, et fils de René et son épouse, Arlette Cailliez... _ qui épouse, le 17 décembre 1927 _ l’avis de mariage est donné par Le Progrès, d’Orléansville du 29 décembre 1927 ; et le marié, Michel Pons, est alors « facteur au P.L.M. et domicilié à Oran«  _, Michel-Albert Pons _ né à Perrégaux le 1er novembre 1897 _, qui travaille à la compagnie ferroviaire P. L. M. ; et qui sera, un peu plus tard, en 1932, le sous-chef de gare de la gare d’Orléansville : au moment de la naissance du second enfant de ce couple de Michel Pons et Hélène-Isabelle Bonopéra, le petit Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 _ celui-ci deviendra l’époux de Françoise Morand de La Genevraye (née en 1940), et il décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Le couple formé par Hélène-Isabelle Bonopéra et son époux Michel-Albert Pons donnera, en effet, au moins deux petits-enfants à Auguste Bonopéra et son épouse Isabelle Vivès :

_ Michelle Pons, qui naît à Orléansville au tout début du mois de janvier 1929 (et qui épousera Louis Préfume _ qui décèdera à Nice le 1er février 2011, à l’âge de 86 ans _ ; et ils auront un fils : Pierre Préfume) ; Michelle Pons, née Bonopéra, décèdera à La Colle-sur-Loup le 2 septembre 2013 ;

_ et Auguste Pons, né à Orléansville le 3 novembre 1932 ; et qui épousera une cousine des Bonopéra, Françoise Morand de la Genevray _ née à Alger, en 1940 : fille de Robert Morand de la Genevraye et de son épouse Odette Gallois ; petite-fille de Jules Morande de la Genevray et de son épouse Clémence Orgeret, et arrière petite-fille de Frédéric-Auguste Morand de la Genevray (Varsovie, 11 novembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904) et de son épouse Marguerite Bonopéra (Miliana, 22 janvier 1849 – Orléansville, entre 1892 et 1901) _ ; Auguste Pons décèdera à Nice le 4 février 2011, à l’âge de 78 ans.

Et nous pouvons remarquer ici, au passage, que Françoise Morand de La Genevray est une descendante de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849) et de son époux Frédéric-Auguste Morand de la Genevraye _ décédé le 25 mai 1904 alors qu’il exerçait le mandat de maire d’Orléansville _) : Marguerite Bonopéra, sœur aînée de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916) est en effet la tante d’Auguste Bonopéra-le-père _ le cafetier de la rue d’Isly _, le quatrième des six fils _ Jean (1877, à Pontéba), Paul (1878, à Pontéba), Alphonse (1881, à Charon), Auguste (1883, à Orléansville), Julien (1887, à Charon), Georges (1892 à Ténès) _ de Paul Bonopéra, et grand-père maternel de ce petit Auguste Pons.

Auguste Pons et son épouse née Françoise Morand de la Genevraye, eux, seront parents de deux enfants : Jean-François Pons et Isabelle Pons _ épouse d’Olivier Fischbach.

Pour ce qui concerne l’ordre de naissance des au moins quatre enfants  _ cinq, en fait : il faut adjoindre ici le plus jeune, né après 1915, René Bonopéra _ d’Auguste Bonpéra-le-père et son épouse Isabelle Vivès, il se pourrait que que leur deuxième enfant soit Auguste Bonopéra-le-fils _ dont j’ignore encore (à ce jour du 16 février 2021) la date et le lieu de naissance : son petit-neveu Georges Bonopéra, fils de son frère René, vient de m’apprendre au téléphone hier soir, 1er février 2024, que son grand-père paternel Auguste Bonopéra-le-père (dit le colonel…) est décédé à Montpellier à la fin du mois de juin 1962. il faudra que je demande à Georges Bonopéra de bien vouloir m’indiquer aussi les dates et lieux de naissance et de décès de son oncle Auguste Bonopéra-le fils…

Auguste Bonopéra-fils _ cf l’avis du Progrès d’Orléansville du 30 juin 1932se marie à Orléansville le le 25 juin 1932 avec Antoinette Galléra (ou Calleja) _ sœur et belle-sœur de Mme et M. Paul Joanico, de La Senia, indique cet avis de ce mariage _, qui lui donnera le 3 mai 1933 « deux mignonnes fillettes prénommées Huguette et Claudette » ces deux jumelles vivent toutes deux (à la date de ce 16 février 2021) dans la région de Montpellier : Huguette Bonopéra, épouse (puis divorcée) de Gérard Dubois, est mère de cinq enfants (Georges, Jean-Marc, Michel _ père de Steve Dubois _, Pascal et Isabelle Dubois) ; et Claudette Bonopéra, épouse de Hans Haenni (né en Suisse le 1er novembre 1922 et décédé à Clapiers, Hérault, le 7 novembre 1998), a eu aussi plusieurs enfants.

Mais Claudette Haenni Bonopéra et Huguette Bonopéra, les jumelles nées à Orléansville le 3 mai 1933, sont toutes deux décédées l’année dernière, à deux mois d’intervalle : Claudette le 26 juin 2023 et Huguette le 25 août 2023…

Puis, leur troisième enfant pourrait être Yvonne Bonopéra, qui leur est née à Orléansville le 9 avril 1912 ; et qui décèdera à Montpellier _ vivaient ses nièces Huguette et Claudette, les filles jumelles de son frère Auguste Bonopéra-le-fils _ le 10 août 2008 _ Yvonne Bonopéra ne s’est pas mariée et n’a pas eu d’enfant.

Et il s’avère que le bébé Georges _ dit « Coco« … _ né à la fin du mois de janvier ou au début du mois de février 1915 _ et dont a bien laconiquement parlé Le Progrès d’Orléansville du 11 février 1915 : « M. et Mme Bonopéra ont aussi un bébé, Georges » _, est bien le quatrième des « enfants vivants » ;, lui, à

ce dont Auguste Bonopéra a pu faire état auprès des autorités militaires, le 23 février 1915, afin d’être à même de bénéficier de l’article 48 de la loi du 21 mars 1905 concernant les pères de famille d’au moins quatre enfants, libérant les assujettis au service actif, et leur permettre de regagner leurs foyers _ ce qui fut fait pour lui ; il put aussitôt regagner son domicile (et son Café) d’Orléansville dès le mois de février 1915…


Il se pourrait donc que René Bonopéra,

père de Georges Bonopéra _ né, lui, à Orléansville le 9 mars 1950 _ et grand-père paternel de Matthias Bonopéra _ né à Paris 11e, le 17 mai 1977 _,

soit le dernier-né, après 1915, de Auguste Bonopéra-père (dit le colonel) et son épouse Isabelle Vivès…

À suivre…

Ce mardi 16 février 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà pour ces précisions et compléments, suite et grâce à mes échanges téléphoniques très sympathiques d’hier soir avec Georges et Matthias Bonopéra, curieux d’en découvrir un peu davantage sur l’histoire de leur famille, en Algérie, et à travers la Méditerranée : Sicile, Marches, Catalogne, Minorque…

Et bien entendu à suivre…

Ce vendredi 2 février 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour présenter synthétiquement les récentes avancées de ma recherche autour des Bonopéra issus de Jean Bonopéra…

04mai

Afin de présenter de manière un peu synthétique les récentes avancées de ma recherche,

voici un courriel un peu explicatif, à Cécile Bonopéra, du 4 mai 2021, à 14h 47…

Voici d’abord la moisson des récents articles de mon blog (à partir du 29 avril dernier),

