Posts Tagged ‘articles

Récapitulatif commode de liens à 24 récentes révisions actualisées (du mercredi 3 novembre jusqu’à ce mercredi 1er décembre 2021) des premiers articles (du mercredi 2 décembre 2020 au lundi 4 janvier 2021) de mon enquête à propos de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron : d’utiles reprises, avec corrections et ajouts…

01déc

Voici, très simplement, un commode récapitulatif des liens à ma série de 23 articles récents (du mercredi 3 novembre dernier jusqu’à ce mercredi 1er décembre 2021),

concernant l’exploration généalogique de l’environnement familial de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920)

reprenant, afin de les corriger et compléter un peu efficacement, mes articles initiaux,

très incomplets et comportant trop d’ignorances et d’erreurs _ mais il faut bien commencer, tojours, par se lancer dans l’aventure de l’à-connaître, du chercher et peut-être découvrir… _

depuis l’article initial du mercredi 2 décembre 2020 jusqu’à l’article du lundi 4 janvier 2021 :






















Pour le listing de la continuation patiente et aventureuse de l’ensemble de mes recherches d’une année,

on pourra se reporter aussi à mes précédentes récapitulations de liens :

ainsi voici 3 commodes récapitulatifs de mes articles de recherche à propos de la descendance des neveux Ducos du Hauron (et apparentés),
tout particulièrement en Algérie :
_ un tout premier récapitulatif, sur les commencements de ma recherche (débutée le 2 décembre 2020), en date du 3 janvier 2021 :
_ un second récapitulatif, beaucoup plus riche et fouillé, de 142 articles, en date du 2 avril 2021 :
_ et un troisième récapitulatif, avec de nouvelles recherches pointues, en date du 19 août 2021 :
Entre l’article du 19 août 2021 qui clôt mon troisième listing,
et celui du 3 novembre, par lequel je commence le listing détaillé ci-dessus de mes reprises avec corrections et ajouts,
se situent 4 autres articles,
du 30 octobre au 2 novembre 2021,
dont voici les liens :

Ensuite, j’entame-enclenche la série inaugurée par l’article du 3 novembre 

consécutif à ma longue conversation téléphonique, si fructueuse, du 2 novembre dernier, avec Joël Petitjean,

inattendu lecteur (et imprimeur, pour lui) assidu de la totalité de mes articles,

et LE CONNAISSEUR-DECOUVREUR de l’œuvre et du parcours d’inventeur génial et atypique de Louis Ducos du Hauron…

Mais, dès le 24 octobre précédent,

et suite à un courriel que j’avais adressé à Joël Petitjean,

avaient commencé nos riches échanges de courriels :

mes bouteilles à la mer avaient enfin rencontré leur destinataire !!!

et connnaissaient la grâce d’un retour d’un lecteur supérieurement compétent,

et fondamentalement curieux…

La singularité de ma démarche d’exploration rencontrait son premier vrai lecteur…

Sinon,

en rester à affronter le déroulé strictement documentaire d’une liste de liens

a quelque chose d’aride…

Qui n’a de sens qu’à entrer vraiment, par la lecture suivie et vraiment attentive, dans le détail qualitatif concret de chaque article…

Ce mercredi 1er décembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

En tournant autour des ascendances béarnaises d’Adolfo Bioy Casares : un premier compendium d’articles…

30juil

Ce vendredi soir 30 juillet 2021,

je rassemble ici la très récente série des articles que je viens de consacrer aux ascendances béarnaises d’Adolfo Bioy Casares (Buenos Aires, 15 septembre 1914 – Buenos Aires, 8 mars 1999),

dont le grand-père paternel, Jean-Baptiste Bioy Casamayou (Oloron, 6 août 1838 – Buenos Aires, 1919), était natif d’Oloron…

En espérant susciter un peu de curiosité chez les éventuels lecteurs de ces articles autour des Bioy d’Argentine et de leurs cousins béarnais d’Oloron et environs…

Ce vendredi 30 juillet 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Jean-Christophe Bailly à Bordeaux avant-hier samedi pour le Printemps des poètes

05mar

Avant-hier, samedi 3 mars 2018, et à l’occasion de l’annuel Printemps des poètes,

Jean-Christophe Bailly

était présent à Bordeaux, à la Halle des Chartrons,

pour lire une superbe communication _ qu’il aurait dû donner à Bonn, sur les bords du Rhin, et qu’il ne put y donner pour un accident de santé _, intitulée Le Recommencement du poème.

