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Travail de préparation pour un possible Index des Carnets de Goliarda Sapienza

10jan

Curieux de comprendre le mieux possible

les subtilités et complexités des Carnets pour elle-même

de Goliarda Sapienza,

qui viennent de paraître ce jeudi 3 janvier aux Éditions du Tripode

dans la magnifique traduction de Nathalie Castagné,

_ cf mes deux précédents articles (préparatoires à une vraie lecture commentée de ce chef d’œuvre)

des 5 et 6 janvier dernier :

et

 _

voici, ce jeudi 10 janvier 2019,

un travail préparatoire à l’établissement d’un Index un peu commode

_ aux lecteurs de ce chef d’œuvre _

afin de préciser un peu qui est qui

parmi les personnages qu’évoque

_ mais pour elle-même seule ! ces Carnets n’étant pas destinés à une quelconque publication de son vivant _

Goliarda…

Après quelques échanges

_ d’ajustement (quant à la pertinence des attentes prévisibles des lecteurs) _

avec Nathalie Castagné

_ la mieux placée en France pour juger de la pertinence et fonctionnalité de ces précisions

et de leur hiérarchisation _,

voici le résultat _ provisoire _ de mon archivage et hiérarchisation

de ces données utiles ;

précédé de quelques mots d’introduction

(de notre correspondance et harmonisation) :

Chère Nathalie,
voici comment je me suis efforcé de mieux hiérarchiser mes curiosités _ exhaustives à donner le tournis, dirait notre ami René, si ordonné…
Et en espérant aussi ne pas vous provoquer un tel tournis…
En bleu et gras
celles et ceux qui me paraissent constituer le cercle fort (ou plutôt  les cercles : « en archipel ») des plus proches de Goliarda (et les plus fréquemment cités).
En rouge,
d’autres qui suscitent fortement, eux aussi, pour des raisons diverses, ma curiosité ;
et en rouge et gras, selon l’intensité de cette curiosité mienne…
Et en noir,
ceux qui me paraissent moins importants…
Les institutions aussi sont bien intéressantes :
le Circolo della Rosa _ siégeant Via dell’Orso, 36, à Rome _,
le groupe d’écriture (exclusivement féminin, semble-t-il) auquel participa Goliarda _ à préciser ! _,
la Casa della Donna _ de la Via del Governo Vecchio, 9 (au Palazzo Nardini), à Rome _,
le Centro Sperimentale di cinematografia di Roma, où elle trouva un travail : enseigner l’art de la diction,
par exemple…
En osant espérer, donc, que ce regard curieux mien est positif pour vous,
qui êtes devenue si proche, par votre minutieux travail, de Goliarda ;
et aussi _ plus délicatement, forcément _ d’Angelo, si pleinement impliqué dans ces Carnets de Goliarda.
Bon séjour parisien !
Excellentes et fécondes rencontres !
Et saluez bien de ma part l’ami René.
Francis
Angelo Pellegrino (nommément, ou par un « nous ») : page 19 (158 occurrences) : connu par Goliarda en 1975 (page 409), devenu son mari et légataire universel ; et celui qui édite ses œuvres. Né à Palerme, le 2 août 1946.
Citto Maselli : page 20 (52 occ.) : compagnon pendant 17 ans (de 1947 à 1964) de Goliarda, qui l’a quitté, mais conserve de fidèles amicales relations (y compris professionnelles, cinématographiques) avec lui ; cinéaste ; et demeuré un communiste orthodoxe… Il ne désirait pas avoir d’enfant. Né à Rome, le 11 décembre 1930.
Stella (?) : page 21 (1 occ.)
Giuseppe Sapienza : page 21 ( occ.) : le père de Goliarda. 17 mars 1884 – Palerme, 24 novembre 1949.
Piera Degli Esposti : page 23 (9 occ.) : actrice italienne de théâtre et de cinéma, auteur de L’Histoire de Piera. Née à Bologne le 12 mars 1939.
Ercolino Maselli : page 31 (7 occ.) : père de Citto et Titina Maselli
Carlotta : page 32 (8 occ.) : en réalité, il s’agit là de trois personnes différentes !
_ d’abord, la première Carlotta évoquée à la la page 32 (1 occ.), est Carlotta Wittig, amie d’Angelo (et sa précédente compagne avant Goliarda), actrice et réalisatrice italienne. Née à Bologne.
_ ensuite, aux pages 42 et 101, la seconde Carlotta (?) dont il s’agit ici (2 occ.), a connu une enfance napolitaine : élevée au Sacré-Cœur de Naples, comme Bambolina (= Ida Petriccio di Vada) et Graziella Lonardi Buontempo, elle est peut-être née en 1928, comme Graziella, ou 1923, comme Ida Petriccio di Vada.
_ enfin, la troisième Carlotta évoquée aux pages 145 à 150 (5 occ.), c’est-à-dire la comédienne principale de la tournée, début 1989 (Bologne, Teatro Duse ; Lugo di Romagna, Teatro Bellini ; Sabaudia ; Naples ; Orte ; Pineto ; Rome, Théâtre A. ; Castellamare…), du drame en 3 actes Febbre (de 1927) de Pier Maria Rosso San Secondo (Caltanisseta, 30 novembre 1887 – Lido di Camaiore, 22 novembre 1956), est en fait Manuela Kustermann ; qualifiée par Goliarda de « originaire du Nord« , et de « folle de pouvoir, narcissique et hystérique« . Manuela Kustermann n’a pas encore 44 ans, en ce début 1989 de la tournée théâtrale de Febbre (page 148), un drame en trois actes de Pier Maria Rosso San Secondo (de 1927) ; et son anniversaire tombe effectivement le 9 mars (page 150). Manuela Kustermann est la compagne de l’important homme de théâtre qu’est Giancarlo Nanni (évoqué page 138). Née à Rome le 9 mars 1946.
Ruggiero Di Lollo : page 33 (29 occ.) : peintre vivant à Gaeta et ami très proche d’Angelo et Goliarda. Né à Agnone (Molise), le 9 juin 1943.
Michel (?) : page 35 (1 occ.) : apatride d’Europe centrale, suicidé à Turin, chez une amie (mars 1977)
Giacomino (Russo ?) : page 36 (3 occ.) : patissier à Positano (déjà décédé en avril 1992, page 454)
le garçon de la pension à Trieste : page 37 (2 occ.)
Vera (?) : page 40 (6 occ.) : amie qui meurt d’une leucémie, en janvier 1979
Graziella (Lonardi Buontempo) : page 42 (1 occ.) : riche et célèbre napolitaine, mécène d’artistes, née en 1928, amie de Bambolina (= Ida Petriccione di Vada) et Carlotta (?), toutes les trois napolitaines (cf l’expression « trois petites filles au Sacré-Cœur de Naples« ) ; hôtesse d’une fête pour les 70 ans d’Alberto Moravia (en novembre 1977). Naples, 1928 – Naples, 20 décembre 2010.
Carlotta (?) : page 42 (2 occ.) : napolitaine, et amie de Graziella Lonardi Buontempo et Bambolina ( = Ida Petriccio di Vada), qui ont toutes les trois approximativement le même âge (nées dans les années vingt) et ont été élevées au Sacré-Cœur de Naples. En novembre 1977, cette Carlotta-là a donc plus ou moins 50 ans. 
Alberto Moravia : page 42 (3 occ.) : écrivain italien, ami de Goliarda. Rome, 28 novembre 1907 – Rome, 26 septembre 1990.
Bambolina (et Bambu) : page 42 (5 occ.) : Ida Petriccione di Vada ; riche amie d’origine napolitaine, à laquelle Goliarda vola des bijoux, à Rome : ce qui valut à Goliarda son internement à la prison de Rebibbia. Naples, 29 octobre 1923 – Rome, 11 janvier 2016.
Luna (?) : page 43 (1 occ.)
Franca (Angelini ?) : page 44 (7 occ.) : amie de Goliarda ; a voyagé en Chine. Rome, 12 juin 1930 – Rome, 6 décembre 2014.
le père de Ruggiero Di Lollo : page 44 : en train de mourir en novembre 1977
Goliardo Sapienza : page 54 ( occ.) : mort noyé (assassiné par des fascistes) le 16 mai 1921.
Silverio Blasi : page 79 (6 occ.) : cinéaste italien, mari de Paola Morandi, et fidèle ami, qualifié d’ « ami de guerre » (page 311). Rome, 17 novembre 1921 – Rome, 27 avril 1995.
Titina Maselli : page 79 (12 occ.) : sœur de Citto, peintre et scénographe italienne. Rome, 11 avril 1924 – 22 février 2005.
Isa Bona Bartalini : page 79 (21 occ.) : grande amie de Goliarda, en deuil de son compagnon Andrea Gaggero en septembre 1988. Piombino, 30 janvier 1922 – Rome, 1996.
(?) Lussu : page 83 (1 occ.) : peut-être Emilio Lussu, antifasciste italien, auteur de Uomini contro (Armungia, 4 décembre 1890 – Rome, 5 mars 1975) ; ou plutôt son épouse, Joyce Salvadori Lussu, amie antifasciste de Goliarda, avec laquelle Goliarda voyagea à Istambul en 1960. Florence, 8 mai 1912 – Rome, 4 novembre 1998.
Bruno Corbi : page 83 (2 occ.) : membre du PCI (cf page 277)
Giorgio Amendola : page 83 (1 occ) : membre du PCI
Umberto Terracini : page 83 (1 occ.) : antifasciste italien
Eugenio Montale : page 83 (1 occ.) : poète italien, Prix Nobel de littérature en 1975.
Marco (?) : page 84 (1 occ.) : dit du mal des artistes ; cf page 233 : peut-être (?) s’agit-il de Marco Francisci di Baschi, ambassadeur (Angleur, 1920 – Rome, 1er juillet 1998) cf page 233 
Antonio (?) : page 89 (3 occ.) : tient une ferme dans les Alpes
Lidia (?) : page 89 (3 occ.) : compagne d’un séjour en montagne dans les Alpes
Rosemarie (?) : page 89 (3 occ.) : compagne d’un séjour en montagne dans les Alpes, coiffeuse
Pilu (Panigali) : page 90 (5 occ.) : jeune amie rousse, lectrice du work in progress de L’Arte delle gioia, Via Denza ; déjà décédée en avril 1992 (page 454) : amie de Goliarda, qui lui a offert son tout premier carnet le 1er janvier 1969 ; et qui lui a présenté Angelo en 1975 
Tonia (?) : page 90 (1 occ.)
Haya Harareet : page 90 (7 occ.) : actrice israélienne (cf Ben Hur), amie de Goliarda. Née à Haifa le 20 septembre 1931.
Marilu (Carteny) : page 90 (6 occ.) : costumière ; épouse du cinéaste Giulio Questi (page 177) ; et amie de Bianca Delle Nogare (cf page 396) ; amie chère de Goliarda (page 396)
Mirella (Acconciamessa) : page 90 (4 occ.) : autre amie chère de Goliarda, compagne d’Aggeo Savioli. Rome 23 avril 1929
Dominique (Maillard) : page 92 (3 occ.) : ami de Goliarda ; architecte français, rencontré à Positano.
Tonello (?) : page 92 (3 occ.) : en lien aussi avec Cesare Garboli (page 160)
Tutino (?) : page 93 (1 occ.) : conseille à Goliarda de faire des coupes à L’Arte della gioia
Leoncillo (Leonardi) : page 93 (6 occ.) : sculpteur céramiste, ami proche de Goliarda, décédé subitement dans sa voiture stationnée juste en bas de chez elle, à Rome. Spolète, 18 novembre 1915 – Rome, 3 septembre 1968.
Edda (Albertini ?) : page 93 (2 occ. ?) : compagne de Leoncillo et/ou chanteuse lyrique (page 390). Trente, 31 mai 1926 – Rome, 14 janvier 1988.
Vitti (?) : page 94 (1 occ.) : veuf de Vera, décédée de leucémie en janvier 1979
Luchino Visconti : page 95 (au moins 11 occ.) : cinéaste italien. Goliarda a plusieurs fois travaillé avec lui. Milan, 2 novembre 1906 – Rome, 17 mars 1976.
Gigi Vanzi : page 97 (26 occ.) : ferrarais, cinéaste, ami de Michelangelo Antonioni, ferrarais lui aussi ; mari d’Eleonora (?) ; et grand ami de Goliarda. Ferrare, 8 juin 1924 – Rome, 22 janvier 1992.
Antonello (?) : page 97 (1 occ.)
Eleonora (?) : page 97 (6 occ.) : probablement l’épouse de Gigi Vanzi.
Rinaldo (Ricci) : page 97 (1 occ.) : assistant metteur en scène de Citto Maselli
Bianca (Delle Nogare) : page 97 (4 occ.) : scénographe ; épouse de Giangiacomo Feltrinelli de 1947 à 1955 ; maîtresse occasionnelle de Giulio Questi, le mari de Marilu Carteny (page 177) ; amie chère de Goliarda (page 396)
Lollo (?) : page 97 (3 occ.) : fut assistant metteur en scène de Citto Maselli (page 440)
Terry (Vaina ?) : page 98 (1 occ.) : ami de Pilu ; a son anniversaire au mois de février ; architecte d’intérieur ; ami de Graziella Lonardi Buontempo.
ma mère (Maria Giudice) : page 98 ( occ.) : la mère de Goliarda. Codevilla (Lombardie), 27 avril 1880 – Rome, 5 février 1953.
Cesare de Seta : page 99 (1 occ.) : architecte italien
Luce d’Eramo : page 100 ( occ.) : écrivaine italienne
la mère de Tonello (?) : page 101 (1 occ.) : exemple de femme misogyne
Pietro Nenni : page 104 (3 occ.) : membre du PCI.
Sandro Pertini : page 104 (3 occ.) : Président de la République (1978 – 1985), ami des deux parents de Goliarda. Stella, 25 septembre 1896 – Rome, 24 février 1990.
capitaine Mark : page 106 (1 occ.) : propriétaire d’un bar à Gaeta en 1978-79
Lina (Wertmuller ?) : page 106 (5 occ.) : cinéaste et femme de théâtre ; directrice du Centro Sperimentale della cinematografia, à Rome ; amie de Goliarda. Née à Rome le 14 août 1928.
Elvira (?) : page 113 ( occ.) : codétenue à Rebibbia
Anna (?) : page 113 ( occ.) : mère d’Elvira
Maurizio  (?) : page 113 ( occ.) : compagnon d’Elvira
Annamaria (?) : page 113 ( occ.) :  codétenue à Rebibbia
Nancy (?) : page 113 ( occ.) : codétenue à Rebibbia
Bruno (?) : page 114 ( occ.) : toxicomane décédé, ami d’une codétenue de Rebibbia
Rosalba (?) : page 114 ( occ.) : codétenue à Rebibbia
Patrizia (?) : page 115 ( occ.) : codétenue à Rebibia
Messia (?) : page 116 ( occ.) : codétenue à Rebibbia
Lola (?) : page 117 ( occ.) : codétenue à Rebibbia
Rosella (?) : page 119 ( occ) : codétenue à Rebibbia
Anna Magnani : page 122 (6 occ) : actrice italienne. Rome, 12 avril 1916 – Rome, 8 juillet 1988.
la Bruschi (?) : page 125 (1 occ.) : codétenue à Rebibbia
Renata (?) : page 125 (2 occ.) : codétenue à Rebibbia
Peppino (?) : page 131 ( occ.) : le concierge de la Via Denza, à Rome 
Andrea Gaggero : page 131 (14 occ.) : ancien prêtre et communiste, ami de Goliarda, décédé d’un cancer du cerveau, compagnon d’Isa Bartalini. Mele (Ligurie) , 12 avril 1916 – Bucine (Toscane), 8 juillet 1988.
Pier Paolo Pasolini : page 132 ( occ.) : cinéaste italien, assassiné. Quartiere Santo Stefano, 5 mars 1922 – Ostie, 2 novembre 1975.
Luca Coppola : page 137 (7 occ.) : acteur, ami de Goliarda, assassiné à Mazara del Vallo, avec son ami Giancarlo Prati, le 21 juillet 1988. Né en 1957.
Adele Cambria : page 137 (12 occ.) : journaliste et écrivain, amie de Goliarda. Reggio Calabria, 12 juillet 1931 – Rome, 6 novembre 2015.
Mara (Blasetti ?) : page 137 (1 occ.) : fille du cinéaste Alessandro Blasetti ; amie de Goliarda
Giancarlo (Nanni) : page 138 (1 occ.) : important homme de théâtre italien, ami de Goliarda : c’est lui qui l’engage, début 1989, pour la tournée du drame en trois actes Febbre (de Pier Maria Rosso San Secondo), de 1927. A fondé à Rome, avec sa compagne la comédienne Manuela Kustermann, en 1968 le Teatro La Fede (Via Portuense 78) ; puis en 1989 la Fabbrica dell’Attore (Via Giacinto Carini, 78). Rhodes, 27 mai 1941 – Rome, 6 janvier 2010.
Spriano (?) : page 139 (1 occ.) : récemment décédé au mois de septembre 1988
Dario Bellezza : page 140 (1 occ.) : écrivain et poète. Rome, 5 septembre 1944 – Rome, 31 mars 1996.
Elsa Morante : page 140 (7 occ.) : écrivaine italienne. Rome, 18 août 1912 – Rome, 25 novembre 1985.
Carlotta (= Manuela Kustermann) : pages 145 à 150 (5 occ.) : elle est la comédienne « folle (de pouvoir), narcissique et hystérique » (page 145) dont parle Goliarda lors de la tournée, début 1989 (Bologne, Lugo di Romagna, Sabaudia, Naples, Orte, Pineto, Rome, Castellamare), du drame Febbre de Pier Maria Rosso San Secondo (Caltanisseta, 30 novembre 1887 – Lido di Camaiore, 22 novembre 1956). Manuela Kustermann n’a pas encore 44 ans, en ce début 1989 de la tournée de Febbre (page 148) ; et son anniversaire tombe effectivement le 9 mars (page 150). Née à Rome le 9 mars 1946.
frère (?) de Carlotta (?) : page 145 (1 occ.) : inclus avec sa sœur Manuela Kustermann dans les qualificatifs « du Nord » et « fous (de pouvoir), narcissiques et hystériques« . 
Soldani (?) : page 145 (1 occ.) : comédien d’abord pressenti pour le rôle du Pr Remoli dans Febbre, début 1989 : le rôle de Luigi Remoli sera finalement tenu par le comédien Carlo Cartier. Autres acteurs de cette tournée de 1989 : Giorgina Cartalini, Bruno Burbi, Giovanni Arcante et Andrea Zuccolo.
Wanda Capodaglio : page 148 (1 occ.) : actrice italienne. Asti, 1er janvier 1889 – Castelfranco di Sopra, 30 août 1980.
Cosetta Civardi : page 148 ( occ.) : sœur de Goliarda ; et de petite taille. Née en 1905.
Gino (Gattamelata ?) : page 148 (2 occ.) : régisseur de théâtre, napolitain
Lella (?) : page 149 (1 occ.) : épouse du précédent
Leopoldo Trieste : page 149 (1 occ.) : acteur italien. Reggio Calabria, 3 mai 1917 – Rome, 25 janvier 2000. 
Giuditta (?) : page 151 (1 occ.) : actrice
Natalia (?) : page 151 ( occ.) : fille d’un fleuriste
Federico (?) : page 155 (2 occ.)  : ami bolonais de Simona Weller, homosexuel
Simona Weller : page 155 (8 occ.) : peintre et membre du Circolo della Rosa. Née à Rome en 1940.
Mascia (?) : page 159 (1 occ.) : repasseuse, à Catane
Cesare Garboli : page 160 (4 occ.) : écrivain italien, ami de Goliarda. Viareggio, 5 avril 1928 – Rome, 11 avril 2004.
Rosa (?) : page 160 (12 occ.) : l’ouvreuse du cinéma de Gaeta, l’Ariston ; amie de Goliarda
Carminuccio (= Carmine ?) : page 161 (3 occ.) : le vendeur d’œufs de Gaeta
Emilia Cosmo : page 161 (1 occ.) : à Gaeta
Armenio Cosmo : page 161 (1 occ.) : à Gaeta
Oliva (?) : page 164 (2 occ.) : tient un bar à Campodimele
Patrizia (?) : page 165 (18 occ.) : amie de Goliarda et Angelo à Formia, « campanienne de l’intérieur » (page 385)
Gianni (?) : page 168 (14 occ.) : ami médecin gynécologue à Formia, mari de Patrizia, de père sicilien (page 385)
Elena (? ) : page 166 (? )
Wang (?) : page 166 (2 occ.) : patron d’un restaurant chinois à Gaeta
la sœur de Wang (?) : page 166 : patronne du restaurant chinois
Nastassja Kinski : page 16 (?) (18 occ.) : actrice de cinéma allemande. En 1990, tourne avec Citto Maselli L’Alba et Il Segreto. Goliarda lui enseigne la diction italienne. Née à Berlin le 24 janvier 1961.
Valeria Golino : page 169 (2 occ.) : actrice de cinéma italienne
Ornella Muti : page 169 (2 occ.) : actrice de cinéma italienne
Rosa (?) : page 171 (? occ.) : membre du Circolo della Rosa
la Migale (?) : page 171 (1 occ.) : membre du Circolo della Rosa
Elena (Gianini Belotti ?) : page 171 ( occ.) : membre du Circolo della Rosa
Zoltan (Rakosi) : page 171 (2 occ.) : poète émigré de Hongrie (18-9-1885 – 27-2-1970), ami de Goliarda. Kézdivasarhely, 18 septembre 1885 – Budapest, 27 février 1970. 
Virna Lisi : page 173 (1 occ.) : actrice de cinéma italienne
Claudia Cardinale : page 173 (1 occ.) : actrice de cinéma née à Tunis
Stefania (?) : page 174 (1 occ.) : actrice de cinéma 
Elena Maselli : page 176 (7 occ.) : née Labroca (1903-1981), épouse d’Ercole Maselli, mère de Titina et Citto.
Barbara (?) : page 177 (2 occ.) : amie de Claudio ? (page 178)
Licia Civardi : page 177 ( occ.) : sœur de Goliarda. Née en 1906, Licia meurt en juillet 1991.
Olga Civardi : page 177 ( occ.) : sœur de Goliarda. Née en 1913
Giulio (Questi) : page 177 (1 occ.) : cinéaste ; mari de Marilu Carteny ; et amant occasionnel de Bianca Delle Nogare (pages 90, 97, 177, 396). Bergame, 18 mars 1924 – Rome, 3 décembre 2014
Claudio (?) : page 178 (1 occ.) : ami de Barbara (?) (page 172) 
Gino Pellegrino : page 203 (3 occ.) : père d’Angelo
Federico Lenzitti : page 203 (2 occ.) : fils de Beppe Lenzitti
Beppe Lenzitti : page 203 (1 occ.) : père de Federico
Lina Pellegrino : page 204 (5 occ.) : épouse de Gino Pellegrino et mère d’Angelo
Claudia Pellegrino : page 206 (1 occ.) : sœur de Beppe Pellegrino, tante d’Angelo
Rosario (?) : page 209 (1 occ.) : beau-frère d’Angelo
Ivanoe Civardi : page 211 ( occ.) : frère de Goliarda. Né en 1909
Carlo Marx Sapienza : page 211 ( occ.) : frère de Goliarda ; meurt en octobre 1989 (page 217). Né en 1911
Libero Sapienza : page 211 ( occ.) : frère de Goliarda. Né en 1909
Nunzio (= Nando) Sapienza : page 212 (9 occ.) : cousin de Goliarda, fils de l’oncle Ferdinando Sapienza ; décédé en avril 1989, à l’âge de 48 ans (page 257)
Carlo mon neveu : page 215 ( occ.) : neveu de Goliarda (fils de Licia Civardi) ; décédé peu après avril 1989
Anna Sapienza : page 217 ( occ.) : épouse du fils (?) de l’oncle Ferdinando Sapienza
Giovanni Sapienza : page 277 ( occ.) : fils de l’oncle Ferdinando Sapienza ; et cousin de Goliarda
Restivo (?) : page 218 (1 occ.) : délateur de Giuseppe (Peppino) Sapienza, père de Goliarda
Cesare Zavattini : page 220 (7 occ.) : cinéaste italien, ami d’Isa Bartalini. Luzzara, 20 septembre 1902 – Rome, 13 octobre 1989.
Lilia Hartman : page 223 (1 occ.) : fille d’Isa Bartalini
fils de Lilia (?) : page 223 (1 occ.) : petit-fils d’Isa Bartalini
grand-mère d’Isa Bartalini (?) : page 223 (1 occ.)
Anna (?) : page 224 (1 occ.)
Domiziana (?) : page 226 (8 occ.) : amie de Goliarda et Angelo, épouse de Virgilio (?), propriétaires d’un Agriturismo dans la province de Caserte
Virgilio (?) : page 226 (3 occ.) : ami de Goliarda et Angelo, et mari de Domiziana (?), propriétaires d’un Agriturismo dans la province de Caserte
leurs filles, Sara (?) et Samanta (?) : page 226 (2 occ.) : cf page 344
Bruno Corbi fils: page 227 (2 occ.) : fils de son père Bruno Corbi
Bruno Corbi père : page 227 (2 occ.) : d’Avezzano ; membre notable du PC (cf page 83). Avezzano, 4 février 1914 – Avezzano, 25 novembre 1963.
la mère de Bruno Corbi fils : page 229 (1 occ.)
Renata (?) : page 230 (5 occ) : codétenue de Rebibbia, autodestructrice
Francesco (?) : page 230 (2 occ.) : le fils de 3 ans de Renata
Roberto (?) : page 231 ((1 occ.) : le compagnon de Renata
Romana (?) : page 232 (2 occ) : étudiante actrice
Aggeo (Savioli) : page 233 (1 occ.) : assistant-réalisateur de Citto Maselli, et critique à l’Unita ; mari de Mirella Acconciamessa. Poggio Nativo, 19 juillet 1927 – Rome, 6 février 2017
Marco Francisci di Baschi : page 233 (1 occ. ?) : ambassadeur (cf page 84 : est-ce lui le Marco qui « dit du mal des artistes » ?). Angleur (Belgique), 1920 – Rome, 1er juillet 1998.
Leonardo Sciascia : page 235 (1 occ.) : écrivain sicilien. Racalmuto, 8 janvier 1921 – Palerme, 20 novembre 1989.
Renato Guttuso : page 235 (1 occ.) : peintre sicilien. Bagheria, 26 décembre 1911 – Rome, 18 janvier 1967.
Nazim Hikmet : page 235 (3 occ.) : poète turc, de gauche. Salonique, 15 janvier 1902 – Moscou, 3 juin 1963.
Antonella Blasi : page 237 (1 occ.) : fille de Silverio Blasi et Paola Morandi, décédée d’un cancer à l’âge de 12 ans
Paola Morandi : page 238 (4 occ.) : épouse de Silverio Blasi, mère d’Antonella et de deux autres filles
deux filles (?) de Silverio et Paola Blasi : page 238 (1 occ.) : splendides enfants, nées tardivement (à partir de 1981)
Gaston (?) : page 239 (2 occ.) : ami (français ?) de Goliarda, amateur de théâtre (page 409)
Daniela (?) : page 241 (1 occ.) : codétenue de Rebibbia, autodestructrice
Vizzini : page 241 (1 occ.) : gardienne de la prison de Rebibbia
les filles de Domiziana (? et Virgilio ?) : page 243 (3 occ.) : Sara (?), l’aînée, et Samanta (?), la cadette (p. 439)
Mariarosa (Cutrufeli) : page 243 (1 occ.) : membre du Circulo de la Rosa, écrivaine féministe. Auteure de La Briganta. Née à Messine, le 26 janvier 1946.
Natalia Ginzburg : page 244 (7 occ.) : écrivaine italienne, amie de Goliarda. Palerme, 14 juillet 1916 – Rome, 7 octobre 1991.
Galgani : page 245 (1 occ.) : dentiste à Rome
Sofia De Notaristefani : page 246 (1 occ.) : exemple de « grande Ancienne« 
Filippo Turati : page 257 (1 occ.) : avocat socialiste antifasciste. Canzo, 26 novembre 1857 – Paris, 29 mars 1932.
Vincenzo (?) : page 257 ( occ.) : oncle de Goliarda
Cesare (? Zavattini ? Garboli ?) : page 258 (2 occ.) : lequel ? un des artistes que le PCI incitait à refuser ;
de même que Ercolino Maselli, Luchino Visconti, Gigi Vanzi, Leoncillo Leonardi, Titina Maselli…
Cesare (?) : page 261 (1 occ.) : témoin de l’assassinat par noyade de Goliardo Sapienza le 16 mai 1921 
Manfredi : page 261 (1 occ.) : autre témoin de l’assassinat par noyade de Goliardo Sapienza
Tante Grazia Centola : page 264 (2 occ.) : aimée de Libero Sapienza (aussi p. 281)
Vittorio De Sica : page 276 (2 occ.) : cinéaste italien. Sora, 7 juillet 1901 – Neuilly-sur-Seine, 13 novembre 1974.
Alessandro Blasetti : page 276 (3 occ.) : cinéaste italien. Rome, 3 juillet 1900 – Rome, 1 juillet 1987.
Alberto Bevilacqua : page 277 (1 occ.) : écrivain italien. Parme, 27 juin 1934 – Rome, 9 septembre 2012.
Umberto Eco : page 277 (1 occ.) : sémiologue et écrivain italien. Alexandria, 5 juillet 1932 – Milan, 19 février 2016.
Ezio Bartalini : page 278 (3 occ.) : socialiste italien antifasciste (1884 – 1962), père d’Isa Bartalini. Monte San Savino, 24 juin 1884 – Rome, 17 décembre 1962.
Francesca (?) : page 279 (1 occ.) : une élève de Ruggiero Di Lollo
Elena Gianini Belotti : page 281 (3 occ. ?) : pédagogue féministe ; amie de Goliarda. Née à Rome le 2 décembre 1929.
Salvo Randone : page 283 (3 occ.) : acteur italien. Syracuse, 25 septembre 1906 – Rome, 6 mars 1991.
Sveva : page 285 (9 occ.) = Matilde Cassano Del Gratta : riche amie de Goliarda, décédée à Milan le 19-11-2018.
Giulio Petroni : page 286 (1 occ.) : cinéaste et écrivain italien. Rome, 21 septembre 1917 – Rome, 31 janvier 2010.
Luisa Spagnoli : page 288 (2 occ.) : PDG italienne célèbre, créatrice du Bacio perugina. Pérouse, 30 octobre 1877 – Paris, 21 septembre 1935.
Elsa (Morante ?) : page 288 : de conversation banale (?)
Josi (?) : page 292 (1 occ.) : tient le Bar della Francese, à Gaeta
Laura (?) : page 292 (1 occ.) : tient le Bar La Triestina, à Gaeta
Professeur Mignano : page 299 (1 occ.) : décédé subitement en vacances à Gaeta
Giovanni Raboni : page 300 (2 occ.) : traducteur de Proust en italien. Milan, 22 janvier 1932 – Parme, 16 septembre 2004.
le Maure géant : page 301 (2 occ.) : fils du propriétaire du bar La Triestina, à Gaeta
Maître Giorgianni : page 305 (2 occ.) : avocat
Nera Grossi Carini : page 305 (1 occ.) : actrice née en Lombardie (1883 – 1943)
Maître Aniello Izzo : page 306 (1 occ.) : avocat
Roberto Mazzucco : page 311 (1 occ.) : dramaturge italien, décédé le 6-11-1989 ; en son hommage, a lieu une cérémonie de commémoration au siège du syndicat des écrivains, en avril 1990. Rome, 1927 – Rome, 6 novembre 1989.
Dacia Maraini : page 311 (2 occ.) : écrivaine italienne (cf page 387 : séance de groupe chez Laura (Lilli). A eu des activités à la Casa della Donna. Née à Bagheria le 3 novembre 1936.
Elisabetta Blasi : page 311 (1 occ.) : fille aînée de Silverio Blasi et Paola Morandi
Giovanna Ferrantelli : page 313 (2 occ.) : amie des Blasi
Melita (?) : page 320 (2 occ.) : hôte de Goliarda et Angelo à Salonique
Guido (?) : page 321 (1 occ) : patron de Melita à Salonique
Tommaso (?) : page 332 (1 occ.) : mari d’Adele Cambria, amie de Goliarda (cf p. 137)
Letizia (?) : page 333 (2 occ.) : milanaise, lombardo-sarde, amie de Goliarda (cf page 452)
Alice Ceresa : page 335  (1 occ.) : écrivaine italienne. Bâle, 25 janvier 1923 – Rome, 21 décembre 2001.
Giuseppe Neri : page 335 (2 occ.) : écrivain, ami de Ruggiero Di Lollo, le peintre ami d’Angelo et Goliarda
Rodolfo Di Biaso : page 335 (1 occ.) : poète italien, né en 1937
Sandro Dori : page 335 (1 occ.) : acteur italien, né en 1938
Gianfranco De Santis : page 339 (1 occ.) : ami d’Angelo Pellegrino
Michelangelo Antonioni : page 340 (4 occ.) : cinéaste italien, ferrarais, ami de Gigi Vanzi, ferrarais lui aussi. Ferrare, 29 septembre 1912 – Rome, 30 juillet 2007.
Giulia Urso : page 341 (1 occ.) : actrice amie de Goliarda
Chiara Belliti : page 341 (10 occ. ? ou 1 ?) : éditrice et traductrice, amie de Goliarda. Née à Pistoia.
Cesare Garboli : page 345 (2 occ.) : écrivain italien, ami de Goliarda. Viareggio, 5-4-1928 – Rome, 11-4-2004.
Ottavia (?) : page 346 (1 occ.) : habite le village de Campodimele
le fils (?) de Pavolini: page 348 (?) (1 occ.) : communiste dont le père (Alessandro Pavolini, 1903-1945) était fasciste
Alida Valli : page 361 (1 occ.) : actrice italienne. Pola (Istrie), 31 mai 1921 – Rome, 22 avril 2006.
Maria Schell : page 361 (3 occ.) : actrice suissesse. Vienne, 15 janvier 1926 – Preitenegg, 26 avril 2005.
Paola Borboni : page 361 (1 occ.) : actrice italienne. Parme, 1er janvier 1900 – Bodio Lomnago, 9-4-1995.
Chiara (?) : page 367 (9 occ.) : amie d’un acteur sicilien ; et mariée à Maurizio, architecte, en octobre 1991, page 420.
Goliarda cite plusieurs Chiara : à mieux identifier et distinguer.
acteur sicilien (?) : page 367 (2 occ.) : acteur sicilien, ami de Chiara (?)
Chiara Martinetti : page 367 (1 occ.)
acteur sicilien (?) : page 367 (1 occ.) : ami de Chiara (?)
Azzarita : page 369 (2 occ.) : secrétaire de la production de deux films de Citto Maselli, avec Nastassja Kinski : L’Alba et Il Segreto, en 1990
La Diaz (?) : page 374 (1 occ.) : amie de Goliarda, camarade (de l’Accademia) ; cf aussi page 454
Titina De Filippo : page 374 (2 occ.) : comédienne italienne. Chiaia, 27 mars 1898 – Rome, 26 décembre 1963.
Marcello Mastroianni : page 375 (1 occ.) : acteur italien. Fontana Lisi, 28 septembre 1924 – Paris, 19 décebre 1996.
Ingrid Bergmann : page 375 (1 occ.) : actrice suédoise. Stockholm, 29 août 1915 – Londres, 29 août 1982.
Roberto Rossellini : page 375 (1 occ.) : cinéaste italien. Rome, 8 mai 1906 – Rome, 3 juin 1977.
Sonia (?) : page 377 (1 occ.) : fille de Nastassja Kinski. Née le 2 mars 1986
Gerardo (?) : page 377 (1 occ.) : coiffeur
Bice Valori : page 384 (1 occ.) : actrice italienne, avec talents d’imitation. Rome, 13 mai 1927 – Rome, 17 mars 1980.
Donatella (?) : page 384 (1 occ.) : reçoit à dîner
Giulia (?) : page 384 (2 occ.) : travaille dans un salon de thé de luxe (cf aussi page 441)
neveu (?) de Guidarello Giorgi : page 384 (1 occ.) : garçon présent au dîner, artisan forgeron
Guidarello Giorgi : page 384 (1 occ.) : membre du PCI
Alessandra Tancredi : page 385 (1 occ.) : productrice à la télévision 
 Anna Rosa (?) : page 386 (1 occ.) : s’occupe d’une revue littéraire (?)
Laura (Lilli) : page 387 (2 occ.) : journaliste et écrivaine ; membre du groupe d’écriture (le Circolo della Rosa ?), à la soirée Dacia Maraini (« fait un sale coup« , page 421 : dit ce qu’elle pense de toutes les présentes !). Rome, 11 mars 1937 – Rome, 31 décembre 2014.
mari (?) de Sveva (= Matilde Cassano Del Gratta) : page 388 (1 occ.) : déjà décédé en date de mars 1991
Maurizio (?) : page 388 (3 occ.) : un ami architecte de Chiara (? cf page 367 ; et page 420 : mariés en octobre 1995)
fille de Patrizia (?) et Gianni (?) : page 391 (1 occ.) : à Formia
Riccardo (?) : page 391 (1 occ.) : ami de Patrizia (?) et Gianni (?) à Formia
jeune sculptrice (?) page 391 (1 occ.) : amie de Patrizia (?) et Gianni (?) à Formia
(Francesco ?) Cundari : page 393 (1 occ.) : ami d’Angelo, à Gaeta ; peut-être avocat à Caserte
Raffaella (?) : page 393 (4 occ.) : apprentie cinéaste (et a 30 ans en 1991) ; amie de Goliarda depuis dix ans (1981)
Giovanna (?) : page 393 (2 occ. ?) : mère de Raffaella (à Gaeta, cf page 408) 
grand-mère de Raffaella (?) : page 393 : fut secrétaire de Marie Curie et possède une vieille maison de famille
3 sœurs (?) et 1 frère (?) de Sveva (= Matilde Cassano Del Gratta) : page 388 (1 occ.) : dont Selena et Giovanni qui ont survécu à leur sœur, décédée le 19 novembre 2018
Rodolfo Ferrari : page 396 (1 occ.) : chef d’orchestre italien (Modène, 1865 – Rome, 10 janvier 1919 ?), exemple d’artiste traqueur
ami d’Angelo (?) : page 397 (1 occ.) : invité à Gaeta en mai 1991
Antonella (?) : page 398 ((1 occ.) : danseuse qui travaille aussi à Paris ; et vit entre Paris, Rome et Gaeta
(Giorgio) Cusatelli : page 398 (2 occ.) : germaniste, professeur à l’université de Pavie. Parme, 10 janvier 1930 – Parme, 24 décembre 2007
Giangiacomo Feltrinelli : page 399 (1 occ.) : éditeur et militant d’extrême-gauche ; marié à Bianca Delle Nogare entre 1947 et 1955. Milan, 19 juin 1926 – Segrate (Milan), 14 mars 1972.
Claude (?) : page 399 (1 occ.) : compagne de Raffaella (?), mulâtresse
Caterina D’Amico : page 401 (2 occ.) : sous-directrice du Centro Sperimentale della cinematografia, à Rome
Montserrat (?) : page 401 (1 occ.) : épouse espagnole d’un ami (?) du groupe Patrizia-Gianni à Formia
le père du Maure (?) : page 401 (1 occ.) : patron du bar La Triestina à Gaeta
la mère du Maure (?) : page 401 (1 occ.) : patronne du Bar La Triestina à Gaeta
Ippolito Nievo : page 401 (1 occ.) : écrivain romantique italien. Padoue, 30 novembre 1831 – noyé en mer, 5 mars 1861.
Valeria (?) : page 403 (2 occ.) : secrétaire du Centro Sperimentale della cinematografia, à Rome
Marianino (?) : page 404 (1 occ.) : « petit fripon » à Gaeta, connu par Goliarda il y a vingt ans (1971). L’a aidée à Rebibbia
le beau Bruno (?) : page 404 (1 occ.) : Marianino se battait avec lui Via Denza à Rome (Parioli)
(Eduardo) De Filippo : page 404 (4 occ.) : dramaturge italien. Chiaia, 24 mai 1900 – Rome, 31 octobre 1984.
la Gara (Daniela Gara ?) : page 405 (1 occ.) : décédée en juin 1991, une des camarades féministes de l’occupation du Governo Vecchio (= le Palazzo Nardini, Via del Governo Vecchio, 9, devenu La Casa della Donna), le 2 octobre 1976, et jusqu’en 1984
Giancarlo Fusco : page 405 (1 occ.) : écrivain, scénariste et acteur : « petit grand » décédé. La Spezia, 1er juillet 1915 – Rome, 17 septembre 1984.
(Gerardo ?) Guerrieri : page 405 (1 occ.) : autre « petit grand » décédé ; dramaturge ; et un moment (en 1945-46, avant Citto Maselli) compagnon de Goliarda. Matera, 4 février 1920 -, Rome, 24 avril 1980.
Vincenzo (?) : page 408 (1 occ.) : shooté à l’héroïne, à Gaeta
Dario Fo : page 409 (1 occ.) : dramaturge italien, Prix Nobel de littérature en 1997. Sangiano, 24 mars 1926 – Milan, 13 octobre 2016.
Paolo Poli : page 409 (1 occ.) : acteur italien. Florence, 23 mai 1929 – Rome, 25 mars 2016.
la Fichera (?) : page 410 (2 occ.) : amie de Goliarda et de Lina Wertmuller, peut-être au Centro Sperimentale della cinematografia…
Luciana (?) : page 413 (1 occ.) : employée au Centro Sperimentale della cinematografia, où a travaillé Goliarda à enseigner la diction
Peppino Navarra : page 415 (1 occ.) : gardien à Gaeta
Rosella Valente : page 416 (1 occ.) : possède un pré situé entre des rochers à Gaeta
Elsina De Giorgi : page 423 (1 occ.) : exemple de personne particulièrement superstitieuse.
fille (?) de Gigi Vanzi : page 426 (1 occ.)
petite-fille de Gigi Vanzi : page 426 (1 occ.)
la femme de Sandro Pertini, Carla Voltolina : page 432 (1 occ.)
(?) Karpov : page 435 (1 occ.) : donne des cours auxquels assiste Goliarda, angoissée de perdre son poste au Centro Sperimentale  della cinematografia, à Rome
Claudia (?) : page 435 (2 occ.) : auteur d’un roman ; peu ponctuelle
Luisa (?) : page 436 (2 occ.) : la petite sœur de Rosa l’ouvreuse de l’Ariston à Gaeta
Gaetano (?) : page 438 (6 occ.) : chirurgien esthétique à Gaeta
la mère de la propriétaire du bar (?) : page 438 (1 occ.) : au bar La Triestina à Gaeta
Giuliano Ferrara : page 438 (1 occ.) : dirige une émission à la télévision. Né à Rome le 7 janvier 1951.
Laura, Consuelo, Anna Maria, Pia, Elda, Alessandra : page 439 (1 occ.) : élèves de Goliarda
Daniele, Amerigo, Massimo, Giacomo : page 439 (1 occ.) : élèves de Goliarda
Eduardo (De Filippo ?) : page 440 (cf page 404)
Chiara (?) : page 440 (? occ.) : a un mari bouddhiste
mari bouddhiste (?) de Chiara (2 occ.) : page 440
Zefirina (?) : page 445 (1 occ.) : fiancée de Gaetano, le chirurgien esthétique de Gaeta
Sœur Rosina (?) : page 446 (1 occ.) : infirmière à l’hopital de Gaeta
Arianna (?) : page 453 (1 occ.) : amie de Goliarda, Patrizia et Simona
Annalisa (Diaz Cao) : page 454 (1 occ.) : amie de Goliarda et Patrizia, membre du Circolo della Rosa. Née à Cagliari le 19 janvier 1935.

Ce jeudi 10 janvier 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

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  • Commentaires fermés sur Travail de préparation pour un possible Index des Carnets de Goliarda Sapienza

L’autre chef d’oeuvre , après « L’Art de la joie », de Goliarda Sapienza : ses extraordinaires « Carnets »

05jan

Ce début janvier 2019,

paraissent, aux Éditions du Tripode,

et toujours en une merveilleuse traduction _ elle coule de source ! _ de Nathalie Castagné

_ sa découvreuse et révélatrice à l’univers entier ! Ce n’est certes pas peu !!! _,

une sélection _ de 461 pages _

des 8000 pages manuscrites

que rédigea au jour le jour, entre 1976 et 1996 _ l’année de sa mort : le 30 août 1996 ;

des suites d’une chute dans les escaliers de sa maison de Gaeta _

la géniale Goliarda Sapienza

_ soit quelque chose comme 5 % de ce qui a été rédigé en ses Carnets personnels… _ ;

et ce, d’après une sélection de son mari et veuf, Angelo Pellegrino

(né, lui, à Palerme le 2 août 1946),

et qui est aussi son légataire universel ;

qui la fit d’abord paraître, cette sélection, en Italie, en 2011 et 2013,

en deux volumes séparés,

intitulés

Il Vizio di parlare a me stessa _ Taccuini 1976 – 1989

et La Mia Parte di gioia _ Taccuini 1989 -1992,

chez le prestigieux éditeur Einaudi :

soit un nouvel éblouissant chef d’œuvre,

rédigé _ et strictement pour elle-même : « parlare a me stessa » ! _ par Goliarda au jour le jour,

au fil du quotidien de ses rencontres, voyages et événements survenant divers ;

et avec, aussi, c’est à noter, des intermittences, parfois très longues : de mois ou même d’années :

quand Goliarda choisissait de consacrer-réserver exclusivement le temps si précieux de son écriture

(et son désir d’écrire, pas nécessairement permanent ; elle subissait aussi des moments de dépression ;

d’absence d’enthousiasme envers sa fondamentale passion d’écrire…)

à la rédaction d’autres romans-fictions à composer, ou de divers textes _

après ce monument et chef d’œuvre presque trop puissant et éclatant

_ quelque part dérangeant pour bien des lecteurs,

y compris ceux, professionnels, des maisons d’édition, qui longtemps le refusèrent ! en Italie… _

qu’est le roman

_ inspiré et transposé (sublimé…) de sa propre vie (Goliarda est née à Catane le 10 mai 1924)

ainsi que de la vie de sa mère, Maria Giudice (Codevilla, 27 avril 1880 – Rome, 5 février 1953) _

L’Art de la joie

_ de 800 pages.

Cf ce mot de Nietzsche

_ Goliarda fut-elle une de ses lectrices ? _

entamant ainsi

le lucidissime chapitre Lire et écrire

de son sublime Ainsi parlait Zarathoustra _ un livre pour tous et pour personne :

« De tout ce qui est écrit, je ne lis que ce quelqu’un écrit avec son sang.

Écris avec ton sang : et tu verras que le sang est esprit.

Il n’est guère facile de comprendre le sang d’autrui.

Je hais les oisifs qui lisent« .


Et c’est assurément avec son sang

_ qui est esprit ! et comment !!! _

que Goliarda a écrit,

tant son L’Art de la joie

que ses sublimes Carnets.

Pour cela,

je me réfère, aussi, à ce très riche et passionnant article de Valentina Tuveri,

paru le 30 août 2016 sur le site Monde du Livre :

L’Art de la joie de Goliarda Sapienza : la traduction comme moteur de reconnaissance mondiale


Personnellement,

je dois dire que je préfère l’ouverture infinie de l’écriture des notations au jour le jour d’un carnet personnel

_ ou d’une correspondance intime :

je pense ici aux courriers (enchantés ! et enchanteurs pour nous qui les lisons…) de trois fois par semaine

de Madame de Sévigné à sa fille, Madame de Grignan :

alternant le compte-rendu précis et parfois amusé du plus quotidien du quotidien, avec des envolées passionnées de sentiments ou d’émotions, de la marquise _,

à la construction tant soit peu organisée, même la plus belle qui soit, d’une fiction,

fut-elle mâtinée de pas mal d’éléments autobiographiques _ ou biographiques.

Pour y trouver l’accent de la plus grande justesse tissée à la plus audacieuse liberté ;

du moins à son meilleur…



Ce samedi 5 janvier 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

En guise d’introduction à la lecture des extraordinaires « Carnets » de Goliarda Sapienza, un très éclairant article de René de Ceccatty

04jan

En guise d’introduction

à la lecture

des extraordinaires Carnets de Goliarda Sapienza

_ qui paraissent ce jour aux Éditions du Tripode,

en une traduction merveilleuse de Nathalie Castagné _,

découvrir ce très éclairant article de René de Ceccatty,

paru le 10 juin 2015 dans Les Lettres françaises,

à propos de

L’Université de Rebbibia 

et Les Certitudes du doute,

de, déjà, les deux, de Goliarda Sapienza,

ainsi que de l’essai Goliarda Sapienza telle que je l’ai connue,

de son mari (et premier éditeur) Angelo Pellegrino,

article intitulé Les Prisons de Goliarda.

À suivre…

Ce vendredi 4 janvier 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’éblouissement immédiatement irradiant des sublimes Carnets de Goliarda Sapienza

22déc

L’ami René de Ceccatty

vient de me faire adresser

par les Éditions du Tripode

les Carnets

de Sapienza Goliarda,

à paraître le mois prochain

_ le 3  janvier _,

et qu’a traduits en français l’amie de si longtemps

_ de leurs années de lycée à Montpellier _ et toujours, de René,

Eilathan,

Nathalie Castagné.

Dès la lecture

de la présentation liminaire de l’éditeur lui-même,

Frédéric Martin

_ cf le podcast de mon entretien avec lui le 25 novembre 2015 pour son édition du sublime Vie ou Théâtre ? de Charlotte Salomon : Frédéric Martin, Vie ? ou Théâtre ? de Charlotte Salomon (61’) le 25-11-2015 ;

ainsi que mon article du 29 novembre 2015 :   _,

aux pages 5 à 10 de ces Carnets,

puis le résumé très éclairant des péripéties complexes, et très souvent tragiques, de la vie (Catane, 19 mai 1924 – Gaeta, 30 août 1996) de Goliarda Sapienza

_ l’écriture lui sera donc aussi, du moins parfois, secours !

sinon la publication même,

et encore moins le baume éventuel de la reconnaissance du succès _,

aux pages 466 à 475 de ces Carnets

et surtout, forcément,

les premières pages _ sublimes !!! _ de ces Carnets

à l’écriture stupéfiante et renversante de justesse,

de force

et de beauté,

on reste confondu de bonheur

de pareille stupéfiante illuminante _ de la vie, de toute vie _ lecture !

Car Goliarda

entame en 1976 la rédaction de ces Carnets

afin d’essayer de survivre à la cessation de l’écriture de son grand œuvre désormais achevé,

L’Art de la joie

On comprend que cette force-là

de l’écriture

ait pu faire peur

aux éventuels éditeurs,

et en Italie d’abord…

puisque L’Art de la joie, terminé en 1976, n’aura pas connu la publication

du vivant de son auteur,

décédée en 1996…

Ce sera en effet l’obstination fidèle d’Angelo Pellegrino,

le compagnon puis mari très aimant de Goliarda ;

puis le succès en France de l’œuvre traduite par Nathalie Castagné,

et publiée, en 2005, aux Éditions Viviane Hamy,

qui fera reconnaître universellement

la grandeur magnifique de l’écriture

et de la personne

de Goliarda Sapienza !

Ce samedi 22 décembre 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

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