consécutive à mes contacts avec votre tante Aline Bonopéra,
ainsi qu’une plus lointaine cousine (par alliance), Mme Claude Petit, qui vit en Corrèze, près de Brive :
Votre tante Aline Bonopéra ne m’a pas appris grand chose que je ne sache déjà,
sinon une tradition familiale (?) qui fait de l’ancêtre Luigi-Nicola Bonopéra un sicilien qui serait né à Palerme…
J’ignore sur quel témoignage ou document repose cette tradition…
Surtout, à nul moment, je n’ai eu contact avec votre oncle Jean-Pierre (né le 2 novembre 1934) ; je n’ai eu au téléphone que son épouse Aline, née Lafet, en 1939. J’espère que votre oncle va bien…
La seule personne de cet âge de votre famille avec qui j’ai pu échanger un peu au téléphone, est Huguette Bonopéra (épouse _ séparéede Gérard Dubois), et qui vit à Montpellier, l’une des 2 filles jumelles d’Auguste Bonopéra-fils et son épouse Antoinette Gallera, née à Orléansville le 3 mai 1933.
C’est elle, Huguette Bonopéra, qui m’a appris le nom de sa grand-mère paternelle : Isabelle Vives, l’épouse d’Auguste Bonopéra-père _ celui que j’appelle le cafetier de la rue d’Isly à Orléansville.
Mais Huguette Bonopéra m’a dit que son père, Auguste Bonopéra-fils, avait été lui aussi cafetier…
Surtout, Huguette Bonopéra m’a dit que son arrière-grand-père Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916),
le père des 6 fils Bonopéra Jean, Paul, Alphonse, Auguste, Julien et Georges Bonopéra,
avait vendu ses propriétés de Rabelais, afin d’aider, par un partage, ses fils à s’installer, au cours de la première décennie du XXe siècle (vers 1905) ;
peut-être au noment de son troisième mariage, probablement à Orléansville _ et après sa brève union avec sa seconde épouse, à Rabelais : Marie-Jeanne-Virginie Claudet, en 1897… _ ;
le mariage avec celle qui deviendra, en 1916, « Madame Veuve Paul Bonopéra », et était née Confex _ dont j’ignore toujours l’identité précise et le parcours de vie…
Mais Huguette Bonopéra n’avait hélas pas souvenir de cette veuve de son arrière-grand-père…
Cette « Mme Vve Paul Bonopéra » était aussi la tante de l’orléansvillois Émile Wachter, fils de sa sœur aînée Elisabeth Confex, épouse Wachter ;
ainsi que la tante de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter », sœur d’Émile, et fille d’Elisabeth Confex (Marseille, 26 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925) et son époux Jean-Baptiste-Antoine Wachter…
Huguette Bonopéra, cependant, était fatiguée, et je n’ai pas voulu abuser de sa gentillesse.
Huguette Bonopéra est aussi la grand-mère de Steve Dubois _ qui vit à Aups, dans le Var _,
qui m’a très gentiment remercié de lui en apprendre beaucoup sur l’histoire de ses ancêtres Bonopéra.
En revanche, je n’ai pas réussi à joindre au téléphone Claudette Bonopéra (veuve de Hans Haenni), la sœur jumelle de Huguette Bonopéra, qui vivait il y a encore peu de temps dans l’Hérault…
J’ignore cependant si Claudette  Bonopéra vit toujours…
D’autre part, 
votre tante Aline Bonopéra m’a aussi parlé d’une lointaine cousine par alliance, Mme Claude Petit (née en 1944), qui l’avait contactée il y a quelques années,
et faisait des recherches à propos de la famille Bonopéra, à la recherche, notamment, de sa  cousine par alliance Claudette Bonopéra : 
Mme Petit, fille d’Eugène-Louis Petit (Orléansville, 3 septembre 1909 – Orléansville, 24 mai 1952) est la nièce de Clémentine Petit (Duperré, 20 janvier 1907 – La Garde, 5 juillet 1980) et de son époux Georges-Paul Bonopéra (Rabelais, 25 juin 1902 – Toulon, 9 janvier 1977)…
Mme Claude Petit a essayé de rétablir le contact avec ses cousins germains Bonopéra, 
le fils, Paul (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000), et les 5 filles, Hélène, Jacqueline, Mireille, Stéphanie et Vivianne Bonopéra,
de sa tante _ sœur aînée de son père Eugène-Louis Petit _ Clémentine Petit et son époux Georges-Paul Bonopéra
_ ce dernier étant fils de Jean Bonopéra (né à Pontéba le 18 juin 1877), 
le fils aîné de Paul Bonopéra (1856 – 1916) et sa première épouse Joséphine Girot (1856 – 1892).
De ces 6 enfants de Georges-Paul Bonopéra (1902 – 1977) et son épouse Clémentine Petit (1907 – 1980),
ne vit plus aujourd’hui _ à Laparade, dans le Lot-et-Garonne _ que Mireille-Geneviève Bonopéra (née en 1947), épouse Heuer.
D’autre part, l’épouse de ce Paul Bonopéra (La Ferme, 31 juillet 1926 – Toulon, 8 juillet 2000) était Jeannine-Adrienne Tudury (Saint-Eugène, 7 septembre 1929 – Toulon, 5 juin 2007) :
Paul Bonopéra et Jeannine Tudury ont eu, eux aussi, 6 enfants Bonopéra _ sans plus de précisions…
Et Mme Claude Petit a établi un contact avec au moins l’un des 6 enfants de Paul Bonopéra et son épouse Jeannine Tudury : Paul Bonopéra, qui vit à La Garde, dans le Var…
Peut-être sont frères de ce Paul Bonopéra, qui vit à La Garde :
Georges Bonopéra, né à Orléansville le 9 mars 1950, assez célèbre producteur de télévision parisien _ non : ce Georges Bonopéra-ci est fils de René Bonopéra (qui tenait le café de la gare à Affreville) et son épouse Arlette Cailliez (dont les parents étaient Henri Cailliez et son épouse Anna, de Pontéba ; René Bonopéra avait deux frères, Georges Bonopéra dit Coco, et Auguste Bonopéra ; et deux sœurs Yvonne et Hélène Bonopéra ;
et ceux-ci étaient les 5 enfants d’Auguste Bonopéra (dit le colonel) et son épouse Isabelle Vivès, qui tenaient le café de la rue d’Isly à Orléansville ;
et cet Auguste Bonopéra-là décèdera à la fin du mois de juin 1962 à Montpellier ; alors que son épouse Isabelle née Vivès était décédée à Orléansville en 1950 :
c’est ce que vient de me confier au téléphone ce jeudi 1er février 2024 Georges Bonopéra, né le 9 mars 1950 à Orléansville ; après que son fils Matthias Bonopéra (né à Paris 11e le 17 mai 1977), et ayant lu plusieurs articles de mon blog concernant la famille Bonopéra d’Orléansville, m’avait joint peu auparavant lui aussi au téléphone… _ ;
Roger Bonopéra, né en 1954 ;
et Jean-Stéphane Bonopéra, né à Orléansville le 5 décembre 1956 _ qui a un domicile au Lavandou ; et qui cherchait lui aussi à entrer en contact avec sa cousine Claudette Bonopéra…
Voilà pour ce jour.
Ce mardi 4 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un nouveau retour de bouteille jetée à la mer : un message d’un des petits-fils d’Huguette Bonopéra, petite-fille d’Auguste Bonopéra, le cafetier d’Orléansville, et arrière-petite-fille de Paul Bonopéra (Miliana, 1856 – Orléansville, 1919)