Ce qui m’a permis de l’écouter, d’abord ; et de le rencontrer, ensuite :

tous deux sommes de grands amis de Bernard Plossu ; et je suis un de ses très fidèles lecteurs…

Je me permets de donner ici les deux courriels que je lui ai adressés ensuite,

le premier à 9h 45 hier :

Cher ami,

 
au sein des manifestations du Printemps des poètes à Bordeaux,
je participerai ce lundi soir à 19 heures à la librairie Olympique, aux Chartrons,
à la présentation _ avec lectures des textes par leurs auteurs _ du livre de mon ami photographe Alain Béguerie Mythes d’alios (aux Éditions Marges en pages),
en y lisant mon petit poème Chiron éducateur d’Achille enfant .
Alain Béguerie, photographe, a ramassé divers morceaux d’alios sur certains rivages de l’océan, au nord du Médoc,
les a réunis, et en a photographié le résultat ;
puis il a demandé à une cinquantaine des ses amis de choisir une photo
et de bien vouloir écrire un poème (ou autre texte, à discrétion) lié à la mythologie, inspiré par cette image…
Voici donc le poème inspiré par elle (et la mythologie),
signé Francis Lippa.
Chiron éducateur
d’Achille enfant 
Les sabots dans la glaise, et la tête dans les étoiles,
ainsi courent les vastes plaines herbeuses
les centaures-archers sagittaires.
Ici, le vieux Chiron, éducateur d’Achille enfant,
le buste encore droit bien cambré vers le ciel,
incline avec douceur un bienveillant visage
prodiguant à l’élève, regard aidant,
quelque sage conseil.
Un éclat de soleil lustre sa face patiné par les ans
….
Francis Lippa
P. s. : j’ai retrouvé tout ce qui concerne Thomas Jones
_ peintre paysagiste gallois (1742 – 1803), qui sera présent dans le prochain livre de Jean-Christophe Bailly : Walles x 4, à paraître à la rentrée de septembre aux Éditions du Seuil _
dans ma bibliothèque,
avec, entre autres, son passionnant Journal de voyage à Rome et Naples, 1776-1783 (aux Editions Gérard Montfort).
Mais aussi et surtout plusieurs beaux livres _ avec reproductions de paysages _ en partie à Jones consacrés,
sur la naissance de la peinture de paysage à la fin du XVIIIe siècle, en particulier en Italie _ Jean-Christophe Bailly a longtemps enseigné à l’École nationale supérieure de la nature et du paysage de Blois…
Voici aussi un article (du 22 mai 2009) de mon blog Mollat En cherchant bien 
où _ et en y redonnant des courriels à l’ami Plossu ! _
je citais, à propos de ce que j’appelle « le regard étranger sur Rome », le nom du gallois Thomas Jones (« un génie ! à découvrir !!! », disais-je…) ;
ainsi qu’un article du Monde, sous la double signature de Philippe Dagen et Michel Guerrin, associant les noms de Valenciennes (1750-1819), Jones (1742-1803) et Corot (1796-1875)…
Voici aussi l’article qui, le 23 de ce mois de mai 2009, suivait immédiatement celui-ci :
Et aussi ceci (article + podcast de mon entretien avec François Jullien, en avril 2014),
à propos de son Vivre de paysage :
 
Et ceci encore (en octobre 2012), à propos de l’émergence _ toujours en Italie _ du tourisme :
suite à mon séjour (et arpentages dans les calli) à Venise en février 2011, lors du colloque Lucien Durosoir au Palazzetto Bru-Zane, où j’avais donné, le 19 février, deux contributions :
_ cet article de mon blog, en date du 31 octobre 2012, se référait aussi au passionnant livre de Sylvain Venayre, Panorama du voyage (1780-1920)

et le second courriel , toujours hier, à 10h 30 : 

Cher Jean-Christophe Bailly,


d’abord et à nouveau bravo pour votre superbe conférence d’hier, Le Recommencement du Poème :
la Garonne à Bordeaux,
le Rhin à Bonn (ou un peu plus en amont)
et les chutes de Paterson, New Jersey
se trouvent ainsi magnifiquement réuni(e)s par la double (ou triple) médiation
de vous-même et de William Carlos Williams (+ Jim Jarmusch, aussi), d’une part et d’abord,
et de Hölderlin, d’autre part et ensuite…
 
