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Quelques données que m’apprend la consultation du livret militaire d’Amédée Ducos du Hauron, classe 1889

30mar

C’est un peu par hasard que j’ai eu accès

en l’occurrence, à partir de ma recherche des livrets militaires des membres de la famille Wachter installés en Algérie _ et cela afin d’essayer d’identifier enfin, et « Mme Vve Louis Gentet, née Wachter« , et « Mme Vve Paul Bonopèra-mère« , née Confex, sœur d’Elisabeth Confex, et par là belle-sœur de l’époux de celle ci : Jean-Baptiste-Antoine Wachter… ; l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 14 mars 1867 – Alger, Juillet 1935), Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933), étant la nièce de Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906) et de sa veuve, née Wachter… Tel est le cercle de famille que j’essaie de préciser… _,

au très précieux site des livrets militaires d’Algérie, et cela dès l’installation du régime de la IIIe République, et jusqu’à la victoire de 1918… ;

site que je peux consulter maintenant à ma volonté…

_ les seuls détails qui manquent concernent les épouses et les enfants du soldat ;

alors que ne manquent pas les diverses domiciliations de celui-ci, avant la libération définitive de ses obligations de service… Pouvoir le joindre est une puissante nécessité républicaine…

J’ai donc commencé par rechercher le livret militaire d’Amédée Ducos du Hauron, (classe 1889) le « fondateur » de ce que j’ai nommé la « branche algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron.

Le livret est au nom de « Marie-Louis-Amédée Ducos« , né à Agen le 24 mars 1867 _ « employé de commerce«  (ainsi a-t-il donc débuté sa carrière professionnelle), et résidant à Alger, rue Rovigo, n° 68 : au moment de la première rédaction de ce livret, en 1886 ou 87) _, fils de Jean-Marie-Casimir et Fourcault, Césarine-Marie, domiciliés à Alger, Rovigo 68. 

Les lieux et dates de son parcours qui peuvent compléter un précédent article du 6 janvier dernier : ,

sont les suivants :

_ 24 août 1887 : Alger, rue Rovigo N° 68 _ au domicile des parents Ducos du Hauron, qui vivent alors à Alger _

_ 4 juin 1894 : Alger, Hôtel de préfecture _ probablement Amédée exerce-t-il alors déjà la profession de « rédacteur«  (peut-être stagiaire) à la Préfecture d’Alger… _

_ 18 avril 1895 : Orléansville _ les raisons professionnelles de la résidence à Orléansville d’Amédée sont-elles seulement professionnelles ?.. Amédée est-il déjà marié à cette date avec l’orléansvilloise Marie-Louise Rey ?.. Et quand est née leur fille aînée Eveline … _

_ 18 novembre 1904 : Teniet El Haad _ une commune au flanc sud du massif de l’Ouarsenis _, adjoint-administrateur

_ 8 mai 1907 : administrateur-adjoint de la commune mixte de Teniet El Haad

Je remarque, bien sûr, la mention, sur ce livret militaire, de la présence à Orléansville d’Amédée Ducos du Hauron au mois d’avril 1895 ;

même si cela ne constitue pas encore un indice suffisant du mariage, probablement à Orléansville, et j’ignore en quelle année, d’Amédée Ducos du Hauron avec l’orléansvilloise _ nièce de Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), conseiller municipal de la ville _ Marie-Louise Rey, née en 1879…

À confronter avec les éléments rassemblés en mon précédent article du 6 janvier dernier :  …

À suivre…

Ce mardi 30 mars 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Suite (3) de l’exposé de mes avancées de la recherche des liens puissants des Ducos du Hauron avec les Gentet et les Gadel, via les Rey : suite de la lecture du faire-part de décès de Victor Gadel, paru le 31 mars 1930…

21jan

En une troisième suite,

je poursuis ici ce jeudi 21 janvier ma lecture attentive et la plus exhaustive possible du _ décidément très riche _ faire-part de décès de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur (…) survenu à Alger le 30 mars 1930, à l’âge de 57 ans«  _ le défunt était né au Grand Serre (département de la Drôme) le 10 juillet 1872 _, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930.

Un très riche faire-part pour mieux pénétrer les filiations internes à la branche « algéroise-algérienne » des Ducos du Hauron, ainsi que leurs apparentements aux familles Gentet, Gadel, Ducros, et d’autres…

J’avais d’abord commencé par m’attacher avant-hier 19 janvier _   _ aux identités et situations de « Mme Vve Victor Gadel  » et de « M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude » :

c’est-à-dire la veuve, née Aimée-Laurence Rey _ leur mariage avait eu lieu le 11 mars 1905 à Orléansville _, du défunt Victor-Nicolas-Benjamin Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930) ;

puis le fils aîné (Robert-Victor-Eugène Gadel), ainsi que son épouse (née Irène Bure) et les petit-fils, Jean-Claude _ seul né à la date du décès de son grand-père Victor, ce 30 mars 1930 _, Jacques, Jean et Robert Gadel, les quatre enfants de Robert Gadel et son épouse née Irène Bure.

Et puis hier 20 janvier _  _, j’ai poursuivi ma lecture-analyse de ce faire-part de décès de Victor Gadel, en m’attachant aux premiers suivants de la liste des faisant-part :

« M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris« .

Je vais donc simplement continuer ma lecture-analyse de ce faire-part, et toujours dans l’ordre suivi par ce faire-part :

« Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet« ,

avant de m’attacher ensuite, et plus rapidement, aux familles « Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra » qui sont indiquées au final de ce faire-part en date du 31 mars 1930…

Et voici, en un commode récapitulatif reprenant tout depuis le début de ces lectures-analyses, ce que cela donne :

Le 15 décembre dernier, je relevais aussi, en mon dossier de recherche,

le _ très décisif, on va le voir, pour ma recherche des filiations au sein de la famille Ducos du Hauron et leurs apparentements à d’autres familles en Algérie _ faire-part du décès de « M. Victor Gadel, Payeur adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur« , « survenu à Alger le 30 mars 1930, à l’âge de 57 ans« …

Le voici donc in extenso, ce faire-part _ y compris, en rouge, les éléments disparus suite à une bien malencontreuse déchirure, et au pire endroit, qui a affecté ce faire-part de décès, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930 : je rétablis en rouge les éléments devenus illisibles... _ ; et on sait bien que c’est dans les moindres détails que se cache le diable ! :

« Mme Vve Victor Gadel ; M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie, Mme, née Irène Bure, et leur fils Jean-Claude ; M. Georges Gadel ; Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris ; Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants ; Mme et M. Henri Ducros ; Mme et M. Eugène Gentet ; Mme Vve Gentet ; les familles Gadel, Dufour, Sibert et Macaire, de Marseille ; Bure, Escudié, Mann, Donsimoni, Ferrand, Wachter, Gastaud, Rencurel, Maestracci, Cachia, Barzan, Ducros, Jean, Bonopéra ont la douleur de vous faire part du décès de leur bien cher et regretté

Monsieur Victor GADEL
Payeur-adjoint du Trésor, Capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’honneur

leur époux, père, beau-père, grand-père chéri, frère, beau-frère, oncle, cousin germain, neveu, cousin, parent, allié et ami,

survenu à Alger le 30 mars, à l’âge de 57 ans,

et vous prient de bien vouloir assister à ses obsèques qui auront lieu aujourd’hui 31 mars à 10 heures.

Réunion au domicile mortuaire, 32, rue Eugène Robbe.

P. F. GUYE, 38, rue Rovigo, Alger. T. 51-71« 

« Mme Vve Victor Gadel » est bien sûr la veuve de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel,

qui était né au Grand Serre (département de la Drôme) le 8 juillet 1872, fils du provençal Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 octobre 1927) et de la dauphinoise Marie-Eugénie-Hortense Rey (Le Grand Serre, 21 mars 1848 – j’ignore la date (après 1877 et avant 1892) et le lieu de son décès) ;

le mariage de Victor-Nicolas-Benjamin Gadel et Aimée-Laurence Rey a eu lieu à Orléansville le 11 mars 1905 (cf Le Progrès d’Orléansville du 9 mars 1905) ;

et dans le Journal officiel du 9 octobre 1931 on peut lire la déclaration de pension civile d’Aimée-Laurence Rey, veuve Gadel ; « le mari payeur-adjoint de trésorerie : Services militaires : 19 ans, 4 mois, 5 jours ; services civils : 19 ans, 7 mois, 25 jours. Campagnes : 12 ans. Pension avec jouissance du 31 mars 1930 : 8 534 francs. Avec une pension temporaire« .

Ce n’est pas immédiatement que j’ai pris conscience de la parenté qui existait entre Aimée-Laurence Rey et son époux, Victor Gadel ; puisque Victor-Nicolas-Benjamin Gadel est le fils de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (1835 – 1927) et de Marie-Eugénie-Hortense Rey (1848 – ?), et Aimée-Laurence Rey est la fille de Jean-Anatole-Firmin Rey (1845 – 1890), le frère aîné de Marie-Eugénie-Hortense Rey, et d’Adélaïde Gentet (1855 – 1886) : ils sont cousins germains.

Et il y a aussi le moment où j’ai pris conscience _ et ce fut loin d’être immédiatement _ que « Mme Vve Gadel » et « Mme Amédée Ducos du Hauron« , c’est-à-dire Aimée-Laurence Rey et Marie-Louise Rey, toutes deux filles d’Anatole Rey et Adélaïde Gentet, sont sœurs !

Et c’est bien sûr de cette sonorité _ jamais directement apparente _ que procède la présence conjointe sur les divers faire-part d’événements familiaux des Ducos du Hauron et des Gadel (ainsi, aussi, que de quelques apparentés, tels les Ducros, ou les Bure), des mentions presque toujours conjointes des Ducos du Hauron d’Algérie avec les Gadel et les Gentet (et leurs apparentés) ; et cela sans jamais la présence de la mention de membres de la famille Rey…

« M. Robert Gadel, étudiant en pharmacie« , lui, est le fils aîné du défunt Victor Gadel ; né en 1906,  Robert-Victor-Eugène Gadel obtiendra son diplôme de pharmacien à la Faculté d’Alger au mois de juillet 1930 (cf L’Écho d’Alger du 11 juillet 1930) ;

« Mme, née Irène Bure« , son épouse, est la troisième enfant _ après Léontine, née en 1891, et Marcel, né en 1897 ; et avant Gilberte, née en 1902, et Albert, né en 1903 _ de Mme Agathe Bure, née Seprey, et M. Jean-Baptiste Bure, propriétaire à Vauban ; et c’est depuis le 22 décembre 1927, à Alger, que Irène Bure est l’épouse de Robert Gadel (cf Le Progrès d’Orléansville du 29 décembre 1927) ;

quant à « leur fils Jean-Claude« , celui-ci est, au mois d’avril 1929 (cf L’Écho d’Alger du 29 avril 1929)  le premier né de ce couple _ il décèdera en bas âge, le 9 janvier 1932 (cf L’Écho d’Alger du 10 janvier 1932 et Le Progrès d’Orléansville du 14 janvier suivant).

Mais d’autres enfants leur naîtront : Jacques Gadel, au mois d’août 1931 (cf Le Progrès d’Orléansville du 13 août 1931) ; Jean Gadel, déjà né au mois de décembre 1932 (cf le faire-départ du décès d’Albert Bure, dans le numéro de L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932) ; Robert Gadel, en décembre 1938 (cf L’Écho d’Alger du 25 décembre 1938)…

On peut suivre aussi la carrière professionnelle de Robert Gadel, une fois réussis « ses examens définitifs de pharmacie » « devant la Faculté d’Alger » (cf Le Progrès d’Orléansville du 7 octobre 1930) :

en 1931 _ au moment de la naissance, au mois d’août, de son fils Jacques _ et 1932 _ au moment du décès, le 9 janvier, de son fils Jean-Claude _, Robert Gadel est pharmacien à Alger ;

mais, suite au décès le 10 décembre 1932 de son beau-frère _ également pharmacien _ Albert Bure (cf L’Écho d’Alger du 11 décembre 1932), et alors qu’Albert Bure s’était rendu acquéreur en novembre 1930 de la pharmacie Rigal, à Orléanville ( cf Le Progrès d’Orléansville du 20 novembre 1930), début janvier 1933, Robert Gadel devient pharmacien à Orléansville (cf Le Progrès d’Orléansville du 5 janvier 1933).

Puis, Robert Gadel, désormais pharmacien à Orléansville, prendra aussi la suite, à Vauban, de son beau-père Jean-Baptiste Bure, décédé à Alger le 31 octobre 1934 (cf le faire-part de décès de celui-ci dans le numéro de L’Écho d’Alger du 1er novembre 1934) :

aux élections municipales du 16 mai 1935, Robert Gadel devient en effet l’adjoint spécial de Vauban, en la municipalité d’Oued Fodda ;

et L’Écho d’Alger du 25 mai 1935 nous apprend aussi que ce même 16 mai 1935, « vers 15 heures, M. Gadel le nouvel adjoint spécial de Vauban, qui avait convié la nouvelle municipalité et de nombreux invités à Orléansville, pour vider une coupe de champagne, recevait en son domicile de nombreux invités « …

Et en 1937, L’Écho d’Alger du 25 janvier 1937 nous apprend que « Monsieur Robert Gadel, le sympathique pharmacien de notre ville _ Orléansville _ vient d’être nommé pharmacien-chef de l’hôpital mixte, à la suite d’un concours sur titre« .

Soit une assez belle réussite professionnelle pour ce cousin germain d’Eveline Ducos du Hauron et ses frères Gérard et Roger…

 

« M. Georges Gadel«  est, lui le second fils du défunt Victor Gadel et son épouse née Aimée-Laurence Rey.

En 1924-25, Georges Gadel est élève au lycée d’Alger ; et en 1933 et 1935, étudiant en droit à la Faculté d’Alger, il fait partie du Bureau directeur de l’Association des Étudiants d’Alger : il en est trésorier adjoint en décembre 1933, puis trésorier général en décembre 1935.

Le 26 novembre 1936, Georges Gadel fait partie des vingt jeunes avocats qui prêtent leur serment professionnel, à la Faculté  d’Alger.

Et le 8 juillet 1938, les noms de Georges Gadel, avocat à la cour, et Andrée Gaillard, sont présents sur la liste  des publications des prochains mariages, du journal L’Écho d’Alger…

Enfin, L’Écho d’Alger du 12 juillet 1942, publie le faire-part de décès suivant :

« Alger – Bordj-Bou – Arreridj.

M. Georges Gadel, avocat, Mme née Gaillard, leur fille Colette et leur famille, vous font part du décès de leur cher petit Jean-Louis GADEL survenu à Alger le 10 juillet 1942, à l’âge de 10 mois. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité » :

et je remarque ici le caractère plutôt succinct caractérisant ce « leur famille« , avec, en particulier, l’absence des noms de la grand-mère « Mme Vve Gadel » _ vivait-elle encore à cette date ? _ et de l’oncle « Robert Gadel« ….

« Mme et M. Eugène Gadel et leurs enfants, de Paris«  :

Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel Gadel, fils de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (Tarascon, 12 octobre 1835 – Marseille, 26 septembre 1927) et Marie-Eugènie-Hortense Rey (Le Grand Serre, 21 mars 1848 – ?), est né au Grand-Serre (Drôme) le 24 décembre 1874. Il est le le frère cadet du défunt.

Il s’est marié à Montpellier le 4 octobre 1910, avec Melle Jeanne-Thérèse-Marie-Antoinette-Joséphine Escudié (cf La Vie montpelliéraine du 9 octobre 1910).

Et le couple a eu un ou deux enfants, dont Raymond-Pierre-Victor Gadel, né à Montpellier au mois de mai 1918 (cf La Vie montpélliéraine du 28 mai 1918) _ le faire-part de décès de Melle Jeanne Gadel (la sœur de Victor et Eugène, née au Grand Serre le 27 mai 1877), publié par le Petit Marseillais du 13 octobre 1923, mentionne parmi les personnes affectées par ce deuil de leur parente, « Mme et M. Eugène Gadel, chevalier de la Légion d’honneur, et leur fils (de Paris)«  : le terme de fils se trouve ici au singulier ; alors que le faire-part de décès de Victor-Alexandre-Philémon Gadel (le grand-père d’Eugène et de Victor), publié quatre ans plus tard par Le Petit Marseillais du 27 septembre 1927, mentionne « M. et Mme Eugène Gadel et leurs enfants« , au pluriel… Un second fils leur était donc né entre 1923 et 1927, après leur premier né de 1918…

Le Journal officiel du 10 juillet 1912 déclare que « M. Gadel Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel, adjudant au 122e régiment d’infanterie, a été nommé expéditionnaire de  8e classe à la mairie du 15e arrondissement (de Paris). Par arrêté du Préfet de la Seine en date du 8 juillet 1912 » : c’est à partir de là que Eugène Gadel et les siens seront désormais les « Gadel de Paris« … Puis, en date du 1er janvier 1922, la Préfecture de la Seine annonce que « M. Gadel (Eugène-Jean-Pierre-Emmanuel), commis, maintenu provisoirement à la mairie du 15e arrondissement, est affecté à la Direction du Contrôle Central et des Contributions, en remplacement de M. Pellentz, retraité« .

Enfin, j’ai noté aussi que le 28 juillet 2012, à Montpellier, est décédée une « Mme Vve Raymond Gadel, née Paulette Mauron, 91 ans » : peut-être la veuve de Raymond-Pierre-Victor Gadel, qui est né en 1918 ; alors que celle qui pourrait être sa veuve, est née en 1921…

Voilà donc maintenant pour les divers Gadel de ce faire-part.

J’en viens maintenant aux mentions suivantes de ce faire-part de décès de « Monsieur Victor GADEL« , en date du 31 mars 1930,

concernant « Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants« .

« Mme et M. Ducos du Hauron et leurs enfants » sont la belle-sœur et le beau-frère, ainsi que certains _ compte tenu du cas à part de l’aînée d’entre eux, Eveline, épouse de Henri Ducros _ des neveux et nièces du défunt, M. Victor Gadel :

« Mme Ducos du Hauron« , née Marie-Louise Rey _ née probablement à Orléansville, et en 1879 (je déduis cette année de naissance de l’âge de 57 ans que Marie-Louise aura atteint à l’heure de son décès, à Agen le 20 septembre 1933 _, étant la sœur de la veuve, née Aimée-Laurence Rey _ née peut-être à Oran, et peut-être au mois de juillet 1886 : sa mère, née Adélaïde Gentet, native d’Orléansville en 1855, est décédée à Oran le 5 juillet 1886 ; mais Aimée-Laurence peut aussi bien être née plus tôt, et peut-être, elle aussi, à Orléansville, où résidèrent, avant Oran, ses parents Anatole et Adélaïde… _se trouve être la belle-sœur du défunt Victor-Nicolas-Benjamin Gadel ;

ce qui permet de comprendre la place (la 5e) que « Mme Ducos du Hauron » vient occuper en ce faire-part de décès, après la veuve (en tête de la liste), les deux enfants, Robert (à la 2e place) et Georges Gadel (à la 3e place), et le frère Eugène Gadel (à la 4e place), du défunt.

« M. Ducos du Hauron » est Henri-Amédée-Lionel Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935), l’époux de Marie-Louise, née Rey : en tant qu’époux de la sœur de la veuve, il est donc le beau-frère de la veuve, née Aimée-Laurence Rey, ainsi que de son mari, le défunt Victor Gadel (Le Grand Serre, 8 juillet 1872 – Alger, 30 mars 1930).

Il est bien dommage que ne soient pas précisés sur ce faire-part publié le 31 mars 1930 les prénoms, ni même le nombre, de ces « enfants de Mme et M. Ducos du Hauron« , associés à ce deuil de leur oncle _ ce qui nous aurait renseignés sur les enfants Ducos du Hauron encore vivants, et ceux déjà décédés à cette date : qu’en est-il, par exemple d’Edmée, née à Lamartine le 8 juillet 1904 ?.. _ :

dans l’article (d’un journal parisien non spécifié) rapporté par L’Écho d’Alger du 4 mars 1927  _ cf mon article du 15 décembre dernier : _, rédigé à l’occasion d’une exposition au Casino d’Alger des Anaglyphes de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920) :

« Le seul homme _ Amédée ! _ qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants.

Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire.
Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle« ) ;
dans cet article, donc, le retraité de la fonction publique qu’était Amédée Ducos du Hauron était dit _ un peu élliptiquement _ avoir la charge d' »une famille de cinq enfants« …
Mais ni le faire-part de décès de « Madame Amédée Ducos du Hauron, née Marie-Louise Rey« , paru dans L’Écho d’Alger du 13 octobre 1933 _ seules y sont mentionnées « les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel et Gentet » ; nul nom d’aucun des enfants n’y paraît… _,
ni le faire-part de décès de « M. Amédée Ducos du Hauron, rédacteur principal de préfecture, en retraite« , paru dans L’Écho d’Alger du 13 octobre 1933 _ seules y sont mentionnées « les familles Ducos du Hauron, Ducros et Gadel » ; nul nom d’aucun des enfants, non plus, n’y paraît… _
n’indiquent ni le nombre, ni les prénoms, des enfants Ducos du Hauron encore vivants à ces deux dates…
De ces enfants nés à M. Amédée Ducos du Hauron, durablement administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie, et son épouse Marie-Louise, j’ai, jusqu’ici, pu découvrir les avis de naissance
de la petite Edmée, née à Lamartine le 8 juillet 1904 (en une information donnée par Le Progrès d’Orléansville du 8 septembre 1904) ;
et du petit Gérard, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (en une information donnée par L’Afrique du Nord illustrée du 18 septembre 1909).
Et  c’est seulement du faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron, publié dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939, que j’ai pu induire la sororité d’Eveline Ducos du Hauron avec ses frères Gérard et Roger Ducos du Hauron _ qui vont, tous les deux, très durablement lui survivre… _ ; Eveline Ducos du Hauron figurant là comme l’épouse de « M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix » ; lequel y déclarait avec « ses enfants«  _ au pluriel, eux aussi _ ce décès de son épouse _ ces enfants Ducros étant très probablement le petit Yves-Henri Ducros, fils aussi d’Eveline, né à Port-Gueydon quand M. Henri Ducros s’y trouvait administrateur-adjoint ; ainsi que, mais né d’un précédent mariage de M. Henri Ducros _ avec une dame Gibal _, le jeune Paul-Henri Ducros, né le 21 septembre 1921 à Aumale, où Henri Ducros se trouvait en poste d’administrateur-adjoint (cf L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921). Là-dessus, se reporter à mes précédents articles du 12 janvier dernier : … ; et d’abord, bien sûr, mon article du 16 janvier : .

A propos de la petite Edmée Ducos du Hauron _ née à Lamartine le 8 juillet 1904 _,

qui porte le prénom de sa tante Edmée récemment décédée à Saint-Mandé le 22 février 1902, et née _ à Poitiers le 8 janvier 1876 _ Edmée de Lamarque, qui était l’épouse de son oncle Gaston Ducos du Hauron, le frère cadet de son père Amédée,

je renvoie à un détail intéressant donné en mon article du 11 janvier dernier  : une brève mention, dans L’Écho d’Alger du 19 novembre 1919, de l’attribution d’une bourse (de 200 francs) à Edmée Ducos du Hauron, à l’École Primaire Supérieures de filles d’Alger ; la petite Edmée était alors âgée de 15 ans. 

Pour ce qui concerne Gérard Ducos du Hauron, ce que j’ai pu découvrir, outre le fait de sa naissance à Berrouaghia le 30 août 1909, a trait à son mariage, à Alger, le 25 novembre 1939, avec « Mme Jacquet », née Célestine-Léontine Noiraux ; puis son décès à Avignon le 27 janvier 2000 cf le passage de mon article du 11 janvier dernier  qui le concerne, lui : « Gérard Ducos du Hauron, né à Berrouaghia le 30 août 1909 (où son père, Amédée, était administrateur-adjoint), et décédé à Avignon le 27 janvier 2000. Gérard Ducos du Hauron a épousé à Alger, le 25 novembre 1939, Mme Jacquet, née Célestine-Léontine Noiraux (Haraucourt, 12 novembre 1893 – Cavaillon, 29 juillet 1972) ; et il ne semble pas avoir eu de descendance« ...

Quant à son frère Roger Ducos du Hauron, je ne peux, pour le moment et pour l’essentiel, que reprendre ce que je disais à son propos dans ce même article du 11 janvier dernier  :

« Roger Ducos du Hauron _ dont j’ignore toujours le lieu et la date de naissance, ainsi que le lieu (en France : il est venu vivre à Savigny-sur-Orge au moment de son rapatriement en France, vers 1962 (mais pas dans la maison du 14 de la rue des Rossays, où avaient vécu ses grands-parents, Alcide et Césarine-Marie, ainsi que son grand-oncle Louis, et son oncle Gaston : cette maison sur laquelle a été apposée, en 1951, une plaque commémorant le séjour, là, de l’inventeur Louis Ducos du Hauron…) et la date de son décès _ et son épouse Sylvia _ j’ignore son nom de jeune fille… _ ont eu 4 enfants : Marie-José Sylvia Ducos du Hauron (Alger, 4 avril 1944 – Langrolay-sur-Rance, 28 décembre 2009) ; Jean-Louis Ducos du Hauron (né en 1953 _ probablement lui aussi à Alger… _ et qui vit aujourd’hui en Espagne… ; il a deux fils, Cédric et Aurélien) ; Danièle Ducos du Hauron ; Denise Ducos du Hauron« …

Et je continuerai demain cet exposé de ma lecture-analyse de ce faire-part du décès de M. Victor Gadel, publié par L’Écho d’Alger du 31 mars 1930,

en revenant sur la personne d’Eveline Ducos du Hauron, « Mme Henri Ducros ».

Mme et M. Henri Ducros ;

Mme et M. Eugène Gentet ;

Mme Vve Gentet.

Ce jeudi 21 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un premier point-bilan rétrospectif-prospectif sur un essai de brève biographie de Henri Ducros, l’époux d’Eveline Ducos du Hauron

14jan

La première personne à l’identité de laquelle je vais m’efforcer d’apporter ici le maximum de précision possible quant à sa situation, et d’abord au sein de sa propre famille des Ducros installés _ probablement depuis les années 80 du siècle précédent, et venus du Gard (Aigues-Mortes, Nimes…) _ à Azazga,

au vu méthodique du faire-part de décès de son épouse née Eveline Ducos du Hauron _ cf l’annonce de ma méthode dans mon article d’hier : ... _, dont revoici l’énoncé : « M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants, MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité, le 1er janvier 1939.« ,

est Henri Ducros le fils _ qui porte le même prénom, Henri, que son père (dont j’ignore les lieux et dates de naissance (en France, dans le Gard ?), de mariage ainsi que de décès (je sais seulement qu’il est décédé avant son épouse Philomène, née Roussel).

La majeure partie des renseignement que j’ai pu jusqu’ici réunir sur Henri Ducros-le-fils, procède de ce que j’ai pu découvrir de sa carrière administrative d' »administrateur-adjoint » de diverses « communes mixtes d’Algérie« , entre la réussite à son concours d’entrée passé le 26 novembre 1912 _ je suppose qu’il devait être âgé alors d’un peu plus de 20 ans : son livret militaire, auquel j’accède à la date du 30 mars 2021, m’apprend que Henri Bavolet Ducros, fils de Henri-Joseph Ducros et Philomène Roussel, est né à Alger le 25 juin 1887... _et le poste qu’il occupait, à Dupleix, au moment du décès _ à Alger, durant des vacances de Noël, fin décembre 1938 _ de son épouse née Eveline Ducos du Hauron ; carrière que j’ai pu ainsi retracer :

1) Suite à son classement au concours d’entrée à la fonction d' »administrateur-adjoint » qu’il venait de réussir, c’est le 4 janvier 1913 que Henri Ducros est nommé « administrateur-adjoint stagiaire« , et, dans la foulée, désigné pour la commune mixte de Sidi-Aïssa (en remplacement de _ celui qui deviendra (et à une date que j’ignore toujours) son beau-père, peut-être rencontré pour la première fois à cette occasion professionnelle… _ Amédée Ducos du Hauron) ;

2) En date du 13 décembre 1915 _ sa situation d’administrateur-adjoint stagiaire terminée : il devient le titulaire de ses postes… _, Henri Ducros est appelé dans la commune-mixte d’Azazga (c’est-à-dire la commune-mixte du Haut-Sébaou) _ Azazga : là où résident ses parents Henri Ducros et Philomène (ou Magdeleine), née Roussel , installés à Azazga depuis les années 80 du siècle précédent _ ;

3) Quatre ans plus tard, en date du 12 novembre 1919, Henri Ducros est appelé à Aumale ;

4) Ensuite à une date qui ne m’est pas connue _, Henri Ducros est nommé à la commune mixte du Djebel Nador _ dont le centre principal est Trézel.

De fait, Henri Ducros avait bien été « désigné pour Trézel » _ le centre principal de la commune mixte du Djebel Nador _, comme l’atteste un arrêté du Gouverneur général de l’Algérie en date du 27 janvier 1923, relaté dans un article intitulé « Dans les communes mixtes » paru dans L’Écho d’Alger du 30 janvier 1923, faisant état que « M. Dor, administrateur-adjoint à Bou-Saâda, est appelé à Aumale en remplacement de M. Ducros, précédemment désigné (sic) pour Trézel » – Djebel Nador…

5) Puis, en date du 3 février 1923, Henri Ducros est appelé, à titre provisoire _ mais un provisoire qui va durer plus de 13 ans : jusqu’à la fin de 1936… _, à la commune mixte d’Azeffoun (sa résidence étant à Port-Gueydon) _ en effet, Henri Ducros avait bien été, très vite, « remplacé au Djebel Nador, à titre provisoire, par M. Marchand, ancien élève diplômé de l’Institut national agronomique, nommé administrateur-adjoint, et affecté, à titre provisoire, à la commune mixte du Djebel Nador « , précisait cet arrêté de nomination du 3 février 1923… _ ;

6) Enfin, fin décembre 1936 – début janvier 1937 _ je ne dispose pas d’un avis officiel de nomination, mais seulement d’un bref article de « Bienvenue«  pour son arrivée à Dupleix, en provenance de Port-Gueydon (paru dans L’Écho d’Alger du 6 janvier 1937) _, Henri Ducros est nommé à la commune-mixte de Cherchell (sa résidence étant à Dupleix).

Dupleix où Henri Ducros continue de résider avec sa famille en 1938-39, quand son épouse née Eveline Ducos du Hauron décède subitement, fin décembre 1938, à Alger, lors de vacances de Noël passées à Alger…

Pour le reste de la carrière administrative de Henri Ducros à partir de 1939, je ne dispose plus d’aucun renseignement…

Et je ne dispose, pour l’heure, non plus d’aucune date ni lieu,

ni de naissance _ à Azazga, et au moins avant 1895 ? C’est à Alger, le 25 juin 1887, qu’est né Henri Bavolet Ducros, fils de Henri-Joseph Ducros et son épouse Philomène Roussel, m’apprendra le 30 mars 2021 la lecture de son livret militaire (classe 1907)… Aznaga est en effet le lieu de naissance de son frère Alphonse-Léon, qui y est né le 8 juillet 1896 : je dispose du livret militaire d’Alphonse-Léon ; et dans l’ordre des faisant part du décès de « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru dans L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931, Henri semblerait être l’aîné des enfants (et descendants Ducros) de Henri Ducos et son épouse qui vient de décéder « à Aznaga, à l’âge de 71 ans, le 19 juillet 1931 » je lis en effet en ce faire-part : « Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri, et leurs familles » ; un ordre d’inscription qui me paraît devoir résulter de l’ordre des naissances de ces descendants de Mme Vve Ducros qui vient de décéder ; à moins que la place en cet ordre de M. Henri Ducros, résulte du fait qu’il est le seul, parmi ces descendants de sa défunte mère, à avoir auprès de lui une épouse, l’épouse de son frère Alphonse, née Gilberte Bure (le mariage avait eu lieu à Alger au mois d’octobre 1922), étant décédée, à l’âge de 27 ans, au mois de septembre 1929 (cf L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929, et Le Progrès d’Orléansville, du 19 septembre 1929)… Edmond Ducros, lui, est né à Azazga le 29 octobre 1889, m’apprendra son livret militaire… _,

ni de mariage, ni de décès, d’Henri Ducros…

Je dispose seulement d’avis _ il ne s’agit pas de faire-part publiés par les parents eux-mêmes _ de naissance, à Port-Gueydon, de 2 de ses enfants, les petits Yves-Henri (au mois de juin 1930) et Raymond (au mois de mai 1931), et de décès d’une troisième enfant, la petite Raymonde (au mois d’octobre 1933 _ sans indication de l’âge de la petite défunte… _) : cf les numéros de L’Écho d’Alger des 8 juin 1930, 30 mai 1931 et 27 octobre 1933 ; j’y reviendrai plus tard.

Avec, aussi, deux données qui font problème en ce bref aperçu biographique de Henri Ducros :

un éventuel premier mariage, ainsi qu’un éventuel premier enfant, advenus avant son mariage _ à une date encore inconnue de moi à ce jour ; et en l’absence de tout-faire part publié accessible… _ avec Eveline Ducos du Hauron…

En effet, un possible premier mariage de Henri Ducros, avec une dame nommée Gibal, est envisageable, d’après un avis de naissance de ce qui serait un premier enfant de Henri Ducros, prénommé Paul-Henri, indiqué _ clairement _ comme étant le fils de l’administrateur-adjoint d’Aumale _ ce qui est bien le cas de notre Henri Ducros, entre novembre 1919 (moment de son arrivée à Aumale) et une date assez antérieure à février 1923 où il rejoindra le poste qui suivra celui de Trézel (pour la commune mixte de Djebel Nador) : celui de Port-Gueydon, le centre principal de la commune mixte d’Azzefoun… _ et de son épouse, née Gibal.

Je m’en rapporte ici à cet avis, en une rubrique « Naissances« , paru dans le numéro de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 : « Nous avons le plaisir d’apprendre la naissance d’un superbe petit garçon, fils de Mme et M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale. Mme Ducros est fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef de trafic à la Compagnie Générale Transatlantique. Quant au bébé, il s’appelle Paul-Henri. Nous lui souhaitons bonne et longue vie« .

Là-dessus, cf mon article d’avant-hier 12 janvier :

La situation de notre Henri Ducros au sein de la fratrie des enfants de Henri Ducros-le-père et Philomène _ Magdeleine _ Roussel-la-mère demande davantage de précisions que celles que j’ai données plus haut, à propos du faire-part de décès de « Mme Vve Ducros, née Roussel Philomène » publié par L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931,

que revoici : « Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri, et leurs familles« .

Car se trouvent vivre alors à Azazga d’autres Ducros que ceux-là : assez probablement des cousins…

Tels, par exemple, un Roger Ducros, né à Azazga le 18 mai 1927 ; ou un Lucien Ducros, conducteur de car, qui épousera à Azazga le 24 décembre 1937, une Louise Oudot, originaire de Tamda…

De même, avait eu lieu à Azazga, en 1921, le mariage de « Melle Marthe Ducros, fille de Mme et M. Henri Ducros, propriétaire à Azazga, avec Michel Pratlosa, employé aux Chemins de fer de l’État à Alger » ; et c’est dans ce faire-part de mariage publié dans L’Écho d’Alger du 26 octobre 1921 que j’avais pris connaissance de cette remarque à propos de la présence de la famille Ducros à Azazga : « cette famille habite depuis plus de trente ans ce pays« …

Cette Marthe Ducros, « fille de Mme et M. Henri Ducros, propriétaire à Azazga« , pourrait-elle être une sœur de Henri, d’Edmond et d’Alphonse Ducros ? Car nulle part son nom n’est apparu jusqu’ici dans les documents auxquels j’ai pu avoir accès concernant les proches de notre Henri Ducros, l’époux de notre Eveline Ducos du Hauron… _ oui, Marthe Ducros est bien la sœur de Henri, Alphonse et Edouard Ducros.

Voilà pour aujourd’hui jeudi.

Ce jeudi 14 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A propos des filiations et apparentements des Ducos du Hauron d’Algérie au sein de leur constellation familiale : retour au détail du faire-part de décès d’Eveline Ducos du Hauron (dans L’Echo d’Alger du 2 janvier 1939)

13jan

À ce point de ma recherche des filiations et apparentements de la branche d’Algérie de la famille Ducos du Hauron,

au cours de laquelle je parviens à grappiller, de-ci de-là, quelques détails pouvant _ maintenant ou plus tard _ faire fonction d’indices dans ma quête de nécessaires précisions de la constellation familiale _ à commencer par ses neveux et leur entourage _ qui a su si bien non seulement entourer mais aussi très activement épauler l’oncle Louis Ducos du Hauron en son si remarquable travail d’inventeur génial _ en dépit de sa relative situation solitaire _,

j’éprouve le besoin de faire un point

en revenant plus spécialement réfléchir au détail d’un document, probablement le plus essentiel _ du moins pour ma présente recherche _ de tous ceux auxquels j’ai pu accéder jusqu’ici :

le faire-part du décès d’Eveline Ducos du Hauron,

l’épouse de Henri Ducros, qui était, à ce moment de fin décembre 1938, du décès subit de son épouse, à Alger, lors de vacances de Noël, administrateur-adjoint de la commune mixte de Cherchell, à Dupleix,

tel que ce faire-part est paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939…

Le voici reproduit en son intégralité :

« M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix et ses enfants, MM. Ducos du Hauron Gérard et Roger ; Mme Jacquet ; Mme Vve Gadel et ses enfants ; les familles Ducros, Ducos du Hauron, Gadel, Gentet, Charavel, Ferrand, Bure, vous font part du décès de leur chère et regrettée Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON. Les obsèques ont eu lieu dans l’intimité, le 1er janvier 1939.« 

Trois jours plus tard, parut sous une rubrique « Dupleix. Décès« , dans L’Écho d’Alger du 5 janvier 1939, l’avis suivant :

« Mme Ducros est décédée subitement, à Alger, où elle était allée avec sa famille, passer les fêtes de Noël. La triste nouvelle a plongé la population entière dans une profonde consternation. Nous présentons à M. Ducros, notre administrateur-adjoint et à ses enfants, l’expression de nos condoléances attristées.« 

Et cela avant que paraissent, dans le numéro de L’Écho d’Alger du 18 janvier suivant, ces remerciements-ci :

« M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix, MM. Ducos du Hauron et leurs familles prient les familles qui ont bien voulu prendre part à leur douleur à l’occasion du décès de Madame Henri DUCROS, Née Eveline DUCOS DU HAURON, de trouver ici l’expression de leurs remerciements émus.« 

Ces trois documents _ liés i même événement tragique _ méritent en effet d’être un peu précisément commentés, pour ce qu’ils nous laissent entrevoir de la constellation familiale, en Algérie, de la branche « algéroise – algérienne«  _  et ajoutons orléansvillaise _ des Ducos du Hauron, du moins entre 1896 et 1939.

Je vais donc maintenant repasser en revue,

et l’une après l’autre,

et le plus exhaustivement qu’il me sera possible d’après ce que j’ai recherché et découvert jusqu’ici,

chacune des personnes ainsi que chacune des familles mentionnées en ce faire-part du décès de « Madame Henri DUCROS, née Eveline DUCOS du HAURON » paru dans L’Écho d’Alger du 2 janvier 1939…

À nouveau, donc, un point-bilan rétrospectif prospectif nécessaire afin d’espérer significativement avancer.

Ce mercredi 13 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Mieux comprendre certaines filiations : par exemple celle de Paul-Henri Ducros, né à Aumale le 22 septembre 1921

12jan

Dans ma recherche de certaines filiations au sein de la famille Ducos du Hauron,

et cela en amont comme en aval du mariage d’Amédée Ducos du Hauron et son épouse Marie-Louise Rey _ mariage dont j’ignore encore à ce jour et le lieu (à Orléansville ?) et la date (un peu avant ou un peu après 1896, quand Amédée décide de demeurer en Algérie, alors que ses parents, son frère et son oncle Louis retournent en France ; et peut-être aussi à un moment où Amédée y est, soit déjà, soit encore, en poste de rédacteur à la sous-préfecture…) _,

je m’interroge sur la naissance, au mois de septembre 1921, à Aumale,

où son père Henri Ducros _ très vraisemblablement le mari à venir d’Éveline Ducos du Hauron (dont j’ignore toujours aussi le lieu et la date de ce mariage…), plutôt que son père, prénommé lui aussi Henri, et, auquel père, nommé donc Henri-Bavolet Ducros lui aussi, survivra sa mère, née Philomène Roussel ; cf le significatif et bien intéressant faire-part de décès de celle-ci, « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru, sous un intitulé « Azazga – Port-Gueydon« , dans le numéro du 24 juillet 1931 de L’Écho d’Alger : j’y reviendrai bien vite pour en donner tout le détail… _

était alors _ entre 1919 et 1923 (1919 : après son poste à Azazga, dans la commune mixte du Haut-Sébaou ; et 1923 : avant son poste à Trézel, dans la commune mixte du Djebel Nador) _ « administrateur-adjoint« ,

de Paul-Henri Ducros.

Et voici in extenso le détail de ce qu’annonçait un bref entrefilet de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 :

« Naissances.

Nous avons le grand plaisir d’apprendre la naissance d’un superbe petit garçon, fils de Mme et de M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale.

Mme Ducros est fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef du trafic à la Compagnie Générale Transatlantique.

Quant au bébé, il s’appelle Paul-Henri. Nous lui souhaitons bonne et longue vie.« 

Et maintenant voici, lui aussi in extenso, le détail du faire-part de décès de « Mme Vve Henri Ducros, née Roussel Philomène« , paru _ dix ans plus tard que cette naissance, à Aumale, du petit Paul-Henri Ducros _ dans L’Écho d’Alger du 24 juillet 1931 :

« AVIS DE DÉCÈS.
Azazga – Port-Gueydon.

Mme et M. Henri Ducros et leurs enfants Yves et Raymond ; MM. Ducros Edmond, Ducros Alphonse et son fils Jean-Pierre, Ducros Paul-Henri et leurs familles _ soient les familles Ducos du Hauron (Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri-Bavolet Ducros, est la mère de leurs enfants Yves-Henri-Marie et Raymond Ducros) et Bure (Gilberte Bure, décédée au mois de septembre 1929, en Suisse, était l’épouse d’Alphonse Ducros, et la mère de leur fils Jean-Pierre Ducros ; cf le faire-part de son décès dans le numéro du 10 septembre 1929, de L’Écho d’Alger ; ou l’avis de décès paru le 19 septembre 1929 dans Le Progrès d’Orléansville)_, ont la douleur de vous faire part du décès de leur mère, grand’mère et parente

Madame Veuve Henri DUCROS

née ROUSSEL Philomène

décédée le 19 juillet 1931, à Azazga,à l’age de 71 ans« 

La question que me pose cette énumération des Ducros faisant part du décès de leur mère et grand-mère Philomène Ducros, née Roussel _ née, elle, en 1860 _, est celle des rapports de filiation entre les membres de cette famille :

si les petits Yves (ou Yves-Henri-Marie) et Raymond Ducros sont bien les enfants de Henri-Bavolet Ducros et son épouse Éveline Ducos du Hauron,

et si le petit Jean-Pierre Ducros est bien le fils d’Alphonse-Léon Ducros et de sa défunte épouse née Gilberte Bure,

de qui le jeune Paul-Henri Ducros est-il exactement, lui, l’enfant ?

lui qui se trouve à la quatrième place des descendants de la défunte, Madame Veuve Henri Ducros, née Philomène Roussel,

après 1) Henri-Bavolet Ducros, son épouse et leurs deux fils Yves et Raymond Ducros,

2) Edmond Ducros _ apparemment demeuré, lui, célibataire _,

3) Alphonse Ducros _ veuf de son épouse Gilberte née Bure _ et son fils Jean-Pierre ?

Pourrait-il être, lui aussi, un frère des frères Henri-Bavolet, Edmond et Alphonse-Léon Ducros ?

Lui, Paul-Henri Ducros, que l’annonce de sa naissance dans L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 déclarait être le fils de « Mme et de M. Henri Ducros, administrateur-adjoint à Aumale« …

Se pourrait-il qu’un autre Henri Ducros que le futur époux d’Éveline Ducos du Hauron,

cet « administrateur-adjoint » des « communes mixtes » d’Algérie, dont nous avons pu retracer les étapes de la carrière de novembre 1912 à janvier 1939 _ 1) classé à la suite du concours du 26 novembre 1912, M. Henri Ducros est nommé en date du 4 janvier 1913, administrateur-adjoint stagiaire, et désigné pour la commune mixte de Sidi-Aïssa (en remplacement de M. Ducos du Hauron) 2) appelé en date du 13 décembre 1915 dans la commune-mixte d’Azazga (c’est-à-dire celle du Haut-Sébaou) 3) appelé en date du 12 novembre 1919 à Aumale 4) nommé _ la date ne m’est pas connue _ à la commune mixte du Djebel Nador 5) appelé en date du 3 février 1923, et à titre provisoire, à la commune mixte d’Azeffoun (en résidence à Port-Gueydon) 6) nommé _ fin décembre 1936 – début janvier 1937 _ à la commune-mixte de Cherchell (en résidence à Dupleix) _,

ait pu être le père de ce petit Paul-Henri Ducros ?

À commencer par le propre père d’Henri-Bavolet, soit Henri-Joseph Ducros, l’époux de sa mère Philomène Roussel ?.. 

Mais de toutes les façons,

et qu’il s’agisse de M. Henri-Bavolet Ducros-fils, ou de M. Henri-Joseph Ducros-père _ et des deux, j’ignore hélas à ce jour les dates de naissance _ le 25 juin 1887 pour Henri-Bavolet, comme me l’apprendra plus tard la lecture de son livret militaire _, de décès comme de mariage(s) ; ce qui ne m’aide pas !.. _,

fait importante difficulté pour nous, en cette information de L’Écho d’Alger du 22 septembre 1921 à propos de la naissance du petit Paul-Henri Ducros, dont le père, M. Henri Ducros, est dit se trouver alors en poste d’administrateur-adjoint à Aumale _ pourrait-ce donc être un autre que ce Henri Ducros dont nous venons de retracer la carrière administrative ? Henri Ducros fils ?.. _,

le fait que soit donnée pour la mère de l’enfant (et épouse de l’administrateur-adjoint d’Aumale, M. Henri Ducros),

une dame née Gibal, « fille de M. Gibal, instituteur à Alger, et nièce de M. Cordier, chef du trafic à la Compagnie Générale Transatlantique« …

M. Henri Ducros aurait-il été marié en premières noces avec cette dame née Gibal ?

Très vraisemblablement !

Et dans ce cas, que serait devenue cette première épouse ?..

Nulle part ailleurs je n’en ai trouvé quelque mention..

De même que j’ai déjà fait état en un précédent article _ en date du 15 décembre dernier : _ d’un possible, mais plutôt étrange, premier mariage de sa seconde (?) épouse, Éveline Ducos du Hauron, avec un certain François Perez (d’après un sibyllin Avis paru dans L’Écho d’Alger du 5 octobre 1926 :

« M. Perez François ne reconnaît plus les dettes que pourrait contracter sa femme, née Éveline Ducos du Hauron. Dont acte« …

Enfin,

dans deux autres faire-part de décès survenu en cette famille Ducros _ une famille originaire du Gard, et comportant des parents résidant à Aigues-Mortes ; et installée à Azazga depuis les années 80 du XIXe siècle (la commune mixte du Haut-Sébaou, dont le centre principal est Azazga, a été constituée par un décret du 25 août 1880) ; cf aussi ce très détaillé document de Jean-Yves Thorrignac sur l’histoire d’Azazga… _, le décès de Madame Alphonse-Léon Ducros, née Gilberte Bure, paru, le premier, le 10 septembre 1929 dans L’Écho d’Alger, et un autre le 19 septembre suivant, dans le Progrès d’Orléansville, il est intéressant de détailler les deux longues listes des personnes faisant part de ce décès qui affecte au premier chef les familles Ducros _ la famille du veuf, Alphonse-Léon Ducros, et de l’orphelin, Jean-Pierre Ducros _ et Bure _ la famille de la défunte Gilberte Bure _ :

 

dans ces deux listes, nulle mention de Paul-Henri Ducros ;

mais seulement, parmi les membres de la famille Ducros faisant part du décès de Madame Alphonse Ducros, née Gilberte Bure,

et outre la mention, en 3ème rang juste après le mari veuf et le fils orphelin de la défunte : « M. Alphonse Ducros, chevalier de la Légion d’Honneur, et son fils Jean-Pierre » ; et les père et mère de la défunte : « Mme et M. Bure Jean-Baptiste, Commandeur du Mérite agricole et propriétaire à Vauban » _ de « Mme Veuve Ducros, d’Azazga » _ elle décèdera le 19 juillet 1931, en son domicile d’Azazga _, la belle-mère de la défunte,

celle, au huitième rang, de « Mme et M. Henri Ducros, administrateur-adjoint » _ sans mention de nul enfant de leur couple, à ces dates des 10 et 19 septembre 1929 : de fait, le premier né de ce couple formé par Henri-Bavolet Ducros et son épouse Éveline Ducos du Hauon, Yves-Henri-Marie Ducros, ne naîtra que neuf mois tard : à Port-Gueydon, le 31 mai 1930…  _, ses beau-frère et belle soeur côté Ducros,

suivie de celle, au neuvième rang, de « M. Edmond Ducros, d’Azazga« , son autre beau-frère Ducros de la défunte née Gilberte Bure,

dans le faire-part de L’Écho d’Alger du 10 septembre 1929 ;

et, pour le faire-part du Progrès d’Orléansville du 19 septembre suivant, et avec quelques ajouts (dont, juste avant une énumération de familles parentes et alliées, la mention, in extremis, de « Mme et M. Ducros, d’Aigues-Mortes« …),

on peut lire, en huitième rang : « Mme et M. Henri Ducros, Administrateur _ adjoint de la commune mixte du Haut-Sébaou _ à Azazga« 

_ ce qui ne laisse pas de me surprendre : en sa carrière d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie, Henri Ducros aurait-il, à ce moment de 1929, réintégré un moment ce poste à Azazga (en la commune mixte du Haut-Sébaou) ? Ou bien ne serait-ce pas là plutôt quelque inadvertance de la part d’un des membres de la famille Bure venu à Orléansville présenter sa proposition de faire-part du décès  de Gilberte Bure, épouse Ducros, à la rédaction du journal Le Progrès ?..  Sur la chronologie du parcours d’administrateur-adjoint de diverses communes mixtes d’Algérie de Henri Ducros, se reporter à mon article à venir du 2 décembre 2021 (ultérieur à celui-ci, en date, lui, du mardi 12 janvier 2021 !) : «  «  ; un ajout en date du vendredi 21 juillet 2023… _  ;

alors qu’a disparu ici la mention de « M. Edmond Ducros, d’Azazga« …

Voilà pour les recherches et questionnements de ce mardi 12 janvier 2021,

autour de quelques filiations et apparentements de la constellation des Ducos du Hauron, ainsi que, aussi, des Ducros, d’Algérie,

dans la première moitié du XXème siècle…

Ce mardi 12 janvier 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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