10avr

Cet après-midi,

nouveau _ merveilleux ! _ retour de message d’une bouteille lancée à la mer

_ soit, parmi pas mal d’autres, et plus spécialement, mon article du mardi 16 février dernier, à propos d’Auguste Bonopéra, le quatrième des fils de Paul Bonopéra et son épouse Joséphine Girot : _,

avec ces merveilleux mots-ci :

« Bonjour,

je suis le petit fils de Huguette Bonopéra, fils de Michel Dubois ;

je tiens à vous remercier pour tout ce travail de recherche ;

et c’est ainsi que je découvre l’histoire de ma famille ;

avec beaucoup de reconnaissance je vous remercie beaucoup ;

et n’hésitez pas à me contacter si je peux vous aider dans votre recherche« …

Ce contact,

de même que celui du 26 mars dernier

_ « Bonjour, je serais ravi de discuter avec vous, et peut-être vous faire avancer au niveau de la famille de Louyot Marcel«  _

reçu du descendant de Marcel-Auguste Louyot, et, plus en amont, de Jean Bonopéra _ en réponse à mon article du 16 mars dernier :   _,

constitue une miraculeuse surprise-récompense d’un travail de recherche de longue haleine

et absolument désintéressé :

autour de l’environnement familial _ les trois neveux, ainsi que leur descendance _ de l’inventeur, en 1868, à Lectoure, de la « photographie de couleurs » :

Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920)… 

Ou ce que peut apporter de merveilleux un blog tel que mon cher « En cherchant bien« …

Ce samedi 10 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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