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Un petit commentaire d’étape rétrospectif sur les généalogies de Swarte, Sartre, Rendu, Sauvy, Langlois, Kuntz, Hastreiter : à la recherche des ancêtres de Théotime Langlois de Swarte

16juin

Ce mercredi,

après pas mal de journées passées en recherches patientes _ souvent fastidieuses ; et qui pourront s’avérer, in fine, des culs-de-sac _ un peu tous azimuts

et s’orienter dans ce maquis quasi infini des connexions qu’offre le web, constitue aussi un jeu plein de surprises ; et il s’agit de ne pas risquer de passer à côté de (et manquer !) le moindre indice susceptible d’ouvrir l’éventualité d’une nouvelle piste, inattendue et même inespérée, qui pourrait bientôt s’avérer, et enfin, pleinement féconde ; et cela ne s’apprend qu’après avoir fait l’épreuve effective de ces divers riches chemins… _,

j’éprouve le besoin de faire ici un commentaire en quelque sorte de « point d’étape » un peu récapitulatif

concernant les diverses généalogies familiales que j’ai eu à remonter _ au-delà de leurs blancsafin d’essayer de retrouver-retracer les diverses lignées dont est issu le jeune brillant violoniste Théotime Langlois de Swarte, né à Céret (Pyrénées-Orientales), en 1995.


Et déjà c’est ce double nom, composé de « Langlois » et de « de Swarte« , qui m’a mis sur la voie de rechercher quel lien de famille pouvait avoir Théotime Langlois de Swarte, avec le Thibault de Swarte _ je découvrirai bientôt qu’il est né le 3 mars 1955, à Neuilly-sur-Seine ; soit 40 ans avant Théotime… _ qui a été, lui, et à deux reprises, mon collègue de travail, un peu avant et un peu après 1980 : la première fois au Lycée Grand Air d’Arcachon, et la seconde fois au Lycée Max Linder de Libourne.

Et ce Thibault de Swarte, avec lequel j’échangeais beaucoup, en voiture, de son domicile d’alors, rue Emile Zola, à Bordeaux _ jouxtant le merveilleux Jardin Public _, vers Libourne.

Thibault de Swarte qui me parlait de la Dordogne, où résidaient ses parents _ je ne sais si j’ai jamais su alors précisément où… _ ;

et avait évoqué aussi _ et cela m’avait marqué ! _ certains liens familiaux _ mais je ne souvenais plus exactement lesquels : peut-être s’agissait-il de liens de parenté de son épouse : était-elle donc une Sartre ?..  _ de sa famille de Swarte avec la famille Sartre, originaire, elle, de Thiviers, dans le nord de ce département…

Aussi quand il y a quelques années, déjà,

j’ai découvert

_ je suis un passionné de musique, et même, plus spécifiquement, de musique baroque : durant la décennie 1990- 2000, j’ai été un actif « conseiller artistique » de Hugo Reyne et La Simphonie du Marais (je suis l’auteur à 90 % du texte du livret du CD « Un Portrait musical de Jean de La Fontaine« , paru en 1996, chez Virgin-Veritas, EMI) ; puis j’ai été, avant même la naissance du premier CD Alpha (le CD Alpha 001 « Le Musiche di Bellerofonte Castaldi« , de Vincent Dumestre et Le Poème Harmonique, enregistré et publié en 1998), un conseiller permanent de Jean-Paul Combet qui créait alors le merveilleux label discographique Alpha ; j’ai rédigé quelques présentations de livrets de CDs Alpha, dont celui (le mémorable CD Alpha 017 « L’Orgue Dom Bedos de Sainte-Croix de Bordeaux« ) de Gustav Leonhardt à l’orgue Dom Bedos de l’abbatiale Sainte-Croix de Bordeaux, enregistré en juin 2001 ; ou le CD Alpha 920 « Sermon sur la mort« , enregistré en juillet 2002, dans lequel Eugène Green lit le plus fameux des sermons de Jacques-Bénigne Bossuet… _

l’existence d’un lien de fraternité entre le violoniste Théotime Langlois de Swarte _ né en 1995 à Céret _ et le flûtiste et co-directeur de l’Ensemble baroque « Les Ombres » Sylvain Sartre _ né le 28 août 1979, mais j’ignore encore où : Théotime et son frère Sylvain ont donc 16 ans de différence d’âge… _,

 j’ai décidé de me mettre en recherche des liens ayant existé _ ou existant encore _ entre certains des membres des familles Sartre et de Swarte, et cela tout particulièrement, et d’abord, dans le Périgord…

Telle a donc été l’amorce, puis le moteur effectif, de la recherche présente des lignées d’ancêtres de Théotime Langlois de Swarte,

avec le secret espoir de faire un peu de lumière sur les divers terreaux de son présent très éclatant talent de musicien…

Les parents de Théotime Langlois de Swarte (né à Céret en 1995) sont Hervé Langlois et Bertille de Swarte _ dont j’ignore, pour tous les deux, les lieux et dates de naissance ; de même que j’ignore le lieu et la date de leur mariage (chacun d’eux étant divorcé d’un précédent mariage ; Bertille de Swarte, d’avec Pierre Sartre).

Des 4 grands-parents de Théotime Langlois de Swarte :

M. x Langlois et Melle x Kuntz ; et Alain de Swarte et Geneviève Rendu,

je ne dispose _ jusqu’ici _ de données biographiques que du second de ces deux couples, celui de ses grands-parents maternels de Swarte :

_ Alain de Swarte (né à Hazebrouck, Nord, le 3 janvier 1926, et décédé à Agonac, Dordogne, le 26 décembre 2009) et son épouse Geneviève Rendu (née à Paris le 1er décembre 1929, et décédée à Antonne-et-Trigonant, Dordogne, le 26 octobre 2008).

Alain de Swarte et Geneviève Rendu se sont mariés à Neuilly-Sur-Seine au mois de juin 1954.

_ j’ignore tout du couple formé de x Langlois et son épouse x Kuntz.

Pour la génération des 8 arrière-grands-parents de Théotime,

j’ignore seulement les données biographiques concernant le bavarois Jacob Kuntz, l’époux de Katharina Halstreiter.

_ Robert Langlois (né à Sévres le 16 février 1900, et décédé à Montreuil-aux Lions, Aisne, au mois d’août 1944) est l’époux de Denise Dubourg (née à Rambouillet le 20 mai 1904, et décédée à Château-Thierry, Aisne, au mois de septembre 1944).

_ Joseph Kuntz est l’époux de Katharine Hastreiter (née à Eschlkam, Bavière, le 26 novembre 1890, et décédée à Bamberg le 14 avril 1973).

_ Pierre de Swarte (né à Vieux-Berquin, Nord, le 10 décembre 1898, et décédé à Prades, Pyrénées-Orientales, le 3 août 1990) est l’époux de Suzanne Martin de Ramefort (née à Gennes, Maine-et-Loire, le 16 janvier 1902, et décédée à Agonac le 15 août 1997).

Pierre de Swarte et Suzanne Martin de Ramefort se sont mariés à Hazebrouck le 2 juillet 1921.

_ André-Marie Rendu (né à Paisandu, Uruguay, le 17 mai 1885, et décédé à Canet-en-Roussillon le 8 août 1953) est l’époux de Marie-Thérèse Sauvy (née à Perpignan le 1er mai 1896, et décédée à Canet-en-Roussillon, Pyrénées-Orientales, le 30 juin 1994.

André-Marie Rendu et Marie-Thérèse Sauvy se sont mariés à Neuilly-sur-Seine, le 17 mars 1923.

À suivre…

Ce mercredi 16 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Renversante Milva (3) : en continuant à rechercher en ma discothèque…

27avr

En continuant à rechercher des CDs de Milva dans les rangées et piles de ma discothèque,

j’ai retrouvé 2 CDs supplémentaires :

l’un, de 1968, et l’autre, de 1994.

Le premier, intitulé « Milva Tango« , est un témoin de sa première période.

Et le second, intitulé « Milva L’Italienne« , est en fait une compilation ; mais extraordinaire !

Il comporte plusieurs chefs d’œuvre tout simplement renversants de beauté,

dont « Da troppo tempo« , de 1973 ;

« Per cosa« , de 1993 ;

« Chi mai« , de 1972 ;

ou encore « Canto a Lloret« , de 1986.

Le talent _ d’incarnation : la chair ne trompe pas… _ de Milva _ incomparable ! _ n’en finit pas de me combler…

Quelle artiste !

Ce mardi 27 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

La révélation discographique d’un splendide ténor français de 34 ans : Benjamin Bernheim

24nov

Chaque génération d’artistes offre _ très heureusement _ de nouveaux talents.

