Suite (I) de l’ aperçu sur quelques domiciliations, à Ciboure, de membres de la vaste famille des Larrea, apparentés à des Delouart, des Goyenague et des Passicot, cousins cibouriens de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel…

— Ecrit le mercredi 17 novembre 2021 dans la rubriqueBlogs, Histoire, Musiques, Villes et paysages”.

Ce mercredi 17 novembre,

je poursuis donc l’aperçu commencé hier _ cf mon article :  ;

qui lui-même fait suite à l’article du lundi 15 novembre :  … _

des domiciliations de certains membres de la vaste famille cibourienne des Larrea,

apparentés, par mariage, aux Delouart, Goyenague, Etchepare,

mais aussi à des Passicot ;

qui font partie des cousinages cibouriens de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840, quartier de Pocalettte, Bourbouillonbaita, n° 118 – Paris, 5 janvier 1917)

et son fils Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875, rue du Quai, n° 12 – Paris, 28 décembre 1937).

Je reprends donc les domiciliations qui concernent plus précisément, cette fois,

Catherine Larrea, née à Ciboure le 9 octobre 1832, rue Bordagain, maison n°17ainsi que de son époux, Jacques Goyenague _ à Ciboure, le 16 octobre 1823 (sans mention du domicile de la naissance, mais assez vraisemblablement le même que celui des naissances de certains d’autres enfants de Michel Goyenague (sic), né à Ciboure le 11 janvier 1790 et décédé à Ciboure le 20 novembre 1849) et son épouse Marie Delouart (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872), c’est-dire Simon Goyenague, le 21 novembre 1821, rue Pocalette, maison n° 117 ; et Bertrand Goyenague, le 6 mars 1832, lui aussi rue Pocalette, maison n° 117) ;

cependant, je dois ajouter ici que Marie D’Oyenhart, nommée ainsi dans l’acte d’état civil de son mariage avec Martin Passicot, en date du 17 juillet 1850, à Ciboure (elle est dite être domicilée alors Pocalette, maison Miquelenia n° 183), est effectivement mentionnnée être fille de feu Michel D’Oyhenart (décédé à Ciboure le 20 novembre 1849) et son épouse Marie Delouart (alors âgée de 59 ans) ; ainsi que née le 28 juillet 1827, au quartier de Pocalette, maison n° 117, elle aussi… ;

alors que Nicolassa Doyhenard, nommée ainsi dans l’acte d’état-civil de sa naissance, à Ciboure, le 19 juin 1829, et effectivement fille, elle aussi, de Michel Doyhenard (sic) et son épouse Marie Delouart, alors âgée de 44 ans, est née, elle, à Pocalette, mais maison n° 97… Serait-ce là une erreur de graphie du rédacteur de cet acte d’état-civil ?…

Ces deux filiations de Michel Goyenague et son épouse Marie Delouart,

constituent, pour la seconde (Nicolassa), une découverte d’aujourd’hui ;

et pour la première (Marie, future épouse de Martin Passicot) un approfondissement de ce que j’avais précédemment découvert _ cf sur ce point, mon article du 28 mai 2019 :  … _ au fil de mes recherches, concernant la descendance nombreuse _ de 11 enfants Passicot… _ de ce couple Martin Passicot – Marie Goyenague : en Argentine…

Jacques Goyenague et Catherine Larrea, je reviens à eux, se sont mariés à Ciboure le 23 avril 1856 ;

et Jacques Goyenague, à la date de ce mariage, était dit être domicilié quartier Pocalette, maison Dolhorénia _ soit trois maisons seulement en aval de la maison San Estebania…

Jacques Goyenague et Catherine Larrea ont eu plusieurs enfants Goyenague :

je m’y attacherai donc demain…

Encore à suivre, par conséquent…

Ce mercredi 17 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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