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Quand le simple souvenir d’un nom se met à parler : ou le désir d’aborder d’éventuels souvenirs de descendants de la famille Bonopéra…

02nov

Un récent « commentaire » (de M. Jean Schembri, né en Algérie en 1944) à un de mes articles remontant au 28 mars 2021 ( ),

ainsi que les quelques échanges de courriels qui ont suivi entre M. Schembri et moi
avec cette réponse de la part de M. Schembri à ma demande si le nom de « Wachter » lui disait quelque chose :
« aucune indication concernant la famille Wachter, si ce n’est que mon grand père Jean-Baptiste Mosti, décédé en 1974, avait plusieurs fois mentionné ce nom en parlant de notre famille mais lui, c’était une véritable encyclopédie…. »… ;
m’ont fait repenser à certains membres de la famille Bonopéra avec lesquels j’avais eu des contacts, en début d’année 2021,
et incité à essayer de reprendre contact aujourd’hui avec eux…
 
Car ce contact avec M. Jean Schembri m’a tout de suite fait reprendre et préciser de manière beaucoup plus synthétique mon regard sur les questions que je m’étaits posées, au jour le jour, au fil de ma recherche, sur les taches aveugles qui demeuraient concernant les filiations et apparentements des familles Bonopéra, Wachter et Confex, à Orléansville et ailleurs en Algérie, via les apparentements reliant ces familles aux Gentet, Rey, Gadel et Ducos du Hauron,
à partir de ma difficulté à identifier précisément qui étaient la « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter » et la « Madame Veuve Paul Bonopéra, née Confex » de divers avis de décès des familles Ducos du Hauron, Gadel, Ducros, etc. ;
familles auxquelles je m’intéresse centralement dans ma recherche de la descendance d’Amédée Ducos du Hauron,
à commencer par sa fille Eveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros,
sur laquelle il va falloir que je revienne…
cet important faire-part du décés d’Eveline Ducos du Hauron, paru dans l’Écho d’Alger du 2 janvier 1939 :
« M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants, MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité, le 1er janvier 1939 »
Et j’avais consacré, au mois de janvier 2021, toute une série d’articles au décryptage des divers noms de ce crucial faire-part du décès d’Eveline Ducos du Hauron, en date du 2 janvier 1939 :
Cf aussi le faire-part de décès de M. Victor Gadel, Payeur-adjoint du Trésor,  paru dans L’Écho d’Alger du 21 mars 1930,
faire-part qui mentionne le nom de Bonopéra ;
même si l’exemplaire de ce faire-part, et le seul qui soit accessible sur le web, est malencontreusement incomplet, déchiré (!) qu’il est, et en de très fâcheux endroits.
Le voici tout de même, et son détail est tout à fait précieux pour notre recherche :

« Mme Vve Victor Gadel née Aimée-Laurence Rey ; et épouse de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel à Orléansville le 9 mars 1905 _,

Monsieur Robert Gadel, étudiant en pharmacie né en 1906 ; ce que j’induis de sa classe (1926) d’incorporation _Mme née Irène Bure ils se sont mariés, à Alger, le 22 décembre 1927 _ et leur fils Jean-Claude,

M. Georges Gadel ,

M. et Mme née Jeanne Escudié _ Eugène Gadel leur mariage a eu lieu à Montpellier le 4 octobre 1910 _ et leurs enfants, de Paris,

Mme et M_ Marie-Louise, née Rey, et Amédée Ducos du Hauron : c’est moi qui rétablis ici le prénom d’Amédée, qu’une fort malencontreuse déchirure du papier photocopié et reproduit, a coupé ! _ Ducos du Hauron et leurs enfants deux garçons : Gérard et Roger, et trois filles _,

Mme Eveline Ducos du Hauron _ et M. Henri Ducros qui n’ont pas encore eu d’enfant, à cette date du 31 mars 1930 : ni la petite Mathilde, ni le petit Yves-Henri, qui naîtront un peu plus tard… _,

Mme et M. Eugène Gentet,

Mme Vve Gentet

et les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille,

Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros d’Azazga _, Jean, Bonopéra d’Algérie (et notamment d’Orléansville) _,

ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL

Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’Honneur,

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans _ il était né à Grandserre (Drôme) le 8 juillet 1872 _,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques, qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32 rue Eugène Robe.

PF GUYE, 38 rue Rovigo, Alger. T. 51-71.

En espérant vivement, aussi,
que le prochain colloque du samedi 27 octobre prochain, à Agen, consacré à Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),
l’inventeur, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs« , 
me donnera l’occasion de rencontrer quelques descendants directs des trois neveux (dont Amédée Ducos du Hauron, Agen, 1867 – Alger, 1935) de Louis Ducos du Hauron…
À suivre…
Ce mardi 2 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un autre descendant de Mahonnais (de Minorque) entré dans la famille Bonopéra d’Orléansville : Michel-Albert Pons, l’époux, en 1925, d’Hélène-Isabelle Bonopéra

03mai

La présence du nom de Pons

parmi les noms des familles mahonnaises présentes très tôt dans l’Algérie colonisée par les Français à partir de 1830,

m’amène à rechercher l’origine de Michel-Albert Pons (né à Perrégaux le 1er novembre 1897), l’époux, à Orléansville le 17 mai 1925, de Hélène-Isabelle Bonopéra (née à La Ferme, le 20 mai 1905), fille d’Auguste Bonopéra (né à Orléansville le 3 avril 1883) et son épouse Isabelle Vives _ cf par exemple mon article du 15 avril dernier : _ ;

Michel-Albert Pons et Hélène-Isabelle Bonopéra qui sont les parents de Michelle Pons (Orléansville, 1er février 1929 – La Colle-sur-Loup, 2 septembre 2013), et de son frère Auguste Pons (Orléansville, 3 novembre 1932 – Nice, 4 février 2011), l’époux de mon aimable correspondante niçoise née Françoise Morand de le Genevraye _ elle-même arrière-petite-fille de Marguerite Bonopéra (née à Miliana le 22 janvier 1849), la sœur aînée de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916), et de l’époux de Marguerite : Auguste Morand de la Genevraye (Varsovie, 11 septembre 1844 – Orléansville, 25 mai 1904), maire d’Orléansville au moment de son décès… La mère de Marguerite et de Paul, et épouse de leur père Juan-Dionis-Francisco Bonopéra, Margalida Miguela Saura, était née à Santa-Maria-de Mahon (Minorque) le 31 mars 1820 ; et ses parents, Miguel Saura (Mahon, Minorque, 1793 – Alger, 25 juin 1866) et Maria Orfila (Mahon, Minorque, 1796 – Alger, 25 février 1863), étaient eux aussi mahonnais… On peut aussi noter que la grand-mère maternelle de Juan-Dionis-Francisco Bonopera, soit la mère de sa mère née Jacinta Minguela, se nommait Antonia Pons… Cf mon article du 12 avril dernier : … 

De fait, Michel-Albert Pons, fils de Michel Pons, né en 1870 à Alger, est bien le petit-fils des minorquins Joseph-Bartolomé-Magin Pons, tapissier, né à Alayor (Minorque) le 7 novembre 1827), et son épouse Juana Taltavull, née à Mahon (Minorque) le 23 novembre 1838 ; lesquels se sont mariés à Alger le 14 octobre 1865…

Les Mahonnais sont donc bien présents dans la généalogie de cette famille Bonopéra d’Orléansville, qui m’intéresse ; apparentée aux Gentet, Rey et Wachter, d’Orléansville ;

et par là apparentés à cet Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935 ), le neveu « algéroisalgérien » de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), l’inventeur génial, à Lectoure, en 1868, de la « photographie de couleurs« …

Chercher est rarement infécond…

Ce lundi 3 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour obstiné au noeud de l’enquête autour de la branche « algérienne » des Ducos du Hauron : les liens entre les Rey, Gentet, Wachter, Confex et Bonopéra, à Orléansville

18avr

J’ai beau rechercher en diverses directions,

je continue de buter sur le nœud, à Orléansville, au tout début du XXème siècle, des liens _ d’apparentements matrimoniaux et de filiations _ entre les familles Rey _ et Ducos du Hauron, Gadel, puis Ducros et Bure _, Gentet, Wachter, Confex et Bonopéra,

assez bien cerné déjà _ me semble-t-il _ en mon article _ assez lucide _ du mercredi 3 février 2021 :

Au-delà de ma collecte patiente et quasi acharnée de documents,

je place mon espoir de progrès de cette enquête

dans l’inespéré contact de descendants de ces familles, qui seraient enfin aptes à me révéler _ ne serait-ce que par témoignage mémoriel _ quelques pièces obstinément manquantes de ce puzzle familial algérien, à Orléansville…

Comme qui était « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter » ?

Et « Madame Veuve Paul Bonopéra – mère, née Confex » ?

Puisque telles sont les deux principales énigmes sur lesquelles je continue de buter…

Ce dimanche 18 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques nouvelles découvertes concernant les enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet, à Orléansville…

29mar

Suite à mes recherches sur la descendance de Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897), la sœur de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?),

je suis revenu à mon article du 2 février dernier : ,

afin de poursuivre mes investigations, essayer de compléter ce qui y demeurait d’inconnu, et rectifier des erreurs manifestes…

Ainsi que de dégager quelques noms de descendants de ces familles, dont l’éventuel contact serait susceptible de m’aider à corriger quelques taches aveugles de ces généalogies… 

Et de fait j’ai pu réaliser quelques petites découvertes, au moins à propos des 5 enfants du fils de Jean-Baptiste-Antoine Wachter et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), Emile Wachter (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?) et de l’épouse de celui-ci, Hélène Janet…

D’abord, par mon accès aux livrets militaires de trois membres de la famille Wachter d’entre 1886pour Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?, ?)

et 1918, pour Émile-Antoine Wachter (Orléansville, 6 janvier 1898 – ?, après 1949),

avec aussi celui d’Henri Wachter (Orléansville, 22 octobre 1895 – ?, après 1939), en 1915,

j’ai eu accès aux dates de naissance dont je ne disposais pas encore :

Henri Wachter est né à Orléansville le 22 octobre 1895 ;

et son frère Émile-Antoine, à Orléansville, aussi, le 6 janvier 1898.

Tous deux étant déclarés les fils d’Émile Wachter (né à Mustapha le 15 mai 1869) et son épouse Hélène Janet.

Quant à Louis-Jules Wachter (Orléansville, 29 juillet 1866 – ?,?), frère aîné d’Émile (Mustapha, 15 mai 1869 – ?,?),

il est bien mentionné être le fils de Jean-Baptiste Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?,?) et Élisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925).

Dont acte.

J’ai aussi appris le prénom de la fillette de Suzanne-Hélène-Émilie Wachter (Orléansville, 29 novembre 1911 – Orange, 3 janvier 2004) _ c’est la plus jeune des 5 enfants d’Emile Wachter et son épouse Hélène Janet _ et son époux _ le 5 juillet 1930 à Orléansville _ Camille Férise  : née à Orléansville le 14 juin 1931 (elle décèdera à Marseille le 2 juin 2006), elle se prénomme Mireille…

Et encore le prénom de l’époux Debono de Michèle-Odile Wachter (Orléansville, 10 juillet 1937 – Amiens-Salouël, 27 mars 2010), la troisième enfant d’Émile-Antoine Wachter et son épouse _ en novembre 1924 à Orléansville _ Juliette-Augustine-Marie Le Léty :

il s’appelle René Debono ;

et ce couple Debono – Wachter résidait à Bonneuil-les-Eaux (Oise)…

À suivre...

Ce lundi 29 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A la recherche de descendants des Molbert de Chaux : les Mosti et les Schembri…

28mar

Faute d’avoir découvert des descendants de Sophie Wachter et son époux François-Martin Molbert,

je me rabats sur la recherche de descendants des frères de François-Martin Molbert,

Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904) et Pierre-Richard Molbert (Chaux, 28 avril 1834 – Mustapha, 29 janvier 1878).

Ainsi que j’ai déjà pu le constater, les installations de colons dans la difficile Algérie coloniale se faisait assez souvent par familles…

Et le pionnier des Molbert en Algérie fut très probablement, dès 1848, Jean-Baptiste-Claude Molbert, qui fonda à Kouba sa manufacture de poterie…

À son décès, à l’âge de 74 ans, le 24 novembre 1904 _ et sa veuve née Hélène Placette lui survivant jusqu’au 10 avril 1819 _,

la prospère entreprise manufacture de poteries de Kouba passa entre les mains de son fils aîné, Jean-Baptiste-Claude Molbert (Mustapha, 10 janvier 1860 – Kouba, 7 mai 1826). « Industriel et propriétaire« , celui-ci demeura célibataire.

Et donc, au décès de celui-ci, le 7 mai 1926,

son entreprise de Kouba passa entre les mains du fils aîné de sa sœur, feue Alexandrine-Françoise Molbert (Mustapha, 4 mai 1866 – ?,?), et de l’époux de celle-ci, feu Laurent-Augustin Mosti (Massa, 17 mars 1858 – ?,?) :

Jean-Baptiste Mosti (Mustapha, 3 octobre 1894 – Lyon, 1974).

La fille de celui-ci et de son épouse _ à Kouba, le 7 décembre 1919 _ Blanche Rasetti _ tous deux décédés à Lyon en 1974 _,

Lucette-Jeanne Mosti (Kouba, 5 novembre 1920 – Saint-Laurent-de-Chamousset, 10 septembre 2009),

épouse de Paul Schembri (Tunis, 6 novembre 1924 – Rillieux-la-Pape, 15 juin 2007) _ Non ! L’époux de Lucette-Jeanne Mosti, n’est pas Paul Schembri, mais Joseph-René-Jean Schembri (Alger, 1er mai 1922 – Sidi Moussa, 19 novembre 1958), m’informe, très aimablement, ce samedi 30 octobre 2021, leur fils Jean Schembri :« Tombé par hasard sur vos commentaires, d’abord bravo, et ensuite une petite rectification : mon père ne s’appelle pas Paul, mais Joseph René Jean SCHEMBRI, né à Alger le 1er mai 1922 et décédé à Sidi Moussa le 19 novembre 1958« . Merci beaucoup ! Les bouteilles lancées à la mer, finissent donc par rencontrer parfois de justes destinataires…  _

a eu un fils, Jean Schembri, né en 1944, et qui vit à Lyon,

et s’intéresse au cimetière de Kouba…

Le 17 juin 2020, Jean Schembri, sur un site de concitoyens de Kouba, a rédigé ceci :

« Je suis le petit fils de Jean-Baptiste Mosti, qui possédait la poterie Molbert, 33 av.Poincaré, à droite en montant du Ruisseau vers Kouba. Pouvez vous m’indiquer un contact fiable qui pourrait me renseigner sur l’état réel du cimetière et son devenir ? J’ai lu qu’il avait été désigné comme cimetière de regroupement ; j’ai contacté plusieurs fois le consulat, mais aucune réponse… Mes grands-parents sont décédés en 1974 à Lyon, mais possédaient (possèdent ??) une concession à perpétuité à Kouba. Ma question pourra peut-être vous surprendre, mais comme leur concession « lyonnaise » arrive à échéance, je suis en train de me demander si je pouvais envisager leur transfert à Kouba, à condition, bien sûr, que le cimetière ne soit pas régulièrement saccagé et vandalisé !!« ...

Jean Schembri doit probablement s’intéresser à l’histoire de sa famille :  les Schembri, les Mosti, les Rasetti, les Molbert ; et peut-être aussi les Wachter…

Ce dimanche 28 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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