Archives du mois de mars 2022

Karol Beffa, ou « l’intelligence très sensible » _ de la musique, bien sûr et d’abord, mais pas seulement…

26mar

Hier vendredi 25 mars, je me suis entretenu une bonne heure durant, pour un entretien vidéocasté (sans public), avec Karol Beffa, à propos de son passionnant livre _ et qui lui tient très à cœur _ « L’autre XXe siècle musical« .

Je m’étais déjà entretenu avec Karol Beffa, et en cette même Station Ausone, et cette fois en présence du public, pour la séance inaugurale des conférences de la saison 2016-2017 de la Société de Philosophie de Bordeaux _ dont j’étais (et suis) vice-président… _, sur le sujet, cette fois-là de « Ce que nous fait la musique« …

L’ami Étienne Bimbenet s’entretenant avec son ami le philosophe Francis Wolff.

Et ces deux fois, la librairie Mollat avait bien voulu agréer ma proposition de recevoir pour un entretien en son lieu prestigieux les invités eux-mêmes prestigieux que je proposais de recevoir…

J’avais déjà rencontré deux fois Karol Beffa, au Festival Philosophia de Saint-Émilion :

_ la première fois, c’était lors d’un conférence _ avec illustration musicale _ de Francis Wolff, avec Karol Beffa en « illustrateur musical » _ de luxe ! _ au piano, en l’église collégiale de Saint-Émilion le samedi 30 mai 2015 ;

_ et la seconde fois, un an plus tard, le samedi 28 mai 2016, lors d’une conférence de Karol Beffa lui-même, sur le thème de « la culture« , dans les Douves du Manoir Galhaud : le sujet en était précisément « Création et créativité » _ cf ce que j’en rapportais en mon décidément bien utile article du 1er juin 2016 : « « 

Et c’est à l’issue de cette conférence, ce 28 mai-là, dans les Douves ensoleillées du Manoir Galhaud, que je me suis présenté à Karol Beffa, en lui demandant si il accepterait de venir parler de musique (et de création musicale) pour la séance inaugurale de notre Société de Philosophie de Bordeaux…

Ce que je m’offrais à aller proposer au plus vite et à notre Société de Philosophie de Bordeaux, et à la Librairie Mollat. Et qui allait être agréé. 

Le 1er juin suivant, dans la foulée, je publiais sur mon blog Mollat « En cherchant bien » mon article intitulé « « …

Ici, j’éprouve le désir rétrospectif de reproduire deux bien significatifs courriels, en date des 19 et 20 octobre 2016,

le premier à quelques amis,

et le second à Karol Beffa lui-même,

en leur adressant le podcast _ réduit à de bien pauvres 32′ _ de l’entretien que l’ami Étienne Bimbenet a eu avec son ami Francis Wolff, et moi-même, Francis Lippa, avec Karol Beffa :

d’abord, ce courriel à quelques amis, en date du 19 octobre 2016, à 18h 57 :

Le podcast (de 32’) de la partie « Entretien » avec Karol Beffa et Francis Wolff vient de paraître à l’instant sur le site de la librairie Mollat.


Voici un lien pour l’écouter :

Pour me consoler (un peu) de ce à quoi s’est réduit cette rencontre (et son podcast accessible réduit à 32’),
je me représente Karol Beffa en Igor Wagner,
le pauvre accompagnateur de cette Bianca Castafiore que serait Francis Wolff
même si nous avons eu en la personne de Karol Beffa un accompagnateur de luxe in vivo.
Afin de s’esquiver (de Moulinsart) pour aller (au village) jouer aux courses,
Igor Wagner use d’un subterfuge : il se fait remplacer par un enregistrement de magnétophone
débitant obstinément les gammes auxquelles il est sensé s’exercer à son piano…
La ressource finale est d’écouter (et regarder) sur youtube les passionnantes « Leçons » de Karol Beffa au Collège de France (à la chaire de création artistique),
telles que j’en donne les liens dans mon article du 1er juin dernier :
Mais je ne désespère pas de faire revenir Karol Beffa pour parler de son activité de composition (et de celle de György Ligeti).
On peut lire aussi son « Les Coulisses de la création », avec Cédric Villani.
Francis
Ensuite, ce courriel à Karol Beffa lui-même, en date du 20 octobre 2016, dans lequel j’aborde la question de la mélancolie au sein de sa propre poïétique musicale de compositeur :

Cher Karol,

en attendant un article un peu conséquent (et peaufiné) sur cette séance inaugurale de la Société de Philosophie de Bordeaux,
voici un lien vers le podcast (de 32’) de la partie enregistrée :
Si je suis heureux que l’ami Etienne Bimbenet ait pu bien écouter Francis Wolff sur « Ce que nous fait la musique » et s’entretenir avec lui,
ainsi que de l’assistance très nombreuse à cette manifestation _ jamais cette salle n’avait été jusqu’ici aussi remplie _,
je le suis un peu moins d’avoir dû renoncer à m’entretenir avec vous des questions de poïétique qui m’intéressent,
suite à votre passionnant entretien avec Hélène Lastécouères du 28 mai à Saint-Émilion, et à vos « Leçons au Collège de France » ;
et qui m’avaient amené à organiser cette rencontre chez Mollat…
Mais la question des « souffrances »
et de la « mélancolie » dont vous parlez parfois à propos de votre travail de composition,
et qui est aussi la couleur de la plupart, dites-vous, de vos œuvres, du moins jusqu’ici,
continue de me travailler.
Outre l’écoute des divers extraits de vos œuvres (non disponibles hélas pour le moment en CDs) accessibles sur youtube,
une bien intéressante interview de vous par Eva Bester, le 28 juillet 2014, sur France-Inter, dans l’émission « Remède à la mélancolie »
m’encourage à creuser ce sillon…
Vous y reconnaissez « un naturel mélancolique, probablement »
En réfléchissant un peu autour de vos principes esthétiques
_ plutôt « transpiration » qu’« inspiration », et ici j’ai pensé, bien sûr, à Paul Valéry
que, m’interrogeant sur la « singularité Durosoir », j’évoque dans mes propres contributions au colloque « Lucien Durosoir » au Palazzetto Bru-Zane, à Venise, en février 2011 _,
j’ai trouvé un article bien intéressant de Jacques Darriulat : « la Poïétique de Paul Valéry » : http://www.jdarriulat.net/Auteurs/Valery/ValeryIndex.html
Même si je ne partage pas tout à fait ces positions intellectualistes…
J’aime aussi Sainte-Beuve…
Bref, je voudrais développer une autre fois ces questions avec vous.
Et je sais qu’à la librairie Mollat on vous réinvitera.
Et enfin, ce qui est une coïncidence de plus,
après celle de la voïvodie _ de la Galicie autrichienne, de 1772 jusqu’en 1918, puis polonaise de 1919 à 1945, puis soviétique en 1945, et aujourd’hui ukrainienne depuis 1991 _ de Stanislawow _ et la contiguité des villes de Tysmienica (aujourd’hui Tysmenytsia) et Stanislawow (aujourd’hui Ivano-Frankivsk) : les villes de naissance de nos pères, le vôtre en 1943, et le mien en 1914… _,
voici que vous séjournez régulièrement au château de Mazères, chez vos amis de Margerie,
à Barran, dans le Gers,
où se trouve une propriété familiale de mon gendre Pascal,
qui s’est souvent baigné, enfant, au château de Mazères…
Bien à vous, cher Karol,
Francis Lippa, à Bordeaux
Bref, vous voilà donc, cher Karol, maintenant revenu à la Station Ausone pour un nouvel et absolument magnifique entretien,
pas tout à fait directement sur le sujet de votre propre Poïétique musicale de compositeur, en sa singularité,
mais au moins à propos de celle de compositeurs du XXe siècle dont vous vous sentez, sur tel ou tel point de poïétique musicale, proche ; que vous aimez _ voire chérissez, même si votre enthousiasme s’exprime toujours avec beaucoup de retenue et modération… _ tout particulièrement ; et souhaitiez fermement voir un peu mieux reconnus à une plus juste place en leur siècle de composition…
Bien sûr, j’espère que ce passionnant, riche, précis _ très heureusement détaillé _ premier volume de ce « L’autre XXe siècle musical« , sera bientôt suivi d’un autre qui portera le focus sur d’autres compositeurs que vous appréciez beaucoup, eux aussi, et estimez devoir, eux aussi, mieux faire reconnaître à une plus juste place parmi les compositeurs majeurs du XXe siècle…
Ce samedi 26 mars 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Jouir de la sublime tendresse des Messes de Johann Caspar Kerll (1627 – 1693)

25mar

Johann Caspar Kerll (Adorf, 9 avril 1627 – Munich, 13 février 1693) est un des grands compositeurs du Baroque germanique,

formé à Rome, vers 1640, auprès du merveilleux Giacomo Carissimi (1605 – 1674) _ et accessoirement, pour l’orgue, Girolamo Frescobaldi (1583 – 1643)… _qui fut aussi le maître romain de Johann-Jakob Froberger (1616 – 1667), mais aussi de Marc-Antoine Charpentier (1643 – 1704), ces génies musicaux de la sublime douceur…

Les messes de Kerll déploient ainsi une sublime infinie tendresse, qui nous console toujours aujourd’hui de presque tout.

Parmi les CDs de ma discothèque sont présentes les Messes suivantes de Kerll :

_ la « Missa Non sine quare« , dans le CD Symphonie SY 99171, par La Risonanza dirigée par Fabio Bonizzoni, en 1999 ;

_ la « Missa Nigra« , dans le CD Œhms OC 358, par la Neue Hofkapelle München dirigée par Gerd Guglhör, en 2004 ;

_ et la « Missa pro defunctis« , dans le CD Ricercar RIC 368, par Vox Luminis sous la direction de Lionel Meunier, en 2016.

En revanche, y font pour le moment défaut les Messes suivantes :

_ la « Missa Superba« , par l’Ensemble Balthasar Neumann sous la direction de Thomas Engelbrock, en le CD Hänssler 93.039, en 2001 ;

_ la « Missa Cujus toni« , par l’Ensemble Kitaredium, en le CD Euphonica EU 02, en 2006 ;

_ la « Missa Renovationi« , par le Knabenchor de Dresde, sous la direction de Matthias Jung, en le CD Cantate 58031, en 2009 ; 

_ et la « Missa In fletu solatium obsidionum Viennensis« , par le Cantus Köln et le Concerto Palatino sous la direction de Konrad Junghänel, en le CD Accent ACC 24286, en 2013.

Johann-Caspar Kerll : un compositeur majeur à redécouvrir bien attentivement…

Ce vendredi 25 mars 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Déceler la spécificité musicale de Zoltan Kodaly (1882 – 1967)

24mar

Il est intéressant de s’interroger sur la spécificité musicale de Zoltan Kodaly (Kecskemet, 16 décembre 1882 – Budapest, 6 mars 1967).

 

Ce jeudi 24 mars 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Retour sur le CD « Specchio veneziano (Vivaldi – Reali) » de l’Ensemble Le Consort

23mar

Le 8 décembre dernier, mon article «  » s’intéressait à une parution récente de l’Ensemble Le Consort consacrée à des Sonate per violino d’Antonio Vivaldi (1678 – 1741) comparées à des Sinfonie d’un autre compositeur vénitien, moins connu, Giovanni-Battista Reali (1681 – 1751), deux quasi contemporains à Venise.

….

Et voici qu’avant-hier, 21 mars, le site ResMusica, sous la signature de , consacre un article, intitulé « Vivaldi et Reali en un miroir révélateur avec l’ensemble Le Consort« … 

Voici ce que cela donne :

Vivaldi et Reali en un miroir révélateur avec l’ensemble Le Consort

Confronter Giovanni Reali à Antonio Vivaldi permet de mieux situer ce dernier dans son univers musical, sujet aux influences et aux inspirations de la cité vénitienne. Le flamboyant ensemble Le Consort nous y invite agréablement.

Si la figure musicale d’Antonio Vivaldi demeure célébrissime, il n’en est pas tout à fait de même _ en effet _ pour son contemporain vénitien Giovanni Battista Reali. On sait en fait assez peu de choses sur ce compositeur né en 1681, violoniste lui-même et qui laisse à la postérité douze Sonates en trio en 1709 constituées de Caprices et Sonates pour deux violons et basse continue. Ces œuvres sont dédiées à Arcangelo Corelli qui lui rend entre autres un hommage avec le fameux thème de La Folia. Par la suite il publie douze Sonates de chambre qui connaissent un certain succès puisque peu de temps après Estienne Roger les publie à nouveau à Amsterdam.

Que renferme sa musique ? Tout d’abord l’expression d’un langage personnel qui se traduit par un traitement des instruments en trio. Le violoncelle assurant la partie de basse se trouve particulièrement concertant, notamment dans ses variations sur le thème des Folies d’Espagne. On parle pour son discours de la « grâce corellienne » qui s’empare dans des mouvements Grave. Il n’hésite pas à bousculer certaines valeurs rythmiques en passant d’une battue ternaire à une battue binaire révélant une nouvelle Folia. Les tessitures des violons utilisent des notes aiguës jusqu’ici peu rencontrées et des formules de notes répétées qui abondent tout au long de ses œuvres. Reali se situe à la croisée des chemins entre Corelli pour la profondeur et Vivaldi pour sa légendaire spontanéité.

Antonio Vivaldi se trouve lui aussi présent dans cette Venise baroque avec, à l’instar de son collègue Reali, un premier opus consacré à douze Sonates en trio paru en 1705. Vivaldi s’affranchit du concept corellien de la sonate en trio dont il est le père, en bousculant l’équilibre des mouvements (lent-vif-lent-vif). Il introduit des titres de danse à certains moments, comme dans une Suite (Prélude, Allemande, Capriccio, Gavotta…). Lui aussi disserte _ oui ! _ sur La Folia par une série éblouissante de variations des plus intimes aux plus explosives. La comparaison du traitement de ce thème par les deux compositeurs reste des plus passionnantes _ voilà. L’auditeur est subjugué par autant d’invention avec seulement une écriture à trois voix. La virtuosité si chère à l’auteur voisine avec des passages de grande émotion _ comme si souvent chez Vivaldi _ dans tel andante planant ou telle sonate dédiée au violoncelle où apparait, comme invitée la voix de Victor Julien-Laferrière, deuxième violoncelle.

Le travail autour de ces œuvres vénitiennes est de la part de l’ensemble Le Consort des plus aboutis _ certes. Portés par une prise de son à la fois percutante et caressante, les musiciens nous livrent au travers des textes une joie de vivre sans faille _ mais oui. Les deux dessus, portés par Théotime Langlois de Swarte et Sophie de Bardonnèche, désormais grand spécialistes du violon baroque, dialoguent en harmonie avec la basse solide du cello d’Hanna Salzenstein. Conduisant l’ensemble, Justin Taylor depuis ses claviers (clavecin et orgue positif) tisse un subtil continuo donnant au groupe une cohésion et une unité à toute épreuve. Chaque nouvel enregistrement confirme _ en effet ! _ ces qualités que l’auditeur savoure : la fougue de la jeunesse, un art du discours tout à fait magistral et une émotion permanente _ oui ! _ qui sert de fil conducteur à ces chefs-d’œuvre du passé.

Giovanni Battista Reali (1681-1751) :

Sinfonia XII (Folia) ; Sinfonia II (Capricio) ; Sinfonia IV (Capricio) ; Sinfonia I (Sonata) ; Sinfonia X (Capricio).

Antonio Vivaldi (1678-1741) :

Sonata prima en sol mineur op. I, RV 73 ; Sonata a violoncello solo en mi mineur, RV 402 (Largo).

Le Consort, avec la participation de Victor Julien-Laferrière, violoncelle.

1 CD Alpha.

Enregistré dans la galerie dorée de la Banque de France à Paris en mars 2021.

Livret en français, anglais et allemand.

Durée : 68:02

À comparer avec mes appréciations…

Ce mercredi 23 mars 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ecouter précisément, et en sa variété, l’oeuvre jouissive de Reynaldo Hahn (1874 – 1947), « le Parisien du Venezuela »…

22mar

Le premier chapitre que, en son passionnant et détaillé « L’autre XXe siècle musical » _ aux pages 35 à 59 ; après une éclairante Introduction et un « Prélude : Marcel Proust : à la recherche de la musique » _,

Karol Beffa consacre à un compositeur du siècle dernier qu’une certaine tradition moderniste jusqu’il y a naguère dominante _ et carrément sectaire _ a assez vilainement déprécié, méprisé,

s’intitule « Reynaldo Hahn, le Parisien du Venezuela« .

Reynaldo Hahn : Caracas, 9 août 1874 – Paris, 28 janvier 1947.

Et ce chapitre est très représentatif de la manière, juste, tempérée, en même temps que personnelle et très intéressante pour le lecteur, avec laquelle Karol Beffa s’intéresse très précisément à l’œuvre des compositeurs dont il entend réhabiliter le talent ou le génie injustement dépréciés par cette tradition moderniste sectaire ;

ne serait-ce que eu égard aux plaisirs que les œuvres viennent offrir aux mélomanes un tant soit peu ouverts, curieux, et d’abord attentifs…

En recensant, à peu près, ce dont dispose ma discothèque d’œuvres discographiques de Reynaldo Hahn,

voici le résultat _ provisoire _ auquel je suis parvenu :

_ un très précieux coffret « Reynaldo Hahn » de 7 CDs Forlane FOR 17003 publié en 2013, comportant « Mozart« , « Brummel« , « Malvina« , la « Pastorale de Noël« , la « Sonatine en Ut majeur« , le « Concerto pour piano et orchestre » et diverses mélodies, souvent sous la direction de Reynaldo Hahn lui-même…

_ un coffret de 2 CDs « Songs by Reynaldo Hahn » du label Hyperion CDA 67141/2, par Felicy Lott, Susan Bickley, Ian Bostridge et Stephen Varcoe, accompagnés par le piano de Graham Johnson, enregistrés en 1995

_ un coffret de 4 CDs « Reynaldo Hahn Complete Songs« , publié par le Palazzetto Bru-Zane, dans l’interprétation du baryton Tassis Christoyannis et Jeff Cohen au piano, enregistrés à Venise entre novembre 2018 et février 2019

_ un CD de Mélodies intitulé « La Belle Epoque  The Songs of Reynaldo Hahn« , du label Sony SK 60168, par la mezzo Susan Graham accompagnée par le piano de Roger Vignoles, enregistré à New-York en 1998

_ un double CD de l’opérette « Ciboulette« , du label Erato 395128, avec Mady Mesplé, José Van Dam, Nicolaï Gedda, Colette Alliot-Lugaz, François Leroux, etc., avec l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo sous la direction de Cyril Diederich, enregistré à Monte-Carlo en 1981-82

_  un CD du « Concerto pour Violon et Orchestre » et de la « Sonate en Ut majeur pour Violon et Piano« , du label Maguelone MAG 358.410, avec Denis Clavier, violon, Dimitris Saroglou, piano, et l’Orchestre Philharmonique de Lorraine sous la direction de Fernand Quattrocchi, enregistré en 1997

_ un double CD « Le Rossignol éperdu« , du label Passavant PAS 114273, par le pianiste Bernard Paul-Reynier, enregistré en mai 2014

_ un CD « Reynaldo Hahn Piano Works« , du label ProPiano PPR 224538, par la pianiste Laure Favre-Khan, enregistré à New-York le 11 mars 2003

_ un CD « Reynaldo Hahn Room Music« , comportant notamment le « Quatuor avec Piano« , la « Sonate en Ut majeur pour violon et piano« , du label Hyperion CDA 67391, par Stephen Coombs, piano, Charles Sewart, violon, Yuko Inoue, alto et Philip De Grotte, viooloncelle, enregistré à Londres en mai 2003

_ un CD « Reynaldo Hahn« , comportant le « Quintette pour Quatuor à cordes et Piano en Fa mineur« , le « Quatuor à cordes en La mineur » et le « Quatuor à cordes en Fa majeur » du label Valois Naive V 4848, par le Quatuor Parisii et Alexandre Tharaud au piano, enregistré à Paris en décembre 1998

_ le DVD « L’Île du Rêve« , publié par le Palazzetto Bru-Zane, avec Hélène Guilmette, Cyrille Dubois, Anaïk Morel, Artavazd Sargsyan, Ludivine Gombert et Thomas Dolié, avec le Münchner Rundfunkorvhester et le Chœur du Concert Spirituel sous la direction d’Hervé Niquet, enregistré à Munich en janvier 2020

_ et encore diverses interprétations de mélodies par divers interprètes, tels, par exemple, l’excellente Véronique Gens _ dans le très beau CD « Néère«  pour Alpha _, et même, en une étonnante et très réussie performance, Philippe Jaroussky _ dans l’étonnant et merveilleux CD « Opium » pour Erato _, pour divers CDs… 

Ce mardi 22 mars 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

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