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Nouvelle relecture (très féconde) de l’article du 16 décembre 2020 « Essayer de réduire la tache aveugle du devenir des petits-neveux et arrière-petits neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron, nés en Algérie après le retour en France, en 1896, d’Alcide et Louis Ducos du Hauron »

07nov

Ce dimanche 7 novembre 2021,

je poursuis mes exercices de re-lecture-révisions _ avec corrections, précisions et ajouts en rouge et en gras _,

cette fois de mon article du 16 décembre 2020 « « …

Voici donc ce que cela donne :

Ce jour _ il s’agissait là du mercredi 16 décembre 2020 _, j’ai commencé par relire et reprendre, pour en corriger pas mal d’imprécisions, voire erreurs, ma synthèse de la veille :  ; ce qui m’a pris pas mal de temps, et sera encore à reprendre, afin de gagner encore en clarté et fluidité…

Ce jour, donc,

je désire éclaircir ce que je qualifierai de la « généalogie algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ l’ainé des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron : Amédée, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ et de sa descendance…

Et je suis encore _ et demeure toujours, à cette nouvelle date du 7 novembre 2021 ! _ très insatisfait de ce que j’ai pu découvrir jusqu’ici à propos des enfants d’Amédée et de Marie-Louise Rey,

qui sont peut-être au nombre de 5 _ mais je ne suis pas encore parvenu à tous les identifier ! Et toujours pas ce 7 novembre 2021… _,

si je m’en rapporte au très intéressant article de l’Écho d’Alger du 4 mars 1927, alors qu’Amédée Ducos du Hauron est, en 1927, à l’âge de 60 ans _ Marie-Louis- Amédée Ducos du Hauron, en effet, est né le 24 mars 1867 ; et non pas le 9 février 1866 (qui est la date de naissance de son frère aîné Henri-Amédée-Lionel, né, lui aussi à Agen, le 9 février 1866 ; et prématurément décédé à l’âge de 5 mois et un jour, à Agen, le 11 juillet 1866… La similitude du prénom Amédée, commun aux deux frères, m’avait alors égaré ; je n’avais pas été aller chercher plus loin dans les archives d’Etat-Civil d’Agen… _, désormais retraité de sa carrière administrative ;

une carrière qui s’est entièrement déroulée, semble-t-il, en Algérie _ cf mon indispensable (et magnifiquement précis) article à venir, le 5 janvier 2021 : … Un article riche de très nombreuses ressources pour la recherche, et sur lequel il me faudra, bien évidemment, revenir travailler en profondeur…

Même si un moment,

et forcément avant, novembre 1896, le retour en France de ses parents, de son frère et de son oncle,

Amédée a travaillé un peu

_ semble-t-il, du moins au regard de l’article rétrospectif re-publié dans ce numéro de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, un article précédemment paru dans un journal parisien, dont le nom n’était pas cité… ; et je reprends ici la citation de ce bien intéressant article de L’Écho d’Alger :  » Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants. Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire. Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans _ et Amédée, né le 24 mars 1867, atteindra l’âge de 28 ans le 24 mars 1894… ; peut-on tirer certaines conclusions, déjà, de ces dates?.. _, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle«  _

aux côtés de son oncle Louis, à seconder _ voilà ! _ les recherches photographiques de celui-ci _ et il y a bien là toute une recherche à mener… _, lui aussi ; comme son frère Gaston, et, bientôt, en France (et région parisienne) son cousin Raymond de Bercegol…

Tous ont attrapé le virus, apparemment très contagieux, de la recherche,

auprès du génialissime oncle Louis _ voilà la recherche qu’il faudrait engager et mener systématiquement de manière méthodique…

De la modeste _ oui … _ carrière administrative d’Amédée Ducos du Hauron,

je tâcherai de repérer le mieux possible les assez humbles _ il faut bien le reconnaître _ étapes,

dans diverses petites villes, voire villages, d’Algérie _ dans lesquels Amédée a exercé les fonctions d’administrateur-adjoint _, entre janvier 1901 et le 25 juin 1914,

du moins pour les 12 références (en 1901, 1904, 1909, 1913 et 1914) que je suis parvenu jusqu’ici à recueillir sur le web ; demeurent donc encore pas mal de trous dans ma raquette _ comme il se dit ces temps-ci… _ : 

_ Oued Sahel

_ l’Ouarsenis

_ Cassaigne _ aujourd’hui Sidi Ali…

_ le Cheliff

_ Lamartine _ aujourd’hui El Karimia : c’est là qu’est née, le 8 juillet 1904, la petite Edmée Ducos du Hauron…

_ Berrouaghia _ c’est là qu’est né, le 30 août 1909, le petit Gérard Ducos du Hauron

_ Sidi Aïssa

_ Mizrana

_ Rébeval _ aujourd’hui Baghlia ; là vivait la famille d’Amédée Ducos du Hauron, en 1927…

_ Tablat

_ L’Arba

Et c’est à Alger, au mois de juillet 1935 _ ses obsèques ont eu lieu le 15 juillet _, qu’est décédé, à l’âge de 68 ans, Amédée Ducos du Hauron.

Ce mercredi 16 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les questions que je me pose concernent les raisons, peut-être, voire probablement, multiples,

de la cruciale décision d’Amédée Ducos du Hauron de ne pas accompagner ses parents Alcide et Cézarine-Marie, son oncle Louis, son frère Gaston et ses deux sœurs Marguerite et Alice, qui retournent en France _ non pas à Agen, mais à Paris _,

mais de demeurer, lui, et seul de sa famille, en Algérie _ où réside-t-il alors ? à Alger ? à Orléansville ? _, ce mois de novembre 1896…

Ces raisons de demeurer en Algérie sont-elles, de la part d’Amédée, uniquement professionnelles ?

Au mois de novembre 1896, Amédée a atteint, depuis le 24 mars, l’âge de 29 ans _ cf mon article du 5 janvier 2021 : 

Ou bien, entre-t-il aussi, dans cette cruciale décision de novembre 1896, voire en priorité, des raisons beaucoup plus personnelles et sentimentales, telle que sa rencontre, puis son mariage _ probablement à Orléansville où demeure, auprès de son tuteur (et oncle maternel) Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), Marie-Louise Rey, née en 1879 à Orléansville ; mais j’ignore encore à quelle date ce mariage a eu lieu… ;

pour le moment je ne sais toujours rien de plus précis sur la date ni le lieu de naissance de Marie-Louise Rey (très probablement à Orléansville, donc, où résidaient encore, en 1879, ses parents, Jean-Anatole Rey et son épouse orléansvillaise Adélaïde Gentet, avant de s’installer à Oran, le 29 novembre 1883 (cf mon article du 31 mars 2021 : ) ;

Oran, où décèderont Adélaïde Gentet (née à Orléansville en 1855) le 21 juillet 1886, et Jean-Anatole Rey (né au Grand-Serre, le 10 juin 1845), le 28 janvier 1890 ;

janvier 1890, le moment où, faisant fonction de tuteur de ses nièces Marie-Louise et sa sœur Aimée-Laurence Rey, Louis Gentet, avec son épouse (née Wachter), accueillera  les deux orphelines Rey en leur foyer, à Orléansville

(cf cet article, lui aussi décisif, en date du 2 janvier 2021 : ) ;

Orléansville constituant ainsi, dès lors, un lieu doublement crucial, tant affectif que professionnel, pour la destinée définitivement « algérienne«  de l’agenais de naissance Amédée Ducos du Hauron ! _

avec celle qui deviendra, mais à quelle date au juste, son épouse, l’orléansvillaise née en 1879 Marie-Louise Rey ?

En ce mois de novembre 1896, Marie-Louise Rey, qui vit à Orléansville, a 17 ans ;

et Amédée Ducos du Hauron, lui, a 29 ans…

Ce sont assurément là d’importantes questions dont les réponses me font toujours défaut, dans mon effort continué de mieux connaître et comprendre le passionnant parcours d’existence d’Amédée Ducos du Hauron en Algérie ;

ainsi que le devenir, en Algérie aussi, de ses enfants et petits-enfants… 

La recherche se poursuit donc !

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Essayer de réduire la tache aveugle du devenir des petits-neveux et arrière-petits neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron, nés en Algérie après le retour en France, en 1896, d’Alcide et Louis Ducos du Hauron

16déc

Ce jour, j’ai commencé par relire et reprendre, pour en corriger pas mal d’imprécisions, voire erreurs, ma synthèse de la veille :

 ;

ce qui m’a pris pas mal de temps, et sera encore à reprendre, afin de gagner encore en clarté et fluidité…

Ce jour,

je désire éclaircir ce que je qualifierai de « généalogie algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 15 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935) _ l’ainé des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron : Amédée, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ et de sa descendance…

Et je suis encore très insatisfait de ce que j’ai pu découvrir jusqu’ici à propos des enfants d’Amédée et de Marie-Louise Rey,

qui sont peut-être au nombre de 5 _ mais je ne suis pas encore parvenu à tous les identifier ! _,

si je m’en rapporte au très intéressant article de l’Écho d’Alger du 4 mars 1927, alors qu’Amédée Ducos du Hauron est, en 1927, à l’âge de 61 ans, désormais retraité de sa carrière administrative ;

une carrière qui s’est entièrement déroulée, semble-t-il, en Algérie…

 

Même si un moment,

et forcément avant, en 1896, le retour en France de ses parents, de son frère et de son oncle,

Amédée a travaillé un peu aux côtés de son oncle Louis, à seconder les recherches photographiques de celui-ci,

lui aussi ;

comme son frère Gaston,

et, bientôt, en France (et région parisienne) son cousin Raymond de Bercegol…

Tous ont attrapé le virus, apparemment très contagieux, de la recherche,

auprès du génialissime oncle Louis

De la modeste carrière administrative d’Amédée Ducos du Hauron,

je tâcherai de repérer le mieux possible les assez humbles _ il faut bien le reconnaître _ étapes,

dans diverses petites villes, voire villages, d’Algérie, entre janvier 1901 et le 25 juin 1914,

du moins pour les 12 références (en 1901, 1904, 1909, 1913 et 1914) que je suis parvenu jusqu’ici à recueillir sur le web ; demeurent donc pas mal de trous dans ma raquette _ comme il se dit ces temps-ci… _ : 

_ Oued Sahel

_ l’Ouarsenis

_ Cassaigne _ aujourd’hui Sidi Ali…

_ le Cheliff

_ Lamartine _ aujourd’hui El Karimia : c’est là qu’est née, le 8 juillet 1904, la petite Edmée Ducos du Hauron…

_ Berrouaghia _ c’est là qu’est né, le 30 août 1909, le petit Gérard Ducos du Hauron

_ Sidi Aïssa

_ Mizrana

_ Rébeval _ aujourd’hui Baghlia ; là vivait la famille d’Amédée Ducos du Hauron, en 1927…

_ Tablat

_ L’Arba

Et c’est à Alger, au mois de juillet 1935 _ ses obsèques ont eu lieu le 15 juillet _, qu’est décédé, à l’âge de 69 ans, Amédée Ducos du Hauron.

Ce mercredi 16 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le suicide d’une philosophe : de la valeur de vérité (et de justice) dans le marigot des (petits) accommodements d’intérêts (4 _ en forme d’apothéose)

20nov

Sur l’épisode n°5

_ « sur la sollicitude des philosophes, et la sollicitude heideggerienne en particulier«  _

d’une série d’articles d’Yves Michaud _ « Un Suicide dans les règles » _,

à propos la (bien) pénible affaire du « suicide d’une philosophe«  suite à sa non-titularisation,

dans des circonstances (universitaires) de formes (on ne peut plus) légales (« dans les règles« ), certes,

mais sans guère de « sollicitude«  (« care » : donc éthique), semble-t-il :

voici, du moins, une nouvelle pièce (d’analyse philosophique _ pointue…) à verser, aujourd’hui, à ce dossier ;

et on ne perdra certes pas son temps à accepter de bien vouloir lire in extenso ce nouvel article d’Yves Michaud en son blog « Traverses » du site de Libération, à la date de ce jour : « Rédigé le 20/11/2008 à 16:54« …

En pleine lecture de l’essai « Le Sexe de la sollicitude » de Fabienne Brugère,

qui le présentera à la Société de Philosophie de Bordeaux, dans les salons Albert-Mollat de la Librairie Mollat _ 15 rue Vital-Carles, à Bordeaux _ mardi prochain, 25 novembre, à 18 heures,

je n’ai donc pu que me trouver « interpellé »

par le sous-titre de ce nouvel « épisode »

de la (très remarquable) analyse michaldienne de ce (bien) pénible « cas » :

« sur la sollicitude des philosophes, et la sollicitude heideggerienne en particulier« , donc…

Dans une forme absolument « désopilante«  (!!!)

qui n’est pas sans rappeler le talent _ ou le génie : déchaîné ! _ du Swift des « Instructions aux domestiques »

(afin de « résoudre » « au mieux » l’assez difficile famine irlandaise _ de son temps, en 1745),

Yves Michaud nous prie, nous, lecteurs, de bien vouloir lui pardonner quelque « excès » d’humour noir » :

l’adjectif « désopilant » est, en effet, employé par l’auteur de cet article (d’anthologie) lui-même, pour l’usage de « Heidegger » que « se permet » _ sans doute en vertu de la « méta-fiction » ! _ un auteur de romans japonais, M. Tsutsui Yasutaka ;

en voici le détail :

« Histoire de sourire dans une affaire sinistre,

je renvoie sur ces quelques points à un roman désopilant du japonais Tsutsui Yasutaka, grand maître de la méta-fiction, « Les cours particuliers du professeur Tadano » _ ce roman, de 1990, est paru en traduction française aux Éditions Stock, en 1996.

Que les Brestois se rassurent, le livre de Yasutaka _ né en 1934 à Ōsaka _ ne se passe pas à l’Université de Bretagne occidentale ; et le professeur Tadano n’y enseigne pas la philosophie allemande !

Dans ce  roman, le professeur Tadano, qui a l’air de s’y connaître en jargon heideggerien authentique _ comment ne pas admirer l’emploi d’un tel terme en pareille occurrence ?!.. _, paraphrase ainsi la pensée du maître :

« Tenez, par exemple, quand on aide les autres, quand on couche avec eux, quand on les trahit, quand on se fait transmettre le virus du sida, tout ça, c’est de la sollicitude dans la terminologie de Heidegger » ;

ou encore :

« L’authenticité, c’est quand l’homme fait face à sa souffrance et à sa peine, qu’il l’assume, sans chercher à lui échapper

en faisant du tourisme de masse ou en se réfugiant dans la bouffe,

bref,

qu’il existe réellement en tant que lui-même. » Fin de la citation du roman japonais.

Yves Michaud s’en excuse un peu plus loin, au final de l’article :

« Qu’on me pardonne, pour finir, mes quelques traits d’humour noir.
D’abord ils soulagent.
Ensuite j’espère bien qu’ils ne dissimulent pas mon sentiment profond : que toute cette histoire fut et demeure strictement
_ l’adverbe aussi est important _ « dégueulasse ». »

Merci…

Et sur le fond, maintenant,

lire tout le détail de l’article sur le site « Traverses » d’Yves Michaud…


Titus Curiosus, ce 20 novembre

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