Oui, tout poème
à la fois
commence (ou plutôt recommence, en tant que résultat _ cf les : (d’ouverture de son Paterson) de William Carlos William _,
déjà, d’une autre expérience, antérieure : poétique elle-même ?.. ;
et à partir de quelles conditions le devient-elle, poétique ?..)
et inaugure comme jamais :
en même temps ;
ou plutôt en rassemblant _ voilà ! _ hic et nunc, en un terrible geste d’urgence _ d’écriture, de l’écrire _,
divers morceaux de temps
(ainsi que de lieux _ cf ici le concept de télétransportation de René de Ceccatty en son merveilleux Enfance, dernier chapitre
+ mon (très détaillé, et long !) article sur ce chef d’œuvre :
ainsi que mes remarques sur ce mot (décisif) et cette chose (décisive) de télétransportation ) :
dans le registre d’une éternité issue _ avec gratitude au moins due, sinon effectivement rendue…de ces divers temps,
par ce geste (d’écriture du poème) réunis…
Sur ces liens _ charnels _ entre temps et éternité, relire, bien sûr, Spinoza.
(…)
….

Il y a longtemps que je vous lis, cher Jean-Christophe,
et vous suis, comme lecteur très assidu _ au moins quinze de vos livres sont à portée de directe de ma main en ma bibliothèque _,
avant même de savoir votre amitié avec Bernard Plossu,
dont j’ai fait la connaissance, en personne, chez Mollat, le vendredi 22 décembre 2006 seulement, dirais-je ;
mais je connaissais déjà ses photos _ notamment L’Europe du Sud contemporaine.
Sur cette étonnante rencontre (de 45’) avec Bernard _ il s’est mis à me tutoyer au bout d’un quart d’heure, à propos de littérature et d’écrivains italiens (dont Elisabetta Rasy, que j’avais tout récemment rencontrée à Rome ; et Rosetta Loy…) _,
j’ai écrit un petit Pour célébrer la rencontre, paru un moment sur le site de Bernard Stiegler en 2007 :
Ce texte était, à l’origine, une préface pour une publication de 3 mois d’échanges frénétiques de courriels entre Bernard Plossu et moi-même,
mais le projet éditorial a avorté ; demeure mon texte sur le rencontrer…
Mais je veux vous dire surtout que je me sens vraiment très proche de votre forme de curiosité
à la fois si ouverte et si exigeante en sa précision d’enquête dans le détail le plus infime du réel,
et la variété des objets de cette curiosité, à la condition que ceux-ci méritent, bien sûr, votre intense attention !
Outre, bien sûr, cette alliance en vous des approches poétiques et philosophiques.
Ce n’est pas sans raison que je signe les articles de mon blog Titus Curiosus…
 
Si vous disposez d’un peu de temps parmi vos diverses activités,
voici aussi des liens _ via podcasts et vidéos + les articles de mon blog Mollat En cherchant bien : http://blogamis.mollat.com/encherchantbien/ _
à diverses rencontres de vrais amis : René de Ceccatty, Marie-José Mondzain, Bernard Plossu
qui m’ont passionné ces derniers mois :
_ d’abord,
ce long et dense article sur Enfance, dernier chapitre de René de Ceccatty :
avec, pour le compléter, ce lien au podcast (de 82’) de mon entretien avec René chez Mollat
autour de ce chef d’œuvre qu’est en effet Enfance, dernier chapitre, ainsi que sur sa traduction de La Divine Comédie de Dante :
Sur l’œuvre de René de Ceccatty,
cf aussi ce lien à mon article du 24 mai 2016 sur son magnifique, encore, Objet d’amour :
_ ensuite,
un lien à la vidéo de mon entretien (de 65’) avec Marie-José Mondzain, au Théâtre-du-Port-de-la-Lune le 7 novembre dernier,
à propos du mot de Paul Klee, repris par Deleuze : « Vous savez, le peuple manque », ainsi que de son livre  Confiscation _ des mots, des images et du temps (Pour une autre radicalité) :
Sur Marie-José Mondzain,
cf aussi ces articles :
et
Puis celui-ci du 26 octobre 2011, à propos du livre précédent de Marie-José Mondzain, Images (à suivre) _ de la poursuite au cinéma et ailleurs :
ainsi que cet autre, le 20 mai 2012 :
_ enfin,
cet article à propos de Bernard Plossu et de son exposition A boire et à manger à la galerie Arrêt sur l’Image, cours du Médoc, de Nathalie Lamire-Fabre :
avec ce lien à une courte séquence filmée (de 2’) par FR3 :
Sur Plossu,
cf aussi ces 2 autres articles _ avec photos _ de mon blog, en 2010 et 2014 :
à propos de Plossu-Cinéma
Et voici encore
ceci, rédigé en 2007, en forme de proclamation : Pour célébrer la rencontre
Si jamais, bien sûr, vous disposez de temps pour ces formes de promenades de conversations _ voilà _ avec des amis… 
Bien à vous, cher ami, dont je me sens très proche par la curiosité _ tous azimuts, ou presque _ et la pensée _ tant poétique et philosophique _,

Francis Lippa
P. s. : comme je vous l’ai dit très vite,
je suis aussi vice-président de la Société de Philosophie de Bordeaux
_ le 4 mai prochain, chez Mollat, je recevrai ainsi Frédéric Gros pour son Dés-obéir (et pour son édition des Aveux de la chair de Michel Foucault).
Je me suis entretenu avec lui l’an dernier pour son roman Possédées ;
_ cf le podcast de cet entretien :
Et en dehors de la Société de Philosophie,
je m’entretiendrai aussi avec Hélène Cixous _ qui n’est jusqu’ici jamais venue chez Mollat présenter aucun de ses livres _ le 17 mai prochain,
Voici aussi un lien vers l’ensemble des podcasts de mes entretiens depuis que ceux-ci sont enregistrés et mis en ligne :
Ces entretiens me sont très chers ;
ils sont la partie émergée de mon œuvre, le reste étant non publié…
 
Certains de ces entretiens _ outre ceux avec Bernard Plossu, Marie-José Mondzain et René de Ceccatty, cités ici plus haut _ sont tout simplement merveilleux !
Par exemple, celui (le 20 mai 2011) avec Jean Clair, à propos de son Dialogue avec les morts :
ou celui (le 9 mars 2017) avec Michel Deguy, à propos de son La Vie subite :
Et encore celui (le 18 septembre 2013) avec Denis Kambouchner, à propos de son L’Ecole, question philosophique :

Ce lundi 5 mars 2018, Titus Curiosus – Francis Lippa

Articles « en souffrance » : un inventaire « à la Prévert »…

07août

 En une sorte d’inventaire « à la Prévert« , voici un premier _ très provisoire et bien incomplet, déjà _
catalogue d’articles « en souffrance », que je me promets de rédiger, rapidement, mais dans des conditions minimales (= « élémentaires« ) de « soin »…

Car je me suis promis, en effet, de rédiger bien des articles
sans m’être trouvé en situation de le « réaliser » dans des conditions satisfaisantes
de concentration (pour l’inspiration de leur « écriture ») : en voici un premier « inventaire » provisoire
(et déjà très incomplet).

A savoir :

_ d’abord, et à tout seigneur, tout honneur,
ce qui aurait dû être le tout premier vrai article
_ à part celui de « présentation » du blog (« le carnet d’un curieux« ) :
l’article sur ce monument (de vérité et de grandeur) que sont  « Les Années d’extermination« ,
le tome second de « L’Allemagne nazie et les Juifs »
de Saul Friedländer (aux Editions du Seuil, en février 2008) :
un chef d’œuvre _ et quel Chef d’Œuvre ! _ pour comprendre « vraiment » (avec la gamme prodigieusement restituée et commentée des « témoignages » _ des victimes qui ont pu « s’exprimer » _, tout particulièrement : par là, cet ouvrage est tout simplement irremplaçable !) ; pour comprendre « vraiment » le sens de la modernité

_ quelques articles de musique :

_ le CD Alpha 128 « Trios pour Nicolaus Esterhazy » de Joseph Haydn, par l’ensemble Rincontro (les excellents Pablo Valetti, Patricia Gagnon et Petr Skalka) :

big.JPG

une merveille de « musique domestique« ,
c’est-à-dire d’intimité,
restituée et offerte (comme un cadeau tout simple mais rare, en son incroyable « finesse »)
telle qu’elle se pratiqua à la fin du XVIIIème siècle, en l’occurrence,
loin des salles et scènes de concert (et des publics bruyants)…
Soit tout un pan de musique révélé
_ rendu : restitué et offert, donc _,
et combien merveilleusement (expression oxymorique).
Une très grande chose, qui ne se découvre pas à la première audition :
à la seconde seulement ! Il faut lui prêter un minimum son écoute : en retour,

c’est tout un monde qui nous est ici, par ce CD, « donné » à écouter partager :
comme si nous nous tenions sur le seuil de cette petite pièce où le prince et ses amis (ou musiciens) « jouent » entre eux et pour eux…

