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Un merveilleux CD « Bach à Glauchau », par L’Autre Monde, de Jean-Paul Combet

15mar

Voici maintenant vingt ans

que Jean-Paul Combet nous donne _ désormais un peu plus au compte-gouttes… _ de vraiment merveilleux CDs,

dont il a, donc, initié l’aventure en créant en 1998 Alpha-Music Productions,

avec cette révélation extraordinaire et bouleversante

que fut le CD Alpha 001

du Poème Harmonique de Vincent Dumestre,

avec la magnifique Guillemette Laurens :

Le Musiche de Bellerofonte Castaldi :

Le Musiche di Bellerofonte Castaldi

 

Les doigts de fée pour bâtir de A à Z des disques absolument parfaits,

ainsi que le flair infaillible pour repérer avant d’autres les meilleurs talents _ présents et à venir _ d’interprétation de la musique,

et avec, surtout, les plus hautes exigences de justesse artistique,

de ce magique sourcier de musique, au disque ou au concert

notamment lors des sessions de sa magnifique Académie Bach, à Arques-la-Bataille, en Normandie (près de Dieppe) _

qu’est mon ami Jean-Paul Combet

poursuivent désormais l’aventure discographique sous son nouveau label L’Autre Monde ;

et viennent de nous donner, à nouveau, un magique somptueux CD :

un « Bach à Glauchau« 

_ « une petite ville de Saxe de 23 000 âmes à l’Est de l’Allemagne, à égale distance de Dresde et de Leipzig« , selon la phrase qui ouvre le texte de Jean-Paul Combet lui-même à l’ouverture du livret de ce CD LAM5, de L’Autre Monde _,

par les organistes Florence Rousseau et Loïc Georgeault,

sur l’orgue historique Gottfried Silbermann de Glauchau (de 1730).

Johann Sebastian Bach (1685-1750) et Gottfried Silbermann (1683-1753)

« étaient exactement contemporains l’un de l’autre, et leurs activités respectives se déroulèrent sur le même territoire« .

En l’état actuel de la découverte

ainsi que de la connaissance des archives

concernant Bach comme Silbermann,

une seule archive est attestée d’une « rencontre entre les deux hommes » :

« à l’occasion de la réception du nouvel orgue de Naumburg,

construit par un ancien élève de Silbermann, Zacharias Hildebrandt« .

Jean-Paul Combet poursuit alors :

« Quoi qu’il en soit, l’auditeur du XXI e siècle ne peut qu’être touché par l’extraordinaire proximité qui s’établit entre l’écriture de Bach et les sonorités propres aux orgues de Gottfried Silbermann.

Un équilibre miraculeux, dans lequel le discours musical est parfaitement porté par des instruments éloquents, poétiques, chantants et majestueux « .


Pour conclure :

« C’est sans doute cet équilibre, magnifié par l’orgue de Glauchau, qui a séduit Florence Rousseau et Loïc Georgeault,

et leur a inspiré un choix de pièces témoignant de la portée spirituelle _ et c’est en effet capital _ du langage musical de Bach » _ qui défie l’ineffable. 

BACH À GLAUCHAU, Liebster Jesu, Wir sind hier

Avis aux oreilles curieuses et les plus exigeantes musicalement !!!

Ce jeudi 15 mars 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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