Vient de paraître chez Deutsche Grammophon un récital de très grande qualité

d’airs d’opéras romantiques

_ français, tout particulièrement : de Massenet et Gounod (Manon, Werther, Faust, Roméo et Juliette…), voici des interprétations de rêve, d’un charme tendre et d’une incarnation puissante, tout à la fois, absolues… _

par Benjamin Bernheim :

le CD Benjamin Bernheim _ DG 483 6078 _,

où un talent exceptionnel _ désormais reconnaissable : unique ! _ nous livre une splendide carte de visite,

avec le PKF – Prague Philharmonia, dirigé par Emmanuel Villaume.


Voici comment dans un article du Monde du 16 octobre dernier

Marie-Aude Roux débutait le portrait de ce chanteur :

Benjamin Bernheim est arrivé à voix de velours _ oui. Un air de nez au vent _ certes _, le regard clair qui ne ment pas. Sa grâce et sa rigueur _ les deux ! la seconde au service de la première _ se sont imposées dans l’épanouissement d’un somptueux ténor lyrique _ oui _, une voix conquise non à la force de l’art, mais de l’âme _ en tout cas d’une intelligence rarement aussi habitée de ces airs pourtant si courus. Longtemps, le chanteur n’a pas aimé sa voix. Qui ne s’extasierait pourtant _ en effet : nous sommes subjugués et conquis ! _ devant ce chant _ oui _ d’une juvénilité ardente _ en effet _, authentiquement poète, la radieuse volupté _ éclatante ! _ du timbre rond et clair _ oui _, une émission idéalement souple _ c’est parfaitement juste _, dont l’articulation habille chaque mot d’intelligence et d’intelligibilité _ oui ! _ ? Sans oublier le charme ensorceleur _ mais oui _ de cet aigu en voix mixte, entre tête et poitrine, dont la douceur _ c’est bien sûr là un facteur dominant : la tendresse _ et la subtilité _ c’est très juste aussi… _ extrêmes furent l’une des caractéristiques du beau chant français _ bien sûr ; et dans ce beau chant français-là Benjamin Bernheim excelle et nous emporte ! Bravo !

Rien à ajouter à cela

après écoutes répétées à plaisir de ce très beau CD.


À suivre !

Ce dimanche 24 novembre 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

P. s. : en complément;

voici un article du 21 novembre dernier, de Pierre Degott

sur le site de Res Musica :

Révélation lyrique avec le premier récital de Benjamin Bernheim

Révélation lyrique avec le premier récital de Benjamin Bernheim

 

Partager le plaisir du superbe CD Reincken de Clément Geoffroy, à L’Encelade

04nov

Ce dimanche,

réalisant ma petite recension matinale sur le net

des articles parus cette nuit,

voici,

sur le site de Res Musica,

cet excellent article de Cécile Glaenzer  

REINCKEN L’ÉTINCELANT PAR CLÉMENT GEOFFROY

dont les analyses rejoignent tout à fait les miennes

_ cf mes deux articles des 17 et 25 octobre derniers :

 

et   _ ;

et Johann Adam Reincken, ce magnifique compositeur,

comme Clément Geoffroy, cet excellent jeune claveciniste,

méritent parfaitement

pareille unanime reconnaissance

et de leur génie, et de leur talent !

 

REINCKEN L’ÉTINCELANT PAR CLÉMENT GEOFFROY

Johann Adam Reincken (c.1640-1722) :

Toccata en la majeur, Ballett, Toccata en sol mineur, Fugue en sol mineur, Suite en do majeur, Höllandische Nachtigall, Die Meierin, Praeludium en do majeur (transcription par Johann Sebastian Bach BWV 966), Suite anonyme en la mineur.

1 CD Encelade.

Enregistré en décembre 2017 à l’église Sainte-Aurélie de Strasbourg.

Livret français et anglais.

Durée 73:00
Geoffroy-Reincken


Quel bonheur _ mais oui ! _ que cet enregistrement ! Tout y est _ en effet ! _ somptueux : la musique de Reincken _ que oui !!! _, le jeu tour à tour brillant et sensible _ parfaitement ! _ de Clément Geoffroy et le son ample _ oui, en totale concordance avec le faste de cette musique _ du clavecin d’Émile Jobin. Une fois de plus, L’Encelade _ oui, oui, oui ! _ nous offre une pépite.

On connaît trop mal _ comment le comprendre ? quelle profonde injustice ! _ Johann Adam Reincken, organiste de l’église Sainte-Catherine de Hambourg dans la deuxième moitié du XVIIesiècle, et fondateur dans cette ville de la première maison d’opéra d’Allemagne _ rien moins… De son vivant, seules les six sonates composant son Hortus musicus ont été publiées. Mais certaines de ses compositions pour l’orgue et pour le clavecin ont été heureusement copiées par ses contemporains, car sa renommée était immense _ mais oui !!!! _ dans toute l’Europe du Nord. C’est ainsi qu’elles sont parvenues jusqu’à nous et leur grande qualité _ l’expression est encore trop modeste _ atteste du bien-fondé de la réputation de leur auteur. Dans cet enregistrement, Clément Geoffroy a choisi d’ajouter quelques pièces dont l’attribution est douteuse, dont une suite en la mineur qui pourrait être de la main de Johann Pachelbel. Johann Sebastian Bach lui-même a transcrit certaines sonates de l’Hortus musicus pour clavier, et nous en entendons ici un exemple méconnu.

Le jeu inspiré du jeune claveciniste fait merveille _ oui _ dans ce répertoire, tant dans la virtuosité propre au stylus fantasticus _ bien sûr : flamboyant ! _ que dans l’écriture à la française _ oui : Hambourg était un riche port hanséatique en communication avec toute l’Europe ; dont la France rayonnante de Louis XIV… _ des allemandes et sarabandes où son toucher sensible rend parfaitement les qualités expressives _ merveilleuses _ du compositeur. Une toute petite réserve, cependant, est appelée par la vélocité parfois un peu inutilement nerveuse, comme dans la fugue en sol mineur. Deux sommets dans ce programme : deux airs à variations, le premier intitulé Ballett et le deuxième sur l’air de La Meierin, emprunté à Johann Jakob Froberger _ (1616 – 1667) : autre compositeur sublime !, que dis-je, sublimissime !!! et passé par Paris ; et grand ami du génial  Louis Couperin (1626 – 1661). Cette dernière grande partita nous offre dix-huit variations admirables qui rappellent les variations de son ami Buxtehude _ 1637 – 1707 _ sur La Capricciosa et préfigurent les Variations Goldberg de Bach _ oui : une tradition majeure !!! On y admire, à chaque reprise, la science de l’ornementation de l’interprète, d’un goût très sûr _ oui.

Le choix du clavecin, un instrument d’Émile Jobin s’inspirant de la facture flamande des Rückers, est parfait _ en effet _ : un son éclatant et précis _ oui ! _ au service du _ très riche et soigné _ contrepoint de Reincken. L’accord au tempérament inégal (Lambert-Chaumont) lui confère une palette de couleurs très riche _ mais oui. Quant à la notice du livret, signée par Clément Geoffroy lui-même, elle témoigne de la grande culture et de la curiosité féconde _ c’est très important _ de ce jeune claveciniste qui nous emmène avec bonheur _ oui, oui, oui _ hors des sentiers battus _ et là, c’est entièrement de notre faute.

Courez vite vous nourrir de l’enchantement

de ce CD Johann Adam Reincken : Toccatas, Partitas & Suites,

L’Encelade ECL 1705.

Ce dimanche 4 novembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’expo Joseph Charroy au Novo Local, aux Capucins, à Bordeaux : un talent « vrai » discrètement éclate

16mar

Joseph Charroy,

jeune photographe bordelais

de très grand talent (!!!),

expose au Novo Local, aux Capucins

_ 16 rue Jules Guesde, à Bordeaux _

jusqu’au vendredi 1er avril :

une collection de ses photos _ noir et blanc, ici… _, sur un mur ;

ainsi qu’une collection de « petites huiles » _ en couleurs _

de sa compagne Florence Cats,

lui répondant sur le mur en face :

tous deux

ont en projet

la publication _ ils recherchent un éditeur ! _ d’un « carnet de voyage« ,

dans les Pyrénées (entre autres : par Saint-Béat),

en Languedoc-Roussillon, aussi _ Lunas : les noms aussi, pas que les lieux, leur plaisent… _,

et aussi un peu en Espagne,

intitulé « Chats lunatiques » :

les textes de ce carnet

sont de la main de Florence ;

au fil de ses impressions (de voyage),

celle-ci

cite aussi

des passages

qui lui plaisent _ et entrent en résonance… _

des livres qu’elle lit alors ;

ainsi, par exemple, Nocturne indien, d’Antonio Tabucchi  ;

ou, encore, La Joie, de Georges Bernanos… :

tout vient faire ainsi « correspondance« ,

en quelque sorte…

Parmi

les photos _ très, très belles  :

en l’éclat de leur vérité ! vous allez en juger… _

de Joseph,

voici une veduta _ nocturne _

de leur (familière ! ils la surplombent !) place Saint-Michel :

admirable !