_ un article « Alexandre Nikolaïevitch Scriabine »,
à partir du coffret _ quel trésor ! _ Vladimir Sofronitzky :
« Historical Russian Archives Vladimir Sofronitzky Edition :
Scriabin, Chopin, Rachmaninoff, Schumann, Schubert, Liszt, a. o.
« 

de 9 CDs , chez Brilliant Classics ;
ainsi que de l’album époustouflant « Scriabine »
par le jeune enflammé et enflammant Andrei Korobeinikov, chez Mirare
:

scriabine-mir061-couv-rvb-vignette.jpg

constitué des « Sonates » n°4, 5, 8 et 9,
et des « Deux Poèmes » opus 32, 69 et 71,
ainsi que du « Poème Vers la flamme » opus 72 :
de la braise !..
La confrontation de cet album enthousiasmant (de feu !)
avec la grâce soyeuse, veloutée, et infinie, du jeu de Vladimir Sofronitsky
est un cadeau du ciel.


_ le coffret « Zoltán Kocsis plays Bartók » (chez Philips),
que j’attendais depuis un bon moment
_ après l’écoute l’années dernière des « Debussy » de Kocsis (toujours chez Philips) _,
et qui est une merveilleuse d’interprétation
(de probité et parfaite musicalité
:
comme si il n’y avait rien à ajouter, ni à retrancher : la grâce !)
d’un des compositeurs, lui-même, les plus grands (bouleversant !) du XXème siècle :
et c’est un euphémisme…

Qu’on écoute, par exemple, « For Children » !

A thésauriser, pour le ré-écouter très souvent…

_ et, pour clôturer très provisoirement cet inventaire « musical »
« L’Entretien des Dieux _ Jacques Champion de Chambonnières, Jean Henry d’Anglebert, François Couperin« , par le jeune et très talentueux Aurélien Delage,

sur un clavecin d’Emile Jobin d’après Tibaut de Toulouse (1691),

CD distribué
(au compte-gouttes : chaque exemplaire est numéroté ; le mien porte le numéro 027)
par « Les Chants de la Dore » :
une réussite épatante de ce qui est parmi le plus difficile à réussir du si fragile et si « parfait » répertoire français
baroque (ou classique ?)
,
si allègrement massacré
(expédié sans assez de « soin » la plupart du temps
_ comme, un peu plus tard, après François Couperin, l’interprétation du théâtre de Marivaux, lequel en donne une sorte d’équivalent « dramatique » pour la profondeur en finesse et la légèreté en gravité)
par la plupart des interprètes clavecinistes
_ à l’exception, toutefois, et du merveilleux Pierre Hantaï, tout récemment (Mirare 027 : « Pièces de clavecin« )

hantai-mir027-couperin-72.jpg

la-sultannebig.JPG

et de la « toute bonne » Elisabeth Joyé (« La Sultanne » _ CD Alpha 062),

telle une petite cousine (en esprit) de cette famille Couperin,
dont la dernière représentante a (peut-être) utilisé les lettres (jusqu’alors conservées) de Jean-Sébastien Bach à son aïeul François Couperin
pour recouvrir des pots de confiture,
comme une tradition le perpétue « joliment »…

Salut Pierre, salut Elisabeth…


Puis, trois articles sur des albums de photos :
le sublimement déchirant « Invasion Prague 68 » de Joseph Koudelka (chez Tana Editions) : un must (s’y précipiter ! et qu’au moins la manie française des anniversaires serve à cela…) ;
et le très grand « The Americans » de Robert Frank (dans sa réédition _ très précieuse _ par Steidl) ;
et aussi, bien sûr, un article de présentation de l’album (inédit en France) prodigieux de beauté plossuïenne « Attraverso Milano »
(édité, avec textes en italien et en anglais, par Electa)
,
dont je n’ai commenté jusqu’ici sur ce blog que la photo (extraordinaire) du carton d’invitation…

Et des articles sur divers textes philosophiques,
dont, d’abord, celui sur le très important « L’Acte esthétique » de Baldine Saint-Girons (publié par Klincksieck) : pour mieux analyser _ avec quelle finesse et quelle profondeur ! _ notre rapport (d’humains un peu plus et mieux « humains » _ ou moins in-humains) et aux œuvres, et aux paysages… Que la formidablement généreuse vitalité _ et justesse _ d’écriture de son auteur fasse des émules…

Titus Curiosus, ce 7 août

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur