Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…
31oct
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31oct
21avr
Suite à notre échange téléphonique,
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Ce mercredi 21 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
31mar
Poursuivant mon exploration des livrets militaires d’Algérie sous la IIIe République, juqu’en 1918,
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je vais détailler ici quelques apports de connaissance concernant les plus proches parents _ masculins _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, juillet 1935) ayant passé leur conseil de révision en Algérie :
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son frère Gaston Ducos du Hauron (Agen, 16 juin 1870 – Savigny-sur-Orge, 3 avril 1912) ;
son beau-père Anatole Rey (Le Grand-Serre, 10 juin 1845 – Oran, 28 janvier 1890) _ époux et veuf d’Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) _ ;
l’oncle (et tuteur) de son épouse Marie Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ ainsi que ses frères Frédéric Gentet (Blida, 28 avril 1846 – ?,?), Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?,?) ; et son neveu Eugène-Laurent Gentet (Alger, 20 septembre 1882 – ?,?) _ ;
son gendre _ époux de sa fille aînée Eveline Ducos du Hauron (?, ? – Alger, décembre 1938) _ Henri Ducros (Alger, 25 juin 1887 – ?,?) _ ainsi que ses frères Edmond Ducros (Alger, 29 octobre 1889 – ?,?) et Alphonse-Léon Ducros (Azazga, 8 juillet 1896 – ?,?).
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Du livret militaire d’Etienne-Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet d’Amédée,
je retiens surtout que le départ d’Algérie et retour en France de Gaston s’est produit entre les dates du 7 mars 1898, quand Gaston était alors domicilié à Alger, rue de l’Echelle _ qui reliait deux portions de la rue Rovigo ; rue Rovigo, où résidaient ses parents, au n° 68… _, et du 24 avril 1899, où Gaston était maintenant domicilié à Charenton, 31 rue de Saint-Mandé…
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Mais aussi qu’à la date du 21 janvier 1897 Gaston est mentionné avoir été domicilié à Orléansville : pour quel événement familial ? La célébration du mariage de son frère aîné Amédée avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ? Peut-être…
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Du livret militaire de Jean-Anatole Rey, feu le beau-père d’Amédée,
je retiens la mention de la date de son déplacement d’Orléansville, où il avait été maire, à Oran, où il fut adjoint au maire : le changement de domiciliation a eu lieu le 29 novembre 1883…
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Des livrets militaires des trois frères Gentet : Frédéric Gentet, Louis Gentet et Laurent-Jacques Gentet ; ainsi que du fils de ce dernier, Eugène-Laurent Gentet,
je n’osais pas, bien sûr, attendre y découvrir enfin l’identité précise de « Madame Veuve Louis Gentet, née Wachter« , qui me permettrait de relier la famille Gentet, via les Wachter et les Confex aux Bonopéra qui aussi m’intéressent, dans le microcosme attachant d’Orléansville entre 1850 et 1940…
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Et pour ce qui concerne le livret militaire de Henri-Bavolet Ducros, l’époux d’Eveline Ducos du Hauron et gendre d’Amédée et Marie Louise,
d’abord je découvre ici son second prénom, Bavolet ;
ainsi que ses lieu et date de naissance : le 25 juin 1887, à Alger ;
et surtout je peux confronter ce qui apparaît ici de son parcours professionnel comme administrateur-adjoint de communes mixtes d’Algérie _ le même emploi dans l’administration que celui de son beau-père Amédée ; auquel, d’ailleurs, pour son tout premier poste, en la commune-mixte de Sidi-Aïssa, Henri Ducros prit la succession, le 6 janvier 1913, de son beau-père Amédée Ducos du Hauron _ avec ce que j’avais pu en établir en mon article du mercredi 6 janvier dernier : Et le parcours d’ »administrateur-adjoint » de diverses communes mixtes d’Algérie de Henri Ducros, gendre d’Amédée Ducos du Hauron …
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Et j’ai aussi confirmation,
par les livrets militaires d’Edmond Ducros et Alphonse-Léon Ducros,
de la parenté effective de ces trois frères Ducros _ ainsi que de leur sœur Marthe Ducros _,
dont les parents Henri Joseph Ducros et Philomène Roussel étaient domiciliés à Azazga (commune mixte du Haut-Sebaou)…
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Voilà donc pour ce jour…
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Ce mercredi 31 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
22mar
En poursuivant _ cf mon article d’hier : A propos de la famille Zanot, de Toulouse et Bram, à Rébeval et Dellys ; puis Auterive…… _ mes recherches sur les ascendances _ de qui Charles Zanot est-il le fils, le petit-fils, l’arrière-petit-fils ? _ du Dr Charles Zanot,
le mari de Paulette-Charlotte Bonopéra _ leur mariage a eu lieu à Orléansville fin janvier ou tout début 1938 _,
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je suis tombé sur une nouvelle _ publiée le jour même, soit le 15 juillet 1939, et mieux encore ! au sein du même article (intitulé « Conseil Municipal« ) consacré à la réunion du conseil municipal d’Orléansville, de l’annonce, par le même journal, Le Progrès d’Orléansville, de la naissance d’un fils au foyer du docteur Charles Zanot et son épouse, née Paulette Bonopéra : en l’occurrence le petit Christian Zanot, né, en effet, le 21 juin 1939 : le prénom de l’enfant, Christian, n’y était pas indiqué ; je l’ai trouvé ailleurs : Christian Zanot, né à Orléansville le 21 juin 1939, décèdera à Saint-Paul-de-Fenouillet (Pyrénées-Orientales) le 1er janvier 2005… Le maire d’Orléansville, M. Auguste Rencurel, « adressa les vœux du conseil municipal à Mme (Lucie) et à M. (Julien) Bonopéra, conseiller municipal, et à Mme (Paulette) et à M. (Charles) Zanot, à l’occasion de la naissance de leur petit-fils et fils (Christian Zanot)« … _,
d’un hommage, par M. Auguste Rencurel, le maire d’Orléansville, en son conseil municipal,
_ né le 4 septembre 1896, à Oued Fodda et décédé le 19 janvier 1983 à Toulon, Auguste Rencurel (qui est un homme politique important dans l’histoire d’Orléansville ainsi que de l’Algérie, notamment au moment de la Libération de l’Algérie, en 1943),
époux de Léontine Bure, la fille aînée de Jean-Baptiste Bure et son épouse Agathe Seprey, est un des gendres de M. Jean-Baptiste Bure (Souma, 24 février 1868 – Alger 31 octobre 1934) ; et par là il est aussi le beau-frère de Robert-Victor-Eugène Gadel, époux, lui, d’Irène Bure ; lequel, lui, fils de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et son épouse Aimée-Laurence Rey, se trouve être aussi le neveu de Marie-Louise Rey et de son époux Amédée Ducos du Hauron, à la famille desquels nous nous intéressons… Cf mon article du mercredi 27 janvier 2021 : Suite (8) de l’exposé de mes avancées de la recherche des liens puissants des Ducos du Hauron avec les Gentet et les Gadel, via les Rey : suite de la lecture du faire-part de décès de Victor Gadel, paru le 31 mars 1930……
J’y donne in extenso le décisif faire-part de décès de M. Victor-Nicolas-Benjamin Gadel, l’époux d’Aimée-Laurence Rey, tel qu’il a été publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 :
« Mme Vve Victor Gadel ; M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ; M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ; Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet ; les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté
Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur
leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami, survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans, et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robbe.P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« …
Un document majeur, comme on peut le constater une fois encore, pour notre recherche présente à propos de l’environnement familial de l’inventeur de la « photographie de couleurs« , en 1868, à Lectoure (Gers), Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920)… _,
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un hommage rendu à « la mémoire de M. Ferrandez« ,
associé _ pour des raisons que je ne suis pas parvenu à élucider : d’apparentements de leurs familles, probablement… _ à des condoléances (de l’assemblée communale) « aux familles Gentet, Sanchez et Sautier« …
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Bien sûr, ce nom de « Gentet« , et tout particulièrement à cette date de juillet 1939
_ cet Eugène Gentet, dont j’ai pu suivre quelques moments ou étapes de son parcours existentiel, ainsi que professionnel, ne résidant plus alors à Orléansville, mais à Alger, depuis le mois de mai 1939 _,
est venu solliciter ma mémoire de chercheur…
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Cf mon article du samedi 23 janvier 2021, Suite (5) de l’exposé de mes avancées de la recherche des liens puissants des Ducos du Hauron avec les Gentet et les Gadel, via les Rey : suite de la lecture du faire-part de décès de Victor Gadel, paru le 31 mars 1930… :
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« Petit-fils de Laurent Gentet (Satolas, Isère, 2 avril 1821 – ?, avant 1878) et son épouse Anne-Marie Schwartz (Saint-Jean-Rohrbach, Moselle, 1822 – Orléansville, 27 décembre 1904),
fils de Laurent-Jacques Gentet (Orléansville, 8 octobre 1857 – ?, avant juin 1906) et son épouse Marie-Emilie Brenner (Alger, 16 juin 1861 – ?, avant juin 1906),
Eugène-Laurent Gentet, né à Alger le 20 septembre 1882, a épousé à Orléansville le 10 mai 1905 Henriette Rita Jeanne Lopès _ j’ignore si ils ont eu ou pas une descendance…
Eugène-Laurent Gentet a fait carrière au greffe d’Orléansville, en cette ville où, à la suite de ses parents Laurent-Jacques Gentet et Marie-Emilie Brenner, et ses grands-parents Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz, il était « propriétaire » ;
de même qu’il était aussi « propriétaire » à Malakoff, où il avait hérité de la ferme et de plusieurs terrains qui avaient appartenus à ses grands-parents Laurent Gentet et Anne-Marie Schwartz, puis à ses parents Laurent-Jacques Gentet et Marie-Emilie Brenner ;
une ferme (dite « Ferme Saint-Laurent« ) et diverses propriétés qu’il vendit le 18 février 1906 à M. Léon Dillenseger, qui avait été de 1878 à 1885 le gérant de cette ferme située à Malakoff, associé à la propriétaire, « Madame Veuve Gentet » (cf Le progrès d’Orléansville du 28 juin 1906) : des données qui nous apprennent qu’en 1878 Anne-Marie Schwartz était déjà veuve de Laurent Gentet.
Puis, L’Écho d’Alger du 12 mai 1939 signale le « départ d’Orléansville de M. Gentet, secrétaire au parquet d’Orléansville, conseiller municipal, nommé secrétaire général au parquet général d’Alger« » :
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ce qui nous révèle qu’à cette date du 15 juillet 1939 de l’hommage du conseil municipal d’Orléansville à M. Ferrandez _ sans davantage de précisions sur son identité et ses liens familiaux _, associé aux condoléances aux « familles Gentet, Sanchez et Sautier« ,
Eugène-Laurent Gentet avait cessé d’être orléansvillois pour devenir algérois : il venait d’être nommé « secrétaire général au parquet général d’Alger« …
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De cette « famille Gentet » _ installée à Orléansville dès le tout début des années 1850 : 1852… _
sont issues, par leur mère, née Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886),
Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), l’épouse _ j’en ignore la date _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935),
et sa sœur Aimée-Laurence Rey (Orléansville, ? – ?, ?), l’épouse _ à Orléansville, le 11 mars 1905 _, puis veuve, de son cousin _ la mére de Victor, Hortense Rey, étant, en effet, la sœur du père d’Aimée-Laurence, Anatole Rey _ Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930).
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Et de cette « famille Sanchez« ,
est issue Odette Sanchez (Orléansville, 23 novembre 1911 – Nice, ?), fille d’Antoine Sanchez et son épouse Marie-Françoise Gays ;
laquelle Odette Sanchez est l’épouse _ à Orléansville, le 6 juillet 1932 _ de Marcel Bonopéra (Renault, 10 janvier 1907 – Nice, 1er décembre 1992), le fils de Paul Bonopéra (Pontéba, 19 septembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930) et son épouse Marie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, 12 janvier 1881 – ? – ?) ;
ainsi qu’elle est la mère de Paul et Jean-Pierre Bonopéra, nés à Orléansville les 5 mai 1933 et 2 novembre 1934…
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Enquête à suivre,
en remerciant les surprises des connexions bienvenues de la sérendipité…
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Ce lundi 22 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
07mar
Et voici que ce dimanche matin,
je reçois un courriel de la petite-fille de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),
qui, très aimablement, m’adresse une copie d’un arbre généalogique de ses ancêtres Bonopéra, réalisé par son grand-père Marcel.
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C’est un très précieux _ et très émouvant _ document.
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Que voici :
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Généalogie des Bonopéra
1ère génération : 1a Nicolas Louis Bonopéra
1a1 Jacinta Minguella
2e génération : 2a : Juan Dionis Francisco Bonopéea
né en 1814 à Tarragone (Catalogne), décédé
à Pontéba (près d’Orléansville) en 1876, époux de
2a1 : Marguerite Saura, dcédée à Pontéba en 1876
3e génération : 3a : Marguerite Bonopéra
3b : Paul Bonopéra, né à Miliana le 10-1-1856
décédé à Orléansville le 18-1-1916
3c : Jean Bonopéra,, décédé à Alger
4e génération : 3b : Paul Bonopéra, époux de
3b1 : Joséphine Giraud, née à Ténès, décédée à
Orléansville le 11-7-1892 ; ont eu six enfants :
4a : Jean ; 4b : Paul ; 4c : Alphonse ; 4d : Auguste ;
4e : Julien ; 4 f : Georges.
5e génération : 4b : Paul Bonopéra, né à Pontéba le 13-9-1878,
décédé à Orléansville le 2-11-1930 et
4b1 : Marie, Marguerite, Léonie Cathébras, née
le 12-1-1881 à Saint Sauveur de Ginestoux (Lozère) ;
ont eu deux enfants :
5a : Pauline Bonopéra, née à Rabelais (Alger)
le 5-6-1905, décédée à Nice le 8-2-1974.
5b : Marcel Bonopéra, né à Renault (Oran) le 10-1-1907.
6e génération : 6a : Paul Jean Antoine Bonopéra, né à Orléansville le 5-5-1933
6b : Jean Pierre Bonopéra, né à Orléansville
le 2-11-1934
sont les enfants de Marcel Bonopéra et de Odette
Sanchez, née à Orléansville le 23-12-1911, et décédée à Nice
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Ce sont principalement les données qui concernent Joséphine Girot, la première épouse de Paul Bonopéra, qui attirent, bien sûr, pour commencer, ma première attention.
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Car dorénavant je connais, sinon la date exacte de la naissance _ je savais que c’était durant l’année 1856 _ de Joséphine Girot (orthographiée ici Giraud), du moins le lieu de la naissance de celle-ci : Ténès _ mais Rabelais faisait aussi partie, administrativement, de la commune mixte de Ténès…
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Ce qui cadre _ même si rien n’y fait ici explicitement référence _ avec mon hypothèse de la très probable filiation de Joséphine Girot avec la famille _ alsacienne _ de Jean-Claude-Girot et son épouse, Marie-Catherine Herbelin, famille venue de Menoncourt, un village alsacien, situé alors dans le département du Haut-Rhin (et qui fera partie, après 1970, du nouveau département, créé tout spécialement alors, du Territoire de Belfort).
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Et mieux encore, Joséphine Girot semble bien être la fille _ née, donc, à Ténès, en 1856 _ de Jean-Pierre Girot _ le second fils de Jean-Claude Girot et son épouse Marie-Catherine Herbelin _, qui, alors qu’il était dit (dans l’acte de son mariage) être domicilié, en 1854, à Orléansville, a épousé à Ténès le 1er août 1854 la demoiselle _ orpheline de mère (sa mère, Claire-Marguerite-Pascale Hermite, était, en effet, décédée à Ténès le 24 janvier 1846), et déclarée « née de père inconnu« … _ Marie-Magdelaine-Augustine Hermite (née à Alger, le 18 février 1838).
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Et je découvre aussi le lieu : Orléansville ; ainsi que la date : le 11 juillet 1892, du décès de Joséphine Girot_ soit assez peu de temps après la naissance (moins de six mois), à Rabelais (centre qui faisait partie de la commune de Ténès), de son sixième et dernier fils, Georges Bonopéra : il était né, à Rabelais, le 21 février 1892.
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Au passage, j’apprends aussi le lieu : Pontéba ; et la date des décès des parents de Paul Bonopéra _ né à Miliana le 1er octobre 1856 _ et de sa sœur Marguerite _ née à Miliana le 22 janvier 1849 _,
soient Juan-Dionis-Francisco Bonopera (né à Tarragone le 9 mars 1814), et son épouse Marguerite Saura (née à Santa-Maria-de-Mahon, dans l’île de Minorque, le 21 mars 1820) :
durant l’année 1876.
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Paul Bonopéra, devenu donc veuf ce 11 juillet 1892, s’est ensuite remarié, une première fois, à Rabelais, avec Marie-Jeanne-Virginie Claudet ;
dont il a eu un fils, Marie-André, né à Rabelais le 5 juin 1897, et décédé vingt jours plus tard, le 25 juin, toujours à Rabelais, au domicile de son grand-père César-Florentin-Armand Claudet-Fricand _ né le 27 août 1844 à Bannans (département du Doubs) ; et qui décèdera en 1913. Son épouse était Marie-Séraphine-Julie Laignier, née le 7 mai 1873, elle aussi à Bannans ; et décédée avant 1882.
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De cette seconde épouse, Marie-Jeanne-Virginie Claudet,
Paul Bonopéra a très vite _ un mois tout juste après le décès de leur fils, le petit Marie-André Bonopéra _ obtenu le divorce, « aux torts exclusifs de son épouse« , par un jugement du tribunal de première instance d’Orléansville, en date du 25 juillet 1897 _ aidé en cela par les services de l’avoué, résidant à Orléansville, Georges d’Apreval, neveu par alliance de Paul Bonopéra (car Georges d’Apreval a été l’époux, successivement, des deux filles de Marguerite Bonopéra, sa sœur, et de son mari Auguste Morand de la Genevraye, son beau-frère : Augustine, puis Angèle Morand de la Genevraye)…
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Puis, après ce divorce de 1897, Paul Bonopéra s’est à nouveau remarié _ j’ignore à quelle date _ :
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avec cette future « Madame Veuve Paul Bonopéra » (« née Confex« ) qui m’intéresse _ cf mon article d’hier : De la prise de conscience de la proximité géographique de Menoncourt et Rougemont, à la découverte du mariage d’un François Wachter et d’une Marguerite Girot, les parents de Jean-Pierre Wachter, le cousin de Jean-Baptiste-Antoine Wachter, et témoin au mariage de celui-ci avec Elisabeth Confex, le 26 mai 1857, à Mustapha … _,
parce qu’elle est apparentée, via le mariage d’une de ses parentes _ côté Confex… _, née demoiselle Wachter _ fille de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (natif de Rougemont : tout près de Menoncourt…) et de son épouse Elisabeth-Joséphine-Baptistine Confex (native de Marseille) _, avec Louis Gentet (Orléansville, 1853 – Orléansville, 9 août 1906) _ dont, devenue veuve de son époux Louis Gentet, cette ancienne demoiselle Wachter est devenue « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« .
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Or ce Louis Gentet n’est autre que l’oncle maternel _ puis tuteur, à Orléansville à partir des décès successifs, à Oran, de leurs parents, la sœur de Louis Gentet, Adélaïde Gentet (Orléansville, 1855 – Oran, 5 juillet 1886) et son beau-frère Anatole Rey (Le Grand Serre, 11 juin 1845, Oran, 28 janvier 1890) ; Anatole Rey, pharmacien, avait été maire d’Orléansville en 1880-1881, puis, au moment de son décès, il était un très remarqué adjoint au maire d’Oran… _ des petites Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey :
Marie-Louise, l’épouse (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) ainsi que Aimée-Laurence, la belle-sœur _ future « Mme Vve Gadel » à la date du 30 mars 1930, la date du décès de son mari (et cousin germain) Victor Gadel, à Alger _ d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’aîné des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920), ce génial inventeur de « la photographie de couleurs« , qui a suscité mon enquête sur l’importance _ affective, intellectuelle et matérielle _ de son entourage familial…
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Je poursuivrai demain l’inventaire des apports à ma recherche de ce très précieux document généalogique,
œuvre de Marcel Bonopéra (Renault, 6 octobre 1907 – Nice, 1er décembre 1992),
instituteur de son métier ;
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fils de Paul, le boulanger d’Orléansville _ rue d’Isly _ (Pontéba, 19 décembre 1878 – Orléansville, 3 novembre 1930)
et de son épouse Marie-Marguerite-Léonie Cathébras (Saint-Sauveur-de-Ginestoux, Lozère, 12 janvier 1881 – j’ignore le lieu et la date de son décès ) ;
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et petit-fils de Paul Bonopéra (Miliana, 1er octobre 1856 – Orléansville, 18 janvier 1916)
et son épouse Joséphine Girot (Ténès, 1856 – Orléansville, 11 juillet 1892)…
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À suivre…
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Ce dimanche 7 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa