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En reprenant, afin de précisions nouvelles, mes essais de généalogie de la descendance des 3 neveux (Amédée, Raymond et Gaston) de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920)…

24sept

Le message reçu hier 23 septembre 2021 _ en commentaire (important !) de mon article du 21 décembre 2010 : _

de Marie Boulanger, une amie de Philippe Engelhard,

message par lequel celle-ci m’avise que ce dernier est bien toujours vivant,

qu’il est né le 24 février 1942 _ et non pas le 29 juillet 1932, à Annecy, comme je l’avais écrit en mon article du 4 janvier dernier : … _,

et qu’il s’intéresse de près à la généalogie de sa famille,

m’amène à reprendre et réviser ce précédent essai de généalogie de la descendance des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

qu’étaient

1) Henri Amédée Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 août 1866 – Alger, 15 juillet 1935) ;

2) Raymond Camille Marie de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949) :

et 3) Etienne Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912).

Les deux nièces de Louis Ducos du Hauron, et sœurs d’Amédée et Gaston,

Marguerite Jeanne (Agen, 26 mai 1879 – Neuilly-sur-Seine, 17 novembre 1979)

et Marie Alice (Agen, 19 décembre 1880 – Neuilly-sur-Seine, 19 avril 1979) Ducos du Hauron, ,

étant demeurées célibataires et sans descendance…

Voici donc la reprise, avec corrections et ajouts _ en rouge et en gras _, de mon article , du 4 janvier dernier :

Ayant bien conscience du caractère quasi « indigérable » pour presque tout lecteur, même gourmand de curiosités exotiques et pittoresques très éloignées de lui eu égard à la plupart de ses préoccupations _ au point de voisiner l’inintérêt total et la radicale insignifiance pour lui, et provoquant l’inappétence et le rejet sans recours de la lecture _ ; et le lecteur le mieux intentionné qui puisse être, à l’égard des assez extravagantes « aventures d’explorations » de ce blog _ quel lecteur normalement sensé aurait le courage-folie (et le temps !) de scrupuleusement suivre, et en sa plus fidèle continuité, jour par jour, cette « enquête«  à laquelle je me livre ici et m’enfonce en des pistes (et incises) perdues de tout, en l’exhaustivité de cette « somme-feuilleton«  ; l’auteur n’ayant pas tout à fait encore l’incongruité de se prendre pour un adepte de l’écriture merveilleusement libre et cultivée d’un Montaigne, ni celle, ludique et systémique, d’un Pérec ; et pas davantage d’un Louis-Sébastien Mercier… _,

j’éprouve le besoin, pragmatique et éminemment modeste, de faire simplement, à ce moment, un petit point-bilan de ce qui persiste, à ce jour, de « taches aveugles » parmi les effectives avancées _ bien réelles ! _ de cette recherche, entreprise il y a maintenant un mois, d’identification des divers membres de la constellation familiale ayant entouré de sa très précieuse et très constante aide, d’abord la personne, mais aussi, ensuite, l’œuvre qui demeurait _ ad vitam æternam après le décès de leur génial auteur _, de cet extraordinaire inventeur qu’a été le gascon Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920).

Dont le parcours d’inventeur mérite d’être enfin reconnu _ à cette occasion opportune et bien commode du centième (ou maintenant cent-unième) anniversaire de son décès _ à son entier _ et tout à fait singulier _ mérite.

Je désire donc continuer de réduire les « taches aveugles » qui persistent encore concernant l’identité et la filiation des personnes _ extrêmement bienveillantes à l’égard d’abord, bien sûr, de la personne, mais aussi des travaux et inventions, de cet extraordinaire inventeur (y compris après le décès de celui-ci, en 1920) _, appartenant à la constellation familiale _ élargie à l’entourage, toujours assez important, de leurs parents et alliés _ des petits-neveux et petites-nièces _ et leurs descendants _ de Louis Ducos du Hauron

_ soient les enfants (et descendants) de ses très chers neveux (qui, chacun des trois, l’ont tous magnifiquement épaulé en ses recherches), Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) et son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912), les deux fils d’Alcide Ducos du Hauron, et son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen ? mai 1923), ainsi que leur cousin germain Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 4 février 1869 – Paris 16e, vers 1949), le fils semble-t-il unique de Berthe Ducos, et son époux Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) ;

et de leurs épouses respectives, Ducos du Hauron (nées Marie-Louise Rey, et Edmée de Lamarque), et de Bercegol (nées Émérancie David et Yvonne Marinier) ;

pour m’en tenir, tout d’abord, au niveau de la seconde génération qui a suivi celle de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920), son frère aîné Alcide (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909), et sa sœur cadette Berthe (Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?), puis celle de ses neveux Amédée (1866 – 1935), Raymond (1869 – vers 1949) et Gaston (1870 – 1912) _,

c’est-à-dire cette génération des petits-neveux et petites nièces de Louis Ducos du Hauron,

qui a suivi celle de ses neveux Amédée, Raymond et Gaston : nés en 1866, 1869 et 1870 ; et décédés en 1912, 1935 et 1949.

En voici donc un tableau :

1°) Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) et son épouse Marie-Louise Rey (?, 1879 – Agen, 1933) _ j’ignore à ce jour le lieu (peut-être _ ou plutôt très probablement _ à Orléansville, où semble être née et avoir été domiciliée _ au moins chez son oncle et tuteur Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), à partir du décès des deux parents de Marie-Louise, sa mère Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son père Jean Anatole Firmin Rey (Satolas, 2 avril 1821 – Oran, 28 janvier 1890) _  Marie-Louise Rey…),

et la date (probablement entre 1896 et 1901…),

de leur mariage, en Algérie _ probablement à Orléansville _ ; peut-être est-ce même ce mariage avec Marie-Louise Rey, en Algérie, qui aura décidé Amédée Ducos du Hauron à lui faire choisir ne pas accompagner ses parents, son frère Gaston et son oncle Louis, retourner en France, mais plutôt demeurer, lui et son épouse, en Algérie… _

ont eu au moins cinq enfants _ dont je connais 4 (sur 5) des prénoms (du moins si je me fie au nombre d’enfants que le couple avait à charge, en 1927, à Rébeval, au moment de la retraite de la fonction publique d’Amédée…) : Éveline, Edmée, Gérard et Roger ; j’ignore le prénom de celle que je suppose avoir été la troisième des filles (ou le troisième des garçons…) d’Amédée et Marie-Louise : et cela sur la foi du faire-part, paru dans le numéro de L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, annonçant le décès d’Éveline Ducos du Hauron, épouse de l’administrateur de Dupleix Henri Ducros ; faire-part sur lequel figurent seulement deux Ducos du Hauron _ frères de la défunte Éveline _ : Gérard et Roger… : les autres enfants d’Amédée et Marie-Louise (frères et sœurs de cette Éveline décédée cette fin décembre 1938…) seraient-ils donc décédés _ probablement ! _ entre l’année 1927 et l’année 1938 ?.. _ Ducos du Hauron ;

2°) Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 22 février 1902) _ leur mariage a eu lieu à Saint-Mandé, le 7 janvier 1898 _

ont eu deux enfants, deux filles _ Etiennette et sa cadette, Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone _ Ducos du Hauron ;

et 3°) Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et ses deux épouses successives, Émérancie David (Bélaye, 21 avril 1875 – Bélaye, 31 octobre 1905) _ leur mariage a eu lieu à Bélaye, le 28 octobre 1896 _, puis Yvonne Marinier (Saint-Trojan, 29 août 1875 – j’ignore le lieu et la date de son décès…) _ leur mariage a eu lieu à Bordeaux, le 4 juin 1907 _ont eu deux enfants, deux filles _ Marie-Henriette et Simone _ de Bercegol, toutes deux précocément décédées : l’aînée, le 15 novembre 1912, et la cadette, deux mois auparavant, le 7 septembre 1912 _  ; et donc sans descendance.

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1935) _ l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920) _ et son épouse Marie-Louise Rey (peut-être Orléansville, 1879 – Agen, 1933)

ont donné 5 petits-neveux à l’oncle Louis (Langon, 1937 – Agen, 1920) _ dont j’ignore, à ce jour, presque tout de l’ordre de naissance (à part celle d’Edmée, en 1904, à Lamartine ; et celle de Gérard, en 1909, à Berrouaghia) ; mais, sur foi d’un article de L’Écho d’Alger annonçant une exposition, à Alger, en 1927, de photos de Louis Ducos du Hauron, je suppose que, en 1927, 5 enfants d’Amédée Ducos du Hauron étaient vivants et « à sa charge«  de retraité (disposant d’une maigre pension de « 400 francs par mois« …), domicilié alors à Rébeval, une des villes où avait déjà résidé Amédée lors d’une des étapes (c’était en 1913) de son périple d’administrateur-adjoint de diverses « communes mixtes«  _ :

_ Éveline Ducos du Hauron, née peut-être à Orléansville, entre 1896 et 1901, et décédée à Alger fin décembre 1938 ; épouse _ j’ignore où eut lieu ce mariage, et probablement entre fin 1926 (où un nommé François Perez qualifiait Éveline Ducos Ducos du Hauron de « son épouse«  !) et 1929 : un point qui reste à éclaircir… _ de Henri Ducros : originaire d’Azazga _ où sa famille était installée depuis la fin des années 1880… _, Henri Ducros (né à Alger le 25 juin 1887) a été administrateur-adjoint de Port-Gueydon, où sont nés trois des enfants de ce couple formé de Henri Ducros et Éveline Ducos du Hauron : Raymonde Ducros (décédée en bas âge à Port-Gueydon au mois d’octobre 1933 _ j’ignore sa date de naissance _), Yves-Henri Ducros (né à Port-Gueydon au début du mois de juin 1930) et Raymond Ducros (né à Port-Gueydon au mois de mai 1931).

J’ignore si Yves-Henri Ducros et son frère Raymond Ducros, ont eu, ou pas, une descendance…

Ainsi que si ils ont, ou pas, quelques liens avec la bien connue entreprise (d’épices) Ducros,

installée entre Avignon et Carpentras ? Une piste à explorer…

_ Edmée Ducos du Hauron, née à Lamartine le 9 juillet 1904, où son père, Amédée, était alors administrateur-adjoint _ j’ignore le lieu et la date de son décès ; et si elle a été mariée et a eu une descendance : probablement pas…

_ un 3e enfant, et peut-être une fille _ dont j’ignore le prénom _ Ducos du Hauron.

_ Gérard Ducos du Hauron, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (où son père, Amédée, était administrateur-adjoint), et décédé à Avignon le 27 janvier 2000. Gérard Ducos du Hauron a épousé à Alger, le 25 novembre 1939, Mme Veuve Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 novembre 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972) ; et il ne semble pas avoir eu de descendance.

_ Roger Ducos du Hauron _ dont j’ignore le lieu et la date de naissance, ainsi que le lieu (en France : il est venu vivre à Savigny-sur-Orge au moment de son rapatriement en France, vers 1962 (mais pas dans la maison du 14 de la rue des Rossays, où avaient vécu ses grands-parents, Alcide et Césarine-Marie, ainsi que son grand-oncle Louis : cette maison sur laquelle a été apposée, en 1951, une plaque commémorant le séjour, là, de l’inventeur Louis Ducos du Hauron…) et la date de son décès _ ; Roger Ducos du Hauron et son épouse Sylvia _ j’ignore son nom de jeune fille… _ ont eu 4 enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 28 décembre 2009) ; Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ peut-être lui aussi à Alger… _ et qui vit aujourd’hui en Espagne… ; celui-ci a deux fils, dont l’un est prénommé Cédric ; et l’autre, Aurélien) ; Danièle Ducos du Hauron ; Denise Ducos du Hauron.

Gaston Ducos du Hauron (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _ le second des fils du frère aîné de Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920), Alcide Ducos du Hauron (Coutras, 29 juin 1830 – Savigny-sur-Orge, 13 mai 1909) et de son épouse Césarine-Marie de Fourcauld (Le Temple-sur-Lot, 3 février 1841 – Agen, ? mai 1923) _ et son épouse Edmée de Lamarque (Poitiers, 1876 – Saint-Mandé, 1902), mariés à Saint-Mandé le 7 janvier 1898, ont donné, eux, deux petites-nièces à l’oncle Louis (Langon, 1837 – Agen, 1920) :

._ Etiennette Ducos du Hauron, née à Saint-Mandé le 26 décembre 1898, et décédée à Paris-6e le 20 décembre 1996. Épouse à Agen, le 20 juillet 1920, de son cousin Alfred Lamarque (Angers, 30 juin 1898 – Paris-7e, 1er décembre 1976), Etiennette Ducos du Hauron et Alfred Lamarque ont été les parents de 10 enfants Lamarque : Jacqueline Lamarque (qui épousera Jean Allard : ils auront 3 enfants : Anne-Elisabeth, François et Louis Allard), Geneviève Lamarque (qui épousera Bernard Viennot : ils auront 5 enfants : Benoît, Emmanuel, Hubert, Anaïs et Dominique Viennot), Yves Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Madeleine Lamarque (précocement décédée), Jean Lamarque _ marié, il a des enfants _, Xavier Lamarque _ marié, il a des enfants _, Marie-Odile Lamarque (devenue Mère Marie de Sienne), Anne-Marie Lamarque (qui épousera un M. Haudiquet ; leurs fils est Xavier Haudiquet-Lamarque), Marguerite-Marie Lamarque (précocement décédée) et Claude Lamarque (devenu chef d’orchestre) _ Claude Lamarque, qui a un fils vivant au Sri Lanka, compte, m’a-t-il confié, 27 neveux et 43 petits-neveux, nés de ses frères et sœurs Lamarque qui ont eu des enfants.

_ Marie-Madeleine-Adrienne, dite Simone, Ducos du Hauron, née à Saint-Maurice le 20 mai 1900, et décédée à Bayeux le 22 novembre 1955. Épouse à Paris 7e, le 27 janvier 1932, de Jacques Engelhard, Simone Ducos du Hauron et Jacques Engelhard ont été les parents de 2 enfants : Philippe Engelhard (Annecy, 29 juillet 1932 – Paris 16e, 28 octobre 2017 : là, il y a eu hélas confusion de ma part  : en fait, Philippe Engelhard est né le 24 février 1942, et surtout il vit toujours !) ; et Marie-Bernadette-Gemma-Etiennette- Françoise (dite Nadine) Engelhard (Berck, 30 septembre 1935 – Neuilly-sur-Seine, 26 juin 2019).

Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949…) _ le troisième des neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le fils de sa sœur Berthe Ducos ((Libourne, 23 janvier 1842 – ?, ?) et de son beau-frère Onézime de Bercegol (Bélaye, 19 février 1834 – Cahors, 21 septembre 1896) _ a eu de chacune ses deux épouses, Émérancie David (Bélaye, 1875 – Bélaye, 1905), et Yvonne Marinier (Saint-Trojan, – Paris 16e, ?), une fille _ Marie-Henriette (Bélaye, 16 janvier 1899 – Joinville-le-Pont, 15 novembre 1912) et Simone-Camille-Jeanne-Marie (Joinville-le-Pont, 13 mars 1910 – Paris 13e, 7 septembre 1912) _mais toutes deux précocement décédées, et donc sans descendance _ et j’ignore si Raymond de Bercegol et son épouse Yvonne ont eu, ou pas, un autre enfant… _ :

_ Marie-Henriette de Bercegol (née à Bélaye, le 16 janvier 1899, et décédée à Joinville-le-Pont le 15 novembre 1912) ;

_ Simone de Bercegol (née à Joinville-le-Pont, le 13 mars 1910, et décédée à Paris 13e le 7 septembre 1912) 

Voilà où je me trouve, à ce jour, 4 janvier 2001, de cette identification des personnes constituant la famille des héritiers _ tout du moins en esprit _ de Louis Ducos du Hauron,

et de son œuvre.

Ce lundi 4 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Voilà donc ce vendredi 24 septembre 2021 quelque corrections et ajouts à ce tableau généalogique de la descendance des neveux Ducos du Hauron (Amédée et Gaston) et de Bercegol (Raymond), de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920),

du 4 janvier dernier…

J’ose espérer que la lecture, quelque jour _ comme celle que viens de faire hier Annie Boulanger… _, de ce blog ;

ou bien les opportunités de rencontres qu’offrira le colloque « Ducos du Hauron » du samedi 27 novembre prochain, au Théâtre Ducournau, à Agen,

permettront l’éventualité de quelques nouveaux progrès dans l’établissement de cette descendance des neveux de Louis Ducos du Hauron,

ce génie agenais,

inventeur de la « photographie de couleurs« …

Ce vendredi 24 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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