photo

Et voici aussi celle-ci,

de « Nino » :

photo

Et voici encore,

bien qu’absente de cette exposition-ci au Novo Local

de ce mois de mars 2011,

une ancienne photo, « au miroir« ,

qui m’avait beaucoup plu,

quand j’ai fait la connaissance de Joseph Charroy,

lors d’une conférence de Bernard Plossu,

à la Bibliothèque Municipale de Bordeaux, à Mériadeck ;

c’était le vendredi 12 février 2010, à 18h30 _ je le retrouve sur mon agenda _ :

Joseph Charroy avait apporté

un beau lot, en une boîte, de son travail photographique,

afin de le montrer,

en vrac,

à Bernard Plossu,

présent à Bordeaux, ce soir-là, donc,

et parfaitement accessible _ comme il l’est toujours… _ ;


voici aussi le courriel

_ du lendemain, le 13 février, à 20h 12… _

dans lequel Joseph

témoignait

de cette rencontre

et de cet échange

avec Bernard Plossu :

Merci beaucoup pour votre attention
Pour moi cela a été une très belle rencontre, passionnante et très touchante. J’avais rarement entendu parler de la photographie d’une façon aussi généreuse et vraie. Je me suis senti très proche de cette approche de la photo (les
« photographes féminins« , le rapport à l’intimité, la simplicité, la sensualité, le plaisir de photographier et d’en parler…).

Beaucoup de choses à dire, mais j’étais un peu tétanisé, et tout cela était un peu rapide.

Mais j’y repense beaucoup.

J’ai pris pas mal de photos aujourd’hui, j’ai réussi à me procurer le livre de photos sur Marseille,

je viens de regarder votre blog, c’est très vivifiant de lire cette parole sur la photographie (j’ai imprimé les articles pour pouvoir les lire tranquillement en regardant des photos)…
Je vous envoie quelques photos (ce sont des scans de tirages et la qualité d’image laisse un peu à désirer…)

Encore merci et à bientôt j’espère

http://abordage1.free.fr/photos%20dos/joseph/leti5.jpg

Un admirable double portrait

en abyme…

Courrez au Novo Local des Capucins,

16 rue Jules Guesde,

tous les après-midis, du mardi au vendredi, entre 17 et 19 heures,

jusqu’au vendredi 1er avril compris…


Joseph Charroy est déjà un très grand !

_ parole, aussi,

et immédiatement,

de Plossu…

Titus Curiosus, ce 16 mars 2011

Post-scriptum :

La ville de Bordeaux

dispose de beaux talents _ vrais ! _

à faire valoir

une ville

qui a prétendu au beau titre de « Capitale européenne de la culture« …

Qu’elle ne se contente pas

de seulement ré-utiliser d’anciens talents

déjà bien confirmés,

anciens _ et/ou déjà morts _,
et qui, de plus, lui sont assez lointains : un peu d’audace vraie, aussi,

et créative,

s’il vous plaît !..


Cf mon article précédent du 12 mars dernier : OPA et titrisation réussies sur “l’art contemporain” : le constat d’un homme de goût et parfait connaisseur, Jean Clair, en “L’Hiver de la culture” sur le si juste livre de Jean Clair : L’Hiver de la culture, aux Éditions Flammarion, collection Café Voltaire,

à propos de la reconnaissance due aux artistes « vrais »

de leur vivant…

Et sur la venue à Bordeaux _ à l’excellente galerie Arrêt sur l’image, de l’excellente Nathalie Lemire-Fabre, et à la Bibliothèque de Mériadeck _ ces jours de février 2010 _ un an et un mois, à peine : alors qu’il me semble que c’était quasi en une autre vie… : je ne m’ennuie donc pas ! _ de l’ami Plossu,

cf mon article du 14 février 2010 Bernard Plossu de passage à Bordeaux : la photo en fête ! pour un amoureux de l’intime vrai…

il me semble, à la re-lecture, ne pas avoir pris de ride : comme quoi !.. La fraîcheur « dure » !

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